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BeatJunky
156 abonnés
1 930 critiques
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1,0
Publiée le 24 novembre 2013
Une énorme bouse! dès les premières minutes on sent que ça va être long avec cette histoire qui sent le réchauffé. On sert au spectateur un scénario qui essaye de vous surprendre par son originalité de ce village hanté où chacun des protagonistes disparaît tour à tour en essayant de faire peur. Loupé, on ne frissonne pas une seconde, l'interprétation est pitoyable m^me la Christa Theret. C'est pas crédible une seconde, on ne s'attache à aucun d'entre eux d'où un manque d'intérêt évident qui nous fiat trouver le temps long jusqu'au dénouement. Fuyez!
14 089 abonnés
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0,5
Publiée le 19 novembre 2013
Bienvenue à Ruiflec! Lègendes, superstitions et vraies malèdictions pour un « village des ombres » d'une nullitè sans appel! Le seul intèrêt du film de Fouad Benhammou rèside dans la prèsence de Christa Theret au gènèrique, la jeune hèroïne du carton "LOL" en 2009! C'est l'histoire sombre (et sans queue ni tête) d'un groupe d'ados pris au piège d'un village hantè qui, tour à tour, disparaissent mystèrieusement! Un thriller fantastique à petit budget avec aucun suspense qui nous fait demander grâce! Et puis comment peut-on mettre une citation de Charles Beaudelaire ( « Je suis comme le roi d'un pays pluvieux, riche mais impuissant, jeune et pourtant très vieux...» ) dans un tel naufrage ? Sûrement pour faire bien et pour combler une irrèmèdiable impression de dèjà vu (le 8, si on le retourne c'est le mouvement perpètuel, infini, continu). De plus, le spectateur standard n'a peur a aucun moment dans une histoire qui tourne vite à l'ennui, à l'insignifiance et au grotesque où l’on passe du XVIIIe au XXIe siècle avec une facilitè dèconcertante! Pourtant tous les huit ans, le huitième mois de l'annèe, les membres de l'ordre du « 8 » capturaient un innocent choisi au hasard! Qui sait de quoi demain sera fait, ça sera peut-être vous ce pauvre innocent...
Quand j'étais petit, mes parents m'avaient appris que l'on se présentait en entrant chez les gens. On a donc cette bande de jeunes gens, qui ont l'air ma foi propres sur eux, qui s'invitent dans mon téléviseur. Et il leur arrive ensuite des trucs abomifreux, dont on se fiche totalement, vu que ces petits morveux ont négligés de se présenter. Ils se retrouvent dans ce bled improbable (Ruiflec, nom probablement inspiré de la commune de Ruffec en Charente), on ne sait même pas pourquoi (c'était prévu au départ ? Ils se sont réfugiés là à la suite de leurs problèmes de voiture ?) , de nuit, comme il se doit (le film a pas du coûter cher en électricité), et la moitié disparaît dès le début. Puis, il y a le petit malin de service qui propose de faire deux groupes de deux. Ca ne vous rappelle rien ?
En bref, un non-scénario , des non-personnages avec des non-vies (à l'exception de celle qui reçoit des résultats d'examens inquiétant de sa clinique de la Pierre Levée .Oh, un quartier de Poitiers ! Pour faire le pendant de la commune charentaise sans doute, le seul passage palpitant du film),jouée par de nons-acteurs (la pauvre Christa Théret doit être rendue aux coudes de se mordre les doigts d'avoir été commise dans une daube pareille), une non-photographie (noir, c'est noir) et une non-musique. tout ça fait un non-film qui a été beaucoup non-vu !
Le film commence bien mais se tire énormément en longueur et nous fait tourner en rond sans explication claire jusqu'à la toute fin, et là encore on garde une part de mystère inutile.
Mon chauvinisme et mon goût prononcé pour les titres m'ont fait débuter ce film avec un bon a priori. Il est vrai qu'un film français de genre ne court pas les rues, et je voulais pouvoir me gargariser en société d'avoir constaté de mes yeux l'ascension du film d'horreur "Made in France". Mon chauvinisme et mon goût prononcé pour les titres remballés, il ne me restait plus grand chose à sauver, à mon grand regret. Si les acteurs ne sont pas franchement mauvais, ils peinent comme des beaux diables pour sauver une histoire qui a cessé de me faire frémir et de m'intéresser dès les premières minutes. On ne peut pas dire que le concept soit à jeter, on pourra même noter quelques idées. Mais comme disait ma grand-mère : de bonnes idées ne font pas un bon film. On reconnaît le French Style dans le côté "prise de tête" de l'écriture. Un film d'horreur doit être animal, instinctif et toucher à nos émotions enfouies. Ici on reste très cérébral, trop cérébral, au détriment d'un récit qui peu à peu finit par terriblement nous ennuyer.
En regardant le film avec bienveillance, on peut se dire que le film ose et propose un fantastique d'une sensibilité française quoi que assez ibérique au fond. Par moment les séquences marchent réellement, le problème c'est que le budget limite considérablement les possibilités et son casting est une catastrophe. Quoi qu'il en soit en l’état des choses c'est encore une œuvre fantastique française en demi-teinte riche en promesse mais toujours plombé par les mêmes maux.
Nul, nul et re-nul. Le cinéma d'horreur français n'est jamais aussi mauvais que lorsqu'il essaie vainement de parodier ses homologue américains ou espagnols. Acteurs insipides, aucune idée de mise en scène, le néant total.
Franchement, passez votre chemin ! L'histoire aurait pu être pas mal, mais le scénario s'enlise , est confus, on ne comprend pas où on va, les flashback, etc. Et alors... certes on donne beaucoup plus peur en suggérant et ne montrant rien, avec de la musique qui fait monter le palpitant, mais là, un film de A à Z dans le noir bleuté le plus complet : au final, on plisse les yeux et on ne distingue que des ombres (ah ok !!) mais du coup, gros flop car regarder un écran noir avec de la musique n'a jamais fait très peur et ni captivé l'attention... Dommage car l'idée de départ (ou de fin...) était plutôt encourageante mais c'est baclé et vide.
C’est Français ! C’est de bonne volonté... mais... mais... quel ennui ! Pompeusement convenu, conventionnel, aucune surprise... Français, quoi ! Les Français veulent réussir comme leurs voisins espagnols qui se débrouillent mieux. En matière de film d’angoisse, d’épouvante, j’en reste à « Captifs » de Yann Gozlan avec Zoé Félix. C’est Français, mais en toute subjectivité, c’était encourageant.