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    Drive
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    4,1
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    4 714 critiques spectateurs

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    Dicidente
    Dicidente

    32 abonnés 691 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 mai 2013
    Un cascadeur professionnel utilise ses talents de conducteur en travaillant pour la mafia. Mais un jour un casse va mal se passer, et il va devoir régler ses comptes. "Drive" est un film aux images soignées, avec un bon jeux d'acteur ainsi qu'une bande-son très plaisante. Mais aux dialogues archi-dépouillés, et le tout globalement ennuyant.
    maxime ...
    maxime ...

    228 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 août 2017
    Culte ! Certains films marque indéniablement leurs époques, pour moi Drive est de ceux-là. Le long métrage le plus aboutit de Nicolas Winding Refn, son prix à Cannes est loin d’être carotté pourtant les clients étaient de mises avec Pedro Almodovar, Lars Von Trier et surtout Bertrand Bonello qui sort lui aussi l'un des films majeur du cinéma français de ces toutes dernières années. Drive est d'une intensité inégalable, la scène d'intro donne le ton, la suite est de la même teneur ... Les palpitations ne m'ont plus quitté, la prodigieuse bande originale appuie sur chaque sentiment et les brouille à tel point que qu'il est difficile de dissocié quoi que se soit, on se mange tout pleine poire ! Ryan Gosling est lui aussi dans cette veine-là, perturbant de bout en bout, rarement vu prestation aussi sublime et tordu. Grand numéro de sa part, un prix d'interprétation en plus n'aurais pas été volé. Tout le casting répond présent, Ron Perlman, Albert Brooks, Bryan Cranston, Christina Hendricks, Oscar Isaac et la fantastique Carey Mulligan bien trop rare à mon gout. Une romance pour la postérité ! Cette scène dans l'ascenseur est à en tomber, contraste et paradoxe sont de sortit, grandiose. Refn sort le chef d'oeuvre, un film qui fera date à n'en pas douté !
    yohanaltec
    yohanaltec

    93 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mai 2014
    Un film haletant et superbement filmé, aux belles couleurs et à la super BO. Ryan Gosling est excellent et le climat du film met vraiment mal à l'aise. Un chef d'oeuvre.
    LeFilCine
    LeFilCine

    173 abonnés 570 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 octobre 2011
    Un film d'exception porté par deux acteurs géniaux. Ryan Gosling joue un taiseux, qui n'en dit beaucoup que par des regards et des postures, c'est très fort. Le son, la musique, la bande originale et la photographie sont exceptionelles. La mise en scène est magistrale, à la fois lente et nerveuse. Le film se décompose en deux parties où le "driver" (eh oui, il n'a pas de prénom dans le film) montre les deux côtés de sa personnalité. Presque doux et enfantin dans la première partie, sombre et violent dans la deuxième. Gosling arrive à incarner ce personnage double à merveille. Un chef d'oeuvre, qu'on n'oublie pas...
     Kurosawa
    Kurosawa

    567 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 février 2013
    Drive, polar à haute tension, à la violence extrème, est un film maîtrisé de A à Z par Nicolas Winding Refn. Le personnage de Ryan Gosling est un des plus passionants que j'ai pu voir au cinéma. Cet homme solitaire, sans nom, imprévisible, donne une force indescriptible au film. Ryan Gosling est parfait dans le rôle. L'histoire d'amour avec le personnage interprété par Carey Mulligan est forte et montrée d'une manière jamais exploitée à l'écran. Et puis, il y a cette atmosphère crépusculaire, parfois étrange, qui donne à cette oeuvre un caractère singulier. On ne sait jamais de quoi chaque scène de ce film sera faite. Le spectateur est constamment dans l'attente, la curiosité, jusqu'à apprécier chaque plan. Car, en effet, Winding Refn effectue un travail monumental sur l'image (la scène du baiser dans l'ascenceur, par exemple, est magistrale) et de ce fait, on ne peut que recevoir une grande"claque" qui nous fait dire que ce film est un authentique chef-d'oeuvre.
    Xavier D
    Xavier D

