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    Jamais plus jamais
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    Pomacantha
    Pomacantha

    13 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 août 2013
    Pour Klaus-Maria Brandauer qui prend des décharges électriques en souriant, Kim Basinger vendue sur un marché aux esclaves et l'incomparable Sean Connery évidemment...
    Tedy
    Tedy

    250 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 janvier 2012
    Un "James Bond" décevant pour les adieux de Sean Connery dans le rôle du plus célèbre des agents secrets britannique.
    The Cinephile World
    The Cinephile World

    151 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2013
    Ce n’est considéré pas comme un vrai James Bond selon moi, mais c’est quand même un très bon film, même si il ne vaut pas de loin, ‘’Opération Tonnerre’’, qui est l’un des meilleurs James Bond. 4/5.
    Julien P
    Julien P

    14 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 novembre 2021
    Ce n'est pas un vrai James bond, c'est dommage ! L'intrigue n'est pas extraordinaire. Le scénario est un remake d'opération tonnerre. La mise en scène est correcte. Le casting, ça va grâce à la Warner. La BO n'est pas celle d'un James bond. C'est quand même cool de revoir Sean Connery !
    NeoLain
    NeoLain

    4 971 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juillet 2010
    Opération remake. La première demi heure de Jamais plus jamais est un vrai régal où l’acteur prend un malin plaisir à pasticher l’image de Bond. Un peu plus tard on aura même l’immense bonheur de voir James Bond revêtu d’une magnifique salopette en jean. Il faut le voir pour le croire. On est donc parfois pas loin de la parodie avec un 007 soudain confronté à sa mission la plus périlleuse : se priver de tout ce qu’il aime. Une valise pleine de caviar et une masseuse dans son lit plus tard, Bond est à nouveau en pleine forme pour que débute réellement le récit. Et comme le dit si bien une de ses vieilles connaissances à 007 : « Maintenant que vous revoilà, j’espère que nous allons tremper à nouveau dans le sexe et la violence ! ». Tout un programme que ne démentira pas la suite des opérations de l’agent secret. L’intrigue est donc sensiblement la même que celle d’Opération Tonnerre. Des ogives nucléaires dérobées et très peu de temps pour mettre la main dessus avant que la catastrophe ne se produise et que les larmes d’Allah ne tombent sur les cibles choisies. La seule grosse différence, fort appréciable, c’est que les scènes sous-marines qui plombaient le rythme de l’original ont été revues à la baisse, en sachant néanmoins que la première mouture durait plus de trois heures. Côté casting, c’est pas mal non plus. Klaus Maria Brandauer remplace Adolfo Celi et Kim Basinger en lieu et place de Claudine Auger pour incarner Domino trouve ici de quoi se faire connaître du public. Mais celle qui attire tous les regards c’est la plantureuse Barbara Carrera en tueuse un brin déjantée, notamment la scène où elle exige des aveux signés de Bond comme quoi elle est le coup du siècle. Surréaliste. Et puis on ne peut que regretter que Max von Sydow apparaisse à peine deux minutes à l’écran dans la peau de Blofeld. Au final, un remake nettement plus amusant et moins mollasson que l’original.
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    351 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 août 2016
    Avis aux inconditionnels de la saga, les vrais, les tatoués, ceux qui ne reculeraient pour rien au monde devant un bon nanar, pourvu que leur acteur fétiche soit en tête d'affiche; pour les autres, bienvenu dans la blagounette du siècle, LA séance d'ennui par excellence. Jamais plus jamais, sorti en 1983, redonne du service au pauvre Sean Connery qui souffre visiblement de fatigue, regrettant sans doute les années 60 et son physique de monsieur univers. Pensait il lui-même reprendre du service?! Le revoilà douze ans après sa dernière prestation en temps que 007 dans Les diamants sont éternels, ici largement en retraite et hors jeu pour ce rôle qui réclame tellement plus d’énergie. Pour ceux qui l'ignorent, ce pseudo James Bond, ou Bond hors série, n'est autre qu'une réadaptation d'Opération Tonnerre, où nous retrouvons effectivement notre Sean Connery en pleine possession de ses moyens. Alors pourquoi ce choix, quel est son enjeu? Commercial? J'en doute vu la mollesse de la réalisation et la platitude absolue du scénario. Car bien que grisonnant, l'acteur icône conserve sa dignité, et se ménage à la hauteur de son âge. Il rempli le contrat, rien de plus. Ce n'est donc pas lui la plus grosse erreur de ce film. La vraie erreur était de vouloir adoucir et dépoussiérer un héro à la réputation intouchable. Si parallèlement Roger Moore était en perte de vitesse, chercher à compenser ses défaillances par d'autres n'a pas le moindre intérêt. Un conflit de production qui pue la concurrence à des kilomètres, et s’efface immuablement devant Octopussy, sorti la même année. C'est un fait, il n'y a pas grand chose à garder dans ce film, à part peut être les plages de sable fin des Bahamas. Pour le reste, cette tentative de remake manque largement le coche, et retombe très vite dans les limbes des plus beaux ratés. Assurément dispensable. 2/5
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    121 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mars 2019
    Jamais plus jamais, c’est ce qu’avait dit Sean Connery quant au rôle de James Bond. Comme il a changé d’avis, il le reconnaît, jovial, d’un clin d’œil qui ouvre le générique de fin. S’il est plaisant de le retrouver, il aurait peut-être mieux fait de tenir sa promesse.

