Avis : Drive - Page 4

Un film sans scénario, sans intrigue, sans suspense; Un documentaire lent, mou, fade, où il ne s'y passe rien, excepté quelques scènes de pure violence aussi atroces qu'inutiles. Un film à éviter à tout prix. 1 étoile malgré tout pour la bande-son, seul intérêt du film.

Quand je suis sorti de la salle où, durant le dernier festival de Cannes, je venais de voir "Drive", je me suis demandé ce que ce film faisait en compétition dans un tel Festival. Quelques jours plus tard, Nicolas Winding Refn se voyait remettre le Prix de la Mise en Scène ! Quand on pense que "We need to talk about Kevin" n'a rien eu ... Ce prix de la mise en scène, par exemple, était pourtant vraiment fait pour lui. Nicolas Winding Refn ? Ce quadragénaire est un danois né au Danemark mais dont la jeunesse et les études se sont partagées entre Danemark et Etats-Unis. Il s'est fait connaître il y a déjà 15 ans par "Thriller". Je crois n'avoir rien vu de lui avant "Drive" mais, d'après ce que je lis, la violence extrême semble être son univers de prédilection. En fait, "Drive", qui nous raconte l'histoire d'un brillant conducteur, mi-cascadeur, mi-chauffeur de gangsters lors de braquages, est au thriller ce que le western-spaghetti est au vrai western : de la violence à profusion sur un rythme plutôt lent. Certes, c'est assez efficace et, par conséquent je comprends que cela puisse plaire à un certain public, mais ce n'est vraiment pas mon genre de film.
PS : notez le moment où on entend une Ford Mustang passer les vitesses en ... marche arrière !

Un thriller est sensé être rythmé, ponctué d'action(s), de rebondissements, de suspense, d'intensité, avec une affaire en toile de fond (politique, policière, professionnelle et j'en passe), un thriller doit aussi avoir des dialogues percutants, il doit dégager une certaine puissance, une force, du caractère... Mais Drive n'a rien de tout ça. C'est juste un pitoyable drame romantique avec de temps en temps des effluves de sang et de la violence gratuite... Un film très moyen, qui ne mérite pas, selon moi, tout le bagage médiatique qu'on a pu voir, entendre ou lire. Carey Mulligan demeure la seule satisfaction !!

Pas aimé ce cinéma violence plus mise en scène épurée et ambiance boîte de nuit, un personnage de chauffeur solitaire tueur pour le compte malfrat, l'auto-justice comme thème central de ces réalisations et du romantisme rajouter.
Le rendez-vous se fixe et son regard immobile puis fait crac à défoncer le crâne dans une ascension d'excès de rage explication, il n'y a pas que des fans pour voir ce spectacle.

Film qui met du temps a demmarer, et si peu interressant.

Contrairement à ce que pourraient laisser penser la bande annonce et le titre du film, il n'y a guère que les bolides qui vont vite dans ce film. Difficile en effet de faire moins bavard et plus lent. Le scénario est quant à lui quasi incompréhensible, les acteurs neurasthéniques et ce ne sont pas les quelques scènes aussi gores qu'inutiles qui sauvent le film.

Que dire de ce film salué par la critique et pourtant tellement cliché,soporifique et affligeant dans le contenu...Un héro qui n'a que 18 mots voir 20 dans son lexique durant tout le film , l'action ne constituant que 2% du film on se dit que de fait l'intérêt réside donc sur les personnages aussi charismatiques soient ils: erreur grotesque..

Une relation amoureuse entre un héro muet presque autiste et une blonde un peu niaise (actrice de dawson , demeurant demeurée comme dans sa série de prédilection) . des rebondissements? Ah ça oui un bienfaiteur traitre malgré lui , une mafia italienne officiant dans une petite pizzeria de quartier , un héro conduisant comme un dieu et sans l'ombre d'un cervelet , une Bo des année 80 insupportable au possible et cerise sur le gateau un ancien détenu type tariq ramadan qui cherche la rédemption dans un braquage foireux reliant tous les protagonistes dans une intrigue écrite par un cm2 sur une gomme pendant les cours de grammaire.

Conclusion: rien d'original,rien de pertinent , rien de fabuleux,des clichés en chaîne , un navet encensé faute de rien .

N'allez surtout pas voir ce film sous peine de payer une sieste à prix d'or!

Haha une bonne grosse blague . Et le critique réussit à s'emballer pour ce film ? Faudrait qu'on m'explique ! Le jeu d'acteur est nul ( et pourtant Ryan Gosling avait était brillant dans " Crazy Stupid love " ) , c'est d'une lenteur à s'en tirer une balle et l'intrigue est complètement banale .
En bref c'est un navet des temps modernes à éviter absolument .

Non mais je rêve ?! Pourquoi je rêve ? Parce que je ne comprends pas pourquoi les gens aiment ce film et je vais expliquer cette incompréhension. Un film qui s'intitule "Drive" et qui se présente comme un film d'action avec forcément des scènes de poursuites en voitures spectaculaires, j'ai compter 3 minutes dans un film de 100 minutes. C'est lent, mou, sans dialogues, avec un scénario inintéressant. Et le paradoxe, c'est qu'avec ça on a le droit à des scènes gores rarement présentes dans des films d'actions. Des incohérences dans les scènes. Ryan Gosling ? vide d'émotions et de charisme. Enfin voilà, aucun intérêt, aucun divertissement, aucunes émotions. C'est dommage, le concept de l'histoire pouvais être intéressant.

There’s something inside you,
it’s hard to explain.
They’re talking about you boy,
but you still the same.