    56 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juin 2012
    film hypnotiquement bien filmé, d'une bande son qui donne envie de conduire, il n'y a rien a jeté autant par les scène calme que ceux où la violence entraîne l’excitation, car évidemment on est à ça place ( où on voudrait! ), un casting qui va faire des envieux à Hollywood et vont parler d'eux, motion spécial à Bryan Cranston et bien sûr à Ryan Golsing. oui un chef d'oeuvre et certainement MON film de la décennie
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 janvier 2012
    Style. Film "Style" d'un genre ROBOT, et très peu de Cop. Froid, comptez entre 15 et 20 s pour obtenir une réplique. Un film qui aurait du être joué par des acteurs modélisés. Le meilleur est le plus savoureux se situe avant le générique de début, soit une scène d'action poursuite. Puis un vide expressif consternant pour l'ensemble des acteurs aussi savoureux et éloquents qu'un pot de confiture vide posé sur la table. A force d'utiliser à outrance le silence du non-dit et se la jouer "Style", on en vient à se dire que les protagonistes ne sont clairement pas intelligents, qu'ils vont sciemment et délibérément se faire couper la tête. 2 neurones dans la tête du principal acteur ne suffisent pas à rendre un film intelligent, captivant ou même construit. Et si ces 2 neurones sont partagés entre plusieurs acteurs, cela fait léger. Un film amaigrissant, light, pour amateur de régime qui ne désirent pas s'encombrer à suivre un film intéressant. Même un sachet de "Slim Fast" va beaucoup plus vite sur la route des films d'action, parce qu'il y a Fast dedans. En plus, il est ennuyeux. Vite! Une zapette et un repas copieux plutôt que cette chose synthétisée et synthétique qui vous file des crampes à soupirer, l'estomac vide, la tête vide. Un genre très commercial et très creux qui je l'espère ne fera pas des petits.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 septembre 2014
    On confond souvent le souvenir du film et la vision du film. Ainsi trois jours après avoir vu le film certains ne retiendront que les scènes d'actions, le physique de play-boy de Ryan Gosling, son sourire enjôleur et ses yeux bleus comme la mer au Cap d'Agde en oubliant qu'ils se sont emmerdés comme des rats morts en regardant ce film poussif, interminable et qui n'a rien à nous dire sinon sa vacuité. Franchement les filles, ça vous dirait un mec aussi taciturne ? Une nuit je ne dis pas, mais pour la vie, quelle horreur !
    Arnaud D
    Arnaud D

    42 abonnés 765 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 octobre 2011
    un film tout aussi sombre et bizzare que les precedent film du realisateur , par contre niveau dialogue y en a pas beaucoups , et quesque l'on s'ennui ferme durant tout le film et ces les meurtre aussi sanglant soit'il qui viendront nous maintenir eveiller .
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 février 2012
    J'ai ADORE . . . . . la musique !

    Je ne perdrai pas plus de temps à critiquer ce film car j'en ai assez perdu à le regarder . . . .
    Zbrah
    Zbrah

