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Votre avis sur La Vague ?
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Un film plein d'esprit et de sagesse, mais qui, selon moi, se déroule un peu trop vite, une semaine pour faire changer les têtes et vaciller dans l'autocratie, ça me parait un peu rapide (mais bon, puisque c'est inmspiré de faits réels...). Les acteurs jouent très bien et le rythme de l'histoire fluide. Un peu déçu par la fin, qui aurait pu être plus conséquente, du genre, les policiers qui emmènent Rainer portent un discret logo de la vague et le prof s'aperçoit que son idée est loin d'être finie.
Si vous pensiez que le pire de l’Allemagne était derrière nous, c’est que vous ne vous êtes jamais penchés sur leur cinéma.
Adaptation d’un best-seller littéraire, ce film de Gansel se veut une fine mise en garde contre le retour du fascisme. Au lieu de cela le réalisateur allemand nous offre un très lourd concentré de clichés sur la génération Y, le tout sans doute filmé avec la webcam de l’ordinateur familial. Si vous êtes nostalgiques des films passés par vos professeurs de langue avant les vacances de noël, foncez. Si au contraire vous cherchez à passer un bon moment devant un film intéressant et intelligent, fuyez.
Il faut tout de même reconnaître un début d’intérêt avec le plot twist (tournant pour les fâchés avec la langue de Shakespeare (l’anglais pour les moins cultivés)), dommage qu’il faille attendre 1h30.
En bref une mauvaise série pour ado qui a mal vieilli alors qu’elle n’est pourtant pas si vieille.
Adaptation d’un best-seller littéraire, ce film de Gansel se veut une fine mise en garde contre le retour du fascisme. Au lieu de cela le réalisateur allemand nous offre un très lourd concentré de clichés sur la génération Y, le tout sans doute filmé avec la webcam de l’ordinateur familial. Si vous êtes nostalgiques des films passés par vos professeurs de langue avant les vacances de noël, foncez. Si au contraire vous cherchez à passer un bon moment devant un film intéressant et intelligent, fuyez.
Il faut tout de même reconnaître un début d’intérêt avec le plot twist (tournant pour les fâchés avec la langue de Shakespeare (l’anglais pour les moins cultivés)), dommage qu’il faille attendre 1h30.
En bref une mauvaise série pour ado qui a mal vieilli alors qu’elle n’est pourtant pas si vieille.
"𝓓𝓲𝓮 𝓦𝓮𝓵𝓵𝓮" est un film allemand de 2008 adapté du livre " 𝐿𝒶 𝒱𝒶𝑔𝓊𝑒 " de Todd Strasser. Inspiré de l'étude "𝐋𝐚 𝐓𝐫𝐨𝐢𝐬𝐢è𝐦𝐞 𝐯𝐚𝐠𝐮𝐞 ", qui relate l'histoire vraie d'un professeur de lycée californien; qui en avril 1967, a tenté d'expliquer et de faire comprendre à ses élèves, ce que pouvait/pourrait être une autocratie...
Livre " Best Seller " et film " 𝓛𝓪 𝓥𝓪𝓰𝓾𝓮 " à voir, sans conteste
Livre " Best Seller " et film " 𝓛𝓪 𝓥𝓪𝓰𝓾𝓮 " à voir, sans conteste
Dès qu'un film est inspiré d'une histoire vraie, on ne s'interdit plus de nous donner à voir des situations et des personnages caricaturaux et l'on s'autorise des ellipses qui rendent toute l'intrigue invraisemblable. C'est le cas ici. Les ressorts de ce micro totalitarisme sont trop vite et trop grossièrement exposés et les personnages semblent n'être que des types sans vie propre.
J'ai bien aimé, surtout Tim mais c'est dommage que les personnages sont très influençables. Sinon le casting était bien, les scènes cool. C'est un très bon film.
Un téléfilm mal réalisé avec un scénario totalement banal et prévisible. Sans parler du jeu d’acteur qui n’est vraiment pas crédible. Rajoutez à ça une petite morale antifa / bien-pensante et vous avez le résumé du film. Exagéré du début à la fin
Excellent drame ! La Vague nous plonge dans son atmosphère pesante, mettant en avant le malaise allemand face à un régime totalitaire, et l'émergence de tout un groupe de jeunes. Jurgen Vogel joue à perfection le rôle de prof.
