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    The Sky Crawlers
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    2,5
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    56 critiques spectateurs

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    Spider cineman
    Spider cineman

    154 abonnés 2 044 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 août 2021
    Du Oshii on s en réjouira pour la qualité de son animation des scènes d aviation, pour sa dimension esthétique et ce tempo contemplatif. La réserve c est une expression des visages de personnages assez classique de dessins animés. Cela détonne. Quand au tempo c est une chose d être dans l ordre du contemplatif, néanmoins au rythme sur lequel cela se déroule cela devient très ennuyeux par moment... d ou une note "moyenne", peut-être pas le meilleur de cet animateur japonais de génie
    HawkMan
    HawkMan

    180 abonnés 1 183 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 janvier 2021
    Voilà un animé dont le réalisateur est un génie et visionnaire mais qui, ici, ne surprendra pas et ne convaincra pas. On suit les aventures de jeunes pilotes de l'air dans un avenir où pour divertir des combats aériens ont lieu.
    Le film est beau esthétiquement mais souffre d'une lenteur et d'un ennui voulu par le réalisateur pour montrer le quotidien de ces jeunes pilotes dans la vie se révèle très ennuyeuse hormis durant les combats.
    Bref : pas l'animé de l'année assurément.
    Paul B
    Paul B

    48 abonnés 999 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2020
    Un film que j'aurais aimé adorer.

    Commençons par les bons points : Les animations des scènes aériennes sont irréprochables, le scénario est recherché et la touche philosophique est fort intéressante.

    Mais hormis ces trois bons points le film accuse de grandes longueurs, l'ennui se fait plusieurs fois sentir et les twists peinent à être tout à fait limpides.

    C'est dommage mais l'expérience est correcte quand-même.
    Florence
    Florence

    21 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 juillet 2019
    L'animation est minimaliste, les visages mono-expressifs. Le film est lent, je me suis ennuyée. L'histoire n'est pas très intéressante. Bref, je n'ai pas aimé.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 octobre 2017
    Dans le lent déclin du cinéma depuis le début des années 2000, dû à la répétition des mêmes recettes narratives et à l’application scrupuleuse du cahier des charges américain, surnagent tout de même aujourd’hui quelques expériences intéressantes dans les formes de la série télévisée, du documentaire et du film d’animation. Et lorsque cette dernière forme est réalisée par Mamoru Oshii, le créateur de « Ghost in the Shell », nous avons l’assurance de nous confronter à une entreprise audacieuse.

    Adapté d’une série littéraire écrite par Hirsohi Mori, un auteur très populaire au Japon, « The Sky Crawlers » décrit un monde alternatif en paix, mais dans lequel des sociétés militaires privées s’affrontent lors de shows télévisés à visée cathartique. L’œuvre de Mori présente donc une réflexion sur la guerre perpétuelle aux marges de l’Empire, l’illusion de paix maintenue dans les sociétés démocratiques occidentales, et l’influence néfaste des mass media qui mettent en scène des pilotes adolescents s’entretuant pour le plaisir sadique des téléspectateurs. Ce cadre et ces thématiques sont conservés par Mamoru Oshii, sans pour autant servir de simples prétextes à une trame narrative linéaire. Le réalisateur japonais s’attache plutôt à saisir une atmosphère et à suivre les pensées du jeune pilote Yuichi Kanami, affecté à la base aérienne Rostock 262. Animé de souvenirs vagues et d’impressions diffuses de déjà-vu, le personnage n’obtient guère de réponses à ses nombreuses questions, notamment en ce qui concerne le pilote qu’il remplace.

    « The Sky Crawlers » ne se résume cependant pas à une rêverie contemplative - cet adjectif étant souvent apposé poliment aux œuvres de Oshii pour ne pas les qualifier d’ennuyeuses- mais suit pas à pas une enquête digne des meilleurs films noirs. Quelques scènes de combats ponctuent également le récit, grâce auxquels nous retrouvons avec plaisir la maestria graphique du sensei, obsédé par le réalisme des détails dans sa reconstitution amoureuse de certains modèles d’avion, comme le Kyushu J7W1 piloté par Yuichi. Si les plans des dogfights sont des réussites, il convient cependant de reconnaître que la 3D utilisée pour l’exhibition des avions au sol ainsi que le character design sont très en-dessous de ce que les productions Ghibli nous proposent aujourd’hui. Mais là ne réside pas vraiment l’intérêt de cet anime.

