Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Selingues G
77 abonnés
956 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 7 janvier 2011
Un film d’auteur assez déroutant qui vaut essentiellement par le jeu de Catherine Deneuve dans le rôle de veille Bourgeoise rancunière. Un malaise qui se ressent tout au long du film. Un dénouement émouvant.
Film français intimiste et familial sur 3 femmes, de 3 générations différentes mais tout aussi libres les unes que les autres. Porté par un casting fort, Mères et Filles dresse un portrait très juste sur les histoires de familles et les conséquences qu'elles peuvent engendrées sur les générations futures.
Un film prenant, touchant, même si à la moitié du film on se doute déjà du dénouement. Le ton est très intimiste, mais on ne s'ennuie pas pour autant. Tout repose sur l'excellente prestation de Marina Hands, et les très beaux jeux de Catherine Deneuve et Marie-Josée Croze, sans oublier Michel Duchaussoy qui apporte un peu de fraîcheur à l'ambiance un peu lourde. L'histoire est intéressante, le climat pesant tout en n'étant pas désagréable. Une belle réussite.
Très plat, aucun intérêt, ennuyeux, gris... On pouvait s'attendre à une superbe histoire entre la relation mère-fille mais on tombe sur du... Catherine Deneuve... Et rien de plus!
TOI ET MOI... ET GRAND MERE. Qu'es ce qu'on se fait chier dans les films de Julie Lopes Curval. Tu parles, tu meurs, tu parles plus. C'est une specialiste des castings 4 étoiles: Cotillard, Hand, Croze, Deneuve, Depardieu... attention les Nathalie, Emmanuelle, Audrey, Florence....
je l'ai vu ce weekend sur canal , et il est franchement cool ! je connaissait pas marie josée croze, mais franchement elle joue trop bien!!! je le recommande à tous le monde !!
Grosse déception. D'autant que l'intrigue et le jeu de Mme Deneuve notamment, me maintenait en éveil. Mais bon, je suis trop resté sur ma faim. A quoi bon la scène de baise avec ce jeune serveur insipide? J'aurais préféré voir autre chose à ce moment-là...
Julie Lopes-Curval est à l'aise dans le registre du drame familial tout en sobriété.Elle a 2 atouts dans sa manche:son sujet,qui parlera à chacun et son trio de comédiennes,toutes impeccables.Et si l'on déplore un certain manque de rythme et que certaines situations semblent forcées ou peu naturelles,il y a suffisamment à dire pour ne pas se languir."Mères et filles",comme son titre l'apprend,parle de filiation,de maternité et in extension de l'évolution de la condition féminine au cours des dernières décennies.Une trentenaire indépendante,enceinte,de retour dans sa famille près d'Arcachon,tente de comprendre le secret qui hante sa mère,et tombe sur le journal intime de sa grand-mère disparue.Les non-dits s'accumulent.La douleur est intérieure.Marina Hands survole le film de sa grâce et de sa délicatesse qui trahissent sa formation théâtrale.Face à elle,Catherine Deneuve est ténébreuse,mais un peu absente.Marie-Josée Croze jouant encore une fois une femme mystérieuse.On est soufflé de la prison dorée dans laquelle pouvaient vivre les ménagères des années 50,serrées de près par leur mari,toute tentative d'émancipation étant étouffé dans l'oeuf.A contrario,la femme moderne,ne sait que faire d'une liberté,qui neutralise ses repères.Un questionnement universel pour un film quelque peu maniéré.
Mères et Filles est à voir pour l'excellent Duchaussoy et pour qui douterait encore du talent de Marina Hands, qui sauve le film d'une certaine lenteur malgré un scénar intéressant. Quant à Deneuve, égale à elle-même, glaciale, et ça tombe bien puisque c'est ce qu'on lui demande.
Mères et filles est un film assez moyen de Julie Lopes-Curval. La mise en scène reste très académique, le scénario manque d’originalité mais reste plutôt bien ficelé, le film est assez peu intéressant et les acteurs comme Catherine Deneuve, Marina Hands ou encore Marie-Josée Croze ne cassent pas des briques. Bref, assez moyen…
Ce n'est vraiment pas mon style de film, mais je voulais connaitre la fin, qui n'est pas si surprenante que celà lorsque l'on replace l'histoire dans les années 50 dans un milieu bourgeois.