Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Excessif
par Jérôme Beales
Malgré quelques fautes de goût en fin de parcours (les incrustations d'anges numériques notamment) et une dernière scène manquant de finesse, on ressort conquis de ce My Own Love Song attachant de par son absence totale de cynisme. Cette jolie histoire aux personnages forts fait décidément du bien au moral.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Dans ce road-movie émouvant, Forest Whitaker incarne Joey, un ancien pompier devenu schizophrène après la mort de ses proches dans un incendie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
(...) ce road movie teinté d'onirisme puise ses charmes dans sa simplicité même. Cette jolie chanson d'amour vous ira droit au coeur.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Brazil
par Alexandra Louvet
Dahan n'a pas changé, c'est un coeur pur et sensible. My own love song est sans doute son film le plus serein, le plus optimiste. (...) Zellweger n'apporte pas la touche sensible attendue (...) Whitaker, lui aussi, est en mode mineur...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
"L'absence totale de prétention métaphysique, le prosaïsme même qui est la marque de Dahan finissent par tutoyer l'esprit enfantin du conte, notamment cette manière de renvoyer toute figure ou tout espace à sa plus pure immédiateté."
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Hélèna Villovitch
Il faudrait faire preuve d'un bien grand cynisme pour soupçonner que l'on cherche le pathos...Alors, on se laisse aller.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Monde
par Thomas Sotinel
Malgré cette divinité tutélaire, My Own Love Song reste un album d'images qui se font de plus en plus sentimentales au fil des miles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La rédaction
Un film à entendre plus qu'à voir.
Première
par Gaël Golhen
My own love song séduit alors par son naturalisme et sa croyance absolue dans le pouvoir de la fiction. Mais déçoit lorsqu'il sombre dans une fantasmagorie tape-à-l'oeil et naïve...
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
La Croix
par Julien Fournier
(...) bande-son composée par Bob Dylan, second rôle de Nick Nolte (...) le tout baignant dans une atmosphère naïve revendiquée. Ce dernier aspect, parfois excessif, reste la principale faiblesse du film.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
voir le point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Christine Haas
(...) Olivier Dahan signe ce premier film hollywoodien en forme de conte naïf, où il ne ménage ni les gerbes de couleurs, ni les dialogues avec les anges...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
Méli-mélo assez navrant de naïveté, contant l'amitié forte d'une ex-chanteuse handicapée et d'un doux dingue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Romain Génissel
My Own Love Song s'autorise tellement de mouvements d'appareil suspects, de lyrisme de pacotille ambiance-retransmission-télévisée que finit par naitre de cette " féérie humaniste " (dossier de presse) une sorte de farce pompière menaçante pour n'importe quel sens averti.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Fabrice Pliskin
Bon produit d'exportation, " la Môme " Piaf masquait par sa riche matière mythologique l'académisme de Dahan, qui éclate ici, quand il veut mimer le cinéma indépendant et la fantaisie de Spike Jonze ou de Michel Gondry. Forest Whitaker joue Joey, un simple d'esprit qui entend des voix et parle aux fantômes. Hélas, chaque fois que Joey bégaie, on croit entendre le mot " Os... Os... Oscar ".
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Hubert Lizé
Ode lourdingue à la marginalité (...) le film d'Olivier Dahan, (...) baigne dans une philosophie hippie assez fumeuse et souffre d'une invitation à l'émotion surlignée à chaque plan.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Thomas Pietrois-Chabassier
Autre recette imparable du film : amoindrir physiquement ou mentalement des personnages, dans une stratégie prêt-à-pleurer de prise en otage du spectateur. Très indigeste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Mélo embarrassant...
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par La rédaction
Un film indigeste, dégoulinant de bonnes intentions.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Grégory Valens
Si la réussite de La Môme avait brouillé les cartes, la nullité consternante du premier long métrage made in USA d'Olivier Dahan vient confirmer que le biopic était avant tout un film de producteurs (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Les bons sentiments ne font pas nécessairement les bons films. Preuve en est une nouvelle fois donnée avec ce road-movie (...) Tout ça pèse des tonnes, à l'image du cabotinage de Whitaker. Les audaces formelles malheureuses (incrustation de petits oiseaux animés sur la fin, par exemple) achèvent de couler l'entreprise.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Excessif
Malgré quelques fautes de goût en fin de parcours (les incrustations d'anges numériques notamment) et une dernière scène manquant de finesse, on ressort conquis de ce My Own Love Song attachant de par son absence totale de cynisme. Cette jolie histoire aux personnages forts fait décidément du bien au moral.
