Mon compte
    Bye Bye Blondie
    Note moyenne
    2,3
    494 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Bye Bye Blondie ?

    73 critiques spectateurs

    5
    5 critiques
    4
    10 critiques
    3
    14 critiques
    2
    18 critiques
    1
    18 critiques
    0
    8 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 avril 2012
    Bon. Relire Despentes est une meilleure idée. MAIS. Pendant que les critiques se pavanent devant les fesses de Ledoyen, la plastique de Kruger, la pâleur de Seydoux et la fadeur de ces trois actrices l'oréal, le talent réel est ailleurs et se constate dans le film de Despentes. Béart est unique, Dalle aussi. Elles ne sont pas toujours très à l'aise, je trouve, mais on s'en moque un peu. Ce qu'on aime, c'est voir des actrices. POINT. Si pendant deux ou trois secondes, un mot, une réplique, sonnent faux, on se concentre sur la prochaine. On ne peut pas accuser ce film d'avoir essayé et plutôt réussi quelques aspects. Filmer la Lorraine, l'homosexualité comme une chose naturelle dans ce monde qui part dans le surnaturel. Les actrices jeunes, en particulier Soko, est magistrale. Le film lui doit beaucoup. Avant que Béart arrête le septième art, que Dalle se fasse la malle, courez au cinéma profiter de deux visages que la publicité ne lissera pas.
    Patricemarie
    Patricemarie

    43 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2012
    Je m'attendais à pire. Finalement le film est regardable, pas trop de scènes lesbiennes, une vraie histoire à flash back vers les années 80.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 28 juillet 2014
    Trop de coincidences et d'incohérences trop énormes dans Bye Bye Blondie empêchent le film d'être totalement réussi , néanmoins le jeu des deux actrices , la manière dont s'enchainent et se découpent les scènes , les réflexions sur l'amour , l'amitié et le destin que l'on retrouvent derrière donnent un vrai poids et un vrai intérêt à l'oeuvre , et quelle b.o... A voir pour se faire un avis , mais si vous êtes un peu "trad" et que vous tenez à certaines normes ( vous avez le droit ) passez votre chemin
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 713 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 septembre 2020
    Commençons par cette simple information : Bye Bye Blondie est un livre écrit par V.Des pentes en 2004 quelques années après un autre grand succès dans l'édition. Pour être clair l'histoire d'amour se passe entre une fille de la classe ouvrière et un garçon de classe riche et chic. La force du livre est qu'il montre comment Gloria (la protagoniste féminine) passe d'un amour platonique à un amour physique profond avec un garçon d'un milieu totalement différent car elle rencontre involontairement ses valeurs punk (capacité à s'habiller psycho et à se battre, à jouer guitare, pour correspondre et devenir ami avec d'autres garçons punk). Je n'ai rien contre l'homosexualité mais cette histoire ne peut pas être transférée à
    une histoire d'amour de deux filles et c'est exactement pourquoi le spectateur n'en croira pas un mot. Une autre chose qui m'a dérangé est la façon dont les punks sont montrés. Pour moi c'est un petit défaut car c'est trop de clichés. Je ne pense pas qu'il faille toujours être ivre pour être un punk. Emmanuelle Béart et Béatrice Dalle sont simplement insupportables dans ce film. Quand je l'ai regardé je savais que j'allais assister a une tromperie massive et ça a été encore pire. Pour moi ce film ne devrait pas exister sous le même nom ou avec aucun lien ou rapport avec le livre. Virginie Despentes qu'est-ce que vous vouliez prouver en réalisant ce film...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 mars 2013
    Bon, pas bon, je n'sais pas trop (d'où le 2,5...)
    Autant SoKo et Clara Ponsot est un duo qui marche BIEN a l'écran, autant les voir 30 ans plus tard ne m'a pas passionnée. J'ai longtemps attendu avant de voir ce film, j'avais peur qu'il soit intello. Au final il y a pas mal de cliché. Autant sur les punk's que sur le monde lesbien.
    Bons points : Au final on s'accroche un peu a l'histoire, Soko a du charme, on rit un peu parfois.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 avril 2013
    Un film décevant, bas de gamme, moi qui suis pourtant grande fan de Virginie Despentes quoi qu'elle touche, j'ai trouvé l'interprétation sur-jouée, Béatrice Dalle détestable, la jeune actrice interpretant son personnage jeune avec des mimiques agaçantes, une histoire bancale, une fois, mais pas deux.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 avril 2013
    La critique presse "Le nanar no futur de V.D" est parfaite. C'est même pas au niveau d'un téléfilm selon moi. Il n'y a rien à garder, à bien y réfléchir = rien. Les mouvements de caméra ne sont pas pensés, les deux actrices sont (et ça n'est pas toujours un tort pourtant) deux énormes clichés d'elles mêmes, Nancy et Paris ne sont pas trop mis en valeur, ce film n'offre rien au spectateur c'est dommage. Rien à garder, étrange...
    Voilà mon humble avis concernant ce film.
    jd78
    jd78

    7 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 octobre 2012
    Un peu plus de dix ans après « Baise-moi », Virginie Despentes revient avec un nouveau film adapté d’un ses livres : « Bye Bye Blondie », une love story saphique un peu punk et bien moins sulfureuse et trash que ce à quoi on pouvait s’attendre.