    Le film ne figure pas dans la liste officielle des films de James Bond. La raison : il a été fait fait sur la base d’un procès qui a arraché les droits d’adaptation à Ian Fleming. Le résultat est que Sean Connery et Roger Moore se sont concurrencés à quatre mois d’écart dans deux films de 007 (Jamais plus jamais et Octopussy), et qu’une guéguerre cinématographique s’est jouée entre les deux. Outre la mélancolie et l’ablation de toute la machinerie de Brocoli à la production (toutes deux un peu subjectives), il faut savoir juger le film pour ce qu’il est, quoique l’opportunisme qui l’a vu naître est discutable en soi.

    Mais voilà qui règle le problème : non content d’être officiellement un remake et d’être séparé des conventions de la série, Jamais plus jamais est une copie du style bondien, non juste une adaptation. Le remplacement des acteurs (dirigé officieusement par Connery) ne se cherche même pas. Les figures de M et de Q sont splendidement ratées. Les combats sont bien chorégraphiés mais des pauses inexplicables cassent tout le rythme. Souvent, l’image passe pour l’accessoire malmené d’une action qui doit prévaloir, et qui doit se contenter d’afficher un objet central pour toute raison d’être ; pas le temps de faire dans la dentelle.

    Heureusement, il y a du bon par endroit, comme la scène des missiles qui est étonnamment – osé-je dire incroyablement ? – bien faite pour l’époque. Le premier rôle de Rowan Atkinson, bien écrit, le rend déjà reconnaissable. Max Von Sydow confirme son talent indéboulonnable de second rôle. Les élites féminines sont pensées autrement qu’avec l’approbation cynique faite par la franchise officielle de leur objetification. Mais le ridicule menace, au-delà du jeu vidéo auquel on doit le bénéfice rétrospectif du progrès. Les ellipses de la caméra sont parfois médiocres.

    On finit par se rendre compte que James Bond est une usine et que ça fait partie de sa qualité, pas de son spectacle.

    septiemeartetdemi.com
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 220 abonnés 7 513 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 août 2022
    James Bond a vieilli et se retrouve contraint par sa hiérarchie à suivre une cure dans une clinique privée. Sur place, il découvre que l’organisation SPECTRE est à l’origine du vol de deux missiles atomiques.

    Jamais plus jamais (1983) ne fait pas partie de la saga officielle puisqu’il résulte d’une décision de justice suite à un désaccord sur les droits d’auteur entre le scénariste Kevin McClory et l’écrivain Ian Fleming. En accord avec EON Production, qui détient les droits, un accord fut trouvé avec McClory, ce remake d’Opération Tonnerre (1965) ne devait pas voir le jour avant une bonne décennie après la première adaptation.

    12 ans après le dernier James Bond incarné par Sean Connery (Les diamants sont éternels - 1971), le voilà de retour dans le costume du plus célèbre espion de sa majesté, alors même que le rôle est repris par Roger Moore depuis 6 opus. Il est d’ailleurs intéressant de constater que le film est sorti à seulement 4 mois d’intervalle d’Octopussy (1983). Sean Connery qui s’était juré de ne pas reprendre le rôle de 007 est donc de retour après avoir encaissé un chèque conséquent.

    Si ce film n’a absolument rien à voir avec la franchise officielle, il n’empêche que tous les ingrédients sont réunis (le méchant charismatique, la James Bond Girl, la femme fatale ainsi que divers gadgets) à tel point qu’un néophyte n’y verrait que du feu. Seule ombre au tableau et pas des moindres, le film parait désuet avant l’heure.

    Passé l’effet de surprise d’y retrouver un James Bond vieillissant, le plaisir de revoir Sean Connery dans le rôle de James Bond prend le dessus, d’autant plus que les seconds rôles sont très réussis, avec Klaus Maria Brandauer en bad guy et Kim Basinger en James Bond Girl (c’était son 3ème film). Plus surprenant, la présence de Rowan Atkinson et lors de courtes apparitions, celle de Max von Sydow.

