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    Drive
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    4 720 critiques spectateurs

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    Serval
    Serval

    9 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2012
    Bande son qui déchire, mise en scène impeccable. Ron Perlman, Ryan Gosling & co jouent très bien. Rien à dire !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 octobre 2013
    Apres avoir vu que ce film était noté 4/5 je me suis jeté dessus pour le regarder car normalement un film noté de cette facon cest du sur! Ben jai étais ENORMEMENT deçu! Et pourtant je suis bon public! Comme beaucoup le dise, le debut est juste parfait (10min) mais apres ca traine, ca traine....cest horrible! aucun sénario! Un meurtre et une sorte de vangeance mais d'une lenteur!!! Enfin je déconseille fortement!
    Pour ceux qui veulent de la poursuite en voiture, du pilotage, ben pas la peine il y a qu'une seul course poursuite de 3 min...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 novembre 2011
    J'me suis barré avant la fin. Ce film est une merde! Lent, violent, chiant et je suis large! Le scénar est inexistant! L'acteur principal a le charisme d'une huître! Bordel
    c'est pas possible comment on peut mettre 4 étoiles à un navet pareil???
    Zbrah
    Zbrah

    48 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 décembre 2014
    « Drive » ce n’est pas qu’un film. C’est LE film. Celui qui m’a donné envie de creuser mon intérêt pour le cinéma au-delà du simple divertissement. Celui qui m’a donné ma première grosse claque en salle. Celui dont le moindre extrait me donne envie de le visionner encore une fois entièrement et immédiatement. Celui que je n’oublierai jamais.
    « Drive » est pour moi l’un des meilleurs films de tous les temps, ou du moins celui qui me touche le plus. Il compile en un peu moins de deux heures tout un tas de thématiques essentielles à ma définition du septième art, sans jamais pour autant les aborder avec tous les clichés déjà servis.
    Il suffit de regarder l’atypique introduction. Les plus longues lignes de dialogues du protagoniste principal sont récitées dès les premières secondes. S’en suit une scène de braquage vue de l’extérieur, rythmée par un match de baseball local. Une tension folle pour un moment pourtant pas si mouvementé que ça. Avec en prime un dénouement malin où le conducteur révèle toute son intelligence et son savoir-faire. Simple, diaboliquement efficace, une entrée en matière à l’image du film qui va suivre !
    Le héros de cette histoire n’a aucun nom, aucun passé. Ses contrats nocturnes, jamais le spectateur ne saura comment il les trouve, ni comment le jeune homme s’est retrouvé embarqué dans la double vie qui représente son quotidien. Arrivé d’on ne sait où, il a trouvé un emploi chez le mécano Shannon sans rechigner sur le misérable salaire qui lui était offert. Les indices sont faibles ! Le mystère fait partie de la définition même du conducteur. C’est cet aspect qui lui donne tant de charme et tant de froideur en même temps. Ce protagoniste avec qui l’on passe une heure quarante, on ne le connait pas en profondeur. Nicolas Winding Refn ne donne finalement jamais au spectateur toutes les clés pour comprendre l’homme. À nous de le percevoir selon notre convenance personnelle.
    La coquille entourant le cœur du froid conducteur se brise au contact d’Irène. Elle qui a un sourire capable de faire fondre le cœur de n’importe quel homme cache aussi au fond d’elle ses blessures. Un mari absent payant pour ses crimes en prison, un enfant à charge, un emploi pénible et rémunérant peu ; la jeune femme dispose de points communs avec le conducteur, c’est certain. Sauf que ses failles à elle sont plus visibles. Elle semble plus vulnérable, tout en ayant une rage de vivre et d’aimer à nouveau sans se faire trahir.
    La rencontre de deux êtres brisés, ayant tous les deux des blessures à cicatriser est un moment de joie. Irène et le conducteur s’apportent mutuellement le soutient qu’il leur manquait. Le passage où ils font leur première virée en voiture dans une zone désertée et étonnamment verte de Los Angeles est un délice, probablement l’une des plus belles scènes de cinéma que j’ai vues. Un morceau intitulé "A real hero" l’accompagne. Le conducteur est en effet le héros manquant à la petite famille, la solidité et la force qui lui manquait. Une impression confirmée par un joli plan du protagoniste principal portant le petit Benicio dans ses bras, comme un père avec son fils, son blouson couvrant l’enfant. Au terme de cette scène enchanteresse, Irène et son compagnon se disent au revoir. Une scène touchante, sans excès ni violons. Dans cette relation, les mots ne sont pas utiles. Les yeux et les silences entre chaque réponse suffisent.
    Nicolas Winding Refn conte en effet son histoire en économisant les répliques. Selon les situations, le conducteur sans nom est doté d’une sorte de mutisme, de réserve ou même d’une tendre timidité lorsque son regard croise celui de la douce Irène. Les mots ne s’échappent de ses lèvres seulement lorsque le regard ne peut exprimer ses sentiments. Les acteurs Carey Mulligan et Ryan Gosling étant divins dans l’art de véhiculer des émotions par leurs yeux, l’absence de longs dialogues se trouve finalement être un soulagement. C’est ainsi avec délice que l’on observe ces visages s’animer ou se figer face à ce que le monde a de plus beau ou de plus laid à nous offrir.
