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FRAGH
14 critiques
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1,5
Publiée le 21 octobre 2024
Hellraiser: Hellworld tombe malheureusement dans le cliché typique des slashers américains : une bande d’adolescents stupides, incapables de réfléchir de manière logique, ni même de réfléchir tout court. C’est assez décevant de voir à quel point la franchise a dévié de son essence horrifique originale pour se noyer dans des recettes simplistes et répétitives. Pinhead, autrefois figure effrayante et mythique, se réduit ici à un banal tueur en série, utilisant des outils classiques pour éliminer les adolescents un par un, un comble de banalité. Difficile de faire plus cliché ! Comment une franchise avec tant de potentiel a-t-elle pu s’enfoncer dans des absurdités de plus en plus convenues au fil des films?
Les personnages, de leur côté, sont d’une caricature insupportable, tout comme dans l’affreusement médiocre Hellraiser: Deader. Chaque protagoniste semble une parodie de lui-même, réduisant toute tension dramatique à néant. Il est frustrant de voir un univers aussi riche, construit autour des Cénobites et des plaisirs infernaux, réduit à un énième film de “jeunes qui meurent sans trop de raison”.
La seule chose qui sauve un peu l’ensemble, c’est la fin. L’idée finale était plutôt bonne et aurait pu donner lieu à une réalisation plus percutante, mais là encore, l’exécution manque de finesse. J’ai toutefois apprécié le retour de l’iconique Chatterer, un personnage qui a toujours su apporter une certaine menace glaçante à l’écran malgré qu’il apparaît que trop peu. Malheureusement, même sa présence ne suffit pas à compenser les faiblesses du film. Hellraiser: Hellworld aurait pu être une véritable renaissance pour la saga, mais il finit par être une énième déception.
« Alors, ce n’est qu’un jeu ? » Une bande est conviée à une fête de geeks en l’honneur d’un jeu vidéo reprenant le mythe du Cube.
Les cénobites et les jeux en ligne, voilà le désastreux mélange que nous propose cet opus. J’ai eu véritablement du mal à m’accrocher ce coup-ci. Les apparitions compendieuses de Pinhead finissent d’en faire désormais un personnage mineur dans la franchise. Il n’y a même pas l’utilisation des crochets qui sauvent souvent la mise. On a perdu Hellraiser dans les tréfonds du direct-to-video.
Carabistouille. L'univers se penche sur les teenager et le monde des soirées folles, avec un scénario désopilant. Ne manquez pas de conclure la saga d'horreur la plus inexcusable sur cet épisode.
Je ne met qu'assez rarement la note la plus basse mais décidément, cette saga tombe de plus en plus bas ! Effectivement, on a ici touché le fond avec ce huitième opus de la saga "Hellraiser", toujours réalisé par Rick Bota et sorti en 2005 qui est donc plus que très mauvais. C'est l'histoire d'une bande de cinq jeunes qui décident d'aller à une soirée sur le thème d'un jeu vidéo d'horreur. Déjà, rien qu'avec le synopsis, on sent que le film part très mal. Il a effectivement troqué ici les mystères et les enquêtes que la saga nous vendait depuis le cinquième opus pour des adolescents en quête de sensations fortes et de sexe. On est donc tombé dans les bas-fonds et on s'éloigne de plus en plus de l'univers que Clive Barker a créé qui n'a d'ailleurs de rapport que de nom. Si encore le film avait bien géré tout cela et nous avait présenté une histoire originale, cela aurait pu passer mais nous sommes ici dans une sorte de mélange entres les slashers et les "Saw", ce qui est complètement aberrant, surtout pour une saga qui était aussi riche et dont il y avait tant de matière à développer ! On a donc tous les codes mais surtout les clichés du slasher, c'est à dire une bande de jeunes comportant des personnages tous stéréotypés, du sexe, un méchant un peu bizarre et un vieux manoir. Ajouter à cela des scènes gores et des pièges à la "Saw" et vous obtiendrez le scénario de ce film qui est donc très plat et surtout complètement inintéressant. Évidemment, on s'ennuie beaucoup, surtout si on ne rentre pas dans cette histoire grotesque et on attend la fin avec impatience. D'ailleurs, en parlant de ça, le dénouement est pourri (je suis désolé mais il n'y a pas d'autres mots qui me viennent en tête) mais s'il faut reconnaître une chose, c'est qu'il a essayé de rattraper tout ce côté slasher avec une explication à deux balles qui ne tient pas la route. Le film en est tout de même par certains côtés risibles (notamment la réplique "on se croirait dans un mauvais film d'horreur, hein ?" qui est ici tout à fait appropriée) mais ne rentre tout de même pas dans la catégorie du nanar car il n'est pas du tout plaisant à suivre. En ce qui concerne les acteurs, ils ne sont absolument pas crédibles, même si Henry Cavill a su faire ses preuves depuis. "Hellraiser : Hellworld" est donc purement et simplement une purge qui ne remonte certainement pas le niveau d'une saga qui est de plus en plus mauvaise.
