AlloCiné
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ferdinand75
Un bon film , très touchant très juste et à l'intrigue qui donne toute sa mesure au fur et a mesure du déroulé du film. Ce couple s'aime mais n'arrive pas à se le le dire au bon moment , et surtout vit ses hésitations à des moments contradictoires; Ils n'arrivent pas à se rencontrer; les acteurs sont excellents , beaucoup de finesse dans l'interprétation.;les personnages secondaires sont excellents. La fin est très astucieuce et très juste. Un bon film psychologique français, dans la grande tradition , au ton très juste.
Bon film mais sans plus l'ensemble est unpeu caricatural et n'arrive pas à la cheville
"de partir"
les acteur sont moyens excepté françois Negret que l'on ne voit plus au ciné et qui est pourtant un acteur génial pensez-y messieurs les metteurs en scène ,bon je me suis pas ennuyée mais le film est unpeu plombant et pas très gai avec quelques invraissamblances
par contre la BO du film super
"de partir"
les acteur sont moyens excepté françois Negret que l'on ne voit plus au ciné et qui est pourtant un acteur génial pensez-y messieurs les metteurs en scène ,bon je me suis pas ennuyée mais le film est unpeu plombant et pas très gai avec quelques invraissamblances
par contre la BO du film super
film au rythme soutenu, très prenant, les acteurs sont au top
Le scénario égrène son quota d’effets dépourvus de substance, gonflés, comme à l’air comprimé, de stéréotypes et complètement éculés (la scène avortée de « Massacre à la tronçonneuse »). La réalisation de Cédric Kahn ne pimente même pas de quelques coups aux tripes du spectateur, tellement appliquée qu’elle est à démontrer les qualités routières de l’auto d’Yvan Attal. L’interprétation est tout aussi désolante. Certes la nullité de Valeria Bruni-Tedeschi n’étonne plus, mais même en tenant compte de ses contre performances antérieures, on ne pouvait redouter le pénible numéro de cabotinage raté auquel elle se livre deux heures durant. On essaie de se raccrocher à quelque détail, on espère tout au long de la projection que ce n’est qu’un mauvais début. Vainement : une entreprise faillie d’un bout à l’autre.
traversay1
L'amour fou, qui donne envie de tout quitter, a la faveur des cinéastes français, ces temps-ci : Je l'aimais, Partir, et maintenant, Les regrets. Le fait que le réalisateur de Roberto Succo soit aux manettes est intéressant : il donne à cette histoire, sans originalité particulière, un rythme nerveux, une urgence fébrile pour cet amour adultère. Entre textos et aller-retours entre Paris et l'Indre, nos deux héros aux coeurs chamboulés cavalent, s'interrogent, font l'amour puis la gueule, cavalent encore. Le film file droit devant, au risque de partir dans le décor et c'est un parti pris excitant. Mais que vaudrait-il sans l'alchimie sensuelle et électrique qui s'installe entre la Bruni-Tedeschi (meilleure que jamais) et Yvan Attal (immense) ? Avec ce couple-là, on est prêt à accepter quelques raccourcis faciles ou coïncidences improbables.
S'il y a un regret à avoir, c'est d'avoir voulu voir ce film long, lent, ennuyeux, sans intérêt. Seul le personnage horripilant de Valéria Bruni-Tedeschi nous fait un peu réagir, et donc rentrer dans le film. Dommage qu'elle joue mal. Yvan Attal, lui, est parfait. Mais les relations entre ces deux personnages sont complètement ratées, on n'a pas du tout envie de s'y attacher. Le scénario tourne en rond, on en reste à des situations "fuis-moi je te suis..." pas vraiment approfondies. Et surtout le film n'émeut pas. Quelques grosses maladresses pour indiquer le temps qui passe, ce qui n'est pas toujours utile, d'ailleurs. Une grosse déception, donc.