    Oshii excelle plutôt dans les séquences de relâche entre deux combats aériens. Nous songeons alors à l’attente onirique et féérique vécue par l’aspirant Grange dans « Un balcon en forêt » de Julien Gracq, mais aussi aux réflexions sur l’oisiveté menées par Tolstoï dans « Guerre et Paix » : si « en vertu de notre nature, nous ne pouvons être à la fois oisifs et en paix », « toute une classe, la classe militaire, jouit de cette oisiveté qui lui est imposée et ne peut être blâmée ». L’onirisme transparaît dans la magie des lieux parcourus, la base aérienne, un « dinner » déserté le soir qui évoque les tableaux de Hopper, un manoir transformé en bordel, une cité polonaise fantôme et son bowling uniquement fréquenté par trois greluches. L’esquisse est nuancée de variations climatiques, averse, brouillard, ou plein soleil lors de l’arrivée de Yuichi à la base, et animée par les compositions sobres et aériennes de Kenji Kawai. Les meilleures séquences de Miyazaki reviennent alors à notre esprit, comme cette lente traversée mélancolique de l’héroïne vers la maison de la sorcière Zeniba dans « Le Voyage de Chihiro ».

    Cependant, ces lieux sont peuplés de figures étranges, et l’attente onirique devient souvent troublante et angoissante. La base est presque exclusivement habitée par des Kildrens, des adolescents qui ne peuvent grandir suite à des expériences génétiques fondées sur le clonage humain. Hormis Tokino, l’équipier de Yuichi, les pilotes semblent tous gagnés par une curieuse léthargie, répétant méthodiquement les mêmes gestes, le pliage d’un journal, la lecture de magazines, dans l’attente des directives du commandant Suito Kusanagi, une jeune brunette taciturne et secrète. Une brève allusion à Albert Camus faite par cette dernière initie d’ailleurs le véritable propos du film, que certains critiques qualifient abusivement de hautement métaphysique : l’absurdité de la condition humaine, la répétition d’actions vaines de sens dans un monde inintelligible, la recherche de la grâce dans un monde sans Dieu, le salut par le suicide ou la nécessité d’une révolte. Si Mamoru Oshii aime à souligner son goût prononcé pour la culture et la philosophie occidentales, pour la religion chrétienne aussi, il le fait heureusement sans aucune lourdeur et rend cet hommage purement cinématographique. Le film, sans jamais être tout à fait obscur ou alambiqué, joue ainsi sur des effets de décalage, d’incongruité, de répétitions et de variations extrêmement subtils et à peine perceptibles lors d’un premier visionnage. La réflexion sur l’absurde ne consiste pas en de longues tirades développées par les personnages, mais constitue la matière même des images vues par le spectateur, selon un travail méticuleux dans lequel le montage occupe une place prépondérante.

    La quête initiatique menée par Yuichi se dérobe à un cheminement narratif classique, avec des étapes à franchir vers une maturation ou une définition finale garantie. Cette quête est avant tout une interrogation ouverte sur l’identité, aboutissant à une réflexion plus large encore sur le pouvoir de représentation de l’art cinématographique. Dépassant le simple discours inhérent à ses thématiques de prédilection, l’éternel retour et les multivers par exemple, Mamoru Oshii rend à l’écran, fait sentir et percevoir au spectateur cet entre-deux intrigant de l’adolescence. Loin, très loin des fumisteries psychologisantes sur la nécessité du passage à l’âge adulte ou sociologisantes sur les générations « Peter Pan » X,Y ou Z, Oshii montre en effet l’adolescence comme un état d’âme plus qu’un état d’esprit, et crée un sentiment constant de gêne et de malaise autour de la question de l’identité. « Le Professeur », cet adulte invincible que tous les jeunes pilotes tentent en vain d’abattre, véritable boss final de jeu vidéo (cette piste n’est pas la plus riche…), se pose ainsi comme une sorte de « McGuffin » moqueur de la vaine quête du père. Les Kildrens rappellent par là même les adolescents esseulés mis en scène par Larry Clark ou David Lynch, ou dans une certaine mesure ceux de la série « Skins » : des êtres un peu monstrueux, aux facultés de destruction et d’autodestruction très prononcées, fumant, buvant, baisant.

