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Un visiteur
0,5
Publiée le 9 août 2009
NUL A CHIER ! Un des films les plus mauvais que j'ai jamais vu, meme si les photos et l'histoires donnent une un bonne image (il faut jamais se fier aux apparences!)Pas besoin de réecrire les autres critiques : Un film constitué de scenes sans dialogues et qui ne servent strictement à rien. Trop déçu
Le climat oppressant du film ne lâche pas le spectateur pendant 90 minutes. Où comment la violence quotidienne peut annihiler toute conscience chez des personnages sans espoir. On peut un faire un parallèle avec le cinéma d'Haneke de ce point de vue, cette lente montée de l'inéluctable jusqu'à un pic de violence quasi anodine pour les personnages. Les plans sont longs, très bien filmés et soulignent d'autant plus le cauchemar latent dont chacun est en proie. Un cauchemar sourd qui nous prend aux tripes.
Exercice : Brodez un film dont l'histoire est : "2 illegaux mexicains aux USA vont tuer une femme chez elle." Vous avez le droit de faire 5mn de demarrage avec 2 types qui marchent au loin vers la camera sans parler puis encore 5 mn sur des types en train de bosser, et d'autres plans inutiles etc... Vous aurez gagner 50 mn de timing. Apres vous pourrez faire 10 mn de fumette de crack a la pipette (l'accessoiriste ne peut fournir de materiel cretible de junkies, il s'excuse.) Attention, l'accessoiriste n'a aussi que 2 cartouches a blanc pour tout le film ! Conseil : Lors des projections public, n'attendez pas la fin, FUYEZ avant de vous faire lyncher par les spectateurs.
Je deconseil fortement ce film, la seul chose qui restera en memoire, c'est l'image horrible de la fin, les 2 etoiles sont merite, car l'ambiance est la, ainsi qu'une athmosphere bien rechercher par le realisateur, mais moi qui voulais passer un bon moment.. c'est rate!!! un peu de pub en passant pour "the reader" / "gran torino" / "la secretaire" et "les mesrines"...;)
Un film pénible. Pas par ce qu'il raconte, mais par sa volonté de faire "à la manière de". On sent la volonté d'un jeune cinéaste d'être sélectionné dans les grands festivals où il a découvert les films de Reygadas et Haneke. Derrière des allures de film rock'n roll, un film hyper formaté, qui applique laborieusement des recettes utilisées ailleurs, en plus brillant.
Dès le premier plan, le réalisateur nous plonge dans l'ambiance qui sera celle de tout le film à l'exception d'un court prurit de sexe triste et de violence gratuite vers la fin. Plan fixe sur un canal aux parois bétonnées, bruits de circulation en fond sonore, du fond de l'image deux personnages avancent vers nous. Il leur faudra quelques minutes pour arriver, sans rien dire. On s'ennuie déjà. Ce n'est que le début.
Visages inexpressifs, jeu d'acteur inexpressif, situations banales, vides, personnages survolés comme de loin, aussi vides que le reste. Partout l'ennui qui déforme le temps. Pour ne rien arranger, le réalisateur s'amuse à des jeux de caméra esthétisants, mais sans plus de signification que le reste du film. Presque kitsch par instants.
Au bout du compte, le générique (fond rouge, fond blanc, musique répétitive, textes qui défilent) apporte une oasis de fraîcheur et de nouveauté. Enfin, il se passe quelque chose ! Dommage d'avoir attendu 1h30 pour nous montrer ce court métrage minimaliste. Ha non, vous croyez qu'il ne l'a pas fait exprès ? :o\
Attention, quelques précautions sont à prendre avant d’aller voir ce film ! Premièrement, assurez-vous d’être majeur car certaines scènes peuvent choquer, deuxièmement, assurez-vous d’être muni d’une boite de Guronsan ou d’avoir ingéré suffisamment de café car Los Bastardos, bien qu’il ne dure qu’une heure trente, paraît en faire le double ! Drame mexicain sur les travailleurs clandestins, la première chose qui frappe ici, c’est qu’il ne se passe rien, le ton est donné d’entrée de jeu avec un début en plan fixe et silencieux d’une durée interminable. En réalité, c’est le film en lui même qui paraît interminable, ponctué de plans fixes silencieux ou avec dialogues, c’est après une heure d’attente que les choses bougent et vire au cauchemar. Amat Escalante est LE Michael Haneke à la sauce Mexicaine. Un film contemplatif (ou soporifique pour certain) où même la fin du film nous surprend. Une montée en puissance efficace certes, mais dénué d’intérêt !
Voilà une bien belle daube! Les acteurs sont vraiments loin d'être bons, l'abondance de plans fixes et la longueur des scenes exhaspérantes, le côté gore écoeurant...Voilà tous les ingrédients qui, ajoutés les uns aux autres, font au final de ce film un beau navet qui fait office de tâche au milieu des belles surprises cinématographiques de ce début d'année: "Slumdog Millionnaire", "Frozen River", "Il Divo", "Une fiancée pas comme les autres"... Quoiqu'il en soit il y a vraiment un monde entre un chef d'oeuvre comme "La Zona" et un navet comme celui là qui est dépourvu de tout intérêt. Alors oui, le cinéma mexicain est bel et bien divisé. Pui lorsque l'on voit que ce film a été présenté à Cannes il y a de quoi s'inquiéter..Bref, à éviter à tout prix!
Que dire de ce film sinon que ce n’est certainement pas le film de l’année. Mais il nous tient en haleine une partie du temps quand même. Dommage que le relation avec la prisonnière tourne de cette façon. La relation mère fils est d’une vérité! Le film aurait pu durer un peu plus car dans le cas présent, la fin est (cela devient une habitude au cinéma) trop ouverte!
Un putain coup de poing dans la tronche qui vous remue votre petit cul doré bien au chaud dans le fauteuil... Ben ouais, si vous voulez savoir à quoi ressemble (et pourquoi pas un jour à Marseille ou ailleurs en France?...) "poubelle la vie" à l'ombre des "sombres héros" Mexicains plutôt que "Plus belle la vie" dans l'écran cathodique... Alors, à bon entendeur salut!
Il est clair que l'on se souvient longtemps de ce film. Rarementune oeuvre aura plongé le spectateur dans un tel maelstrom de violence sourde et psychologique. Au dela du postulat de départ c'est une critique de la véritable réalité du monde actuel et de la société qui le gére. Au fond , que nous montre ce film a part une vision réaliste de la cellule familiale qui explose , de la condition humaine qui pousse les étres humains à accomplir des actes de violence pour survivre ? En s'arrétant à l'affiche , on se met à l'abri de ce véritable pamphlet contre le pillage organisé par les médias pour les jt , qui met en avant le voyeurisme en oubliant de voir que ces hommes qui se prostituent presque pour obtenir un travail , que cette femme qui n'existe plus que par la violence que l'on manifeste à son égard , y compris son fils ,toute cette détresse humaine existe vraiment , c'est cela le constat terrible que ce film salvateur dresse içi avec une pertinence rare. Un uppercut qui va hélas passez inaperçu .