Mon compte
    Bye Bye Blondie
    Note moyenne
    2,3
    494 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Bye Bye Blondie ?

    73 critiques spectateurs

    5
    5 critiques
    4
    10 critiques
    3
    14 critiques
    2
    18 critiques
    1
    18 critiques
    0
    8 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 novembre 2012
    beau film, belle histoire, actrices (et acteurs) remarquables.
    je suis un peu consternée par la méchanceté de certains commentaires!...
    je le recommande.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 octobre 2012
    Honte. Le film qui fout la honte. Racheter (pas cher) des vioques actrices, avec des joues qui pendent jusqu'au menton. Des seins qui tombent jusqu'au nombril. Leur faire pousser des cris de sixteen pour tenter de de les rafraîchir. Rien que leur visage est déjà une invitation à trouver dare dare la sortie. Vampire?! Vous avez dit vampires ? LE film qui met franchement mal à l'aise. On n'y croit pas un seul instant. Cela sent à plein nez le WE barbecue à la campagne pour sale poufiasses désoeuvrées. Au final : gênant. Vraiment. Aucun lifting n'arrive à racheter leur look d'octogénaire. Une grosse envie de dire : VITE!!! Jeanne Calmant qui tourne avec des pellicules (dans les cheveux). J'y croyais pas, mais BEURK..........Même Charles Vanel, à poil & en string, serait un moment hyper sexy, hyper talentueux à côté de ces mijorées qui se la joue. Depuis un certain temps d'ailleurs. Inutile de jouer les surpris. On avait senti le vent venir. C'est confirmé. Au placard !!!!!! On n'en veux plus. Il y a plein de Sophie Marceau fraîches à Rungis. Le réalisateur ferait bien de se lever un peu plus tôt pour nous trouver de la morue plus fraîche. Très ennuyeux, en plus.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 octobre 2012
    À force de caricatures et d'outrance, on se demande si, finalement, certains films ne sont tout simplement pas de purs fruits réactionnaires.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 octobre 2012
    un film qui ne ma pas plus du tout,mais emmanuelle beart et beatrice dalle sont assez bonne dans leur roles,un peu trop de scene de lesbienne de mauvais gout quand meme qui je pense gache un peu le film, mais le scenario est pas mal au final.
    jd78
    jd78

    7 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 octobre 2012
    Un peu plus de dix ans après « Baise-moi », Virginie Despentes revient avec un nouveau film adapté d’un ses livres : « Bye Bye Blondie », une love story saphique un peu punk et bien moins sulfureuse et trash que ce à quoi on pouvait s’attendre.

    Le pitch ? Dans les années 80, Gloria, punkette incomprise par ses parents, fait la rencontre de Frances, jeune bourgeoise rebelle, dans un hôpital psychiatrique. Les deux adolescentes tombent amoureuses, vivent leur amour comme elles l’entendent le temps de leur séjour, avant que la vie ne se charge de les séparer. Vingt ans plus tard, Frances, devenue animatrice de télé célèbre, revient chercher Gloria, qui a suivi un tout autre chemin. Une romance hétérosexuelle dans le roman éponyme (Frances s’appelait Éric), que Despentes, lesbienne depuis ses 35 ans, a transposé en une histoire d’amour entre deux femmes après que Béatrice Dalle, qui interprète Gloria, lui en a soumit l’idée.

    Mais, chose rare et à saluer, l’orientation sexuelle des deux héroïnes n’est pas ici centrale dans l’intrigue, puisque c’est avant tout une histoire d’amour tout court que Virginie Despentes raconte. Construit sur une série de flashbacks censés nous faire comprendre comment le passé et le présent s’imbriquent dans leur histoire, le film débute par les retrouvailles entre ces deux femmes que désormais tout oppose. Et Despentes ne nous épargne aucun cliché. Gloria, devenue rmiste, balance par la fenêtre tout un tas d’affaires après avoir quitté son mec, et rejoint un squat où ses amis regardent et commentent l’émission de télé littéraire de Frances Muir, la nouvelle star du PAF. Elle est donc forcément trop « belle » et « intelligente ». Pas au goût de Gloria qui prend plaisir à la dénigrer, et là, comme par enchantement, la star de la télé apparaît en vrai devant elle et ses amis. Eh oui, de passage à Nancy, elle a décidé de faire un coucou à son ancien amour SDF qu’elle n’a pas vu depuis des années, pour lui proposer de venir en vacances quinze jours avec elle tous frais payés. Imaginez la surprise des potes de Gloria…