    Là où « The Sky Crawlers » surclasse moult anime, c’est justement dans son appréhension fine et subtile de l’érotisme, qui ne se cantonne pas à un érotisme édulcoré de la découverte, ou à une peinture des premiers émois amoureux. Tandis que Miyazaki est toujours un peu gêné aux entournures avec les corps de ses personnages, en raison même de l’âge des héroïnes choisies et d’une certaine partie du public visé, procédant par sous-entendus et allégories, Mamoru Oshii rend la passion et le sexe dans toute sa beauté, sa violence et sa gêne incommensurable. Le grand jeu de répétitions et de variations trouve ici sa raison d’être, dépasse le cadre gratuit d’un puzzle formel. spoiler: La véritable passion que nourrissent Suito et Yuichi est à la fois sans cesse nouvelle et connue, de la même manière que le héros connaît constamment la même prostituée adulte. La question que Yuichi se pose à la fin du film, « Sur une même route, on peut voir des choses nouvelles. N’est-ce pas une raison suffisante pour vivre ? Ou est-ce que ça ne suffit pas ? » doit d’abord se comprendre à l’aune des virtualités amoureuses. Le commandant Suito est ainsi habitée par une rage effrénée pour retrouver l’intensité dans la répétition, hantée par le suicide, désirant le meurtre définitif de son amant, se livrant toujours à lui la même nuit dans un cottage mystérieux, ou s’abandonnant à la prostitution afin de s’accaparer, jalousement, la première expérience sexuelle d’un avatar de Yuichi et d’en priver sa rivale, si proche d’elle. Cet absolu amoureux qui se dérobe sans cesse, ne se retrouvant que dans une surenchère constante des démonstrations passionnelles, dévoile des gouffres de sensations et d’émotions excessivement troublants. « Le Professeur », le père lointain, comme la fille du commandant, qui grandit et atteint bientôt l'âge de sa mère, apparaissent dès lors comme des extensions superfétatoires de l'idylle amoureuse. Le personnage de Miduri Mitsuya, jeune pilote éprise de Yuichi, surgit également de manière ironique, comme une possibilité de scénario plus classique, un amour adolescent plus convenu qu’Oshii rend justement intéressant en n’en conservant que la déconvenue.


    « The Sky Crawlers » répond à toutes les questions que son intrigue soulève, ne dédaignant pas certaines pistes comme le faisait « Ghost in the Shell », tout en laissant des espaces à des rêveries profondes et interrogeant longtemps le spectateur non sur son contenu, mais sur les émotions qu’il crée. Cet art de Mamoru Oshii, toujours guidé par une recherche esthétique riche et exigeante, trouve son incarnation formelle dans le basset, motif récurrent d’expérimentations diverses et proprement cinématographiques. Il est grand temps que ce chien aboie à nouveau !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 mars 2016
    Ce qu'il faut bien tenir à l'esprit dans cet animé, c'est que la guerre que ce livre deux société Rostock et Lautern ne sont enfaite que pour maintenir la paix. La guerre n'est pas entre deux pays mais fais intervenir des enfants (adolescents) qui ne peuvent pas grandir. Les combats ont lieux en europe ce qui permet au gens "normaux" d'aimer la paix car il ne sont pas impliqué dans la guerre et eux ne risque rien même si elle se déroule autour d'eux. Le mouvement des personnages n'est certes pas très actif, mais l'histoire, les avions et les combats aériens sont très beaux et bien réalisé
    this is my movies
    this is my movies

