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Votre avis sur 12 Rounds ?
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On a donc ici Renny Harlin (58 Minutes Pour Vivre, Cliffhanger, Au Revoir A Jamais...) à la réalisation.Et le producteur de Speed.Bref, de belles références, que du culte, de l'excellent en matière de films d'action.
Alors, Renny Harlin de retour au film d'action, dirigeant la Superstar de la WWE John Cena, ça donne quoi?
Déjà, Shoot & Run (dont il faudra m'expliquer pour quoi on l'a appelé comme ça en France, perdant tout lien avec l'idée du film, contrairement au titre original 12 Rounds) attire plus que The Marine, précédent film de Cena, dont les photos promotionnelles du Champ en uniforme de Marine, devant le drapeau, saluant, etc....puaient la propagande de recrutement à 200 kilomètres.
On savait déjà que le jeu d'acteur de John Cena n'était pas terrible de par ce précédent film, et qu'il était bien mieux sur un ring de ce côté-là.
Alors, les scénaristes ont eu une idée grandiose pour faire passer tranquille le film et éviter que Cena se prenne trop la tête à essayer de jouer correctement.
C'est simple, à part le début, c'est action non stop.Dès la première épreuve, quand la maison explose, on est parti pour 1 heure et demie d'action exclusive pure.Pas de bla bla inutile, pas besoin de développer les personnages, on entre dans une course contre la montre, un shoot à l'adrénaline.Et ça marche, car c'est de là que le film tire sa force.
Harlin et les scénaristes savaient très bien qu'ils se rateraient en essayant de rendre Cena crédible (et le reste du casting avec, soyons pas vaches juste envers le rôle principal...Le terroriste semble tout droit sorti d'une gravure de mode plus que des bourbiers irlandais et de l'IRA, par exemple...), et ont donc décidé de se concentrer sur ce qu'il saurait faire de mieux.L'action, et il y est parfaitement crédible (d'autant qu'il a fait quasiment tout lui-même).
A mesure qu'on avance, c'est de plus en plus énorme, mais c'est ce qui fait le fun du film.
Alors, oui, c'est souvent invraisemblable, mais c'est le lot du genre (y compris des références directes de Shoot & Run), on évite pas quelques clichés (le noir meilleur pote sidekick toujours prêt à balancer une vanne, par exemple, le duo de fédéraux plus ou moins bornés...), les effets sont de qualité parfois variable, mais ça tient suffisamment debout pour qu'on aille au bout (notamment grâce à la réalisation nerveuse et inspirée de Renny Harlin, et au bon montage).
Au final, on a quoi?
Un film qui ne révolutionnera pas le genre du film d'action, et encore moins le cinéma, mais qui permet de passer un bon petit moment d'action pure sans prise de tête.
Certes, il ne sera jamais aussi culte et admiré que les Die Hard, Arme Fatale, et d'autres...Mais il constitue une bonne petite série B d'action, tout à fait honnête et acceptable pour qui aime le genre.
Alors, Renny Harlin de retour au film d'action, dirigeant la Superstar de la WWE John Cena, ça donne quoi?
Déjà, Shoot & Run (dont il faudra m'expliquer pour quoi on l'a appelé comme ça en France, perdant tout lien avec l'idée du film, contrairement au titre original 12 Rounds) attire plus que The Marine, précédent film de Cena, dont les photos promotionnelles du Champ en uniforme de Marine, devant le drapeau, saluant, etc....puaient la propagande de recrutement à 200 kilomètres.
On savait déjà que le jeu d'acteur de John Cena n'était pas terrible de par ce précédent film, et qu'il était bien mieux sur un ring de ce côté-là.
Alors, les scénaristes ont eu une idée grandiose pour faire passer tranquille le film et éviter que Cena se prenne trop la tête à essayer de jouer correctement.
C'est simple, à part le début, c'est action non stop.Dès la première épreuve, quand la maison explose, on est parti pour 1 heure et demie d'action exclusive pure.Pas de bla bla inutile, pas besoin de développer les personnages, on entre dans une course contre la montre, un shoot à l'adrénaline.Et ça marche, car c'est de là que le film tire sa force.
Harlin et les scénaristes savaient très bien qu'ils se rateraient en essayant de rendre Cena crédible (et le reste du casting avec, soyons pas vaches juste envers le rôle principal...Le terroriste semble tout droit sorti d'une gravure de mode plus que des bourbiers irlandais et de l'IRA, par exemple...), et ont donc décidé de se concentrer sur ce qu'il saurait faire de mieux.L'action, et il y est parfaitement crédible (d'autant qu'il a fait quasiment tout lui-même).
A mesure qu'on avance, c'est de plus en plus énorme, mais c'est ce qui fait le fun du film.
Alors, oui, c'est souvent invraisemblable, mais c'est le lot du genre (y compris des références directes de Shoot & Run), on évite pas quelques clichés (le noir meilleur pote sidekick toujours prêt à balancer une vanne, par exemple, le duo de fédéraux plus ou moins bornés...), les effets sont de qualité parfois variable, mais ça tient suffisamment debout pour qu'on aille au bout (notamment grâce à la réalisation nerveuse et inspirée de Renny Harlin, et au bon montage).