    Ça commence donc très mal avec une réalisation digne d’un téléfilm pour France 3. Ce qui est gênant également, c’est que Béatrice Dalle et Emmanuelle Béart ont bien du mal à nous faire croire à leur passion et leur amour inconditionnel. Heureusement, ce n’est pas le cas des deux actrices qui les incarnent adolescentes : la chanteuse Soko interprète avec beaucoup de justesse la jeune Gloria, écorché vive et habitée par cet esprit punk qui fait défaut à la partie années 2000. Clara Ponsot, vue récemment en Lolita dans « les Infidèles », est également impeccable dans le rôle de Frances adolescente, une petite butch grande gueule, tiraillée entre son milieu bourgeois et le chemin qu’il lui impose, et sa fascination pour le côté libre et punk de son amante. À travers la plupart des flashbacks, ces deux là expriment beaucoup mieux la passion entre leurs personnages que leurs aînées, et cet esprit de révolte que le film revendique.
    photo de Clara Ponsot et Soko s'embrassant

    En ce qui concerne les scènes contemporaines, le choc des cultures attendu entre Gloria, la marginale avinée et le microcosme médiatico-littéraire parisien, qui rappelle l’histoire personnelle de Despentes, est aussi assez décevant. On sourit parfois quand elle se frite avec le mari de Frances (Pascal Greggory) avec qui elle doit cohabiter (à l’étage du dessus), écrivain gay en panne d’inspiration qu’elle a épousé tant pour les convenances pour que donner un coup de pouce à sa carrière. Mais, c’est encore une fois souvent le côté cliché qui ressort de la plupart des scènes : l’animatrice a forcément un chauffeur qui conduit une jaguar, le monde des médias dans lequel elle évolue est forcément un « univers impitoyable » où l’hypocrisie règne, etc. Et quand Frances laisse enfin Gloria l’accompagner dans une soirée mondaine, cette marginale ne peut bien sûr pas s’empêcher de faire un scandale – sorti de nulle part mais qu’il fallait bien qu’elle fasse pour souligner cette opposition entre deux univers que tout oppose.
    Patricemarie
    Patricemarie