    706 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2015
    Ce n'était sans doute pas la meilleure façon de m'initier au style M. Oshii, cinéaste ultra-célébré suite à une oeuvre culte mais qui peine à trouver un successeur. Voilà donc un film rempli de mystères et qui n'explique pas du tout son contexte si ce n'est grâce à la jaquette du DVD ou de certains résumés mensongers. Attention, ce n'est pas un film d'action alors qu'il aurait très bien pu s'inscrire dans une variation de "Hunger Games". Evidemment, le film d'Oshii n'a pas grand chose à voir et son sens philosophique est assez profond mais je regrette vraiment qu'il n'ai pas développé cet univers qui promettait d'être d'une richesse incroyable. Son message final est assez difficile à décrypter ou bien les réponses sont d'une terrifiante simplicité et assez naïves. Le mystère est partiellement levé au fil du film qui propose quelques séquences aériennes à l'animation d'une rare virtuosité, avec une esthétique sublime. L'animation est d'une qualité assez exceptionnelle et dans son domaine, Oshii a peu de rivaux mais c'est un peu lent et creux, parfois trop nébuleux mais le film mérite sans doute plusieurs visions. Ce ne sera pas mon cas vu que cette opacité m'a rebuté et qu'il reste assez long et lent (ce qui donne l'occasion de bien regarder les centaines de détails graphiques de cette oeuvre complexe). D'autres critiques sur
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 juillet 2013
    Une grosse déception.
    Les scènes d'action sont superbes, un vrai chef d'œuvre d'animation mais le reste.... les personnages sont mal dessinés et peu expressifs ce qui fait qu'on les regarde de loin sans s'attacher à leurs problèmes existentiels.
    L'intrigue est volontairement (?) peu explorée et beaucoup de questions restent en suspens. On en sort sur notre faim et avec une impression de gâchis.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 343 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2015
    Si on vous a vendu ce film comme du grand spectacle à base d’avions futuristes qui se rentrent dans le tas tous les cinq minutes, effacez tout de suite cette image de votre tête. Ce film, pour l’occasion, est un pur Oshii. C’est lancinant, contemplatif, presque blasé. Seulement voilà, ça n’en reste pas moins, à mon sens, totalement fascinant. Ce mec a vraiment une capacité particulière à créer une atmosphère dans laquelle on peut adorer se perdre. Moi en tout cas ce fut mon cas. En ce sens, ce « Sky Crawlers » est pour moi une vraie réussite ; un merveilleux film intimiste sans cesse sur la brèche… Que c’est bon…
    Shephard69
    Shephard69

    337 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 juin 2013
    Visuellement c'est magnifique. On atteint une virtuosité technique exceptionnelle dans les expressions de visage des personnages et les séquences aériennes mais quel ennui ! Scénario incompréhensible ou inexistant par moments, pas de rythme ou si peu. Bref un navet !
    NeoLain
    NeoLain

    4 997 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 mai 2013
    Et comme toujours voilà un synopsis croustillant pour Mamoru Oshii, et comme assez souvent, l'ensemble n'est pas toujours au meilleur aboutissement. Cependant, il est pas question de passer à coter de ses réalisations parmi les plus importantes dans le monde de la Japanim. Imaginez que le monde est en paix, plus aucune guerre. Mais, afin de divertir la population, des organismes privées de l'armée décident de faire du renouveau en recrutant des jeunes pilotes bien mystérieux. Niveau graphisme pas de problème, niveau histoire problème il y à. Malgré le sujet profond, il se limite dans le brouillon au lieu de prendre complètement un envol.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 février 2013
    Chefs d’œuvre qu'est ce film.

    Très dur à voir de par sa tristesse, sa cruautés que ce soit sur le plan physique et émotionnelle ; nous montre toute la vérité sur l'homme, entre paix et guerre, que faux t'il pour subsisté, faut ils obligatoirement qu'un groupe souffre pour que la paix règne, en vaux telle vraiment la peine. Que choisir ?

