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Votre avis sur Drive ?
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LE film qui a amené Mr Refn au grand public, pour lui il était temps. Trop surestimé, ce n'est pas forcément son meilleur film ... Je mets Pusher en haut de la liste !
Cependant, il place magnifiquement l'univers de l'automobile dans des sentiers qui était jusqu'à là mal exploité (le transporteur) on aura aussi compris que depuis un moment l'univers des criminels et autres gangsters est son dada et c'est bien le seul à le travailler de manière convaincante réaliste et originale depuis bien longtemps.
Le personnage de Ryan Gosling est sublime, le héros américain est retravaillé, quasi silencieux,dans sa carapace, impassible à certains moments, humain : ni saint ni monstre, il deviens le héros malgré lui ! Quand il tue, c'est par rapport aux circonstances, pas de questions, pas de regrets il le fait parce qu'il le doit ... malheureusement certains personnages reste en retrait, celui de Bryan Cranston sous exploité, carey mulligan et son prit coté neuneu casse l'ambiance enfin le duo qu'elle forme avec gosling peu se justifier, mignons tout les deux ils évacuent le stress ambiant. Le rôle de perlman est utile et très juste. Les séquences sont géniales, on se laisse transporté ( les travelling de nuits ), ou surprendre ( l'ascenseur, le braquage ) ... certaines ressemble même à des instants qui pourraient être immortalisé ( celle du marteau, du masque ) J'aime le fait qu'il n'y ai pas beaucoup de scènes de poursuite en voiture tout est vraiment très juste sur ce point.
Mais une scène en particulier à casser mon délire ; les ricochets sur l'eau, avec la mère et l'enfant avec une musique toute douce sous les rayons du soleil, on aurait ptete pu s'en passer à moins d'imager le calme avant la tempête...
la bande son est comme toujours géniale et cohérente. Sauf encore une fois ; celle du début ... Ce kavinsky et cette voix trafiquée qui vient casser toute la beauté visuelle. Je ne sais pas pourquoi autant de gens l'aime cette chanson. C'est assez hipster...
En gros voilà, on peu très bien se fondre dans l'histoire mais par moment il y a des heurts qui vous sors la tête hors de l'eau.
Cependant, il place magnifiquement l'univers de l'automobile dans des sentiers qui était jusqu'à là mal exploité (le transporteur) on aura aussi compris que depuis un moment l'univers des criminels et autres gangsters est son dada et c'est bien le seul à le travailler de manière convaincante réaliste et originale depuis bien longtemps.
Le personnage de Ryan Gosling est sublime, le héros américain est retravaillé, quasi silencieux,dans sa carapace, impassible à certains moments, humain : ni saint ni monstre, il deviens le héros malgré lui ! Quand il tue, c'est par rapport aux circonstances, pas de questions, pas de regrets il le fait parce qu'il le doit ... malheureusement certains personnages reste en retrait, celui de Bryan Cranston sous exploité, carey mulligan et son prit coté neuneu casse l'ambiance enfin le duo qu'elle forme avec gosling peu se justifier, mignons tout les deux ils évacuent le stress ambiant. Le rôle de perlman est utile et très juste. Les séquences sont géniales, on se laisse transporté ( les travelling de nuits ), ou surprendre ( l'ascenseur, le braquage ) ... certaines ressemble même à des instants qui pourraient être immortalisé ( celle du marteau, du masque ) J'aime le fait qu'il n'y ai pas beaucoup de scènes de poursuite en voiture tout est vraiment très juste sur ce point.
Mais une scène en particulier à casser mon délire ; les ricochets sur l'eau, avec la mère et l'enfant avec une musique toute douce sous les rayons du soleil, on aurait ptete pu s'en passer à moins d'imager le calme avant la tempête...
la bande son est comme toujours géniale et cohérente. Sauf encore une fois ; celle du début ... Ce kavinsky et cette voix trafiquée qui vient casser toute la beauté visuelle. Je ne sais pas pourquoi autant de gens l'aime cette chanson. C'est assez hipster...
En gros voilà, on peu très bien se fondre dans l'histoire mais par moment il y a des heurts qui vous sors la tête hors de l'eau.
