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L'homme le plus classe du monde
331 abonnés
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1,0
Publiée le 2 novembre 2013
Les deux paires de lèvres les plus célèbres du cinéma français, réunis dans un film. Il fallait bien que ça arrive un jour. Dommage que ce film soit si mauvais. "Bye Bye Blondie" tente désespérément de se donner une image de film rebel. C'est un peu "on boit de la bière et on dit des gros mots. Regardez comme on est punk !". Malheureusement, à part sa bande son (excellente), le film est aussi punk qu'un film de Woody Allen. C'est plat. C'est creux. Tant dans la mise en scène inexistante que dans les dialogues, trop écrit pour être bien écrit. Je met une étoile tout de même, pour les très bon goûts musicaux de Virginie Despentes.
toujours agréable que de voir sa ville (Nancy) au milieu d un film! en dehors de ça un speach intéressant ( mais pas non plus extra) et surtout 2 duos d actrices ( notamment la jeune soko) qui se complètent parfaitement dans leurs époques respectives! un "hommage" a la culture punk qui agrémente le film d une bande son des plus agréable!
L'ensemble partait d'un postulat de départ plutôt intéressant, mais malheureusement cette histoire d'amour entre deux lesbiennes est d'un ennui bien profond à visionner. Virginie Despentes qui adapte ici un de ses romans ne fait preuve d'aucun talent au niveau de sa mise en scène qui manque cruellement de saveur et de savoir faire (seules les séquences se déroulant dans l'hôpital psychiatrique montrent quelque chose d'intéressant), le sujet est très vite saoulant et les dialogues sont terriblement désuets. Reste les très bonnes performances de Béatrice Dalle, d'Emmanuelle Béart et de la jeune Stéphanie Sokolinski, mais cela reste clairement insuffisant pour ce long-métrage qui m'aura au final bien déçu.
une histoire d'amour née il y a 30 ans entre 2 adolescentes va renaître le temps a passé les 2 ado ont suivi des chemins bien distincts mais leur amour fort et fragile est resté intact après toutes ses années
j'ai été happé par le talent des deux jeunes actrices très prometteuses Béart et Dalle sont bien en dessous
Virgine Despentes s’est bâtie depuis « Baise-moi » l’adaptation de son propre livre en 2000 une réputation d’auteure complètement déjantée adepte du mouvement punk et convertie au lesbianisme en réaction à la violence des hommes. Son deuxième métrage moins sulfureux adapté lui aussi d’un de ses romans nous raconte à travers deux époques l’histoire de deux jeunes nancéiennes issues de milieu différents qui vont se vouer un amour sans borne consécutif à leur séjour en hôpital psychiatrique et à la découverte de leur sexualité. Un saut de plus de trente ans permet à Despentes de montrer le déterminisme social qui régit encore dans notre société. La jeune bourgeoise est devenue une présentatrice vedette de télévision et la fille d’employés est restée fidèle à l’idéal punk de son adolescence. Paradoxalement c’est la partie concernant les deux femmes dans leur adolescence qui est la plus touchante et la plus intéressante. En effet les deux comédiennes reconnues que sont Emmanuelle Béart et Béatrice Dalle semblent avoir bien du mal à nous faire croire à cette relation amoureuse qui emporte tout, tellement leur jeu à chacune semble décalé. Leur malaise commun face à la caméra ressort à chaque instant et finit par vampiriser l’attention. Au global on peut dire que le film est plutôt desservi par celles dont la première réunion sur l’écran était censée attirer l’attention du public. On peut quand se demander la nécessité impérieuse qu’avait Virginie Despentes de mettre sur écran cette bluette décadente sûrement teintée d’une part d’autobiographie.