    Ne vous fier pas à la bande annonce, l'action n'es qu'au second plans. Nous suivons la route de plusieurs Kildrens, ados qui ne peuve vieillie, la seul solution pour mourir et de se faire tuer, toute leur vie n'est que de cela, tué ou être tué. Ni passé, ni future. Mais ce ne sont pas des machines, ils ont des émotions.

    Cette guerre créée par des sociétés qui maintiennent la paix dans le monde ou tout simplement un business, un divertissement mais, au pris de vie vouée à tuer et à mourir "les Kildrens" quand il nous raconte ce qu'il pense, ce qu'il se souvienne, l'enfer qu'il vive, on ne peux pas être indifférent. Cruelle destine me dirais vous, un véritable enfers.

    spoiler: De plus, le fait qu'une fois tué, ils les refont vivre tout en effacent leur mémoire, ça doit être un enfer pour le reste de l'équipe et le Kildrens qui recherche ses souvenirs de jeunesse alors qu'il en a pas réellement


    Je ne vais pas en dire plus sur l’histoire le mieux est de visionner le film est de se faire sa propre idée. Car racontée mon avis n'a jamais étais chose aisé.

    Sur le plan technique, c'est du grand are (visionné en blu-ray), les détails par-ci par là nous plonge dans cette histoire. La musique d'une tristesse pour ressentir encore plus ce que le réalisateur à voulut faire passer comme message (avec homme cinéma 5.1). On en est envoûtée.

    Je le conseille fortement, mais attention, vous en ressortirez pas indifférent
    Pour ce qui recherche uniquement un film d'action, s'abstenir.
    selenie
    selenie

    6 285 abonnés 6 191 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 juin 2012
    Le réalisateur du chef d'oeuvre "Ghost in the shell" revient avec un autre film dont la jaquette du DVD indique "nouveau chef d'oeuvre"... Mouais... Si il est vrai que ce film est un manga qui sort des sentiers battus il n 'en demeure pas moins qu'il pêche par la qualité de l'animation.Exception faite des scènes aériennes (et les plans sur l'océan) qui sont parmi les plus belles vus dans ce genre de film, la qualité des personnages (et du chien !) sont très médiocres voire très laides ; aucune expressivité des visages, couleurs palottes les scènes avec les personnages contrastes avec le réalisme et la qualité des scènes aériennes. Outre cette déception le scénario est très pauvre en action (les scènes de bataille dans les airs sont magnifiques) et le rythme particulièrement lent ; il ne se passe pas grand chose et ça reste peu attractif. Un film râté malgré un certain potentiel gâché aussi par l'émotion absente (animation des personnage en cause).
    Freaks101
    Freaks101

    149 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2012
    J’avais laissé Mamoru Oshii avec le très abscons « Ghost in the shell 2 », on retrouve dans « Sky crawlers » plusieurs de ses thématiques, développées à travers le point de vue des « killdren » sorte d’enfants éternelles créés génétiquement pour faire la guerre dans les airs. Au programme donc, réflexion existentialiste à la « Blade runner », questionnement sur la représentation guerrière, le tout dans une narration languissante et poétique à contre courant des productions actuelles. Quant aux fameux combats aériens, c’est carrément du jamais vu, utilisant plusieurs techniques d’animation différentes, Oshii restitue à merveille l’impression d’apesanteur et de vertige que l’on peut ressentir dans les airs, s’affranchissant des limites du cadre et de l’espace comme personne, c’est surtout dans ce domaine que « Sky crawlers » relève de l’inédit.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 avril 2011
    bon c'est un excellent film d'animation japonais. une histoire très intéressante qui laisse a réfléchir, c'est une vrais histoire a la japonaise. je donne pas la note maximal car je trouve que la fin aurait put être plus travailler enfin c'est un avis personnel mais sa n'enlève pas la qualité du film. je le conseille a tout les personne qui aime les animations japonaise ou qui cherche un scénario réfléchi.
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