Sûrement un peu court sur la fin mais n'enlève rien à la performance du film.
Sûrement un peu court sur la fin mais n'enlève rien à la performance du film.
Redzing
Rainer est un professeur de sciences politiques anarchiste sur les bords. Il récupère malgré lui un cours sur l'autocratie, et décide de mener une expérience sociale pour démontrer à ses élèves incrédules que le fascisme peut revenir en Allemagne. Evidemment, les choses vont déraper...
A ceux qui critiquent le film en disant qu'il est illusoire de monter un régime fasciste en une semaine, il faut rappeler que le film est tiré d'un fait réel. Une expérience similaire menée aux USA en 1967 rencontra un "succès" presque aussi rapide !
Si la mise en scène caméra à l'épaule est sans fioriture mais efficace, c'est ici le traitement scénaristique qui est particulièrement intéressant. Utilisant le miroir du système éducatif pour montrer l'influence d'un parti fasciste sur la société. Thématique encore plus pertinente en Allemagne.
Le professeur, dont les convictions personnelles sont pourtant à l'opposé, se prend à son propre jeu, intoxiqué par son succès démentiel auprès des élèves qui le prennent pour un dieu. Tandis que les classes sociales d'étudiants se trouvent ébranlées, le nouveau mouvement donnant à chacun l'occasion de se (re)positionner dans la société. Avec des laissés pour compte qui deviennent des figures, ou des brutes qui canalisent leur violence dans le mouvement.
Bref, une belle évocation du pouvoir de séduction et de la facilité de céder au fascisme, puis de dériver violemment. Le tout porté par de bons acteurs, dont surtout Jürgen Vogel en professeur dépassé. Malheureusement, la carrière de l'acteur semble avoir été de moins en moins prolifique ensuite...
A ceux qui critiquent le film en disant qu'il est illusoire de monter un régime fasciste en une semaine, il faut rappeler que le film est tiré d'un fait réel. Une expérience similaire menée aux USA en 1967 rencontra un "succès" presque aussi rapide !
Si la mise en scène caméra à l'épaule est sans fioriture mais efficace, c'est ici le traitement scénaristique qui est particulièrement intéressant. Utilisant le miroir du système éducatif pour montrer l'influence d'un parti fasciste sur la société. Thématique encore plus pertinente en Allemagne.
Le professeur, dont les convictions personnelles sont pourtant à l'opposé, se prend à son propre jeu, intoxiqué par son succès démentiel auprès des élèves qui le prennent pour un dieu. Tandis que les classes sociales d'étudiants se trouvent ébranlées, le nouveau mouvement donnant à chacun l'occasion de se (re)positionner dans la société. Avec des laissés pour compte qui deviennent des figures, ou des brutes qui canalisent leur violence dans le mouvement.
Bref, une belle évocation du pouvoir de séduction et de la facilité de céder au fascisme, puis de dériver violemment. Le tout porté par de bons acteurs, dont surtout Jürgen Vogel en professeur dépassé. Malheureusement, la carrière de l'acteur semble avoir été de moins en moins prolifique ensuite...
Je l'ai étudié en classe est à le poque je l'ai trouvé très instructif. Très représentatif de la vitesse à la quelle on peut se faire enrôler. Très poignant.
Globalement l'idée est intéressante, mais la façon dont elle es mise en place manque beaucoup de patience. En seulement 2 cours tout les élèves deviennent de gentils soldats, à aucun moment ils ne se rendent compte de l'endoctrinement ils suivent tous sans réfléchir, pourtant de base leur professeur n'es pas spécialement cinglant dans ses discours. Cette dénonciation du totalitarisme est plutôt pertinente mais manque également de finesse, car on devine le dénouement relativement tôt. Bien interprété mais manquant de subtilité dans son scénario et possédant quelques problèmes de rythme pour être vraiment convaincant.
Le comment le fait de créer une doctrine telle quelle soit , peut engendrer des dérives lorsqu'une figure dirigeante et emblématique donne la voie à suivre .....