    La douceur qui émane du couple contraste avec le reste des personnages, tous faits de vices. Shannon semble superficiel, se noyant dans ses mots pour obtenir une faveur. Il est tout ce que le conducteur n’est pas : naïf, ambitieux et bavard. Il suscite cependant de l’empathie car malgré sa bêtise, ce n’est pas un personnage foncièrement mauvais. Il porte beaucoup d’affection au héros et le reste n’est que maladresses. Bernie Rose et Nino poussent l’ambition au vice, ils veulent tout, ils veulent que Los Angeles leur appartienne. Autour d’eux gravitent l’intrigante Rose et le malheureux Standard Gabriel. Ce dernier, parfaitement incarné par le multi-face Oscar Isaac, a fait des erreurs qui ne peuvent être pardonnées. Winding Refn parvient à ce que le spectateur perçoive le mari d’Irène de la même façon que le conducteur, alors même que tout porte à le faire passer pour une victime. Il n’est qu’un obstacle, qu’une malheureuse gêne nuisant au bonheur d’un couple.
    Après une première partie misant davantage sur les bienfaits de l’amour sur deux cœurs solitaires que sur l’aspect thriller du film, les choses accélèrent. La violence n’est pas cachée, n’est pas non plus surexposée. Le conducteur dévoile une nouvelle facette, mais une facette finalement pas si étonnante que ça. Dans son mutisme, il était déjà possible de cerner une sorte de force intérieure, les résidus d’une colère passée jamais totalement disparue. Pourquoi le mal ressurgi ? Il aime c’est tout. Et l’amour fait renaître en lui la haine, mais jamais sans autre but que celui de protéger ceux qui comptent pour lui.
    C’est ce qui fait que « Drive » a selon moi un beau propos. Ce n’est pas une apologie stupide de la violence, c’est simplement la démonstration de la force que chacun possède en soi lorsqu’il s’agit de protéger ce qui lui tient à cœur. La désormais culte scène de l’ascenseur pointe justement le conflit intérieur régnant dans le cœur de cet homme tiraillé par tant de sentiments contradictoires. Haine, amour, violence, désir.
    « Drive » parle d’amour, de vengeance, de famille, d’ambition, de recherche du bonheur, de business, de violence, de folie, d’abandon, de retrouvailles... « Drive » est une œuvre riche en thématiques, et jongle habilement entre chacune. L’espoir et l’horreur se succèdent jusqu’à la toute dernière minute, et à cette parfaite fin ouverte. Et lorsque les caractères roses défilent sur fond noir, je n’ai qu’une pensée : "Encore !"
    Si « Drive » avait juste un propos intéressant, il ne serait pas aujourd’hui auréolé d’une telle reconnaissance... Sauf qu’il se trouve que le film de Nicolas Winding Refn est aussi une merveille technique. Un petit bijou comme on en rencontre rarement. Une mise en scène virtuose, fluide à chaque instant, permet de glisser de scène en scène toute en douceur. Les plans sont esthétiques à souhait, avec des couleurs magnifiques et de décors saisissants de réalisme. Les tâches d’humidités et l’aspect négligé dans l’appartement d’Irène et de Standard, l’impersonnalité de l’appartement du mystérieux conducteur, la crasse dans le restaurant de l’ignoble Nino, le bazar au garage de Shannon... Chaque intérieur reflète la personnalité de l’occupant, et confère au film des tons différents et adaptés. Pour mettre en valeur ces aspects, la photographie de Newton Thomas Sigel est une merveille. Des tons tours à tour artificiels et malsains d’une nuit noire pleine de néons à L.A aux accents naturels du soleil sur une petite mare d’eau, chaque plan laisse sans voix. Et puisqu’un bon film est aussi un film avec une bonne bande-son, il faut saluer le travail de Cliff Martinez ainsi que les choix musicaux des superviseurs Brian McNelis et Eric Craig, sans qui le film ne baignerait pas dans une si belle ambiance.
    Ecrire une critique sur son film préféré n’est pas un exercice facile. En fait, ce n’est même pas une critique que j’ai écrit. Mais j’avais besoin de poser des mots à propos de ce chef d’œuvre, j’avais besoin de ça pour me rappeler constamment à quel point « Drive » est riche. Il est possible que l’envie me prenne de la réécrire entièrement dans quelques années, alors que j’aurais entre-temps saisi de nouvelles nuances à développer. La force d’un grand film, c’est que jamais on a fini d’en parler.
    mollet83
    mollet83

    5 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juin 2020
    Deux films identiques dans des époques différentes et ça marche. Un acteur sans saveur monotone du début la fin.comme tous le films quoi. Un calvaire bien trop long. J'ai réussi à aller jusqu'à son terme mais oufff heureux heureux ... Que se soit fini.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    138 abonnés 832 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 septembre 2013
    Evidemment le talent brut est là, mais il n'est que saupoudré. Probablement la faute à un film de commande et son cortège d'homo-stereotypus et de passages obligés. Disons qu'on sent Winding Refn à l'étroit pour exploiter un matériau objectivement maigrichon. Il y manque ses obsessions créatrices qui font de la trilogie Pusher ou de Vallalha Rising des oeuvres infiniment plus profondes et puissantes.