0/20 : BYE BYE BLONDIE est un film sans intérêt, qui ne vous apportera rien du tout hormis de l’ennui. Emmanuelle Béart et Béatrice Dalle (qui sont de bonne actrices) sont ici mal exploitées par des rôles inintéressants. La réalisatrice Virginie Despentes tente de nous en mettre plein la vie avec quelques images «chocs» (soirées à tendance sadomasochistes, baisers échangés entre lesbiennes ou encore une relation homosexuelle suggérée entre un homme mûr et un jeunot…). Certains flashbacks se déroulant dans les années 80 entre Gloria et Frances sont inutiles (notamment la scène où nous voyons les deux jeunes filles de 16 ans se toucher et se dire des propos du style «salope», « baise-moi » ainsi que d’autres obscénités de ce genre). Tout au long du film, nous devons supporter de nombreuses répliques vulgaires comme « je t’emmerde enculé, va te faire foutre » ou encore cette ambiance semblable à celle de la série «Plus Belle La Vie» où certains acteurs récitent leur dialogue sans aucune vigueur. BYE BYE BLONDIE est un film masturbateur, voulant se la jouer «trash» sous des airs « intello ». Virginie Despentes nous livre un message soit-disant «féministe» mais qui tombe à plat par une histoire malmenée, creuse, insipide et pitoyable.
Un film décevant, bas de gamme, moi qui suis pourtant grande fan de Virginie Despentes quoi qu'elle touche, j'ai trouvé l'interprétation sur-jouée, Béatrice Dalle détestable, la jeune actrice interpretant son personnage jeune avec des mimiques agaçantes, une histoire bancale, une fois, mais pas deux.
La critique presse "Le nanar no futur de V.D" est parfaite. C'est même pas au niveau d'un téléfilm selon moi. Il n'y a rien à garder, à bien y réfléchir = rien. Les mouvements de caméra ne sont pas pensés, les deux actrices sont (et ça n'est pas toujours un tort pourtant) deux énormes clichés d'elles mêmes, Nancy et Paris ne sont pas trop mis en valeur, ce film n'offre rien au spectateur c'est dommage. Rien à garder, étrange... Voilà mon humble avis concernant ce film.
Bon, pas bon, je n'sais pas trop (d'où le 2,5...) Autant SoKo et Clara Ponsot est un duo qui marche BIEN a l'écran, autant les voir 30 ans plus tard ne m'a pas passionnée. J'ai longtemps attendu avant de voir ce film, j'avais peur qu'il soit intello. Au final il y a pas mal de cliché. Autant sur les punk's que sur le monde lesbien. Bons points : Au final on s'accroche un peu a l'histoire, Soko a du charme, on rit un peu parfois.
Le film se passe sur deux époques et le film est d'un côté réussi et de l'autre totalement raté. L'époque années 80 est la plus réussi , Soko est formidable tout comme Clara ponsot , c'est vraiment l'aspect intéressant du film parce que l'époque 25 ans de plus et la rencontre Dalle / Bèart et trop caricatural à la limite du ridicule sur la fin , que dire sur la vision de Despentes sur le milieu télévisuelle et littéraire d'une absurdité incroyable .
Mais jusqu’où s’arrêtera t'elle ? Despentes va t'elle bientôt réécrire ses bouquins en remplaçant tous les mecs par des amazones ? Rien que pour çà son film est nul vu que Dalle et Béart valent que dalle dans leurs rôles de lesbiennes moches. On y croit pas un instant, pas plus qu'aux similis punks et skinheads avec leurs chaines et battes de base ball flambantes neuves. Pour tourner son navet despentes a eu l'argent mais pas le talent . A éviter.
C'est moche vraiment très moche!! Une daube, un vrai navet bourré de clichés. Quant au choix des actrices toutes moches et flétries.. au secours!!!!!! Quelle horreur!!!!
Je viens enfin de voir ce film, je ne comprends pas l'accueil de la critique au moment de sa sortie. C'est vrai que les parties avec Soko et Clara sont plus réussies que les autres, mais Béatrice Dalle est toujours bien alors ça passe tout seul. En tous cas, pour une fois avec un film français on ne s'ennuie pas, les dialogues sont drôles mais surtout LA MUSIQUE EST D'ENFER!