"Drive", réalisé par Nicolas Winding Refn, est un film qui défie toute classification simpliste. C'est une œuvre complexe et richement texturée qui mêle thriller et drame avec une maîtrise cinématographique remarquable. Le film excelle non seulement grâce à la performance magnétique de Ryan Gosling, mais aussi grâce à sa narration dense et nuancée.
La direction artistique du film est sublime, offrant une vision de Los Angeles qui est à la fois éthérée et d'une crudité saisissante. L'utilisation de l'éclairage et de la couleur crée une atmosphère qui oscille entre le rêve et la réalité, ce qui est particulièrement évident dans des scènes emblématiques spoiler: comme celle de l'ascenseur
.
La bande originale, composée principalement de synthwave, apporte une dimension supplémentaire au film. Elle ne se contente pas de compléter l'action à l'écran, mais participe activement à la construction du monde intérieur des personnages, en particulier du protagoniste taciturne joué par Gosling.
Le scénario, adapté du roman de James Sallis, est une étude de caractère fascinante. Le personnage principal spoiler: , un cascadeur le jour et un chauffeur pour criminels la nuit,
est présenté avec une économie de dialogues, ce qui rend chaque mot prononcé d'autant plus puissant. spoiler: Le développement de son histoire d'amour avec le personnage d'Irene, interprété avec grâce par Carey Mulligan, ajoute une couche de vulnérabilité à son personnage autrement stoïque.
Cependant, le film n'est pas exempt de défauts. Certains moments de violence semblent presque trop stylisés, et quelques scènes peuvent sembler trop abruptes ou sous-développées. En outre, bien que la performance de Gosling soit indéniablement captivante, elle peut parfois donner l'impression d'un manque d'évolution émotionnelle.
En conclusion, "Drive" est un film qui transcende les genres et offre une expérience cinématographique intense et mémorable. Il s'agit d'une œuvre qui nécessite et mérite une attention soutenue, récompensant le spectateur avec des couches de complexité et de subtilité.
La direction artistique du film est sublime, offrant une vision de Los Angeles qui est à la fois éthérée et d'une crudité saisissante. L'utilisation de l'éclairage et de la couleur crée une atmosphère qui oscille entre le rêve et la réalité, ce qui est particulièrement évident dans des scènes emblématiques spoiler: comme celle de l'ascenseur
.
La bande originale, composée principalement de synthwave, apporte une dimension supplémentaire au film. Elle ne se contente pas de compléter l'action à l'écran, mais participe activement à la construction du monde intérieur des personnages, en particulier du protagoniste taciturne joué par Gosling.
Le scénario, adapté du roman de James Sallis, est une étude de caractère fascinante. Le personnage principal spoiler: , un cascadeur le jour et un chauffeur pour criminels la nuit,
est présenté avec une économie de dialogues, ce qui rend chaque mot prononcé d'autant plus puissant. spoiler: Le développement de son histoire d'amour avec le personnage d'Irene, interprété avec grâce par Carey Mulligan, ajoute une couche de vulnérabilité à son personnage autrement stoïque.
Cependant, le film n'est pas exempt de défauts. Certains moments de violence semblent presque trop stylisés, et quelques scènes peuvent sembler trop abruptes ou sous-développées. En outre, bien que la performance de Gosling soit indéniablement captivante, elle peut parfois donner l'impression d'un manque d'évolution émotionnelle.
En conclusion, "Drive" est un film qui transcende les genres et offre une expérience cinématographique intense et mémorable. Il s'agit d'une œuvre qui nécessite et mérite une attention soutenue, récompensant le spectateur avec des couches de complexité et de subtilité.
ouai bien, mais bof... c'est joli, on se croirait dans GTA Vice City, vraiment !
on sent la fascination de la mafia comme dans les pusher, sans en atteindre le charisme. "prix de la mise en scène", ok , c'est maîtrisé, des plans doux et travaillés, on change l'obturateur quand ça roule, belles lumières tamisées.... c'est le confort visuel.
Scénario rien de bien original, on retrouve beaucoup de films passés.
J'ai passé un bon moment, je ne me suis pas ennuyé, mais je n'ai pas été scotché ou bouleversé, attention aux critiques presse saluant davantage le réalisateur que le flim lui-même.
on sent la fascination de la mafia comme dans les pusher, sans en atteindre le charisme. "prix de la mise en scène", ok , c'est maîtrisé, des plans doux et travaillés, on change l'obturateur quand ça roule, belles lumières tamisées.... c'est le confort visuel.