Un super film inspiré d'une histoire vraie sur l'expérimentation de Ron Jones, un prof d'histoire qui va donc montrer que l'autocratie n'est pas impossible. Dennis Gansel s'accapare très bien l'histoire, je recommande ce film qui est très efficace et s'enchaîne bien.
« La vague » du réalisateur allemand Dennis Gansel (2009) est un film terrifiant d’autant plus qu’il est tiré d’une histoire vraie. Un professeur de sport (Jürgen Vogel) va dans le cadre d’une semaine thématique sur la politique, proposer à sa classe de réfléchir sur l’autocratie. Très rapidement les élèves vont dans ce jeu de rôle se soumettre aux notions de discipline, de groupe, d’identité à travers le port d’une chemise blanche et un signe de ralliement… Les rapports entre les élèves vont se restructurer avec des meneurs et des plus faibles tel Tim (Frederick Lau) adhérant au système pour être reconnu. Seule Karo (Jennifer Ulrich) s’opposera à cette idée alors que son copain Marco (Max Riemelt) est un des meneurs du groupe probablement car sans famille à l’opposé de Karo. Le professeur est le leader de ce mouvement ce qui lui permet de compenser l’image négative qu’il a de lui-même et la perception de sa situation au sein de l’établissement. Malgré les plaintes de certains collègues, la Directrice de l’établissement l’encouragera à poursuivre cette expérience mais tout va rapidement lui échapper et basculer dans le drame.
Même si in fine il est peu probable que cette histoire puisse se mettre en place en une seule semaine, le film nous rappelle la facilité de la manipulation des masses et l’horreur qui peut en découler alors que chacun est en principe responsable de ses propres actes.
Même si in fine il est peu probable que cette histoire puisse se mettre en place en une seule semaine, le film nous rappelle la facilité de la manipulation des masses et l’horreur qui peut en découler alors que chacun est en principe responsable de ses propres actes.
C'est un bon film, que j'ai vu après avoir lu le livre du même nom, et même si le réalisateur a changé plein de choses par rapport au livre, le principe reste le même, et c'est ça qui compte. Le réalisateur explique bien, à travers son film, comment des élèves, en quelques jours et sous l'influence d'un leader charismatique qui est, en réalité, simplement leur professeur d'histoire qui veut leur faire comprendre mécanismes de l'autocratie, peuvent se transformer en petits fascistes. Néanmoins, je trouve un peu dérangeant qu'ils aient voulu rajouter du drama notamment sur les histoires de couple de trois des personnages principaux ainsi que des modifications inutiles, encore pour rajouter du drama (un peu poussé en plus !) à la fin. En principe, les élèves ont compris la leçon même si certains prennent la révélation assez mal, comme le petit gars discret qui était devenu le garde du corps du prof et qui avait beaucoup aimé l’expérience, mais ça se termine là-dessus : la vague est dissoute, les élèves ont retenu une leçon qui n'oublieront jamais, même si tout ça est déjà allé un peu trop loin, ça c'est le livre. Dans le film (je ne spoilerai pas), ils ont eu besoin d'en rajouter des tonnes à la fin et c'est plus ça qui m'a dérangée, parce qu'à mes yeux ça n'était pas nécessaire.
J'ai eu la chance de découvrir ce film en VO lors de mes cours d'allemand au lycée et je n'ai pas était déçu !
On pourrait s'attendre à une simple critique de la société vue que le sujet principal est l'autocratie (régime totalitaire allemand) mais au final le film confronte les différents points de vue sur le sujet permettant de prendre partie ou non.
Je pense à titre personnel que c'est un film à voir pendant son adolescence car il permet de remettre en lumière les dangers de la hiérarchie sociale auxquelles l'on ce confronte inévitablementdans le monde professionnel.
On pourrait s'attendre à une simple critique de la société vue que le sujet principal est l'autocratie (régime totalitaire allemand) mais au final le film confronte les différents points de vue sur le sujet permettant de prendre partie ou non.
Je pense à titre personnel que c'est un film à voir pendant son adolescence car il permet de remettre en lumière les dangers de la hiérarchie sociale auxquelles l'on ce confronte inévitablementdans le monde professionnel.
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