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    Film Socialisme
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    61 critiques spectateurs

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    islander29
    islander29

    864 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 mai 2010
    En attendant le film COPIE CONFORME je suis rentré dans la salle où était projeté ce film....J'ai vu 20 minutes mais avec Godard c'est un peu comme si j'avais vu tout le film, soyons iconoclaste avec son cinéma comme il l'est avec le cinéma...En gros le film propose un regard sur le monde fait surtout de phrases, de mots écrits en grand sur l'écran (relisez plutot Appolinaire ou la poésie si concrète de Cendrars), d'idées empruntées ça et là à la littérature...La question que je me pose c'est pourquoi Godard n'écrit pas ? pourquoi fait il du cinéma ? peut être que le cinéma est pour lui une illustration de ses lectures,un amalgame de symboles redondants écrivant par exemple PALESTINE en majuscules géantes pour enchainer avec un crocodile dévorant un canard...Le film ressemble à un kaleidoscope, un clip sur le monde...Beaucoup de grandes idées dont au final il ne reste rien, les provocations deviennent lassantes...Godard est un pédant misanthrope égaré dans le cinéma...A réserver aux adorateurs d'une modernité stylistique (le clip) qui semble bien désuette et futile...La nouvelle vague est morte sans l'ombre d'un doute....
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 février 2012
    Un film expérimental incompréhensible et inutile. A force de vouloir à tout prix créer l'événement avec la sortie de ses films, Jean-Luc Godard n'est hélas plus que l'ombre de lui-même. Scénario bâclé, acteurs à la dérive, on se demande bien où il veut en venir. A travers une évocation historique brouillonne, on se perd dans les méandres du récit. Tourné sur le paquebot maudit Le Concordia, le film distille en toile de fond une vision irréelle et volontairement négative de notre société. C'est bien là le seul point positif du film. Pour le reste, la question est de savoir s'il faut consommer des substances illicites pour (peut-être) apprécier le film. Rien n'est moins sûr.
    Clint B
    Clint B

    50 abonnés 280 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 octobre 2022
    Mais quelle blague !! Le parfait exemple du truc qui se veut artistique, voir subversif pour des pseudos érudits adeptes de la b......te intellectuelle ! J'imagine déjà les débats entre ces personnes sur le "t'as vu le dernier Godard ? Waouh quel génie. Blablabla....". C'est un sombre navet, ne ne sais même pas comment j'ai tenu 45mns ! Ah si peut-être parce que c'était tellement ridicule que j'ai eu 2/3 fous rires. Tout est zéro dans ce gloubiboulga, pas de narration, aucune structure, dialogues abyssaux tout comme le jeu des "acteurs". Bref, je m'arrêterai là, et Godard aurait dû faire de même....
    ptiverat
    ptiverat

    14 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 novembre 2013
    Lourd, mais lourd...Prétentieux, il se dégage de ce film un profond ennui et une masturbation intellectuelle digne d'un alcoolique errant qui se croirait le roi du monde...non du cinéma....Toute analyse intellectuelle ne peut justifier la liberté prise par Godard pour nous faire perdre une heure et demie de notre vie dans un ronflement cancérigène d'une métaphore sidatique où se baignent les aléas de la démocratie face à la constipation du socialisme et de la vomissure Franquiste qui aurait trop baisé avec Brigitte Bardot pour trouver la clef ultime de l'orgasme sismique qui fait qu'on a tout compris. Oui Godard on peut tous faire du n'importe quoi dans une chaire universitaire qui dirait des vérités où le conférencier parle une langue saisissante digne de la malbouffe de Mac Donald...Le tout inventé par un vieux savant qui croit que la lune peut sauver l'humanité du moment qu'elle tombe de sa bouche....Godard tu nous emmerde et tu le fais comme la pleine lune quand elle est en éclipse c'est à dire même pas brillamment! Et comme le paquebot sur lequel tu as tourné ce film ton dit film fait naufrage! On se demande pas pourquoi d'ailleurs! C'est bien la seule chose de profonde à tirer de toute cette histoire! Le sens t'a encore échappé tout comme le plaisir et la réelle liberté qui ne peuvent être sur une pellicule quand on ne la ressent pas en soi. Merdre!
    LUDOS
    LUDOS