    43 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2012
    Je m'attendais à pire. Finalement le film est regardable, pas trop de scènes lesbiennes, une vraie histoire à flash back vers les années 80.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 octobre 2012
    Bizarrement, le livre était pas mauvais. De loin le meilleur truc que la Despentes ait pondu jusqu'à aujourd'hui. Dommage que ce roman moyen soit transformé en petit film de propagande homosexuelle... Pour une fois qu'elle écrit quelque chose de passable, il fallait qu'elle rajoute une bonne grosse dose de fausse subversion (lesbiennes + musique punk + string apparent dès les premières minutes + attaques "subtiles" contre les chrétiens). Les punks dans ce film sont des buveurs de bière RMIstes qui se réjouissent de pouvoir dire sur facebook qu'ils connaissent l'amie d'une célébrité... Même chose pour le duo de personnages Dalle/Béart, leurs actes subversifs se résument à stationner sur un emplacement interdit et ne pas boucler la ceinture de sécurité dans la voiture... Difficile de croire après ça que Despentes, ou qui que ce soit sur le tournage, ait eu un lien avec la scène punk. Il ne suffit pas de montrer un disque de Black Flag et un tag "No Future"... Je ne parlerais même pas de la scène ridicule de l'affrontement skinheads/punks, ou les deux clans sont des caricatures à vomir. Si seulement Despentes avait lu l'excellente autobiographie de John Lydon, elle aurait peut-être évité de mettre ce genre de faux punks dans son film... Evidemment, chaque membre de ces clans se balade avec une arme, du genre batte de baseball ou nunchakus... Quant aux actrices : Béatrice Dalle est une caricature d'elle-même, Emmanuelle Béart n'est pas à sa place et ça se voit, comme les désastres de la chirurgie sur son visage... Ne parlons même pas du rôle du mari de Béatrice Dalle, qui incarne avec lourdeur le méchant hétérosexuel coincé bourgeois qui étouffe sa femme, ou des flics... Même Lydia Lunch est ridicule... Il n'y a que la jeune "Soko", lorsqu'elle ne hurle pas (ce qui est rare), qui réussit parfois à nous faire oublier qu'on regarde un navet, même si elle ne parvient pas toujours à nous faire oublier les dialogues pathétiques, ainsi que les scènes mal écrites et mal jouées... Le résultat ? Un film faux, raté, avec des actrices pas convaincues et encore moins convaincantes, le tout ne fait que confirmer ce qu'on savait déjà : Le nom de Virginie Despentes sera rapidement oublié dans le domaine littéraire, et ce sera plus rapide encore dans le monde du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 octobre 2012
    Regardable seulement la réalisatrice est resté bloqué dans les années 80. Ce film qui aurait pu choquer à l'époque nous fait aujourd'hui sourire. Les personnages joués par Emmanuelle Beart et Pascal Grégory sont tellement caricaturaux qu'ils en deviennent crédibles, c'est sans doute ça que les journalistes ont sanctionné. Sinon les jeunes actrices s'en sortent assez bien.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 octobre 2012
    Après une longue (peut être pas assez) absence de Virginie despente au cinéma celle-ci revient accompagné d’anciennes icônes Françaises, a savoir Beatrice Dalle et Emmanuelle Beart. Même si les années ont passé, l’envie de les voir dans un bon film est toujours présente . Peut être que ce sera le cas ici? Une histoire qui pourrait être alléchante voir sulfureuse sur la papier,( l’histoire amoureuse passionnel entre 2 filles issu de milieu différent mais uni par la même passion du Punk et la même rébellion contre la société)va se révéler pourtant plate et sans consistance. En fait, l’histoire va se dérouler entre le temps présent (Dalle étant resté avec la même vison de la vie qu’a ces 15ans ,et Beart issu a la base d’une bonne famille ayant tiré un trait sur son passé de pseudo rebelle)et les flash-back de leur fin d’adolescence. Pour cela 2 actrice vont interpréter (de manière assez juste) les jeunes années de nos icônes . Pourtant, en ce qui concerne ce coté de l’histoire, nous auront droit a une vision des années punk plutôt sommaire et loin d’être fouillé. Avec malheureusement des scènes proche de la caricature voir du ridicule. Je pense particulièrement a la scène « d’affrontement » entre le groupe de punk composé principalement de jeunes filles et des skin composé lui, d’hommes armés de bat de baseball. On assiste alors a des jeunes filles mettant la misère a leurs adversaires de manière évidemment grotesque. Mais bon mis a part cette scène dont on aurait pu se passer, le reste est acceptable et la passion entre les 2 protagonistes passe plutôt bien sans tomber dans un coté voyeuriste. Le plus gros ratage du film reste l’interprétation sans saveur de leur aînées. Évidement les scènes tant attendu d’amour entre Dalle et Beart déçoivent. Comment cela pourrait il être autrement? Les actrices ont l’air d’être dégoûté a l’idée de se prendre dans les bras ; elles ont l’air d’etre a 10km l’une de l’autre, et évidemment aucune scène de nu….alors dans ces condition comment croire ne serait ce qu’une seconde a leur amour? Meme les dialogues ne reflètent pas leur supposée relation. Quand a la profondeur psychologique des personnages? Et bien ce n’est pas vraiment mieux; Beart est une femme a la vie professionnel réussit mais a la vie personnel raté (mariage d’apparence avec un homosexuel , lui très bien interprété d’ailleurs, seul point positif du film) Bon d’accord, pour beart on s’en sort a peu pres mais pour Dalle, elle est une femme ado supposé artiste qui passe tout le film a tapé sur des plaques de metal pour réaliser….une sorte de tente. Oui faut le voir pour comprendre mais croyez moi, en tant qu’artiste on a déjà fait mieux et surtout plus credible. En fait on pourrait dire que Beatrice nous fait du dalle sans saveur et surtout pire que tout, sans envie. Alors que tirer du film finalement? Et bien pas grand-chose, une histoire pas très bien construite, un marie homo bien joué drôle voir attachant, une dalle qui s’emmerde et le montre, une Emmanuelle Beart qui assure son cachet en sur-jouant et c’est a peu pres tout.
    eldarkstone
    eldarkstone