Scénario rien de bien original, on retrouve beaucoup de films passés.
J'ai passé un bon moment, je ne me suis pas ennuyé, mais je n'ai pas été scotché ou bouleversé, attention aux critiques presse saluant davantage le réalisateur que le flim lui-même.
Film que je considère avant tout comme un exercice de style, remarquable photographie, justesse du rythme, bonne interprétation des acteurs, un bon moment de cinéma, MAIS, le personnage principale est beaucoup trop manichéen à mon gout ou juste trop lisse ? Quelque chose cloche dans ce personnage qui ne nous est pas révélé, frustrant tout de même, j’attends avec impatiente la prochaine réalisation, avec un scénario plus fouillé, profond ? En dehors du concept de crédibilité qu'on ne recherche pas forcément au cinéma.
caro18
La musique et Ryan Gosling empêche le film de tomber dans la banalité.
Après un début extrêmement prometteur (avant le générique), "Drive" dévoile très vite ses failles. Film tape-à-l'oeil, il accumule les scènes de violence fugace et injustifiée dans le seul but d'en mettre plein la vue, confiant parfois au grotesque. De plus, il cède à un esthétisme purement formel donnant à l'ensemble un très mauvais goût d'esbroufe. Refn a jugé bon de s'amuser avec les codes du polar urbain des années 80 et c'est plutôt réussi. Seulement voilà, la sauce ne prend qu'à la condition de regarder "Drive" comme un divertissement paradoxalement prétentieux. Pour le néo-thriller qui tue, on repassera. Gros bémol enfin à Ryan Gosling qui passe à côté de son rôle. Le pauvre confond mutisme et statisme, si bien qu'on ne souhaite qu'une chose en suivant son périple : qu'il enlève le balai invisible inséré dans ses fesses.
très bon scénario. j'enlève une demi étoile pour la profusion de sang à outrance dans la deuxième partie du film, alors que le début était pourtant sobre et avec très peu d'exagération dans les émotions. j'aurais préféré que la réalisation soit fidèle à elle même de vout en bout, alors qu'elle vire de bord au milieu du show...
Drive c'est une rencontre entre un cinéaste et un acteur à la silhouette impénétrable, vraie bombe à retardement. Drive dresse aussi le portrait fascinant de la cité des anges par une photographie et une mise en scène teintées d'onirisme. Drive montre une violence rare et brute sur une musique envoutante ; du sang, des regards, des silences, tout en paradoxes, un thriller remarquable!.
Contrairement à beaucoup de gens si j'en crois les avis, je n'ai pas vraiment apprécié ce film. Ryan Gosling est peu expressif et peu charismatique. Il n'a au fond que deux modes d'expression : le quasi-mutisme et l'ultra-violence. Les gerbes de sang parcourent le film plus encore que les poursuites en voiture. Certes la musique est plutôt bonne, le réalisateur sait tenir une caméra, certains acteurs s'en sortent bien (Albert Brooks par exemple). Mais je n'ai pas été emballé par ce scénario simpliste qui n'a rien à dire, dont les déchaînements de violence sont filmés complaisamment, et dont la romance entre Gosling et Mulligan se traînait de demi-sourires en regards vaguement enamourés...
La mise en scène est superbe (elle fût d'ailleurs couronné à Cannes), la BO et certaines scènes sont très réussies mais il s'agit d'une oeuvre très violente, avec quelques longueurs mais aussi par moment assez froide à l'image du héros. Le film semble être inspiré de films de Jean-Pierre MELVILLE comme le Samouraï.
