Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Critikat.com
par Arnaud Hée
Inégal et passionnant, Film Socialisme, méditation filmique ardue et émouvante, porte la contradiction d'un cinéaste toujours plus isolé et mélancolique, mais terriblement présent et contemporain : parmi nous.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Sans tellement modifier sa langue ou sa méthode, le cinéma de Godard s'est rebranché sur le contemporain. (...) Le socialisme du film commence par là : la constitution d'une république des images, iconoclastement égalitaire, où le copyright est aboli, où les dénivelés statutaires qui séparent chacune d'elles sont comblés par le collage. (...) C'est de toute façon plus encore dans sa pratique que dans ses visions que le film éblouit.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Le cinéaste réussit ce paradoxe : sans toujours donner l'heure juste, être de son temps.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Un grand moment de "cinéma pur".
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
La première partie sur le paquebot, de loin la plus réussie, est ainsi un collage d'une force imparable. Mêlant scènes jouées sur le pont ou en cabine, et plans documentaires volés en DV ou au portable, c'est une vision d'enfer, mais pas l'enfer terreux et lénifiant de Notre musique : un enfer coloré et brutal, tétanisant parfois, d'une beauté éblouissante.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Anne Diatkine
Jean-Luc Godard a toujours été sensible à la géométrie des espaces communs et des signalisations. Le moment le plus merveilleux du film est la manière dont il utilise les images des voltigeurs prises par Varda pour ses Plages et en fait une métaphore de la paix possible dans les territoires israélo-palestiniens. On ne soucie plus de penser, c'est lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Excessif
par Jean-Baptiste GUEGAN
Dense et sublime, expérimental et difficile.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Thomas Baurez
voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michel Guilloux
Cet art de la citation, d'oeuvres de la pensée, picturales, musicales, dites, montrées ou sonores, n'est pas nouveau chez Godard, disons qu'il atteint, à l'image de son propos, un point de non-retour.
Libération
par Gérard Lefort
(...) sur le territoire de ces lieux communs, il construit un nouveau chromatisme qui les transforme du dedans, crée des thèmes, développe en force une forme gorgée du dernier cri (de souffrance) des moyens modernes de la communication (fil à la patte des mal nommés portables qui, telle la drogue, nous fixent), autant dire un formidable nomadisme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Godard, dans son kaléidoscope chromatique, politique, irritant et exaltant, a mis à l'abri tout le langage des images.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télérama
par Jacques Morice
Son film suscite plus une impression de nostalgie que de désespoir. Le tout dans une clarté qui rappelle Eloge de l'amour, son dernier bon film, vieux de neuf ans déjà. (...) Il semble ne plus chercher l'affrontement (...) et on le sent prêt à passer le relais. (...) Etre un poisson des abysses et regarder vers le haut : c'est la profondeur délivrée du langage, dont Godard a toujours rêvé. Enfin une image de paix.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Parfois, les aphorismes font mouche. Moins souvent qu'avant. Car Godard a pris un coup de vieux " de genre grec ". Pourquoi ce titre ? Qui sont " les salauds " qui désormais " sont sincères " ? Et pourquoi est-ce " étrange qu'Hollywood ait été inventé par des Juifs " ? Faut-il regretter de ne pas savoir ?
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(...) Un patchwork de saynètes brèves, elliptiques, relevant de l'essai poétique, du traité historique, de l'oraison mélancolique, de la réflexion philosophique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La Croix
par Arnaud Schwartz
Au final : une tentative, entre grandiloquence et hermétisme, mais souhaite-t-il être compris ?, de relire le siècle passé et d'y déceler la preuve d'un terrible échec civilisationnel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Il est question de la guerre d'Espagne, d'une Europe infirme, des paradis fiscaux, de solitude et d'amour (...) sans oublier Hollywood, inventé par des Juifs. De quoi vite se lasser de ce jeu de piste intitulé Film socialisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Marie Sauvion
On peut surtout accepter de n'y rien comprendre ou, hypothèse plus triste, que Godard n'ait plus rien à dire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site du Point
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Michel Ciment
Godard (...) semble vouloir piétiner tout ce qui pourrait faire sens.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Filmsactu
par Kevin Prin
Ce n'est pas tous les jours qu'on ressent un tel sentiment de grand n'importe quoi sur un grand écran.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Metro
par Rania hoballah
Tandis que mon voisin de droite dormait profondément et que celui de gauche prenait frénétiquement des notes (comme toujours avec Godard, les fidèles crient au génie et les autres à l'imposture), j'ai décidé de me passer de la dernière demi-heure du film. La vie est trop courtepour perdre son temps.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Critikat.com
Inégal et passionnant, Film Socialisme, méditation filmique ardue et émouvante, porte la contradiction d'un cinéaste toujours plus isolé et mélancolique, mais terriblement présent et contemporain : parmi nous.