    40 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 décembre 2014
    « Drive » ce n’est pas qu’un film. C’est LE film. Celui qui m’a donné envie de creuser mon intérêt pour le cinéma au-delà du simple divertissement. Celui qui m’a donné ma première grosse claque en salle. Celui dont le moindre extrait me donne envie de le visionner encore une fois entièrement et immédiatement. Celui que je n’oublierai jamais.
    « Drive » est pour moi l’un des meilleurs films de tous les temps, ou du moins celui qui me touche le plus. Il compile en un peu moins de deux heures tout un tas de thématiques essentielles à ma définition du septième art, sans jamais pour autant les aborder avec tous les clichés déjà servis.
    Il suffit de regarder l’atypique introduction. Les plus longues lignes de dialogues du protagoniste principal sont récitées dès les premières secondes. S’en suit une scène de braquage vue de l’extérieur, rythmée par un match de baseball local. Une tension folle pour un moment pourtant pas si mouvementé que ça. Avec en prime un dénouement malin où le conducteur révèle toute son intelligence et son savoir-faire. Simple, diaboliquement efficace, une entrée en matière à l’image du film qui va suivre !
    Le héros de cette histoire n’a aucun nom, aucun passé. Ses contrats nocturnes, jamais le spectateur ne saura comment il les trouve, ni comment le jeune homme s’est retrouvé embarqué dans la double vie qui représente son quotidien. Arrivé d’on ne sait où, il a trouvé un emploi chez le mécano Shannon sans rechigner sur le misérable salaire qui lui était offert. Les indices sont faibles ! Le mystère fait partie de la définition même du conducteur. C’est cet aspect qui lui donne tant de charme et tant de froideur en même temps. Ce protagoniste avec qui l’on passe une heure quarante, on ne le connait pas en profondeur. Nicolas Winding Refn ne donne finalement jamais au spectateur toutes les clés pour comprendre l’homme. À nous de le percevoir selon notre convenance personnelle.
    La coquille entourant le cœur du froid conducteur se brise au contact d’Irène. Elle qui a un sourire capable de faire fondre le cœur de n’importe quel homme cache aussi au fond d’elle ses blessures. Un mari absent payant pour ses crimes en prison, un enfant à charge, un emploi pénible et rémunérant peu ; la jeune femme dispose de points communs avec le conducteur, c’est certain. Sauf que ses failles à elle sont plus visibles. Elle semble plus vulnérable, tout en ayant une rage de vivre et d’aimer à nouveau sans se faire trahir.
    La rencontre de deux êtres brisés, ayant tous les deux des blessures à cicatriser est un moment de joie. Irène et le conducteur s’apportent mutuellement le soutient qu’il leur manquait. Le passage où ils font leur première virée en voiture dans une zone désertée et étonnamment verte de Los Angeles est un délice, probablement l’une des plus belles scènes de cinéma que j’ai vues. Un morceau intitulé "A real hero" l’accompagne. Le conducteur est en effet le héros manquant à la petite famille, la solidité et la force qui lui manquait. Une impression confirmée par un joli plan du protagoniste principal portant le petit Benicio dans ses bras, comme un père avec son fils, son blouson couvrant l’enfant. Au terme de cette scène enchanteresse, Irène et son compagnon se disent au revoir. Une scène touchante, sans excès ni violons. Dans cette relation, les mots ne sont pas utiles. Les yeux et les silences entre chaque réponse suffisent.
    Nicolas Winding Refn conte en effet son histoire en économisant les répliques. Selon les situations, le conducteur sans nom est doté d’une sorte de mutisme, de réserve ou même d’une tendre timidité lorsque son regard croise celui de la douce Irène. Les mots ne s’échappent de ses lèvres seulement lorsque le regard ne peut exprimer ses sentiments. Les acteurs Carey Mulligan et Ryan Gosling étant divins dans l’art de véhiculer des émotions par leurs yeux, l’absence de longs dialogues se trouve finalement être un soulagement. C’est ainsi avec délice que l’on observe ces visages s’animer ou se figer face à ce que le monde a de plus beau ou de plus laid à nous offrir.
    La douceur qui émane du couple contraste avec le reste des personnages, tous faits de vices. Shannon semble superficiel, se noyant dans ses mots pour obtenir une faveur. Il est tout ce que le conducteur n’est pas : naïf, ambitieux et bavard. Il suscite cependant de l’empathie car malgré sa bêtise, ce n’est pas un personnage foncièrement mauvais. Il porte beaucoup d’affection au héros et le reste n’est que maladresses. Bernie Rose et Nino poussent l’ambition au vice, ils veulent tout, ils veulent que Los Angeles leur appartienne. Autour d’eux gravitent l’intrigante Rose et le malheureux Standard Gabriel. Ce dernier, parfaitement incarné par le multi-face Oscar Isaac, a fait des erreurs qui ne peuvent être pardonnées. Winding Refn parvient à ce que le spectateur perçoive le mari d’Irène de la même façon que le conducteur, alors même que tout porte à le faire passer pour une victime. Il n’est qu’un obstacle, qu’une malheureuse gêne nuisant au bonheur d’un couple.
    Après une première partie misant davantage sur les bienfaits de l’amour sur deux cœurs solitaires que sur l’aspect thriller du film, les choses accélèrent. La violence n’est pas cachée, n’est pas non plus surexposée. Le conducteur dévoile une nouvelle facette, mais une facette finalement pas si étonnante que ça. Dans son mutisme, il était déjà possible de cerner une sorte de force intérieure, les résidus d’une colère passée jamais totalement disparue. Pourquoi le mal ressurgi ? Il aime c’est tout. Et l’amour fait renaître en lui la haine, mais jamais sans autre but que celui de protéger ceux qui comptent pour lui.
    C’est ce qui fait que « Drive » a selon moi un beau propos. Ce n’est pas une apologie stupide de la violence, c’est simplement la démonstration de la force que chacun possède en soi lorsqu’il s’agit de protéger ce qui lui tient à cœur. La désormais culte scène de l’ascenseur pointe justement le conflit intérieur régnant dans le cœur de cet homme tiraillé par tant de sentiments contradictoires. Haine, amour, violence, désir.
    « Drive » parle d’amour, de vengeance, de famille, d’ambition, de recherche du bonheur, de business, de violence, de folie, d’abandon, de retrouvailles... « Drive » est une œuvre riche en thématiques, et jongle habilement entre chacune. L’espoir et l’horreur se succèdent jusqu’à la toute dernière minute, et à cette parfaite fin ouverte. Et lorsque les caractères roses défilent sur fond noir, je n’ai qu’une pensée : "Encore !"
    Si « Drive » avait juste un propos intéressant, il ne serait pas aujourd’hui auréolé d’une telle reconnaissance... Sauf qu’il se trouve que le film de Nicolas Winding Refn est aussi une merveille technique. Un petit bijou comme on en rencontre rarement. Une mise en scène virtuose, fluide à chaque instant, permet de glisser de scène en scène toute en douceur. Les plans sont esthétiques à souhait, avec des couleurs magnifiques et de décors saisissants de réalisme. Les tâches d’humidités et l’aspect négligé dans l’appartement d’Irène et de Standard, l’impersonnalité de l’appartement du mystérieux conducteur, la crasse dans le restaurant de l’ignoble Nino, le bazar au garage de Shannon... Chaque intérieur reflète la personnalité de l’occupant, et confère au film des tons différents et adaptés. Pour mettre en valeur ces aspects, la photographie de Newton Thomas Sigel est une merveille. Des tons tours à tour artificiels et malsains d’une nuit noire pleine de néons à L.A aux accents naturels du soleil sur une petite mare d’eau, chaque plan laisse sans voix. Et puisqu’un bon film est aussi un film avec une bonne bande-son, il faut saluer le travail de Cliff Martinez ainsi que les choix musicaux des superviseurs Brian McNelis et Eric Craig, sans qui le film ne baignerait pas dans une si belle ambiance.
    Ecrire une critique sur son film préféré n’est pas un exercice facile. En fait, ce n’est même pas une critique que j’ai écrit. Mais j’avais besoin de poser des mots à propos de ce chef d’œuvre, j’avais besoin de ça pour me rappeler constamment à quel point « Drive » est riche. Il est possible que l’envie me prenne de la réécrire entièrement dans quelques années, alors que j’aurais entre-temps saisi de nouvelles nuances à développer. La force d’un grand film, c’est que jamais on a fini d’en parler.
    letheat S.
    letheat S.