🎬 RENGER 📼
Nicolas Winding Refn n’en finit plus de nous surprendre, sa filmographie a elle seule reflète l’éclectisme et l’originalité du cinéaste danois. Après avoir été révélé au grand public par le biais de sa trilogie Pusher (1997/2004/2005) et après avoir réalisé des films tous plus différents les uns des autres (Bronson - 2009 & Valhalla Rising - 2010), il adapte ici le roman éponyme de James Sallis et en restitue une sorte de western urbain auquel on n’attendait rien d’autre qu’une Série B magnifiée par un cinéaste de talent. Au final, il en résulte un thriller d’une rare violence, sublimé par une mise en scène parfaitement gérée alternant des plans en accéléré ou au ralentit, une qualité photo plus que soignée, un polar où les codes sont cassés afin d’être mieux revisités (voir réinventés). Le film met en scène un homme sans nom, que l’on appellera "le Driver", il est cascadeur de cinéma le jour et chauffeur de gangsters la nuit, il mène une vie paisible, mutique et taciturne, c’est un personnage difficile à cerner et d’une profonde gentillesse (mais sous sa carapace se cache un homme à la fois protecteur et exterminateur, qui n’hésite pas à recourir à la violence pour parvenir à ses fins). Nicolas Winding Refn nous bluffe littéralement en mettant en scène Ryan Gosling dans le rôle titre (un rôle qui était initialement prévu pour Hugh Jackman). Ce dernier parvenant sans la moindre difficulté a alterner entre la sagesse et la folie pure (notamment dans l’incroyable séquence de l’ascenseur, sans oublier la séquence du motel à grands coups de fusil à pompe). En plus de magnifier son oeuvre avec des plans millimétrés (les rares scènes de poursuites en voitures), il soigne le tout grâce à l’apport d’une envoûtante (le mot est faible) B.O éléctro/pop vintage sur fond d’eighties (on retiendra notamment les morceaux suivants : "Nightcall" de Kavinsky & "A Real Hero" de College feat. Electric Youth). Mais la distribution ne se limite pas seulement à Ryan Gosling, on peut aussi saluer les prestations de Bryan Cranston, Ron Perlman, Albert Brooks, sans oublier la radieuse Carey Mulligan. Si Nicolas Winding Refn était parvenu peu à peu à sortir de l’anonymat avec ses films récents, on peut dire que cette fois-ci, il est clairement devenu bankable dans le paysage cinématographique Hollywoodien (son Prix de la Mise en Scène lors du 64ème Festival de Cannes ne fait que le confirmer).
Sylvain P
Un superbe écrin musical et sonore, une mise en scène brillante, fine et douce pour un film sous tension. Ce paradoxe mérite d'être souligné. Dommage que tout ceci soit dédié à un scénario pour mecs, sans surprise.
Un bon film malgré l'extrême violence. Ryan Goslin au charisme incroyable, il a quelque chose de Clint Eastwood.
Beaucoup de tension et d'intensité. Une réussite..
Beaucoup de tension et d'intensité. Une réussite..
Objectivons
Le héros est à la fois quelconque et brutal/fort. L'histoire est à la fois simple et dure. La bande son est excellente. Pas mal.
Henrico
L’engouement débordant pour « Drive » s’explique en grande partie par le fait que cela faisait un bon moment que l’on ne s’était pas mis un décent film de gangster sous la dent. Car si le film a des qualités stylistiques incontestables, un jeu d’acteurs exemplaire, une atmosphère empruntée aux frères Cohen, fort réussie, le scénario, lui, est très conventionnel et archi prévisible. Le découpage des scènes est parfois défaillant et donne des situations complètement improbables. Ainsi, une mère, présentée comme modèle, va coucher son fils de 8 ans, puis le laisse seul et s’en va faire une ballade en amoureux en voiture, avec son voisin de palier ! Un peu de rigueur et de concentration aurait permis à Nicolas Winding Refn de faire en sorte que la mère et le voisin puisse fricoter dans la chambre à côté, ou dan l’appart du voisin. Quand à la question vraisemblance des ressorts dramatiques, elle ne semble pas être la préoccupation constante du Danois. Un homme de paille est chargé par la mafia de faire un hold-up, une fois qu’on l’a descendu, au lieu de récupérer aussitôt simplement le butin, une course poursuite est imaginée dont les modalités et l’issue sont d’un classicisme consternant. Nous savions déjà le potentiel énorme de ce réalisateur ; Il nous l’avait montré par sa géniale trilogie des « Pushers ». Hélas, depuis, il n’a cessé de jouer les cabotins avec des films aussi vains que « Valhalla Rising », ou « Bronson ». Avec « Drive », il relève à peine le niveau du débat. Voir la critique de Henrico sur les films mentionnés.
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