J’ai regardé d’un peu loin sans jamais être vraiment dedans. Ce n’est pas le vertige de « Partir », pas la passion de « La femme d’à côté » et pas la souffrance d’« Une vie à t’attendre ». Les scènes de sexe n’apportent même pas la passion dévorante que de ce couple adultère pourrait faire ressentir. La force des sentiments et l’interprétation convaincante ne masquent pas non plus le vide d'un scénario sans consistance, où de multiples questions restent sans réponses. Je me les suis posé parce que le reste ne m’a pas vraiment accroché. Alors je me suis intéressé aux plaques des véhicules et aux scènes de rues pour deviner que ça se passe à Châteauroux. Et le piètre soin apporté aux séquences de nuit sur l’autoroute a du coup pris une importance majeure. Je n’ai pas vraiment de regrets d’être allé le voir, mais j’aurais aimé vibrer un peu plus.
comme si le cinéma francais n'était pas assez plombé par sa reputation de film ou il ne se passe rien, on nous sort "les regrets", le film francais par excellence, ou il ne se passe, strictement rien, une histoire d'amour comme si l'amour venait de sortir au cinéma, et on est reparti dans la gadoue de l'ennui, le film est lent, mou, et c'est tout.
un duo d'acteurs tres juste , des scenes de désirs ,d'amour tres réelles , bravo donc a Tedeschi qu'on voit qd meme souvent ds ce genre de role et a Attal qui en ce moment est aussi souvent ds ces histoires d'amour tumultueuses , donc 2 étoiles parce que c'est un sujet souvent traité depuis qq temps , on accrochera a partir du moment où on se retrouvera ds cette histoire de désir de passion déchirante
Ce film relativement bien joué souffre d'une intrigue un peu confuse et de personnages faibles. Au fond le plus gros problème est que le réalisateur Cédric Kahn semble incapable de décider s'il s'agit d'un film sur Mathieu ou d'un film sur Mathieu et son amante Maya. Cette faiblesse est constante tout au long du film jusqu'à la toute fin et je suis surpris qu'un réalisateur français ne remarque même pas cette faute au stade de l'écriture et la commette d'une manière ou d'une autre. Le deuxième défaut (lié au premier) est qu'il est difficile de sympathiser avec Maya et la caractérisation déprimée et fade de Valeria Bruni Tedeschi rend même très difficile d'imaginer que Mathieu se sentirait si passionnément amoureux d'elle. Il faut supposer que le procès de la perte de sa mère est ce qui affecte si fort Mathieu mais si c'est le cas c'est plutôt vaguement sous-entendu. Les Regrets ne s'engage jamais sur des thèmes qu'il souhaite explorer. Toute la structure est bien celle du cinéma d'art français mais le talent artistique présenté ici est entièrement de style et sans substance...
L'histoire d'un homme et d'une femme qui se cherchent, qui se trouvent, qui se perdent, qui se cherchent, qui se trouvent, qui se perdent, qui se... Et nous dans tout ça ?
Il faut bien dire que la seule chose digeste dans ce film, c'est l'histoire. Pour avoir connu ce type de relation où tout semble parfait pour une passion mais où l'on n'aboutit jamais à un couple, le réalisme est là. Et ça peut durer pendant des années si on n'a pas le courage de quitter ses histoires en cours. Ce que rares sont les personnes à décider face à une sorte d'inconnu !
Le problème, c'est que c'est la seule chose de vraisemblable, et même, on s'attendait à plus qu'une chute téléphonée autant que comique, bien mal venue dans ce qui aurait du rester un drame.
Les longueurs se multiplient au cours du récit, le casting est pitoyable d'irréalisme (à commencer par la mère mais Katerine est pas mal non plus), et tout est à l'avenant. Les dialogues, les répétitions, les déplacements, tout lasse rapidement. On espère contempler la jolie Bruni (pas celle qui est refaite intégralement), mais le réalisateur ne sait la cadrer que de face, et il faut bien avouer qu'elle est le maillon faible de tout l'édifice, soit elle joue mal, soit elle ne joue pas du tout. Mais en définitive, seul Yvan limite la casse, avec hélas un script qui le rend pathétique de manière caricaturale. Rien à voir avec sa superbe performance dans « Partir ».
Contrairement à ce que j'avais apprécié dans les précédents films de Kahn, la photo est quelconque, et la qualité de la pellicule à l'avenant, on est très loin du travail d'orfèvre de « L'avion ».
Donc, la conclusion s'impose, casser à ce point une bonne idée de départ de la passion impossible que seule l'immaturité des adultes du vingt et unième siècle peut laisser éclore relève soit du « je m'en foutisme » total soit d'un manque de talent irrémédiable. J'irais voir le prochain pour vérifier, et après, comme pour Ozon, ce sera mon dernier.