Coup d’œil confiant sur les 3 compteurs du tableau de bord. Love. Life. Luck
Un synthé surgit du néant, accompagné d’une ligne de basse puissante, hymne solide d’une intro dévastatrice. Accroche sa montre au volant, le temps embrasse tout le reste, plus rien ne compte à part le match, la … L’alarme retentit, les basses pulsent, cœurs emballés, tension qui monte d’un cran, les flics rappliquent, le moteur rugit. The driver, calme, toujours, attentif, crispe ses mains gantées sur le volant, se meut dans la nuit - le prédateur à hélice n’y voit que du feu. Sauvé. ?
Générique kitsch, taillé dans le rose moelleux d’un chewing-gum gluant, synthé 80’s, Nightcall fait son effet, l’ambiance est posée, sublimée par ce jeu de lumières incessant, in-out de la voiture, bouclier inviolable, unique dépositaire d’une pureté limpide, inaliénable, point de départ d‘une innocence en perpétuelle mouvance.


« The driver », -Ryan Gosling- ne vit pleinement qu’un volant entre les mains. Nicotine, Caféine, Benzédrine, nul besoin. Le cure-dent remplace ici l’éternel cliché de la clope fumante, bout de tabac puant indispensable à l’homme pour paraitre bien dans sa peau. Solitaire, Beau, inébranlable, « The driver » semble intouchable. Mais. la Métamorphose se produit. Les portes de l’ascenseur s’ouvrent et se ferment sur la silhouette d’une femme timide, troublant alter ego du Driver qui , grogne et s’étire , sent le monstre en lui s’éveiller : ses mains tremblent .
Noyé dans des ambiances contrastées, entouré par une poignée de truands pourris jusque dans l’âme, ‘il’ ne goutera que très brièvement au bonheur, le temps de quelques balades fugaces, bercées par une harmonie divine, portées par un amour complet, aveugle et impossible, inébranlable et pur. et...
Je pourrais garer mon bolide ici même, sortir les clefs du contact et vous laisser imaginer ou revivre la suite. Je me permets pourtant d’ajouter une goutte de gasoil au réservoir déjà bien rempli. Drive ne m’a pas vraiment plu. Introduction mise à part, je ne suis pas rentrée une seule seconde dans la course. Pire, je baillais, me gratouillais, jetais de vifs coup d’œil à ma montre.

La bête possède un potentiel incroyable, ça me fout le tournis, je bave rien que d’imaginer ce qu’ils auraient pu en faire; la réalisation est de taille, offrant tout de même de belles petites surprises -je pense notamment à la scène de cassage de gueule sur fond de nichons libérés, pointant avec rage leurs tétons accusateur sur la brute passée à tabac- , Ryan Gosling incarne un personnage bourré de contradictions, dopé à l’adrénaline mais pourtant si serein, un perso’ classe et brillant, muet mais pourtant si présent; Brian Cranston apporte sa touche délurée et touchante qu’on lui connait bien, mais mais mais..
Au final j’ai trouvé ça trop lisse. Pas assez osé. Un poil trop convenu. Franchement, l’histoire d’amour entre cette imbécile heureuse enchainée à son bon à rien de mari et the Driver vous y croyez? Moi pas. Il manque au film une bonne heure et demie. Alors quand je lis des critiques le comparant à un thriller Sud Coréen, je me marre.

Drive ne va pas assez LOIN, se contentant d’un tour de piste alors qu’il avait le fuel nécessaire pour en faire 3. Maintenant, je reconnais qu’il a un potentiel de malade, la déception ne regarde que moi.

je me demande qui est le plus malade, moi d'être allé voir ce film ou celui qui l'a réalisé...
après un début prometteur, avec une gestion agréable du temps et des dialogues minimalistes, le film dérape dans une ultra-violence qui relève de la psychiatrie.

Cela faisait quelques semaines que j'attendais ce film alléché par des critiques remarquables et par une bande annonce du tonnerre. Et bien, quelle fut ma déception hier au sortir de la projection d'avoir vu une telle mascarade. Déjà un conseil ne regardez pas la bande annonce car elle retire au film le peu d'intérêt qu'il présente. Hormis cela rien, le néant, à trop vouloir chiader sa mise en scène le réalisateur nous raconte une histoire sans queue ni tête sans intérêt d'ailleurs du déjà vu filmé avec style pour les intello du cinéma. Les acteurs sont médiocres (Ryan Gosling en tête). Non je n'arrive toujours pas à comprendre comment ce film peut réunir autant d'éloges et de comparaison avec des films années 60 70. En entendant cela Steve McQueen a du se retourner dans sa tombe.
Vraiment déçu, un dernier point comment avec autant de critiques négatives le film obtient cette note de 4 étoiles !!!!!

Le scénario était prometteur. La bande son, la mise en scène, la lumière sont là. Mais la succession d'invraisemblances, les raccourcis narratifs, des longueurs interminables plombent le film et chacun hésite entre l'éclat de rire et l'envie de partir. A éviter ou alors s'il n'y a vraiment rien d'autre à faire...

unanimité de la critique, prix de la mise en scène à Cannes ?? Pour ce truc d'une violence jamais vue encore et parfaitement gratuite qui incite presqu'à rire, réaction de la salle à la purée de tête ou à la fourchette.. Sinon scénario mou, curieusement, et plutôt incohérent. Pale ersatz de Reservoir dogs, malgré la surenchère. Du temps perdu.

Arnaque absolue! Le film pourrait durer 30 minute. Le reste étant des ralentis injustifié. Pas d'action, le héros pas assez débile ou futé pour qu'on s'y intéresse. C'est lent, ok, mais le souci c'est que c'est totalement inintéressant. Si les critiques considèrent que filmer au ralenti sur de la musique 80' avec la lumière du motel d'a côté un mec qui mange des ravioli c'est du grand cinéma introspectif, alors ok, j'ai pas compris.....