Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) un road-movie silencieux (...) Et c'est du cinéma - du cinéma chimiquement pur, pourrait-on dire (...) film radical, fier et droit, où le seul effet spécial est le simple geste de regarder, d'écouter et de filmer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Alonso est l'un des rares jeunes cinéastes d'aujourd'hui à croire en le cinéma. Et comme tout grand cinéaste religieux, son obsession consiste à filmer l'absence de la présence (...) et la présence de l'absence.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Isabelle Regnier
Il ne s'agit pas de placer ce film sur le même plan que le chef-d'oeuvre d'Antonioni, mais plutôt de relever l'ambition qui anime son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par La rédaction
Dans son style aride et mutique (...), le jeune cinéaste réitère le tour de force de faire tenir la tension de son film avec presque rien, utilisant les vides et les silences pour y glisser des résonances métaphysiques pleines d`angoisse et de ravissement.
Première
par Alex Masson
(...) un peu de chaleur (...) procurée à des personnages limités à de simples fonctions (...) aurait été bienvenue pour qu'on ne se sente pas rejetés à l'extérieur d'un film d'une absolue beauté plastique, certes, mais tellement froide.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Aller tout au bout. De l'argentine. Du continent. Du cinéma. Le film - un visage et des paysages- tient du suicide commercial. [le héros] laisse cependant à sa soeur un souvenir.(...) La fille le gardera ,sans doute, en mémoire. Nous aussi, qui sait...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dvdrama
par Eric Vernay
Pas de dialogues, pas d'acteurs professionnels, peu de scénario : avec Liverpool, Lisandro Alonso ne s'est pas départi de la radicalité formelle qui a fait son succès critique.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
Positif
par Eric Derobert
Si l'on conçoit bien le concept d'un film basé sur la lenteur et la fascination qu'elle devrait finir par provoquer, les personnages restent, eux aussi, des concepts qui ne sont nourris ni par le scénario, ni par la lumière, ni par les cadrages.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Les Inrockuptibles
(...) un road-movie silencieux (...) Et c'est du cinéma - du cinéma chimiquement pur, pourrait-on dire (...) film radical, fier et droit, où le seul effet spécial est le simple geste de regarder, d'écouter et de filmer.
Cahiers du Cinéma
Alonso est l'un des rares jeunes cinéastes d'aujourd'hui à croire en le cinéma. Et comme tout grand cinéaste religieux, son obsession consiste à filmer l'absence de la présence (...) et la présence de l'absence.
Le Monde
Il ne s'agit pas de placer ce film sur le même plan que le chef-d'oeuvre d'Antonioni, mais plutôt de relever l'ambition qui anime son auteur.
TéléCinéObs
Dans son style aride et mutique (...), le jeune cinéaste réitère le tour de force de faire tenir la tension de son film avec presque rien, utilisant les vides et les silences pour y glisser des résonances métaphysiques pleines d`angoisse et de ravissement.
Première
(...) un peu de chaleur (...) procurée à des personnages limités à de simples fonctions (...) aurait été bienvenue pour qu'on ne se sente pas rejetés à l'extérieur d'un film d'une absolue beauté plastique, certes, mais tellement froide.
Télérama
Aller tout au bout. De l'argentine. Du continent. Du cinéma. Le film - un visage et des paysages- tient du suicide commercial. [le héros] laisse cependant à sa soeur un souvenir.(...) La fille le gardera ,sans doute, en mémoire. Nous aussi, qui sait...
Dvdrama
Pas de dialogues, pas d'acteurs professionnels, peu de scénario : avec Liverpool, Lisandro Alonso ne s'est pas départi de la radicalité formelle qui a fait son succès critique.
Positif
Si l'on conçoit bien le concept d'un film basé sur la lenteur et la fascination qu'elle devrait finir par provoquer, les personnages restent, eux aussi, des concepts qui ne sont nourris ni par le scénario, ni par la lumière, ni par les cadrages.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio CinéLive.