    Je crois qu'après tout, on se rappellera que c'est le film qui lui aura définitivement ouvert les portes des grands studios US, lui permettant de concilier pour la première fois succès critique et public. Pour le dire plus simplement, c'est de l'aspartame de Winding Refn qui aura silencieusement conduit son cheval de Troyes en terre hollywoodienne.... Mais chuuuuuut, ça doit rester un secret.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 février 2012
    Il ne se passe tout simplement rien dans ce film, pas de dialogues, pas d'action comme on pourrait en attendre, RIEN !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 novembre 2011
    Comment ce film peux avoir autant de succès ?
    le plus grave étant que certaines personnes ne le trouvent pas violent.
    histoire sans intérêt, violence gratuite
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 mai 2012
    Franchement nul ! Je ne comprends pas les 4 étoiles ... À part qques scènes d'actions, le film est lent et inintéressant. Passez votre chemin !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 octobre 2011
    Film complètement nul, aucune action. On s'ennuie pendant tout le film contrairement a ce que suggérait la bande annonce. L'acteur est inexpressif. Comment peut on encenser ce film?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 octobre 2011
    Long, lent, mou, décousu, ringard, démonstratif, rétrograde... Mais quelle bande de ringards que l'équipe de ce film ! Le danois Refn est plutôt fait pour être peintre, à mon avis : il nous a fait une belle série de natures mortes, en particulier l'acteur principal ! Ah, ça, c'est sûr qu'on est pas dans l'expressionnisme ! Alors quand Refn se prend pour Scorsese (Taxi Driver), ça fait mal ! Ça se veut du grand cinéma, ça se veut novateur mais c'est juste un retour de quarante ans en arrière. Des clichés, des situations qu'on a vu mille fois (la veuve avec son gamin, au secours.) Quelques scènes violentes qui sont de la poudre aux yeux pour cacher un ennui mortel. Même la BO (soi disant géniale) je la trouve abusive et énervante, et je ne parle pas de la fin... C'est juste désespérant ! Rien que le titre en fait, ça en dit long ! Il fallait le faire, appeler un film de ce genre "Drive" ! C'est un peu comme appeler un film d'action "PAN !" ou un film porno "Fuck", quelle originalité...
    virgileblacksmann
    virgileblacksmann

    21 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 octobre 2011
    Faux bon film. Pour donner de l'épaisseur à l'intrigue et aux personnages, le réal abuse d'effets esthétisants (musique, ralentis, regards appuyés). Difficile de croire au grand écart de comportements du blondinet qui tient le rôle principal: parfois doux comme un agneau, parfois violent à l'extrême, et toujours maître de lui. là, on se dit qu'on est vraiment au cinéma, c'est-à-dire que l'on n'y croit plus. Un film gonflé, quoi. Avec plein d'air dedans.
    brunetol
    brunetol

    193 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2011
    C'est bien fait, on ne s'ennuie pas, ambiance sculptée, mais finalement, pas assez de "drive" et trop d'explicite, notamment la fin, le côté mafia rebattu (en beaucoup mieux) ailleurs, et au bout du compte, quand même, tout ça est un peu con.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 mai 2012
    OMG ! C'quoi ce film ? Désolée pour ceux qui ont aimé mais aaaaaah j'ai jamais failli autant m'endormir devant un film !!! Drive !!! B.O. nulle, scénario trop trop peu développé, grooooooosses longueurs, troooooop peu d'action... J'ai l'impression d'avoir perdu mon temps ! Encore désolée pour les fans mais comme on dit "chacun ses goûts" ! Parce que là sérieusement je m'attendais à un film avec de l'action, des dialogues et une B.O. bien rock et euh... bah j'attends encore que le film commence... Bwef j'ai po aimé ^^
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 février 2012
    Je me suis rarement autant ennuyé en regardant un film à tel point que je l'ai regardé en 3 ou 4 fois tellement c'est insupportable. Le jeu d'acteur est vraiment très moyen, les scènes sans actions sont vraiment sans intérêt(en gros 90% du film), les dialogues sont affreux et insipides. Le pire ce sont les scènes gores(pourtant en tant normal j'adore ça) qui sont plus qu'inutiles presque gratuites. Pour conclure, un film lent, mou, chiant, une bande son qui pique les oreilles et une fin digne de figurer dans nanarland...
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