Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
(...) Michael Youn réussit des débuts explosifs derrière la caméra, dans une savoureuse satire du showbiz avec un casting au diapason, Stéphane Rousseau en tête.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Avec un humour épatant de régularité, Youn n'épargne personne, à commencer par lui-même (...) S'il n'est pas encore Ben Stiller, Michaël Youn qui a occupé à peu près tous les postes sur le projet à part la cantine, impose une déconne extrêmement recommandable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Michaël Youn réalise son premier long métrage avec toutes les qualités et les défauts que cela comporte. Reste une comédie complètement barrée, qui porte définitivement la patte de son auteur. Le voilà désormais sur la bonne voie.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Proposant un univers cynique et sans concession plutôt efficace, celui que l'on a souvent aimé détester nous propose une surprise franchement pas désagréable, sorte de pendant français du cinéma de Ben Stiller ou des frères Farelly.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
On l'avoue : on a ri, beaucoup et souvent (...). Sa satire saignante et pertinente du monde de la musique et des médias prouve que derrière l'as de la provoc' se cache un auteur inspiré.
La première partie est drôle car Youn tape juste : animatrices de télé plus hystériques que nature, entourage prompt à folâtrer avec des mineures (l'ombre de dérives footballistiques récentes passe en piqué), vacheries adressées aux chorales caritatives type Les Enfoirés. La deuxième, plus convenue, se traîne. Il n'empêche : on s'est amusés.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Du gras et du moins gras, l'essentiel étant de tenir une heure et demie à fond. (...) Masochiste comme ces enfants qui cassent leur propres jouets en riant, Youn accepte même de se faire voler la vedette (...) avec un vrai talent burlesque par Stéphane Rousseau.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) un exercice entre introspection narcissique et opération marketing luxueuse, parsemé de blagues de potaches souvent navrantes (...) Ses fans seront, eux, sans doute heureux de se délecter d'un menu best of de ses facéties.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Mais le mordant réaliste, tantôt probant, s'évanouit lorsque Fatal retourne dans sa Savoie natale pour s'embourber dans la terre et le potache. Ne restera donc qu'une sorte de tableau moralisateur du circuit médiatique, (...).
Tout le film est assimilable à une crise d'angoisse géante, passant de la crispation à l'hystérie : humour dosé à la truelle, élan kamikaze des acteurs, à commencer par Youn lui-même, souffreteux comme jamais, dont le visage n'a sans doute jamais été aussi engourdi par la trouille.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le comique trash et régressif de Michaël Youn, ex-star du petit écran, passe-t-il le cap du cinéma ? (...) c'est désormais, hélas, une certitude : la réponse est non.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Michaël Youn devant et derrière la caméra. Sa comédie est, disons-le, cocasse, drôle et tendre à la fois, excessive. Et on ne s'en plaindra pas.
Metro
(...) Michael Youn réussit des débuts explosifs derrière la caméra, dans une savoureuse satire du showbiz avec un casting au diapason, Stéphane Rousseau en tête.
Première
Avec un humour épatant de régularité, Youn n'épargne personne, à commencer par lui-même (...) S'il n'est pas encore Ben Stiller, Michaël Youn qui a occupé à peu près tous les postes sur le projet à part la cantine, impose une déconne extrêmement recommandable.
Excessif
Michaël Youn réalise son premier long métrage avec toutes les qualités et les défauts que cela comporte. Reste une comédie complètement barrée, qui porte définitivement la patte de son auteur. Le voilà désormais sur la bonne voie.
Filmsactu
Proposant un univers cynique et sans concession plutôt efficace, celui que l'on a souvent aimé détester nous propose une surprise franchement pas désagréable, sorte de pendant français du cinéma de Ben Stiller ou des frères Farelly.
Le Journal du Dimanche
On l'avoue : on a ri, beaucoup et souvent (...). Sa satire saignante et pertinente du monde de la musique et des médias prouve que derrière l'as de la provoc' se cache un auteur inspiré.
Le Parisien
(...) une comédie satirique sur le rap bling-bling et le show-biz aussi drôle que grinçante. Carton assuré chez les ados.
Le Point
voir Le Point.fr
Metro
La première partie est drôle car Youn tape juste : animatrices de télé plus hystériques que nature, entourage prompt à folâtrer avec des mineures (l'ombre de dérives footballistiques récentes passe en piqué), vacheries adressées aux chorales caritatives type Les Enfoirés. La deuxième, plus convenue, se traîne. Il n'empêche : on s'est amusés.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Le trublion canarde tous azimuts le star-system, et c'est plutôt réjouissant malgré quelques lourdeurs.
Télérama
Du gras et du moins gras, l'essentiel étant de tenir une heure et demie à fond. (...) Masochiste comme ces enfants qui cassent leur propres jouets en riant, Youn accepte même de se faire voler la vedette (...) avec un vrai talent burlesque par Stéphane Rousseau.
20 Minutes
(...) un exercice entre introspection narcissique et opération marketing luxueuse, parsemé de blagues de potaches souvent navrantes (...) Ses fans seront, eux, sans doute heureux de se délecter d'un menu best of de ses facéties.
Les Inrockuptibles
Mais le mordant réaliste, tantôt probant, s'évanouit lorsque Fatal retourne dans sa Savoie natale pour s'embourber dans la terre et le potache. Ne restera donc qu'une sorte de tableau moralisateur du circuit médiatique, (...).
Ouest France
Humour gras, plaisanteries racoleuses, images frénétiques, montage allumé et bande-son tonitruante (...) le résultat est usant et fatigant.
Chronic'art.com
Tout le film est assimilable à une crise d'angoisse géante, passant de la crispation à l'hystérie : humour dosé à la truelle, élan kamikaze des acteurs, à commencer par Youn lui-même, souffreteux comme jamais, dont le visage n'a sans doute jamais été aussi engourdi par la trouille.
Le Monde
Le comique trash et régressif de Michaël Youn, ex-star du petit écran, passe-t-il le cap du cinéma ? (...) c'est désormais, hélas, une certitude : la réponse est non.