"In the summer-time... do do do-doom...". Oh yeah Monsieur le Comte !
Richard Curtis, scénariste et metteur en scène de "4 mariages et 1 enterrement", offre à nos yeux et à nos mirettes deux choses vraiment exceptionnelle : une galerie de trognes merveilleusement sublimissible (Bill Nighy, Philip Seymour Hoffman, Tom Sturridge, Rhys Ifans, Nick Frost, Jack Davenport, Emma Thompson, ...) ; et un son endiablé, une BO very incredible qui nous fait chavirer dès le générique de début.
Mythique, de légende (assurément certain !!), la BO rock n'roll vraiment incontournable alterne avec brio émotion, dialogues (tous plus crépitants les uns que les autres), et personnalité de ces trublions et fanfarons/fanfaronnes en folie et en tout genre.
Drug, sex and rock n'roll sont bien de la partie. Longue vie à toi mister Richard ! Surtout devant ta fraîcheur to much revigorante à souhait.
Pour terminer, "God save The Queen" pour le jubilé de diamant, mais avant tout, "the show must go on" pour les années post 2000. Bienvenue au vingt-et-unième siècle l'Angleterre. "Good morning England".
PS : j'en profite pour rendre tous mes hommages à Robin, l'un des trois frères Gibb des Bee Gees (véritable phénomène de société avec leurs tubes incontournables et interplanétaires "Saturday night fever" et "Staying alive" pour ne citer que ceux là !) et Donna Summer, la reine du disco (à qui l'on doit "Hot spuff", "Love to love you baby", "Bad girls", et tant d'autres), qui nous ont fait tant danser, chanter, crier on monday, tuesday like Dalida en France (et dont l'on a fêté les 25 ans de sa disparition).
Rock n'roll, disco, pop, rock stayed, stay and will stay always in memories of people all over the world. Good !!! Really !!