    Pour le reste, le film oscille entre réussite et déception. Certains passages s’avèrent désuets, voir ratés comme les missiles équipés d’ogives nucléaires qui survolent la campagne anglaise, la séquence du jeu vidéo en 3D (une espèce de bataille navale où le perdant reçoit des décharges électriques) ou encore la course poursuite entre une R5 turbo et une moto aérodynamique, celle des jetpacks "XT-7B" prétendument classés secrets défense et tirés par les missiles sous-marins, sans parler de cette invraisemblable chute dans le vide à dos de cheval !

    Le film se permet même quelques séquences humoristiques (pas franchement nécessaires) comme lorsque James Bond et Felix Leiter fuit la police française (en mini short à bicyclette). A noter enfin que, du haut de ses 135min, le film parait en durer en double, c’est dire si l’on a trouvé le temps long…

    (critique rédigée en 2011, réactualisée en 2022)

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    selenie
    selenie

    6 250 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2020
    Je préfère "Opération tonnerre"... Ici l'ensemble semble trop factice, on a trop l'impression d'un tournage gag, sans sérieux. Il manque les gadgets, les jolies filles sont moins jolies et moins vénéneuses... Des petites choses à répétitions qui en font un sous-bond. Quelques lenteurs qui étonnent également pour un bond (notamment dans la période du casse). mais Connery n'a rien perdu et quelques scènes sont vraiment bien faite (la fuite à cheval, la 1ère bagarre)...
    Le-Gros-Moineau
    Le-Gros-Moineau

    28 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 janvier 2016
    Bien qu'il ne fasse pas partie de la continuité officielle d'Eon Production, "Jamais plus jamais" est bel et bien, pour moi, l'un des meilleurs James Bond.
    Cet opus, qui s'offre le retour d'un Sean Connery vétéran, est un excellent florilège de tout ce qui fait des 007 ce qu'ils sont au cinéma. "Never say Never again" est bourré d'action et d'humour et peut, j'en suis certain, ravir des spectateurs de tous les âges.
    Le film est porté par un Sean Connery toujours aussi charismatique malgré son âge, ainsi qu'un Kim Bassinger au sommet de sa beauté
    Caine78
    Caine78

    6 712 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 octobre 2010
    "James Bond" un peu particulier dans la mesure ou Sean Connery reprend le rôle de l'agent secret après l'avoir délaissé à deux autres et du fait que l'histoire est délibérement inspiré d'"Opération tonnerre", cet épisode n'en demeure pas moins des plus appréciables, justement parce qu'il sait se faire un peu différent des autres épisodes. En effet, Bond semble ici plus mature, moins macho... Bien entendu pas de grands bouleversements, mais le film sait également se faire bien rythmé, ce qui était tout de même un moindre mal lorsque l'on sait que c'est le réalisateur de "L'Empire contre-attaque qui est derrière la caméra! De plus, on a ici deux méchants pour le prix d'un, et pas n'importe qui! En effet, c'est l'excellent acteur allemand Klaus Maria Brandauer et le brillant suédois Max Von Sydow qui sont de la partie, et cela pour notre plus grand plaisir. Bref, un vrai divertissement de qualité : une réussite donc.
    Akamaru
    Akamaru