Le Figaroscope
Dans ce road-movie émouvant, Forest Whitaker incarne Joey, un ancien pompier devenu schizophrène après la mort de ses proches dans un incendie.
Télé 7 Jours
(...) ce road movie teinté d'onirisme puise ses charmes dans sa simplicité même. Cette jolie chanson d'amour vous ira droit au coeur.
Brazil
Dahan n'a pas changé, c'est un coeur pur et sensible. My own love song est sans doute son film le plus serein, le plus optimiste. (...) Zellweger n'apporte pas la touche sensible attendue (...) Whitaker, lui aussi, est en mode mineur...
Chronic'art.com
"L'absence totale de prétention métaphysique, le prosaïsme même qui est la marque de Dahan finissent par tutoyer l'esprit enfantin du conte, notamment cette manière de renvoyer toute figure ou tout espace à sa plus pure immédiateté."
Elle
Il faudrait faire preuve d'un bien grand cynisme pour soupçonner que l'on cherche le pathos...Alors, on se laisse aller.
Le Monde
Malgré cette divinité tutélaire, My Own Love Song reste un album d'images qui se font de plus en plus sentimentales au fil des miles.
Ouest France
Un film à entendre plus qu'à voir.
Première
My own love song séduit alors par son naturalisme et sa croyance absolue dans le pouvoir de la fiction. Mais déçoit lorsqu'il sombre dans une fantasmagorie tape-à-l'oeil et naïve...
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live
La Croix
(...) bande-son composée par Bob Dylan, second rôle de Nick Nolte (...) le tout baignant dans une atmosphère naïve revendiquée. Ce dernier aspect, parfois excessif, reste la principale faiblesse du film.
Le Point
voir le point.fr
Paris Match
(...) Olivier Dahan signe ce premier film hollywoodien en forme de conte naïf, où il ne ménage ni les gerbes de couleurs, ni les dialogues avec les anges...
Télérama
Méli-mélo assez navrant de naïveté, contant l'amitié forte d'une ex-chanteuse handicapée et d'un doux dingue.
Critikat.com
My Own Love Song s'autorise tellement de mouvements d'appareil suspects, de lyrisme de pacotille ambiance-retransmission-télévisée que finit par naitre de cette " féérie humaniste " (dossier de presse) une sorte de farce pompière menaçante pour n'importe quel sens averti.
L'Obs
Bon produit d'exportation, " la Môme " Piaf masquait par sa riche matière mythologique l'académisme de Dahan, qui éclate ici, quand il veut mimer le cinéma indépendant et la fantaisie de Spike Jonze ou de Michel Gondry. Forest Whitaker joue Joey, un simple d'esprit qui entend des voix et parle aux fantômes. Hélas, chaque fois que Joey bégaie, on croit entendre le mot " Os... Os... Oscar ".
Le Parisien
Ode lourdingue à la marginalité (...) le film d'Olivier Dahan, (...) baigne dans une philosophie hippie assez fumeuse et souffre d'une invitation à l'émotion surlignée à chaque plan.
Les Inrockuptibles
Autre recette imparable du film : amoindrir physiquement ou mentalement des personnages, dans une stratégie prêt-à-pleurer de prise en otage du spectateur. Très indigeste.
Libération
Mélo embarrassant...
Metro
Un film indigeste, dégoulinant de bonnes intentions.
Positif
Si la réussite de La Môme avait brouillé les cartes, la nullité consternante du premier long métrage made in USA d'Olivier Dahan vient confirmer que le biopic était avant tout un film de producteurs (...).
TéléCinéObs
Les bons sentiments ne font pas nécessairement les bons films. Preuve en est une nouvelle fois donnée avec ce road-movie (...) Tout ça pèse des tonnes, à l'image du cabotinage de Whitaker. Les audaces formelles malheureuses (incrustation de petits oiseaux animés sur la fin, par exemple) achèvent de couler l'entreprise.