    7 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 janvier 2012
    Depuis plusieurs années je suis allergique au cinéma radical de Monsieur Godard..
    Du cinéma sans doute destiné à sa cour énamourée qui trouve tellement chic et intelligente la grande oeuvre de leur
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    202 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 novembre 2019
    Au secours! Papy découvre le camescope! Les images sont hideuses et le son inaudible. Autrefois, il y avait chez Godard des comédiens, un scénario, un univers, un style, un sens de la beauté qu'on aimait (ou pas). Tout cela a totalement disparu avec ce nouveau film. Le discours est assommant, il vous tue littéralement. Les images sont laides comme celles d'un film de vacances amateur et il est préférable de fermer les yeux pour essayer d'écouter la voix caverneuse et lugubre de l'auteur. En résumé : mieux vaut lire un bon bouquin que subir ce pensum d'un vieil homme qui n'a plus rien à dire.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 novembre 2010
    Il faut être aveugle et sourd pour aimer ce long métrage. Ce qui est très handicapant pour se construire une certaine culture cinématographique. Cette œuvre n'a aucun sens, les discours son éclatés, décalés, les images viennent de plusieurs sources différentes et s'enchainent sans logique. Le réalisateur s'amuse a transgresser toutes les règles du cinéma, mais ce n'est pas pour rien qu'elles existent. Faut il être mature intellectuellement pour aimer ? Je ne penses pas que la maturité y a quelques chose à voir. Jean-Luc-Godard un génie méconnu ? Vu la tête de son film il la cherché. D'un coté il y a les blockbuster, d'un autre il y a ça, et au milieu repose en équilibre le bon cinéma qui sait transmettre des messages, expose des points de vues, nous fait éprouver des sentiments forts etc...
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2012
    Deux perroquets filmés en vidéo, puis un générique accéléré, blanc et noir sur fond rouge. Des plans de la texture de la mer filmés d'un bateau de croisière en Méditerranée. Off, ce dialogue : "L'argent est un bien public." "Comme l'eau, alors ?" "Exactement." Un femme accoudée au bastingage. Off, "Alger la blanche. Quand Mireille Balin laisse tomber Pépé le Mocko" "Et nous, quand une fois de plus, on a laissé tomber l'Afrique". Décalage entre l'image et le son, des dialogues partiellement inaudibles, ou coupés cut, le son du vent dans le micro. Un intertitre blanc sur fond noir : "Des choses". Un clip tourné dans la boîte du bateau avec un téléphone portable, musique techno sursaturée. Un intertitre rouge : "Comme ça".

    Cinq premières minutes, et pas de doute, on est chez Godard. Cinq premières minutes, et déjà cette impression de reprendre un film commencé il y a 25 ans, voire 45 ans : il suffit pour s'en convaincre de lire le résumé de la première partie sur le site officiel : "En Méditerrannée, la croisière du paquebot. Multiples conversations, multiples langues entre des passagers presque tous en vacances. Un vieil homme ancien criminel de guerre (allemand, français, américain on ne sait) accompagné de sa petite-fille. Un célèbre phiilosophe français (Alain Badiou). Une représentante de la police judiciaire de Moscou. Une chanteuse américaine (Patti Smith). Un vieux policier français. Un ex-fonctionnaire des Nations-Unis. Un ancien agent double. Un ambassadeur de Palestine.... Il est question d'or comme autrefois avec les Argonautes, mais ce qui est vu (l'image) est assez différent de ce qui est dit (la parole)".

    Et encore, il s'agit de la première partie de ce triptyque, la plus narrative des trois, si on peut employer ce terme ici, et malgré les aphorismes du genre "A cause de quoi la lumière ?" "A cause de l'obscurité" ou "On me l'a dit." "Et alors ? Dire ne suffit jamais", avec mon préféré : "On a supprimé les paradis fiscaux." "Alors, ce sera l'enfer", malgré ces phrases qui auraient pu être dites dans "Une Femme est une Femme", on arrive à reconstituer des bribes d'histoire, une ambiance et des éléments épars : la Guerre d'Espagne, Potemkine, l'Avenue Foch en 1943, la Palestine, Hollywood inventé par les Juifs..., le tout lié par de très belles images, presque toujours en plan fixe.