    3 096 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2010
    "never say again"(1983).Il ne s'agit pas d'un véritable James Bond de la saga.Un conflit entre producteurs a entraîné certains memebres de l'équipe à monter leur propre franchise.Pour cela,ils ne se sont pas trop foulés puisqu'ils réalisent un remake d'"Opération Tonnerre".Heureusement,seul le scénario demeure,les situations sont elles renouvelées.Ultime pied de pied avec le retour de Sean Connery qui,jamais ô jamais,ne pensait revenir!On retrouve donc le cadre des Bahamas,les missiles volés et autres scènes aquatiques.Jusque là,rien de neuf.Les fans sont de plus chagrinés de ne pas voir à l'écran les attributs les plus reconnus du personnage.Sean Connery se parodie lui-même.Kim Basinger,dans le rôle qui l'a fait connaître,n'est pas crédible.Avec un méchant dingue,qui perd toute lucidité à la moindre contrariété,Bond marche sur un champ de mines.Il défie sa cible dans une bataille navale électronique,lui pique sa nana et contrecare son plan.La routine,quoi! Mais le film n'aura jamais l'attachement du label Bond.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 19 novembre 2014
    Théoriquement 13ème opus de la saga des James Bond, Jamais plus jamais ne fait pas partie officiellement des films dédiés à la série. Il est sorti en même temps qu'Octopussy (avec Roger Moore) qui lui porte le numéro 13. A 53 ans, Sean Connery est encore rayonnant et tient la forme. Tous les seconds rôles habituels (Monsieur M, MR Q et Miss Moneypenny) sont tenus par de nouveaux acteurs, celui qui joue Mr M est détestable. Le scénario manque de punch et le suspense est quasi inexistant. De plus, Irving Kershner est peu connu et n'a réalisé que très peu de succès (Robocop 2, L'empire contre-attaque et Un homme nommé cheval). Enfin malgré la présence d'artistes connus tels Max Von Sydow ou Kim Basinger pour ne citer que les plus célèbres, l'intrigue ne parvient que rarement à passionner mis à part les rares scènes de bagarre ou de poursuite. Pour le reste, c'est James Bond séducteur en vacances. Trop de longueurs et le manque d'action nuisent à l'intérêt. La dernière demi-heure rachète la pauvreté de l'ensemble.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    42 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 avril 2016
    Produit suite à la victoire juridique de Kevin McClory face à Ian Fleming, Jamais plus jamais est le remake non-officiel d’Opération Tonnerre. Toutefois, le film s'éloigne de l'histoire originale et ne conserve que sa structure, laissant suffisamment de libertés aux scénaristes pour inclure tous les éléments chers aux fans de la saga. Cela commence avec l'acteur principal, Sean Connery, qui reprend le costume de l'agent britannique qu'il avait laissé en 1971 en jurant de ne plus jamais y toucher (d'où la blague avec le titre). Sa seule présence est une attaque envers Roger Moore, l'interprète "officiel" de l'agent à l'époque, dont la prestation était souvent jugée inférieur à celle de l'acteur écossais. Les scénaristes poussent le bouchon encore plus loin en mettant en scène un James Bond vieillissant, considéré comme incapable par ses supérieurs, ce qui n'est pas sans rappeler les critiques à propos de l'âge de Moore, considéré par beaucoup comme trop vieux pour le rôle (surtout dans Dangereusement Votre). Les responsables de Jamais plus jamais sont donc content d'avoir récupéré Connery et n'hésitent pas à le montrer son son meilleur jour, c'est à dire torse nu ou en salopette (!). Par ailleurs, quelques blagues méta faisant référence aux attentes du spectateur se glissent dans les dialogues, comme par exemple "I hope we're going to have some gratuitous sex and violence". Ces clins d’œils complices ne sont pas des paroles en l'air, puisque l'intrigue comporte beaucoup, beaucoup de James Bond Girl ainsi que des scènes d'actions parfois farfelues, comme seuls les scénaristes de la saga ont le secret. Malheureusement, cet opus ne corrige pas les défauts d'Opération Tonnerre. On retrouve ici aussi cette narration chaotique, issue d'un montage pas toujours judicieux et d'ellipses étranges, qui tiennent presque du faux raccord. De plus, la musique est complètement à coté de la plaque. John Barry ne s'est pas occupé de cet épisode, et il a été remplacé par du free jazz et la cucaracha. Pas vraiment du meilleur effet. Cependant, Jamais plus jamais est l'un des James Bond classiques les plus soignés visuellement. Déjà, les effets spéciaux sont mieux gérés que d'habitude, les fonds verts sont moins visibles. Mais en plus, le film propose des images rarement vues dans la saga, à la fois vivantes et bien composées (la scène du bal, le plan découpé en quatre). Les responsables voulaient tellement faire de Jamais plus jamais un vrai James Bond qu'ils ont fait un film pile dans la moyenne de la saga, avec ce que ça a de positif (l'action, l'aventure) et de plus négatif (le ridicule assumé qui fait parfois rire jaune).
    girondins59
    girondins59

    40 abonnés 490 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2007
    "Jamais plus jamais" est une oeuvre à part dans la série des James Bond.Sorti la même année que "Octopussy" avec Roger Moore, il ne fait pourtant pas parti à proprement parler de la saga.Son histoire tout d'abord, qui relève plus d'un remake du 4ème film de Bond, "Opération Tonnerre", que d'une histoire originale.Même si on peut constater quelques différences amusantes et bienvenues comme le fait que l'humour et le sexe soit plus présent que dans l'original, le fil conducteur reste le même mais on apprécie que l'esprit soit totalement différent.Les scènes d'actions sont bien orchestrées par Irvin Kershner et on retiendra surtout la bagarre entre Bond et le colosse du SPECTRE aun début du film, aussi drôle qu'éprouvante.Par ailleurs, ce Bond doit être celui où Sean Connery a le plus d'aventures amoureuses et à partir de là, les James Bond girls défilent avec en tête de liste la sublime Kim Basinger.A part le fait que le célèbre générique de début soit absent, le reste est complètement dans l'esprit de la série avec les éternels gadgets et les méchants voulant dominer le monde, méchant qui prend ici les traits de l'excellent Klaus Maria Brandauer."Jamais plus jamais" a le mérite d'être l'un des films les plus originaux et les plus plaisants de la série, pas d'intrigues à vous casser la tête ni de longueurs inutiles.Ici, l'exotisme, les jolies filles et l'action sont au rendez-vous, le rêve en gros.
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