Derniers Avis : Gigantic - Page 2

En fait....le film est nul, meme Zoey Deschannel plutot craquante dans 500 jours ensemble (malgré cette impression qu'elle est toujours en train de planer) est a vomir (couché en 20 min ? comme ça avec un inconnu,en pleine journée dans la voiture de son pere, normal) L'histoire est bidesque et sans interet, il n'y a pas de fond presque pas de forme a quoi sert le sdf ? Pourquoi le personnage principal (dont l'acteur n'est pas convaincant il ne fait pas 28 ans mais plutot 18) veut adopter une gosse qui vient de Chine ? (Et j'en passe) je ne sais pas, je ne sais pas si ça été dit parce que l'histoire ne me donnait pas envie de la suivre le film est lent sans dynamisme et beaucoup de scenes ne servent a rien
3/20

le scénario est celui d'un jeune garçon qui vend des matelas. Une fille tombe sur un de ses matelas, et tombe amoureuse de lui spontanément. Ils couchent presque immédiatement, mais dans une voiture.Sans doute le raz le bol de la literie.
Le jeune garçon pourrait être la solution au problème de la jeune fille décidée à obtenir un enfant. Mais elle apprend que le jeune garçon attend un bébé (?) et cela la place donc en concurrence. En fait c'est une ancienne demande d'adoption pour un bébé chinois qui refait surface. Le jeune H souhaite un bébé chinois depuis l'âge de 8 ans. Inutile de la contrarier car c'est son choix manifestement, et déjà petit préfèrait cela au cadeau d'un vélo. Un garçon bien normal. Mais cela compromet (on ne sait d'ailleurs pourquoi) la rencontre du jeune couple, car le bébé débarque soudainement, de façon inattendue. Le film baigne dans une atmosphère absolument glacée de famille juives (paradoxe), ou chacun fait semblant de s'émouvoir ou de s'intéresser faussement à l'autre. Au point que ce faux enthousiasme devienne systématique, tout autant que les faux sentiments creux développés par les familles réciproques. Jusqu'à la mère qui a oublié qu'elle avait une fille...C'est une peinture d'individus, mais le thème n'a rien de passionnant. Le schéma de départ aurait pu être un canon scénaristique, mais il s'effondre dès que le jeune couple passe à l'acte, enfin on voit la voiture bouger.Soit après une 1/2H seulement. Quel dommage. A noter que paul dano (le jeune garçon) n'a rien de très séduisant. Il est même repoussant dans la dernière partie du film. Ah, on ignore pourquoi, tout le long du film, un SDF (qui a parfois une carabine) s'en prend physiquement à lui et tente par tous les moyens de le démolir. Mais cela le laisse totalement indifférent et il feint d'ignorer les coups de barre de fer, la balle qu'il extraira lui même de son mollet, les agressions diverses de ce SDF inconnu et qui le traque. Il simulera que rien ne s'était passé.Quel lien ?!? Quel rapport, on ne le sait pas.Est-ce une vision de son esprit ? Et pourtant il revient à chaque fois marqué de coups. Enfin tout au long du film les acteurs passent leur temps à manger, à boire, à surtout vomir systématiquement et en toutes circonstance. Que du bonheur ce film. Autant s'y préparer à l'avance. Mais j'ai bcp apprécié le tout début, assez original.

Un jeune homme célibataire vendeur de literie de luxe en plein cœur de New York ne vit que dans l’espoir que son projet d’adoption d’un enfant chinois aboutisse. Petit dernier d’une famille, il paraît fragile et en décalage avec ses 2 frères aînés ayant réussi dans la vie. Puis, il rencontre une jeune fille aussi « à l’ouest » que lui.
L’objectif de ce jeune cinéaste indépendant américain est de réaliser une comédie romantique gentiment décalée. Le côté décalé est bien présent, trop présent, car çà manque de talent ; on est loin de David Lynch. Le désir de faire un film surréaliste et excentrique finit par l’emporter sur le propos.
Le parallèle entre ce jeune homme et les rats de laboratoire présents à intervalle régulier dans le film tente d’apporter un peu d’onirisme au film. Mais là encore, c’est maladroit.
Dommage car on se laisse transporter tout de même par ce film non-conformiste… Attendons son 2nd long métrage.

Un joli film, lent, long, décalé, surprenant c'est ainsi qu'on pourrait le définir, gigantic a donc de jolis atouts en sa main en commençant par ses acteurs et ses personnages comme Paul Dano (en vendeur de lit), la sublime Zooey Deschanel, les personnages des pères de Happy John Godman (un père riche et grande gueule qui se fait transporter allongé dans sa voiture à cause d'un soit disant problème de dos) et Brian sont géniaux ainsi que quelques personnages secondaires assez fous, côté scénario c'est simple mais sympa Brian, enfant tardif d'un couple cinquentenaire a grandi et est devenu vendeur en literie.
Un jour un riche client va lui acheter un lit, à la suite de quoi il va rencontrer sa fille, la jolie Happy (toujours un peu dans les même rôle de fille décalée ou perdue cf: 500 jours ensembles, H2G2...), à celà s'ajoute quelques scènes assez cocaces ou de pures délires où le perso principal se fait agresser par un sdf (peut être y a t'il une signification à ces scènes violentes, je ne sais pas il faut chercher)!
Bref une jolie comédie romantique, que vous ne regretterez pas de découvrir, du délire et du délixe!