    Le pitch ? Dans les années 80, Gloria, punkette incomprise par ses parents, fait la rencontre de Frances, jeune bourgeoise rebelle, dans un hôpital psychiatrique. Les deux adolescentes tombent amoureuses, vivent leur amour comme elles l’entendent le temps de leur séjour, avant que la vie ne se charge de les séparer. Vingt ans plus tard, Frances, devenue animatrice de télé célèbre, revient chercher Gloria, qui a suivi un tout autre chemin. Une romance hétérosexuelle dans le roman éponyme (Frances s’appelait Éric), que Despentes, lesbienne depuis ses 35 ans, a transposé en une histoire d’amour entre deux femmes après que Béatrice Dalle, qui interprète Gloria, lui en a soumit l’idée.

    Mais, chose rare et à saluer, l’orientation sexuelle des deux héroïnes n’est pas ici centrale dans l’intrigue, puisque c’est avant tout une histoire d’amour tout court que Virginie Despentes raconte. Construit sur une série de flashbacks censés nous faire comprendre comment le passé et le présent s’imbriquent dans leur histoire, le film débute par les retrouvailles entre ces deux femmes que désormais tout oppose. Et Despentes ne nous épargne aucun cliché. Gloria, devenue rmiste, balance par la fenêtre tout un tas d’affaires après avoir quitté son mec, et rejoint un squat où ses amis regardent et commentent l’émission de télé littéraire de Frances Muir, la nouvelle star du PAF. Elle est donc forcément trop « belle » et « intelligente ». Pas au goût de Gloria qui prend plaisir à la dénigrer, et là, comme par enchantement, la star de la télé apparaît en vrai devant elle et ses amis. Eh oui, de passage à Nancy, elle a décidé de faire un coucou à son ancien amour SDF qu’elle n’a pas vu depuis des années, pour lui proposer de venir en vacances quinze jours avec elle tous frais payés. Imaginez la surprise des potes de Gloria…

    Ça commence donc très mal avec une réalisation digne d’un téléfilm pour France 3. Ce qui est gênant également, c’est que Béatrice Dalle et Emmanuelle Béart ont bien du mal à nous faire croire à leur passion et leur amour inconditionnel. Heureusement, ce n’est pas le cas des deux actrices qui les incarnent adolescentes : la chanteuse Soko interprète avec beaucoup de justesse la jeune Gloria, écorché vive et habitée par cet esprit punk qui fait défaut à la partie années 2000. Clara Ponsot, vue récemment en Lolita dans « les Infidèles », est également impeccable dans le rôle de Frances adolescente, une petite butch grande gueule, tiraillée entre son milieu bourgeois et le chemin qu’il lui impose, et sa fascination pour le côté libre et punk de son amante. À travers la plupart des flashbacks, ces deux là expriment beaucoup mieux la passion entre leurs personnages que leurs aînées, et cet esprit de révolte que le film revendique.
    photo de Clara Ponsot et Soko s'embrassant

    En ce qui concerne les scènes contemporaines, le choc des cultures attendu entre Gloria, la marginale avinée et le microcosme médiatico-littéraire parisien, qui rappelle l’histoire personnelle de Despentes, est aussi assez décevant. On sourit parfois quand elle se frite avec le mari de Frances (Pascal Greggory) avec qui elle doit cohabiter (à l’étage du dessus), écrivain gay en panne d’inspiration qu’elle a épousé tant pour les convenances pour que donner un coup de pouce à sa carrière. Mais, c’est encore une fois souvent le côté cliché qui ressort de la plupart des scènes : l’animatrice a forcément un chauffeur qui conduit une jaguar, le monde des médias dans lequel elle évolue est forcément un « univers impitoyable » où l’hypocrisie règne, etc. Et quand Frances laisse enfin Gloria l’accompagner dans une soirée mondaine, cette marginale ne peut bien sûr pas s’empêcher de faire un scandale – sorti de nulle part mais qu’il fallait bien qu’elle fasse pour souligner cette opposition entre deux univers que tout oppose.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 avril 2012
    Pour résumer : un type s'est levé en pleine séance, en grognant, à fait un bras d'honneur bien violent face à l'écran puis s'est enfui (parce que c'est bien le terme qu'il faut employer). Respect. Je voulais faire pareillement...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 mars 2012
    j'ai détesté. Le jeux des artistes, les dialogues, l'histoire, tout quoi. Déjà que j'avais du mal avec béatrice dalle, là ca se confirme. La moitié du film est sur "comment embrasser mal une fille", l'autre moitié je n'y ai trouvé aucun intérêt. Affligeant. Vraiment n'y allez pas. Je pensais voir un film sur le rock, les années Blondie, etc.... rien de tout ca. Berk.
    Nathalie
    Nathalie