Mais oui, par rapport à ce qu'aurait pu être ce film, j'ai « les regrets » !
Il faut bien dire que la seule chose digeste dans ce film, c'est l'histoire. Pour avoir connu ce type de relation où tout semble parfait pour une passion mais où l'on n'aboutit jamais à un couple, le réalisme est là. Et ça peut durer pendant des années si on n'a pas le courage de quitter ses histoires en cours. Ce que rares sont les personnes à décider face à une sorte d'inconnu !
Le problème, c'est que c'est la seule chose de vraisemblable, et même, on s'attendait à plus qu'une chute téléphonée autant que comique, bien mal venue dans ce qui aurait du rester un drame.
Les longueurs se multiplient au cours du récit, le casting est pitoyable d'irréalisme (à commencer par la mère mais Katerine est pas mal non plus), et tout est à l'avenant. Les dialogues, les répétitions, les déplacements, tout lasse rapidement. On espère contempler la jolie Bruni (pas celle qui est refaite intégralement), mais le réalisateur ne sait la cadrer que de face, et il faut bien avouer qu'elle est le maillon faible de tout l'édifice, soit elle joue mal, soit elle ne joue pas du tout. Mais en définitive, seul Yvan limite la casse, avec hélas un script qui le rend pathétique de manière caricaturale. Rien à voir avec sa superbe performance dans « Partir ».
Contrairement à ce que j'avais apprécié dans les précédents films de Kahn, la photo est quelconque, et la qualité de la pellicule à l'avenant, on est très loin du travail d'orfèvre de « L'avion ».
Donc, la conclusion s'impose, casser à ce point une bonne idée de départ de la passion impossible que seule l'immaturité des adultes du vingt et unième siècle peut laisser éclore relève soit du « je m'en foutisme » total soit d'un manque de talent irrémédiable. J'irais voir le prochain pour vérifier, et après, comme pour Ozon, ce sera mon dernier.
Mais oui, par rapport à ce qu'aurait pu être ce film, j'ai « les regrets » !
Tout est dans le jeu des acteurs...
Il est clair que les dialogues n'ont pas du être durs à retenir mais ce film m'a tellement captivé que je retourne le voir dès cette semaine. Tout y est : les protagonistes, le cadre et les musiques.
Bravo !
J'étais déjà convaincue par Attal mais Tedeschi-Bruni m'a laissée sans voix par son jeu.
Il est clair que les dialogues n'ont pas du être durs à retenir mais ce film m'a tellement captivé que je retourne le voir dès cette semaine. Tout y est : les protagonistes, le cadre et les musiques.
Bravo !
J'étais déjà convaincue par Attal mais Tedeschi-Bruni m'a laissée sans voix par son jeu.
"Les regrets" m'ont déçus... On a un excellent jeu d'acteur, mais un scénario qui tourne en rond, qui est limite caricatural, et un peu lourd sur au final... Enfin, un film moyen mais qui est remonté par le jeu des acteurs. 2 étoiles est amplement suffisant pour ce film...
L'amour-passion a en perdre raison, la difficulté à vivre cet amour dans un monde qui nécessite de la rationalité ... encore un thème déjà traité mille fois au cinéma et ailleurs. C'est vrai que l'interprétation est crédible, mais c'est un film que je vois après "les derniers jours du monde" et "non, ma fille tu n'iras pas danser" ... et j'ai une furieuse envie de rire ou de voir un film d'action, bref, voir des choses que je ne vis pas ou que je n'ai pas déjà vécu dans ma vie quotidienne. Le cinéma, c'est aussi sortir de chez soi, non ?
Un film que je regardais sans à priori, en espérant tomber sur une bonne surprise et toujours curieux de l'interpretation d'Yvan Attal que je n'avais que peu vu auparavant. Je n'ai pas été déçu par ce dernier détail. Le film a cependant beaucoup de mal à démarrer, avec des dialogues creux et brefs, inintéressants et les personnages m'ont paru antipathiques tout au long du film. Dans la deuxième moitié à peu près, les dialogues et les interprétations sont plus cinglants et intéressants et la mise en scène, sans rentrer dans les détails est vraiment poignante, surtout en ce qui concerne la transmission des émotions du personnage principal. Mais le film détient trop d'imperfection à mon goût pour sauver la mise.
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