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Un visiteur
1,0
Publiée le 21 septembre 2009
ok je sais, elle est facile et je suis sûrement pas la première à la faire, mais mon dieu, ce film à lui seul est un regret... un "suis moi je te fuis, fuis moi je te suis", lassant au possible... j'aime bcp les deux acteurs du film, mais là, ils sont à claquer, au final, c'est niais et saoulant de voir des gens qui ne savent autant pas ce qu'ils veulent... quand on se fait autant de mal l'un l'autre, c'est pas possible, c'est pas de l'amour...
Le titre porte bien son nom... Après le magnifique "Partir" il était d'autant plus intéressant de voir Yvan Attal dans ce rôle... Le problème du film reste sans aucun doute un scénario bien mince autant dans son intrigue que dans ses dialogues. L'intrigue est fragile dès lors qu'on ne comprend pas bien pourquoi Maya (Valéria Bruni-Tedeschi splendide) rappelle son ex et surtout comment a-t-elle son numéro après 15 ou 20 ans ?! Les dialogues n'aident pas puisqu'ils sont sans saveurs et futiles. Quelques scènes sont risibles (et ce n'est pas voulu), on pense surtout à la scène de la tronçonneuse évidemment. 1 étoile grâce au jeu superbe des deux acteurs principaux qui font ce qu'ils peuvent...
Un très très mauvais film, qu'on s'empressera d'essayer d'oublier, malgré Yvan Attal, qui fait ce qu'il peut, mais dont la prestation contraste avec celle de la désolante Valeria Bruni-Tedeschi...
3 étoiles, parce qu'on y croit à cette histoire... Les acteurs sont tous les 2 bouleversants. Valéria Bruni-Tedeschi est fragile et paumée, débordante de sensualité ; lui est résolu, et prêt à tout quitter pour elle. Certains seront peut-être un peu lassés par le personnage de Maya qui fait un pas en avant et deux en arrière... mais on la comprend. J'aime aussi l'ouverture à la fin du film. Toute passion n'est peut-être pas condamnée à finir mal... La musique au piano accompagne merveilleusement le film.
C'est vraiment une surprise de voir un tel film qui ne s'embarrasse pas de lieux communs.L'"Amour Passion" est-il incompatible avec une vie de couple? C'est la question du film,joué par deux acteurs Yvan Attal,formidable dans la scène du papa gateau et Valeria Bruni Tedeschi,émouvante ,sans en faire trop. Un seul petit bémol,leur sexualité interdite,peut être un peu trop montrée...et les couples officiels semblent quelque peu improbables,surtout celui de Valéria.À part çà ,du rythme et une musique très stylée,surtout dans les inter-scènes.
On ne s'ennuie pas grâce à un très bon jeu d'acteurs qui se découvrent ainsi convaincants et touchants... Mais le thème de l'histoire est plus que banal et le film commence à prendre un peu de consistance que beaucoup trop tard. Au bout du compte le sentiment est plutôt mitigé ! On regrette alors le très bon "partir" vu il n'y a pas si longtemps avec le même Yvan Attal...
"Les regrets" porte bien son nom, effectivement au bout d'une heure et demi on commence à regretter d'être aller voir ce film... Les scènes se suivent, toutes sur le même plan, et ce, jusqu'a la fin. Les deux acteurs principaux semblent y croire à fond et on aimerait volontié leur laisser un peu d'intimité en quittant la salle. Sujet déja vu 1000 fois (film français/adultaire/cris aux 2/3 du film/fin.), les acteurs sont assez bons, enfin, Valeria est comme d'habitude, tellement qu'on a envie qu'elle change un peu son jeu et qu'elle arrête de jouer la gentille gégniarde un peu folle sur les bords. Voila, ça nous glisse dessus, on regarde les murs de la salle de cinema, et on sort en ayant rien envie du tout.
de dialogues creux en déjà vu, le mien, de regret, aura été de perdre deux heures dans un cinéma que je ne connaissais pas et dont le sigle sortie était visiblement...invisible ! Dieu, que j'aurai trouvé le temps long, à regarder ces deux là se courir après et à se grimper dessus dans un film sans saveur. une scène d'anthologie quand même, celle où Philippe Katerine poursuit (enfin on suppose) Yvan Attal avec une tronçonneuse. remake du massacre du même nom ? l'original a le mérite d'être bcp plus drôle....
La vieille histoire d’amour de Mathieu et Maya reprend vie après de longues années et malgré leurs engagements sentimentaux actuels. Cette passion réchauffée se résume à des textos et rendez-vous charnels - Maya parle de « mensonge, adultère, hôtel » ; Mathieu, lui, en devient fou. On comprend aussi dans ce film pourquoi il faut éviter de travailler avec sa moitié. Mais « les regrets » c’est surtout l’histoire d’un adultère, une vision assez pessimiste de l’amour et de l’engagement. Toutefois ce film est bien interprétée, une bonne BO et la douce voix de Valeria Bruni.
Tout est dans le jeu des acteurs... Il est clair que les dialogues n'ont pas du être durs à retenir mais ce film m'a tellement captivé que je retourne le voir dès cette semaine. Tout y est : les protagonistes, le cadre et les musiques. Bravo ! J'étais déjà convaincue par Attal mais Tedeschi-Bruni m'a laissée sans voix par son jeu.
Malgré un scénario vraiment convenu, voilà un film fait de passion, ce qui change totalement la donne du déjà vu. On ne dira jamais le rôle essentiel du metteur en scène, devant un tel scénario il fallait vraiment nous renouveler la vision de ce genre d'histoire, ce que fait admirablement C.Kahn aidé il faut bien le dire par ses acteurs tout aussi possédés par leurs rôles. Du très beau cinéma!!!
Durant plus d'une heure et demi, chaque protagoniste des Regrets cultive, parfois jusqu'à l'excès, son égoïsme, son égocentrisme et l'incapacité chronique d'une civilisation à faire abstraction de soi. Mathieu qui croit aimer à nouveau mais ne fait que désirer un renouveau. Jamais il ne donne, toujours il prend, jamais il n'écoute mais jamais il ne dit non plus, incapable d'exprimer ou d'entendre autre chose que son désir, sa frustration et son impatience. Dans ces rares « je t'aime » on entend que le « Je ». Maya pour sa part n'écoute que ses doutes, ses peurs et ses questions restées sans réponses. Elle ne connait que la fuite, la résignation et son seul moment de courage sera bien vite oublié. Il n'y a selon moi que Lisa, la femme de Mathieu, qui sait, qui sent se qui se trame, et qui saura s'oublier elle-même, au profit du seul « nous » du film. Un amour auquel elle croit toujours et pour lequel elle se battra jusqu'au bout, en excusant encore avec panache son mari de n'être qu'un égoïste lâche. Un amour bafoué par Mathieu, un amour hélas relégué au second plan par le réalisateur, le seul exemple d'humanité rayé finalement d'un simple trait de plume.
Qu'on ne vienne pas alors à me parler ici d'amour, d'émotion ou de sentiment. Il n'y a éventuellement que la passion qui s'y applique, une passion qui nait selon moi non pas un abandon de soi, mais du vide intérieur et de l'égoïsme sourd de chacun.