Les Inrockuptibles
Sans tellement modifier sa langue ou sa méthode, le cinéma de Godard s'est rebranché sur le contemporain. (...) Le socialisme du film commence par là : la constitution d'une république des images, iconoclastement égalitaire, où le copyright est aboli, où les dénivelés statutaires qui séparent chacune d'elles sont comblés par le collage. (...) C'est de toute façon plus encore dans sa pratique que dans ses visions que le film éblouit.
Cahiers du Cinéma
Le cinéaste réussit ce paradoxe : sans toujours donner l'heure juste, être de son temps.
Charlie Hebdo
Un grand moment de "cinéma pur".
Chronic'art.com
La première partie sur le paquebot, de loin la plus réussie, est ainsi un collage d'une force imparable. Mêlant scènes jouées sur le pont ou en cabine, et plans documentaires volés en DV ou au portable, c'est une vision d'enfer, mais pas l'enfer terreux et lénifiant de Notre musique : un enfer coloré et brutal, tétanisant parfois, d'une beauté éblouissante.
Elle
Jean-Luc Godard a toujours été sensible à la géométrie des espaces communs et des signalisations. Le moment le plus merveilleux du film est la manière dont il utilise les images des voltigeurs prises par Varda pour ses Plages et en fait une métaphore de la paix possible dans les territoires israélo-palestiniens. On ne soucie plus de penser, c'est lumineux.
Excessif
Dense et sublime, expérimental et difficile.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
L'Humanité
Cet art de la citation, d'oeuvres de la pensée, picturales, musicales, dites, montrées ou sonores, n'est pas nouveau chez Godard, disons qu'il atteint, à l'image de son propos, un point de non-retour.
Libération
(...) sur le territoire de ces lieux communs, il construit un nouveau chromatisme qui les transforme du dedans, crée des thèmes, développe en force une forme gorgée du dernier cri (de souffrance) des moyens modernes de la communication (fil à la patte des mal nommés portables qui, telle la drogue, nous fixent), autant dire un formidable nomadisme.
Marianne
Godard, dans son kaléidoscope chromatique, politique, irritant et exaltant, a mis à l'abri tout le langage des images.
Télérama
Son film suscite plus une impression de nostalgie que de désespoir. Le tout dans une clarté qui rappelle Eloge de l'amour, son dernier bon film, vieux de neuf ans déjà. (...) Il semble ne plus chercher l'affrontement (...) et on le sent prêt à passer le relais. (...) Etre un poisson des abysses et regarder vers le haut : c'est la profondeur délivrée du langage, dont Godard a toujours rêvé. Enfin une image de paix.
20 Minutes
Parfois, les aphorismes font mouche. Moins souvent qu'avant. Car Godard a pris un coup de vieux " de genre grec ". Pourquoi ce titre ? Qui sont " les salauds " qui désormais " sont sincères " ? Et pourquoi est-ce " étrange qu'Hollywood ait été inventé par des Juifs " ? Faut-il regretter de ne pas savoir ?
Le Monde
(...) Un patchwork de saynètes brèves, elliptiques, relevant de l'essai poétique, du traité historique, de l'oraison mélancolique, de la réflexion philosophique.
La Croix
Au final : une tentative, entre grandiloquence et hermétisme, mais souhaite-t-il être compris ?, de relire le siècle passé et d'y déceler la preuve d'un terrible échec civilisationnel.
Le Figaroscope
Il est question de la guerre d'Espagne, d'une Europe infirme, des paradis fiscaux, de solitude et d'amour (...) sans oublier Hollywood, inventé par des Juifs. De quoi vite se lasser de ce jeu de piste intitulé Film socialisme.
Le Parisien
On peut surtout accepter de n'y rien comprendre ou, hypothèse plus triste, que Godard n'ait plus rien à dire.
Le Point
Voir le site du Point
Positif
Godard (...) semble vouloir piétiner tout ce qui pourrait faire sens.
Filmsactu
Ce n'est pas tous les jours qu'on ressent un tel sentiment de grand n'importe quoi sur un grand écran.
Metro
Tandis que mon voisin de droite dormait profondément et que celui de gauche prenait frénétiquement des notes (comme toujours avec Godard, les fidèles crient au génie et les autres à l'imposture), j'ai décidé de me passer de la dernière demi-heure du film. La vie est trop courtepour perdre son temps.