    229 abonnés 2 094 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 septembre 2012
    Ce film aurait pût être vraiment bien, tant par son histoire touchante et humaine, que par ses personnages, malheureusement, bien que pas mal, il est surtout plombé par un jeu d'acteur général très mauvais, surjoué, donnant un faux air, qui au final ne nous fait pas vraiment ressentir comme il l'aurai fallut ...
    Arlette et les mécanos
    Arlette et les mécanos

    72 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 septembre 2012
    Quand je pense à celles qui tentent désespérément de se faire éditer sans jamais y parvenir et "certaines" dont les romans sont non seulement " acceptés" par les maisons d'édition mais portés à l'écran et de surcroît réalisés par ces pseudo écrivains,,il y a de quoi se tirer les cheveux. Virginie Despente n'a selon moi pas plus de talent d'auteur que de réalisateur. C'est de la provoc à 2 thunes, du mauvais trash et surtout tellement " Has been', expression galvaudée mais qui reflète bien le discours social bourré de poncifs auquel s'attache encore Despente aujourd'hui., L'image, la lumière tout est laid sans parler de la mise en scène digne d'un élève de première année d'une école de cinéma. Bref un puissant navet. On ressort de là, excédé. Et dire que le cinéma est appelé aussi 7e Art ....
    DarioFulci
    DarioFulci

    107 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 août 2012
    Les retrouvailles de deux punkettes, vingt ans après la fin d'une relation incandescente. Que sont leurs idéaux devenus ? L'une s'est embourgeoisée, l'autre mène une vie de bohème. Cliché ? oui, mais le postulat et tout ce qui va avec respire une évidente sincérité. La partie la plus réussie est certainement celle des flash-backs de l'adolescence. Les adultes sont plus enfermés dans les conventions et les stéréotypes. Du côté des actrices, ça cabotine sévère. On se demande d'ailleurs pourquoi le film paraît si amateur, peu rigoureux, presque en dilettante. Un état d'esprit qui correspond tout simplement à l'histoire racontée.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 avril 2012
    Pour résumer : un type s'est levé en pleine séance, en grognant, à fait un bras d'honneur bien violent face à l'écran puis s'est enfui (parce que c'est bien le terme qu'il faut employer). Respect. Je voulais faire pareillement...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 avril 2012
    A éviter si possible, à moins d'être fans de l'univers Punk et encore ! Béatrice Dalle et Emmanuelle Béart en lesbienne, ça interpelle, mais le résultat est décevant au possible. Béart défigurée par sa chirurgie esthétique ratée de la bouche ne fait pas Punk pour un sou, ce style ne lui va pas du tout : vulgarité, provocation... Le film est violent pour les oreilles, comme une craie qui grince sur un tableau pdt 1h40. Ca hurle, ça crie, c'est moche ! Un flop total...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 avril 2012
    Bon. Relire Despentes est une meilleure idée. MAIS. Pendant que les critiques se pavanent devant les fesses de Ledoyen, la plastique de Kruger, la pâleur de Seydoux et la fadeur de ces trois actrices l'oréal, le talent réel est ailleurs et se constate dans le film de Despentes. Béart est unique, Dalle aussi. Elles ne sont pas toujours très à l'aise, je trouve, mais on s'en moque un peu. Ce qu'on aime, c'est voir des actrices. POINT. Si pendant deux ou trois secondes, un mot, une réplique, sonnent faux, on se concentre sur la prochaine. On ne peut pas accuser ce film d'avoir essayé et plutôt réussi quelques aspects. Filmer la Lorraine, l'homosexualité comme une chose naturelle dans ce monde qui part dans le surnaturel. Les actrices jeunes, en particulier Soko, est magistrale. Le film lui doit beaucoup. Avant que Béart arrête le septième art, que Dalle se fasse la malle, courez au cinéma profiter de deux visages que la publicité ne lissera pas.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top