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1,0
Publiée le 14 septembre 2018
« La partie commence ! » Sorti en même temps que "Hellraiser 7 : Deader", ce huitième volet de la saga « Hellraiser » ne cesse d'être juste l'èpisode où l'on voit Doug Bradley endosser une dernière fois (?) le rôle de Pinhead! Vous imaginez un "Hellraiser" sans Doug Bradley ? Faudra s'y faire avec "Hellraiser: Revelations" (2011) et "Hellraiser : Judgment" (2017)! Mais revenons à ce huitième opus qui surfe sur la vague Web et du côtè de "Hostel" où il est question de hackers, de jeu en ligne appelè « Hellworld » , de manoir isolè quelque part en Roumanie, de tortures et de jolies filles! Bref, les fondamentaux dèfinis par Clive Barker semblent ici à des annèes lumière! Venez vous èclater en enfer avec un vieux de la vieille, Lance Henriksen, en propriètaire des lieux qui cachetonne! Les connaisseurs de navets d'horreur ont sûrement ètè surpris de voir ce nom prestigieux au gènèrique! On notera aussi la prèsence de Henry Cavill, le futur « Superman » de Zack Snyder, dans un rôle sans aucune saveur (à part sa gueule d'ange). spoiler: Sinon ne pas rater le coup de tatane de Katheryn Winnick (rires garantis) dans le final...
Catastrophe. Hellworld est le huitième volet de la saga Hellraiser qui n'a pas connu de bons moments depuis le 5eme opus. Le scénario de ce huitième film n'était déjà pas bien engageant et ca s'est confirmé. Poursuivant sa descente aux enfers, Hellraiser est devenu ce qui peut arrivé de pire à une saga de films d'horreurs. Hellraiser est devenu banal. On suit un groupe de jeune qui vont à une soirée et se font déchiqueter... c'est tout. Si vous avec l'impression d'avoir entendu cette histoire 2038243929402919405 milliards de fois c'est normal... parce que c'est le cas. Le scénario est nullissime, exit le cube maintenant il faut jouer à un jeu vidéo pour ouvrir virtuellement le cube (Pinhead s'est mis aux nouvelles technologies pour augmenter le rendement). Alors on a notre petit groupe de jeunes imbéciles qui évidemment gagnent à ce jeu vidéo et participent à une soirée organisé dans un manoir et là c'est le drame. Il y a des références explicites à Hellraiser et aux Cénobites partout. Pinhead est devenu célèbre. Vous trouvez que le scénario pu la mort ? Attention ca ne fait que commencer. Evidemment nos jeunes gens vont finir par tous s'isoler dans un coin de la maison pour se faire tous déchiqueter les uns après les autres dans des exécutions assez sympa (mon point c'est pour les exécutions). Et pourtant malgré la mort de leurs amis, les survivants en auront rien à faire de la mort de leurs potes et se prendront dans les bras, heureux d'avoir survécu. C'est du déjà vu des milliards de fois. C'est blindé d'incohérences, de personnages stupides et inutiles et de petits jumpscares ridicules que l'on retrouve dans la grosse majorité des films d'horreur des années 2000. Les Cénobites sont plus présents dans ce film que dans les deux précédents mais ils n'ont aucune profondeur, ils ne servent qu'à tuer. Maintenant pour les personnages ont a Lance Henriksen et Doug Bradley qui font le strict minimum mais ça passe, par contre les autres c'est catastrophique. Même Katheryn Winnick (Lagertha dans Vikings) et Henry Cavill (Superman) font juste n'importe quoi. Leur jeu d'acteur est terriblement cliché. Conclusion, Hellworld est une catastrophe. Là où Hellseeker et Deader jouissaient d'une ambiance sympa et d'un scénario relativement travaillé, Hellworld jette tout ce qu'il restait de bon dans Hellraiser à la poubelle pour au final en faire une bouse infâme.