    3 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 septembre 2022
    Les dialogues et les jeux des actrices peinent à nous rendre l'histoire crédible :(
    Cela fait 2 films que je regarde de la réalisatrice après "Baise moi"...
    Désolée j' y arrive pas !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 octobre 2012
    Honte. Le film qui fout la honte. Racheter (pas cher) des vioques actrices, avec des joues qui pendent jusqu'au menton. Des seins qui tombent jusqu'au nombril. Leur faire pousser des cris de sixteen pour tenter de de les rafraîchir. Rien que leur visage est déjà une invitation à trouver dare dare la sortie. Vampire?! Vous avez dit vampires ? LE film qui met franchement mal à l'aise. On n'y croit pas un seul instant. Cela sent à plein nez le WE barbecue à la campagne pour sale poufiasses désoeuvrées. Au final : gênant. Vraiment. Aucun lifting n'arrive à racheter leur look d'octogénaire. Une grosse envie de dire : VITE!!! Jeanne Calmant qui tourne avec des pellicules (dans les cheveux). J'y croyais pas, mais BEURK..........Même Charles Vanel, à poil & en string, serait un moment hyper sexy, hyper talentueux à côté de ces mijorées qui se la joue. Depuis un certain temps d'ailleurs. Inutile de jouer les surpris. On avait senti le vent venir. C'est confirmé. Au placard !!!!!! On n'en veux plus. Il y a plein de Sophie Marceau fraîches à Rungis. Le réalisateur ferait bien de se lever un peu plus tôt pour nous trouver de la morue plus fraîche. Très ennuyeux, en plus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 mars 2012
    Une super bande son, des comédiennes épatantes : une comédie romantique à la Despentes, déjantée et emouvante.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 octobre 2012
    Après une longue (peut être pas assez) absence de Virginie despente au cinéma celle-ci revient accompagné d’anciennes icônes Françaises, a savoir Beatrice Dalle et Emmanuelle Beart. Même si les années ont passé, l’envie de les voir dans un bon film est toujours présente . Peut être que ce sera le cas ici? Une histoire qui pourrait être alléchante voir sulfureuse sur la papier,( l’histoire amoureuse passionnel entre 2 filles issu de milieu différent mais uni par la même passion du Punk et la même rébellion contre la société)va se révéler pourtant plate et sans consistance. En fait, l’histoire va se dérouler entre le temps présent (Dalle étant resté avec la même vison de la vie qu’a ces 15ans ,et Beart issu a la base d’une bonne famille ayant tiré un trait sur son passé de pseudo rebelle)et les flash-back de leur fin d’adolescence. Pour cela 2 actrice vont interpréter (de manière assez juste) les jeunes années de nos icônes . Pourtant, en ce qui concerne ce coté de l’histoire, nous auront droit a une vision des années punk plutôt sommaire et loin d’être fouillé. Avec malheureusement des scènes proche de la caricature voir du ridicule. Je pense particulièrement a la scène « d’affrontement » entre le groupe de punk composé principalement de jeunes filles et des skin composé lui, d’hommes armés de bat de baseball. On assiste alors a des jeunes filles mettant la misère a leurs adversaires de manière évidemment grotesque. Mais bon mis a part cette scène dont on aurait pu se passer, le reste est acceptable et la passion entre les 2 protagonistes passe plutôt bien sans tomber dans un coté voyeuriste. Le plus gros ratage du film reste l’interprétation sans saveur de leur aînées. Évidement les scènes tant attendu d’amour entre Dalle et Beart déçoivent. Comment cela pourrait il être autrement? Les actrices ont l’air d’être dégoûté a l’idée de se prendre dans les bras ; elles ont l’air d’etre a 10km l’une de l’autre, et évidemment aucune scène de nu….alors dans ces condition comment croire ne serait ce qu’une seconde a leur amour? Meme les dialogues ne reflètent pas leur supposée relation. Quand a la profondeur psychologique des personnages? Et bien ce n’est pas vraiment mieux; Beart est une femme a la vie professionnel réussit mais a la vie personnel raté (mariage d’apparence avec un homosexuel , lui très bien interprété d’ailleurs, seul point positif du film) Bon d’accord, pour beart on s’en sort a peu pres mais pour Dalle, elle est une femme ado supposé artiste qui passe tout le film a tapé sur des plaques de metal pour réaliser….une sorte de tente. Oui faut le voir pour comprendre mais croyez moi, en tant qu’artiste on a déjà fait mieux et surtout plus credible. En fait on pourrait dire que Beatrice nous fait du dalle sans saveur et surtout pire que tout, sans envie. Alors que tirer du film finalement? Et bien pas grand-chose, une histoire pas très bien construite, un marie homo bien joué drôle voir attachant, une dalle qui s’emmerde et le montre, une Emmanuelle Beart qui assure son cachet en sur-jouant et c’est a peu pres tout.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 novembre 2012
    beau film, belle histoire, actrices (et acteurs) remarquables.
    je suis un peu consternée par la méchanceté de certains commentaires!...
    je le recommande.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top