    La seconde partie, résumée ainsi : "Le temps d'une nuit, une grande soeur et son petit frère ont convoqué leurs parents au tribunal de leur enfance" : belle idée, sauf que ce n'est pas ce qui nous est donné à voir : la fille lit Balzac devant une pompe à essence et un lama (il y en avait déjà un dans un camion lors du travelling de l'accident dans "Week-end"), balance à un Allemand qui veut du carburant "Allez envahir d'autres pays" avant de se justifier de ne pas parler à une journaliste de la télévision "On ne parle pas à ceux qui utilisent le verbe être". C'est prétentieux, mal joué, et l'immense énergie que j'avais mise depuis 45 minutes à essayer de suivre s'est définitivement évaporée, à l'image d'une bonne partie de la salle.

    La troisième partie, "Visite de six lieux de vraies/fausses légendes, Egypte, Palestine, Odessa, Hellas, Naples et Barcelone" constitue juste un épilogue, un rappel de lieux visités lors de la croisière, et nous permet d'apprendre qu'en russe, escalier est féminin. "Film Socialisme" porte ce paradoxe de présenter une facture vue chez Godard depuis des décennies, et de continuer à dérouter, voire à lasser le spectateur, preuve que cette avant-garde d'il y a trente ans porte aujourd'hui bien plus ces trois décennies que son avant-gardisme. On ressent la même impression que devant "L'Etau" ou "Family Plot", le sentiment d'un immense savoir-faire qui ne marche plus, et la mélancolie qui traverse le film est aussi celle du spectateur qui se souvient d'"A bout de Souffle".

    Critiques Clunysiennes
    http://www.critiquesclunysiennes.com
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 561 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 mars 2021
    L'histoire n'était pas claire mais je ne me suis pas soucié du sens du film. Parce que le film est si stérile et froid je ne me suis pas soucié de ce qui se passait à l'écran. Il me semble que Godard a coupé au hasard différentes scènes ensemble et prétend que c'est de l'art. Le film présente deux choses qui sont mauvaises. Le vent qui souffle dans le microphone et la mauvaise qualité de la caméra. Le vent était très gênant et n'ajoutait rien à la scène qui se passait. La qualité de l'image varie tout au long du film et il est clair que des caméras bon marché ont été utilisées. Pour conclure je pense que la mauvaise qualité et la fadeur de ce film sont dues au fait que Godard s'est fait des illusions en pensant que tout ce qu'il fait sera de l'or artistique quelle que soit sa qualité. C'est de loin l'un des pire film que j'ai jamais vu de toute ma vie...
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    155 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 mai 2012
    Gaspard Noé peut retourner faire joujou, le cinéaste français le plus audacieux de nos jours, c'est certainement encore lui, cet adolescent attardé de près de 80 ans. Si certains de ses tics sont toujours aussi exaspérants (les aphorismes à la mords-moi le noeud, de moins en moins pertinents d'ailleurs, le cul - ou plutôt le derrière -, Marx, la révolution, etc etc.), si le non-jeu des acteurs est toujours aussi déroutant, niveau réalisation ça reste du grand art. Cadrages époustouflants de perfection et d'évidence, profondeur de champ, gestes et mouvements des acteurs dignes de Bresson ou de Dreyer, images recyclées fascinantes, utilisation détournée et ingénieuse des media de notre temps (téléphone portable, l'image qui lag comme la télévision par satellite,...)... Dommage que les dialogues un net niveau en dessous brisent cette harmonie. Car si le fond avait été digne de ce nom, Godard aurait très bien pu réaliser là son plus grand film depuis un bon bout de temps! Esthétiquement parlant «Film Socialisme» est donc un long métrage marquant, bouillonnant de créativité, mais limité par son propos. Il est à ce titre intéressant de comparer Godard à Bresson, cinéaste de qui il se rapproche peut-être le plus aujourd'hui au moins pour sa direction d'acteurs et sa façon de filmer les corps. Car si tous deux recherchent une certaine vérité, si tous deux comptent parmi les plus grands cinéastes français ayant jamais existé, la méthode ascétique de Bresson est claire, celle un peu fourre-tout de Godard beaucoup moins. Ainsi chaque mot débité par les personnages de Bresson est pesé, chaque élément de ses films est placé avec une précision extrême à tel endroit pour produire tel effet. Chez Godard au contraire est privilégiée la logorrhée, la suraccumulation d'images et de sons au petit bonheur la chance, ce qui atténue quelque peu l'impact (et la réelle pertinence?) de ses derniers films. Toutefois le plaisir de le voir revenir en forme avec «Film Socialisme» est particulièrement appréciable! [2/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    396 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 mai 2014
    Je ne sais même pas par où commencer ... Ce film est juste un OVNI incompréhensible, avec un découpage et un collage de séquences quasi aléatoire, impossible d'être captivé par quoi que ce soit, c'est monstrueusement lent (au bout de 15 minutes je croyais avoir dépassé la demi heure, véridique), le montage sonore est agaçant (j'ai passé mon temps a baisser et rehausser le volume), les acteurs récitent leur texte et ne font aucun effort d'interprétation, Godard s'en fout, ça n'est pas son but. Son but est celui de nous démontrer les contrastes culturels entre individu et civilisation, cette croisière ne va nulle part, elle s'égare entre raison et réflexion, des relations entre orient et occident, des communautés, des religions ... Le réalisateur se veut moralisateur, et le dernier quart d'heure est assez intéressant dans son traitement mais peine à véritablement convaincre, tout reste beaucoup trop difficile d'accès mais il s'en dégage un certain génie indéniable, Godard a le mérite de créer quelque chose de rhétorique et visuel vraiment à part. "Film Socialisme" ne m'a globalement pas plu, il est sans doute destiné aux cinéphiles plus aguerris et cultivés que moi, mais je reconnais qu'il serait difficile de totalement détester, le style est unique et l'expérience plutôt enrichissante, même si elle est difficile à avaler.
    DarioFulci
    DarioFulci