On continue dans le mauvais et dans l interprétation douteuse qu en fait Rick botta. Ici on tombe dans le film d épouvante de série une maison où il se passe des trucs....le scénario est faible et nos hellraiser on dirait des tueurs en série qui attendent leurs proies.....aucune originalité on s ennuie ferme tous le long on est loin de l esprit de départ on fait n importe quoi pour faire un volet de plus avec de pauvres acteurs, une daube de plus
Même si cet opus n'a rien apporté à la saga, il s'est avéré être tout de même plus divertissant que les trois dernier. Le majeur problème est que cette histoire n'a rien avoir avec l'histoire d'Hellraiser. Au contraire, les scénaristes ce sont servis de l'univers des Cénobites pour créer quelqu'chose de tout nouveau : le mythe du cube dans sa propre saga. L'idée du jeu vidéo Hellworld m'avait séduit d'avance, mais je n'ai pu assister au contenu de ce jeu fictif, comme vous l'avez sans doute remarqué. Si le jeu prend un rôle important dans ce film et qui mènera même au suicide d'un personnage et même d'un plan de vengeance machiavélique, la seule scène de jeu est celle de la résolution d'un cube virtuel. Outre, j'aurais bien entendu voulu en savoir d'avantage quant au but du jeu. 2/5
Quel foutoir ! Alors ce huitième volet commence avec comme ambition d'être un film dans un monde où existe les films Hellraiser (un peu comme dans Freddy sort de la nuit) jusque là pourquoi pas, ça change enfin de la lignée des thrillers qui n'en finissait plus, mais ensuite il est assez évident de constater que tous les feux sont au vert pour vivre un calvaire... Un pur DTV de supermarché dans la tradition des teen-movies des années 2000, avec une réalisation absolument atroce faite de slow-motions saccadés et de découpage à la hache, des personnages qui n'ont pas grand chose à raconter avec évidemment cette hiérarchie assignée au genre, on identifie l'héroïne et son petit enjeu sentimental (même si je suis in love de Katheryn Winnick il y a des limites), le beauf (Henry Cavill lol), le black, etc, puis chacun se fait buter tour à tour et Pinhead devient un simple slasherman. Et à côté il y a Lance Henrikssen en maitre de cérémonie, j'aime bien cet acteur mais quand on le voit arriver ce n'est jamais bon signe tellement les nanars lui collent à la peau, et ça ne manque pas. Surtout que plus le film avance moins il n'a de sens, ça part totalement en couille, on ne sait plus ce qui se passe, avec une dernière partie qui multiplie les rebondissements abracadabrantesques. Et le plus pénible c'est qu'il n'arrive même pas à se finir un minimum correctement, emboitement de 4 scènes en guise de dénouement, rien que ça, je suis sorti vidé, et j'imagine que le réalisateur a sans doute cru se sentir malin en faisant ça, comme si rajouter du twist au twist allait laisser sur le cul, non, c'est juste ridicule. Le voilà le pire film de la saga, en attendant le suivant (et dernier).