De grands atouts pour ce film : Indépendant, Paul Dano (très bon dans Little miss sunshine) et Zooey Deschanel (Que dire de plus?). Pourtant ça ne passe que moyennement. Premièrement, du à un manque d'ambiance. C'est déja relativment plat dans les dialogues, mais je pense que le film aurait gagné à avoir une soundtrack plus fournie. Quelques petits passages à vide (les champignons,...) et des moments plus difficile, au final la relation principale n'est pas très approfondie et c'est vers la fin qu'on se rend compte que, bien que peu ai été dit, la relation est vraiment importante pour les deux personnages. Deux personnages au passage intéressant : Abby, enfant choyée, qui face à la vie ne sait décidémment pas ce qu'elle veut, et Brian, au contraire, le sait parfaitement. Cependant ne vous faites pas trop d'illusion, l'histoire d'adoption n'est pas non plus le centre de l'histoire (bien ou pas, moi ça ne m'a pas dérangé). Et puis cette histoire de SDF qui, en plus ne rien n'apporter, n'est ni très crédible, ni très sensée. Au final on se demande ce qu'elle fait là. En dehors de ça, malgré que le film veule en faire de trop (ajoutez à ce que j'ai déja cité, la famille, ça fait beaucoup...), on passe un très bon moment ne serait-ce que pour le jeux de Zooey et une fois le générique enclanché, on demande à connaître la suite, qui promet d'être bien plus remplie de bonheur mais pour cela il faudrat voir avec votre imagination.
NB : Je pense que la platitude du film dans les scènes longue provient essentielement de la VF, exécrable, aussi je vous le conseille en VO, laquelle à l'air bien mieux (Zooey quand tu nous tiens...)

Commençons par les remarques qui fâchent.Ca tombe sur "Gigantic",mais ça aurait tout aussi bien pu s'adresser à un autre film en provenance du ciné indépendant américain récent.Pourquoi faut-il travailler absolument le côté décalé de l'oeuvre?Pourquoi les dialogues absurdes sont-ils nécessaires?Pourquoi le personnage principal est-il nécessairement en crise?A force d'opter pour le même angle,tous ces films finissent par plus ou moins se ressembler.Ceci étant dit,"Gigantic" est tout à fait recevable,ne serait-ce que par ce qu'il ne tente pas de tout expliquer et laisse évoluer des caractères en marge de la société courante.Paul Dano,jeu minimaliste,intensité maximale,incarne un vendeur de literie taiseux,ayant de l'affection à revendre,étouffé par la réussite du reste de sa famille,et mystérieusement agressé par un SDF(dont la présence est obscure).Zooey Deschanel,délicieuse quoi qu'elle fasse,est une fille à papa lunaire,sensible et ne sachant pas trop quoi faire de sa vie.La rencontre de ces 2 âmes égarées ne tombe pas sous le sens,d'autant que leur relation est compliquée par des non-dits et questionnement existentiels.Avec aussi la présence d'un John Goodman croustillant,en juif pince sans rire.Une comédie dramatique attachante et singulière.

Film tout simplement nul!

Une sacrée perte de temps et un bon gros gaspillage d'argent...

Film très décalé avec la ravissante Zooey Deschanel. On est embarqué dans cette histoire très lente sans réellement savoir où l'on va. Les dialogues sont parfois saugrenus ce qui apporte une poésie à ce film de Matt Aselton. Au final film difficile à décrire mais plutôt sympa.

Gigantic n'est pas accepté au scrabble, ce mot n'existe pas.

Ce film est vraiment original et différent de tout ce qu'on peut voir habituellement. En le regardant, on se demande souvent "pourquoi" mais c'est ce qui donne envie d'en savoir plus. En effet, l'histoire se passe principalement dans un magasin de lits, assez spécial non? Mais en fait, on est vraiment attentif à tout ce qui se passe, même si parfois, les scènes sont longues et lentes. Mais le film est bourré d'humour, de tendresse, de douceur et on ne peut qu'adhérer à cette jolie histoire d'amour.

Trop lent, scénario trop mince, "Gigantic" peine à captiver notre attention. Dommage lorsque l'on connaît le potentiel de ses deux acteurs principaux.

Très déçu, il y a bien quelques scènes marrantes mais l'ensemble est sombre et sans saveur, c'est lent. Ce n'est pas décalé, c'est incohérent. Heureusement qu'il y avait Zooey sinon je ne l'aurais jamais regardé jusqu'à la fin.

"Gigantic" prouve que le comique déflationniste à la Wes Anderson ou Noah Baumbach (les berkman se séparent) est un art périlleux : ici rien ne marche. On terriblement gêné de voir les intentions des auteurs s'étaler sans subtilité dans un pseudo-décalage qui ne débouche sur rien d'autre qu'un ennui profond. L'étoile, c'est uniquement pour Zooey Deschanel, qui, comme d'habitude, est à tomber. Elle parvient même à sauver le peu de face que son personnage lui permet...

Tout simplement ennuyeux. Le film de Matt Aselton est mal écrit, mal interprété, aux scènes parfois saugrenues (les attaques du clochard notamment) et à la trame aussi vaine qu'intéressante. Aucun charisme de la part des acteurs, surtout venant de John Goodman, des dialogues creux, une ambiance plate, un rythme lent, une musique souvent effacée, contrastant des plans parfois ingénieux et gracieux (la scène de la piscine, les flashbacks de Goodman). Pourtant Gigantic avait l'air malin, original et sympathique. Il en est au final tout le contraire. Bref, pour un premier film, Aselton se rate en voulant insuffler à son long-métrage un côté unique, mêlant maladroitement burlesque et sujet sérieux, le tout sous l'apparence bizarroïde d'un film indépendant à la Garden State.

Une comédie sentimentale un peu loufoque mais attendrissante. Agréable à suivre, délicate, et parfois poétique.