    1 abonné 37 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 mai 2014
    Encore un film ou je ne comprends pas la note .... c'est long,chiant à avoir envie d'aller aux toilettes pour avoir l'impression d'avoir fait quelques choses d'utile, le scénario soporifique archi vue et revue j'ai l'impression que le scénariste et les d'acteurs été fait sous lexomyle .....sans intérêt la bande son est pas mal c'est tout ce que j'ai a dire de bien sur ce film....

    Ah si !!Je ne comprends toujours pas les notes de plus de 2 étoiles sur ce film.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    130 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 septembre 2013
    Evidemment le talent brut est là, mais il n'est que saupoudré. Probablement la faute à un film de commande et son cortège d'homo-stereotypus et de passages obligés. Disons qu'on sent Winding Refn à l'étroit pour exploiter un matériau objectivement maigrichon. Il y manque ses obsessions créatrices qui font de la trilogie Pusher ou de Vallalha Rising des oeuvres infiniment plus profondes et puissantes.

    Je crois qu'après tout, on se rappellera que c'est le film qui lui aura définitivement ouvert les portes des grands studios US, lui permettant de concilier pour la première fois succès critique et public. Pour le dire plus simplement, c'est de l'aspartame de Winding Refn qui aura silencieusement conduit son cheval de Troyes en terre hollywoodienne.... Mais chuuuuuut, ça doit rester un secret.
    Serval
    Serval

    7 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2012
    Bande son qui déchire, mise en scène impeccable. Ron Perlman, Ryan Gosling & co jouent très bien. Rien à dire !
    mollet83
    mollet83

    4 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juin 2020
    Deux films identiques dans des époques différentes et ça marche. Un acteur sans saveur monotone du début la fin.comme tous le films quoi. Un calvaire bien trop long. J'ai réussi à aller jusqu'à son terme mais oufff heureux heureux ... Que se soit fini.
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