bon vraiment bon ! je m atendais a une déception a cause du 5,6 et 7 mais non c est un bonne opus ! les acteur impec , les éfet speciaux géniaux comme dans tous les hellraiser et une fin a la quelle on s y atends pas mais je dis rien sinon SPOIL ! bref c est une bonne fin que conus la saga hellraiser 3,5/5
Je poursuis mes investigations dans la saga Hellraiser, avec ce Hellworld, qui s’avère un épisode moyen, dans une saga qui est une des plus inégales du cinéma en termes de qualité.Niveau casting on peut difficilement dire que ce ne soit pas attrayant. On a ainsi l’inoxydable Lance Henriksen, qui nous offre une prestation plutôt réussie, et cela même s’il en rajoute clairement une couche, conscient peut-être que le seul moyen de sauver un peu le film était de lui éviter au moins la fadeur. Il surnage clairement dans le casting, même si les jeunes ne déméritent pas complétement. Dotés de personnages absolument médiocres, il faut le dire, ils ne se débrouillent pas mal, et pourront même surprendre. Ainsi on trouve là Henry Cavill, avant sa récente célébrité ! Dommage quand même qu’ils aient tous hérité de clichés ambulants.Le scénario est mal mené. Le film partait sur une idée délicate, mais au final ce n’est pas là que réside le problème majeur. Le film essaye de brouiller les cartes entre réalité et fiction, mais ce vautre dans une deuxième partie alambiquée, tortueuse, qui débouche sur un final finalement pas terrible. L’univers Hellraiser est de surcroit très limité, les créatures apparaissant peu, et j’ai eu le sentiment d’assister à un slasher qui exploiterait en arrière-plan l’univers d’Hellraiser histoire d’attirer le chaland. C’est ennuyeux. Et puis il faut avouer que le manque de surprise sur l’ordre des victimes par exemple est préjudiciable au film.Visuellement Botta ne fait pas un mauvais travail, Hellraiser Hellworld bénéficiant même de passages gores bien tournés, et d’un certain sens des plans et des cadrages qui offrent une atmosphère décente à ce film. Les décors sont eux aussi de bonnes tenues, avec une maison qui ne manque pas d’allure, et des intérieurs avec quelques idées spectaculaires, comme celle avec les restes des corps. La photographie tient la route elle aussi, donnant une atmosphère soignée au film, quoiqu’un peu lisse. Ça manque de poisseux et de glauque pour un univers Hellraiser, et on n’évolue plus sur ce que pourrait être une ambiance de slasher élégant. De bons effets horrifiques compensent ce problème, jusqu’au final qui est tout de même très impressionnant. Les meurtres dans l’ensemble sont violents et bien trouvés solidement portés par des effets visuels de bonne facture. Quant à la bande son elle est acceptable, sans plus.Finalement, Hellraiser Hellworld laisse un souvenir mitigé. D’un côté on assiste à un film plutôt raffiné, plutôt esthétique, qui ne démérite pas. De l’autre j’ai eu le sentiment que le film se dégager beaucoup de la saga, essayant d’introduire tant bien que mal des créatures par exemple, mais le faisant souvent maladroitement, comme pour assurer un quota. La résolution finale laisse elle aussi dubitatif. Ce n’est pas le meilleur épisode donc, pas le moins bon non plus, pas indispensable en somme mais regardable.
