Un film sans aucunes limites qui n'a pas vraiment de scénario et tout l'humour est basé sur des situations plus ou moins drôles et une mise en scène impulsive. Michael Youn ne pouvait pas faire mieux c'est à dire pas grand chose niveau scénario et encore moins niveau humour. Le montant du budget est sûrement la honte de l'année.
Grand moment de cinéma, un vrai spectacle, une origine story vraiment intéressante et satisfaisante, sons de qualité, personnages intéréssants, histoire au top, grand film
Grâce à le critique publiée par « ffred » et la une de son blog je me suis laissé tenter. Je ne le regrette pas. Michaël Youn est l’inverse de tout ce que je pouvais imaginer, à tord, j’en conviens. Son film est drôle et joue sur l’autodérision avec un humour forcé et déjanté. Mais un humour qui fait rire. Ce qui n’est pas toujours le cas dans ce genre de film. Tout le monde du showbiz en prend pour son grade. Stéphane Rousseau au mieux de sa forme ! Vincent Desagnat, Isabelle Funaro et Fabrice Eboué sont excellents. Armelle tout simplement hilarante. Catherine Allegret, Jean Benguigui à l’opposé de leurs images sont très drôles aussi. Bref … contre la morosité ambiante … je le recommande.
Ca ne vaut évidemment pas un déplacement au ciné, mais il y a de bonnes parodies sur la musique, la télévision et le showbiz; c'est donc loin d'être un désastre : même si habituellement Youn & sa clique me hérissent le poil, il y a du travail
ce film est excelent le scénario est bon et les acteurs sont bon . A noter en particulier mickael youn qui tient ici sont meilleur role ou il sort de son jeu d'acteur un peu lourd qu'il pouvait avoir parfois dans ses role précédant .
Bravo, Michaël Youn pour ton super film. Ce film est un pur moment de rigolade. Certaines répliques sont culte, certaines scènes à mourir de rire. Stéphane Rousseau excellent, dans son rôle. Le final est enorme, surtout le clash sensationnel.
Avec son générique d’enfer et la présentation de la « bête », le ton du film est donné. Cette parodie du rap ou plus généralement de l’univers musical moderne avec ses clips déjantés dominés par le sexe et l’argent, frappe juste. Les produits dérivés (« Savane Papy Brossard » à l’image de l’artiste, le parc d’attraction « Fataland », le parfum « Fatality : l’odeur de moi »), le fan avec un flacon d’urine de la star sur lui, les débuts de Fatal après ses deux jours à la Maison d’Arrêt de Fleury-Merogis pour un deal en pleine étape du Tour de Flandres (?) sont quelques exemples de l’humour qui règne dans le film. C’est parfois lourd (la statue/fontaine reproduction d’une femme nue, les scènes alcoolisées…) dans le pur style Youn/Desagnat. Heureusement, la critique est souvent pertinente. Le monde des médias et des stars en prend pour son grade avec ses présentatrices à fortes poitrines au QI proche de 0, ses nymphettes uniquement attirées par l’argent, ses producteurs sans principes etc. Le succès éphémère, la concurrence impitoyable du milieu avec ici un génial Stéphane Rousseau en chanteur star « d’électro-bio », vêtu tout de cuir moulant et écologiste (il fait caca dans son jardin, vend ses disques pour les koalas d’Australie menacés du SIDA car ils ne peuvent pas mettre de préservatifs avec leurs petites pattes…). Les dialogues sont du même tonneau (« La tournée des enculés », « Je suis nue sous mon string »…). La chute de notre rappeur puis son retour aux sources en Savoie loin des paillettes et sa tentative de reconversion au métier de berger sont également à mourir de rire. Sa quête de la fleur porte-bonheur sur les traces de son père et sa lutte avec le mouton enragé sont surréalistes. Le duel final dans l’émission TV termine le film en apothéose. Bref, derrière le déconnage ambiant se cache une part de vérité, une autocritique du système. Selon moi, Il s’agit sans conteste du meilleur film de Michaël Youn (et de loin !).
Je suis ni Stupéfait ni déçu par le film je m'attendais à quelque-chose de semblable, on voit que Michaël Youn a mit toute ses tripes dans ce film, et je n'ai pas souvenir en france d'avoir vu une comédie de ce genre, un style peu convenu, innovateur qui joue à fond sur la "peoplelisation" avec les Paparazis qui relate chaque faits et gestes des artistes !!! c'est plutôt bien imaginé même si je serais pas aussi élogieux que certains