Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Brazil
par Julien Leimdorfer
(...) The Chaser nous emmène sur le terrain de l'impuissance. Impuissance sexuelle, émotionnelle, impuissance à agir, à prendre des décisions... (...)
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Filmsactu
par Elodie Leroy
Aussi percutant que pessimiste dans son propos, ce polar violent et réaliste qui dévoile un visage peu flatteur de la société coréenne s'agrémente d'un humour mordant, tout en faisant surgir sans crier garde une véritable charge émotionnelle. Une réussite sur tous les tableaux (...).
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
The Chaser est aux films de serial-killers ce que The Host était aux monster movies: un modèle absolu du genre, faisant passer le spectateur par toutes les émotions et lui laissant une empreinte indélébile à l'esprit. Du grand art!
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
L'Humanité
par Dominique Widemann
Na Hong-jin fait preuve pour un premier film d'une maîtrise qui laisse pantois.
Le Parisien
par Hubert Lizé
(...) Brillamment réalisé, " The Chaser " allie le sens du rythme et du suspense à des allusions ironiques sur la société coréenne. (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Alain Spira
Un premier film époustouflant (...)
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le magazine Studio Ciné Live mars 2009
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
(...) un suspense diabolique doté d'une énergie d'enfer.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
(...) Ce premier film, grand prix Action Asia à Deauville (2009), est un polar mené à cent à l'heure, via des courses-poursuites haletantes. (...)
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Nouvelle merveille venue de Corée du Sud, The Chaser est un film noir, très noir (...) Na Hong-jin (...) signe d'abord un grand film atmosphérique, dans la digne lignée des polars ébène de Joon-ho Bong (...)
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Thriller brutal et ravagé du bulbe, le film révèle en Na Hong-jin un nouveau petit maître parmi les wonderboys du pays du bibimbap et s'inscrit dans la droite lignée de Public enemy et Memories of Murder.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Dvdrama
par Romain Le Vern
Rien d'inédit au pays du matin calme donc, mais il règne dans The Chaser une énergie irrésistible qui mérite votre attention. En ce qui concerne Na Hong-Jin, la nuit lui appartient. Son avenir plein de promesses, aussi.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
L'Express
par Julien Welter
Voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par la rédaction
Un thriller crépusculaire, angoissant et terrifiant, qui glace véritablement les sangs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) Agé de 34 ans, le jeune réalisateur, alors en école de cinéma, se demandait juste s'il allait obtenir son diplôme ! Une modestie hallucinante au regard de la maîtrise de sa mise en scène (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-François Rauger
L'énergie, vitale et dangereuse à la fois, qui caractérise si bien le meilleur du cinéma coréen d'aujourd'hui trouve avec le film de Na Hong-jin une assez convaincante incarnation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
The Chaser séduit par son intensité et son énergie. Hormis [la] coda inutilement étirée, et même s'il n'apporte pas de novation décisive, [il] s'impose comme un film de genre(s) assez jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
(...) The Chaser restera d'ores et déjà pour cette année comme une forme de polar mineur parfait, dans une veine sale et trempée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Julien Sévéon
La Corée du Sud nous surprend à nouveau avec un thriller électrique brut de decoffrage, qui redonne un sacré coup de fouet au genre.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Metro
par Rania Hoballah
Visuellement époustouflant et bénéficiant d'une maitrise rare pour un premier film, The Chaser est jubilatoire de bout en bout malgré son atmosphère étouffante et par instants à la limite du supportable.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Gérard Delorme
La monstrueuse énergie de son [Na Hong-Jin] film se transmet littéralement au spectateur, qui en ressort à bout de souffle mais content, comme après un marathon.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Coup d`essai, coup de maître. Pour son premier film, Na Hong- jin ne se contente pas de signer un thriller implacable et terrifiant; il nous fait croire à nouveau en un cinéma de genre sud- coréen que l`on pensait en perte de vitesse. (...)
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
(...) Beau film climatique (...), The Chaser peine quelque peu sur la durée, s'en remettant dans son dernier tiers à une petite mécanique un peu trop écrite. (...)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
Un film de genre, mais d'une bonne tenue.
Télérama
par Samuel Douhaire
(...) Si ce coup d'essai s'arrêtait au bout d'une heure quarante, on pourrait parler de coup de maître. Malheureusement (...) les vingt dernières minutes [sont] interminables (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
par Philippe Trétiack
(...) Les filles sont magnifiques, les acteurs excellents. Un sans-faute? Non, car ce polar est parasité par une telle violence qu'on en vient à demander grâce. (...)