En essayant d'être créatif, Rick Bota signe son 3ème gros navet de la saga Hellraiser. Une saga qui n'a plus lieu d'être depuis bien longtemps, mais pourtant, ce dernier s'obstine et s'enterre d'avantage dans la nullité dantesque. Il retourne ici vers de l'horreur pure et dure, confondant Hellraiser avec Saw. Ce 8ème volet ne correspond plus en rien aux origines de la saga. On s'enfonce vers la violence gratuite et le cliché. Le personnage de Pinhead est devenue totalement désuet. Alors quel est l'intérêt d'un tel scénario?! Les incohérences s'enchainent en rythme et en cadence, histoire de bien appuyer la triste fin de cette franchise. N'étant déjà pas fan à l'origine, cette parodie de film d'horreur est à oublier très vite. 1,5/5
Un épisode encore plus mauvais que le précédent, comment est-ce possible ? Surfant sur la vague web et la branchitude, sans scénario et sans fond, Hellraiser Hellworld est tout simplement irregardable.
Là où Rick Bota, le réalisateur, touchait le fond dans Hellraiser 6 Hellseeker, là où il touchait les bas-fond du cinéma avec son Hellraiser 7 Deader, le résultat final de cette huitième séquelle n'étonne même pas. Cela fait plusieurs opus déjà que la saga tourne en rond, allant d'une histoire de secte à un jeu-vidéo en passant par des histoires conjugales, on ne s'étonne même plus du scénario concocté par Rick Bota et ses compères. Ici, des pauvres jeunes geeks accros au jeu Hellworld, mettant en scène Pinhead et son univers, sont conviés à une geek-party en pleine campagne dans un vieux manoir. Ils vont subir les maux d'un infâme bonhomme venu venger la mort de son fils et dont il accuse le groupe. Quoi de mieux pour la vengeance que de faire inhaler au groupe un poison qui les faits halluciner, au point qu'ils aperçoivent Pinhead et les cénobites. Vous l'aurez compris, cette suite ne propose rien de bon, même si Rick Bota offre un retournement de situation final on se retrouve devant une suite, une nouvelle fois, foireuse dans la mesure où l'intrigue ne tourne plus du tout autour de Pinhead. Dernier baroud d'honneur pour la saga, Bota manque de coche et livre une suite mort née et peu ragoutante. Malgré un univers noir et morbide, le film ne convainc jamais au point qu'il endors très rapidement. Comme à son habitude, le côté érotique de l'univers de Pinhead est plus que présent, cela n'apporte rien à la saga, au contraire ! Côté acteurs, le film ne comporte pas de personnages intéressants. On retrouve Lance Henriksen (Aliens le Retour) qui, bien que son personnage soit inintéressant, nous livre une prestation honorable. Comme à son habitude, on retrouve Doug Bradley dans le rôle de Pinhead. Toujours aussi froid dans ses paroles, toujours aussi méchant et menaçant, toujours aussi sanglant, mais bien trop peu présent dans cet opus. Plus il y a d'opus et moins on le voit, bientôt ce rôle relèvera du piètre caméo, pareil pour ses disciples les cénobites qui ne sont pas du tout originaux. Il en va de même pour les quelques effets spéciaux utilisés qui ne sont clairement en dessous de la moyenne, et qui nous montre les faibles moyens dont dispose le film. Pareil pour les musiques qui sont un bête copier-coller du thème principal de la saga et qui n'apporte rien.
Un huitième opus qui, bien que supérieur au septième, n'arrive toujours pas à convaincre. On s'ennuie, on se demande toujours ce que fou Pinhead dans un jeu vidéo (la mise en abime est mal fichue) et on attend qu'une chose : la fin du film ! Un massacre qui relève de l'exploit !
Rick Bota pond ici son troisième navet consécutif et maintient la franchise Hellraiser au fin fond d’un gouffre de nullité crasse. Finies les ambiances adultes et légèrement dérangeantes du premier opus: place au teen movie fauché et décérébré n’ayant qu’un rapport très lointain avec l’univers de Clive Barker. J’espère que le pauvre Lance « Bishop » Henriksen a bien vite effacé cette bouse de sa filmographie.