    103 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 octobre 2010
    Incompréhensible et terriblement hermétique, cette expérience laisse dubitative. Aucunes clés pour décoder ce film, rien à quoi se raccrocher. Difficile d'en penser quoi que ce soit tant le spectateur n'a accès à peu de choses pour comprendre. Des images (superbes), des dialogues sans queue ni tête, des textes qui apparaissent...
    On sort bouche bée, assommé. Et on passe à autre chose.
    Nico2
    Nico2

    84 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mai 2010
    Six ans après Notre musique, Jean-Luc Godard revient avec ce qu'il dit lui-même comme étant très probablement son dernier film, Film Socialisme. Il est très difficile de parler de cet objet étrange qu'est le dernier Godard, toujours est-il qu'il est certain qu'il ne fera pas l'unanimité. Film Socialisme fait partie de ces oeuvres tellement radicales dans leur conception qu'elle se ressentent plus qu'elle ne s'expliquent. Au niveau de l'histoire, le film ne raconte rien et le sous-titre est très clair : ce sont "des choses comme ça". Godard, à l'aide d'images vidéo d'une grande beauté, ne raconte rien mais dit beaucoup de choses. La plupart des répliques sont incompréhensibles car voilées par un son perturbateur, ce qui est tant mieux ces dernières paraissant surtout des aphorismes lourds et inintéressants. Ce qui fascine, c'est la manière dont Godard explore les sentiments de ses semblables. Dans la première partie se déroulant une croisière, des gens parlent de tout et de rien dans toutes sortes de langue, un amour de vacances naît, on se pose des questions. Godard s'interroge sur le langage, les signes, la culture, l'art, il nous fait rire, nous donne envie de tomber amoureux, les femmes sont superbes et chacune une parfaite incarnation de la beauté. Godard s'interroge ici sur la relativité, qui est réellement le sujet même du film, s'il fallait en trouver un. La seconde partie avec la famille socialiste qui refuse que l'on emploie le verbe être symbolise cette idée. Godard filme le temps et l'espace avec cette même idée de la relativité; de fait, le film s'interroge sans cesse sur nous-mêmes sans jamais sombrer néanmoins dans la fumisterie intellectuelle ou la psychologie de comptoir. Bien au contraire, il nous fait vivre au travers d'images étranges et superbes une expérience sensorielle unique. Film Socialisme est un cri d'amour qui ne laissera pas indifférent. Il est dommage cependant que le film soit trop long, la dernière partie étant assez inintéressante.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 24 mai 2010
    Dans un film lourd, long et chargé, Jean-Luc Godard arrive à attirer son spectateur, à lui faire poser des questions. Finalement son patchwork géant est intelligent, ironique et en même temps provocateur. Un Godard en fait…
    QBN
    QBN

    31 abonnés 147 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 mars 2011
    De la branlette cinématographique qui n'a de sens que pour un papy gâteux retranché sur lui même.
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