La critique complète est disponible sur le site Elle
Brazil
(...) The Chaser nous emmène sur le terrain de l'impuissance. Impuissance sexuelle, émotionnelle, impuissance à agir, à prendre des décisions... (...)
Filmsactu
Aussi percutant que pessimiste dans son propos, ce polar violent et réaliste qui dévoile un visage peu flatteur de la société coréenne s'agrémente d'un humour mordant, tout en faisant surgir sans crier garde une véritable charge émotionnelle. Une réussite sur tous les tableaux (...).
L'Ecran Fantastique
The Chaser est aux films de serial-killers ce que The Host était aux monster movies: un modèle absolu du genre, faisant passer le spectateur par toutes les émotions et lui laissant une empreinte indélébile à l'esprit. Du grand art!
L'Humanité
Na Hong-jin fait preuve pour un premier film d'une maîtrise qui laisse pantois.
Le Parisien
(...) Brillamment réalisé, " The Chaser " allie le sens du rythme et du suspense à des allusions ironiques sur la société coréenne. (...)
Paris Match
Un premier film époustouflant (...)
Studio Ciné Live
Voir le magazine Studio Ciné Live mars 2009
Télé 7 Jours
(...) un suspense diabolique doté d'une énergie d'enfer.
20 Minutes
(...) Ce premier film, grand prix Action Asia à Deauville (2009), est un polar mené à cent à l'heure, via des courses-poursuites haletantes. (...)
Charlie Hebdo
Nouvelle merveille venue de Corée du Sud, The Chaser est un film noir, très noir (...) Na Hong-jin (...) signe d'abord un grand film atmosphérique, dans la digne lignée des polars ébène de Joon-ho Bong (...)
Chronic'art.com
Thriller brutal et ravagé du bulbe, le film révèle en Na Hong-jin un nouveau petit maître parmi les wonderboys du pays du bibimbap et s'inscrit dans la droite lignée de Public enemy et Memories of Murder.
Dvdrama
Rien d'inédit au pays du matin calme donc, mais il règne dans The Chaser une énergie irrésistible qui mérite votre attention. En ce qui concerne Na Hong-Jin, la nuit lui appartient. Son avenir plein de promesses, aussi.
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Un thriller crépusculaire, angoissant et terrifiant, qui glace véritablement les sangs.
Le Journal du Dimanche
(...) Agé de 34 ans, le jeune réalisateur, alors en école de cinéma, se demandait juste s'il allait obtenir son diplôme ! Une modestie hallucinante au regard de la maîtrise de sa mise en scène (...)
Le Monde
L'énergie, vitale et dangereuse à la fois, qui caractérise si bien le meilleur du cinéma coréen d'aujourd'hui trouve avec le film de Na Hong-jin une assez convaincante incarnation.
Les Inrockuptibles
The Chaser séduit par son intensité et son énergie. Hormis [la] coda inutilement étirée, et même s'il n'apporte pas de novation décisive, [il] s'impose comme un film de genre(s) assez jubilatoire.
Libération
(...) The Chaser restera d'ores et déjà pour cette année comme une forme de polar mineur parfait, dans une veine sale et trempée.
Mad Movies
La Corée du Sud nous surprend à nouveau avec un thriller électrique brut de decoffrage, qui redonne un sacré coup de fouet au genre.
Metro
Visuellement époustouflant et bénéficiant d'une maitrise rare pour un premier film, The Chaser est jubilatoire de bout en bout malgré son atmosphère étouffante et par instants à la limite du supportable.
Première
La monstrueuse énergie de son [Na Hong-Jin] film se transmet littéralement au spectateur, qui en ressort à bout de souffle mais content, comme après un marathon.
TéléCinéObs
Coup d`essai, coup de maître. Pour son premier film, Na Hong- jin ne se contente pas de signer un thriller implacable et terrifiant; il nous fait croire à nouveau en un cinéma de genre sud- coréen que l`on pensait en perte de vitesse. (...)
Cahiers du Cinéma
(...) Beau film climatique (...), The Chaser peine quelque peu sur la durée, s'en remettant dans son dernier tiers à une petite mécanique un peu trop écrite. (...)
Ouest France
Un film de genre, mais d'une bonne tenue.
Télérama
(...) Si ce coup d'essai s'arrêtait au bout d'une heure quarante, on pourrait parler de coup de maître. Malheureusement (...) les vingt dernières minutes [sont] interminables (...).
Elle
(...) Les filles sont magnifiques, les acteurs excellents. Un sans-faute? Non, car ce polar est parasité par une telle violence qu'on en vient à demander grâce. (...)