Au final, on a quoi?
Un film qui ne révolutionnera pas le genre du film d'action, et encore moins le cinéma, mais qui permet de passer un bon petit moment d'action pure sans prise de tête.
Certes, il ne sera jamais aussi culte et admiré que les Die Hard, Arme Fatale, et d'autres...Mais il constitue une bonne petite série B d'action, tout à fait honnête et acceptable pour qui aime le genre.
exelent film d'action, pleins de rebondissements.
"12 rounds" est un Die Hard 3 "bis" avec les héros et le boss charismatique en moins. Il manque aussi la grosse réalisation bien dynamique et efficace que fut celle de J.McTiernan à l'époque. Par contre, les scènes clichés affligeantes et les dialogues bidons sont bien présents dans ce film. De plus, J.Cena devrait retourner sur les rings de catch au lieu d'essayer de se reconvertir en mauvais acteur, car à côté d'un "The Rock" qui a vite confirmé devant la caméra, J.Cena laisse franchement à désirer. R.Harlin enchaîne le bon et le mauvais et n'a plus le génie de l'époque (Die Hard 2...).
Un film d'action dans l'air de Speed et de Die Hard 3 (bref du déjà vu). L'histoire est bien trop banale et les trous du scénario sont tout le temps remplient par des courses - poursuites qui finissent par être ennuyeuses.
Il fallait nous prévenir que 12 Rounds est une pale copie d'Une Journée en Enfer. On aurait été préparé psychologiquement. En fait ici tout est pareil : le méchant qui fait joujou avec un policier parce qu'il a tué un être cher, et tout ça pour détourner son attention. On a aussi le copain noir qui aide le gentil policier blanc qui fait tout péter dans la ville. Bref n'est pas McTiernan ni Bruce Willis qui veut. Film à oublier rapidement.
12 Rounds est un film d'action très classique, c'est ce qui se fait de plus classique en ce moment. Je dois avouer que pendant la projection, j'avais bien accroché, je n'avais pas vraiment vu le temps passé, ça se suivait bien. Mais 5 mois plus tard, je me rend compte que le film ne m'a pas du tout marqué. Je ne me souviens de pas grand chose, c'est tellement du vu et revu que ça ne te marque pas plus que ça.
Une fois sortie de la salle j'aurais pu mettre, un bon 2 étoiles, mais maintenant, 1 étoile ça ira, pas plus, car au final, le film ne mérite pas plus. On est loin du nanard ou du film médiocre mais c'est vrai que c'est un film Sans grand intérét, et ultra classique !
Dommage car le film est plutot bien rythmé et les acteurs assez bons (1 étoile pour ces deux raisons) !
Une fois sortie de la salle j'aurais pu mettre, un bon 2 étoiles, mais maintenant, 1 étoile ça ira, pas plus, car au final, le film ne mérite pas plus. On est loin du nanard ou du film médiocre mais c'est vrai que c'est un film Sans grand intérét, et ultra classique !
Dommage car le film est plutot bien rythmé et les acteurs assez bons (1 étoile pour ces deux raisons) !
Je pourrais faire cette critique juste en disant le mot... (NUL). Mais vu que cela fait un poil léger et qu'il faut bien argumenter. Alors, allons y. 12 Rounds et une (mauvaise) copie de Die Hard 3. Car comme dans ce dernier, on va suivre un pauvre flic qui doit suivre les jeux d'un fou ou sa femme va mourir. (Bon OK, dans le film avec Bruce il ne cherche pas à sauvez sa femme, mais pour le reste c'est tout pareil...) Donc, on enchaine les cascades (plus improbable les unes que les autres) les explosions, les clichés et les incohérences à la vitesse de l'éclair. Le tout filmé avec les pieds et/ou les acteurs fond exprès (du moins, je l'espère) d'être mauvais. Pauvre John Cena, lui qui espère percer au cinéma comme son ami The Rock. Ce n’est pas avec des films aussi mauvais qu'il va y arriver. Voilà une grosse et belle daube qui confirme que Cena doit rester au catch et non faire du cinéma.
spoiler:
D'un hélicoptère en vol à une piscine sur le toit d’un hôtel
Les cascades, sans CGI, constituent la meilleure partie de ce film d'action efficace réalisé par Renny Harlin, et mettant en vedette le lutteur professionnel de la WWE John Cena.
Le détective du département de police de la Nouvelle-Orléans, Danny Fisher, doit terminer un marathon de 12 rounds afin de spoiler: sauver sa petite amie, sécuriser la ville et neutraliser l'esprit criminel, qui est un ex-détenu qu'il a arrêté un an auparavant, mais qui s'est évadé de prison et est revenu se venger
.
Malgré les références à “Speed” (1994) et “Die Hard: With a Vengeance” (1995), ce film est suffisamment créatif pour avoir sa propre ambiance et saveur, ce qui le rend charmant, haletant et agréable à regarder.
3.3/5
Les cascades, sans CGI, constituent la meilleure partie de ce film d'action efficace réalisé par Renny Harlin, et mettant en vedette le lutteur professionnel de la WWE John Cena.
Le détective du département de police de la Nouvelle-Orléans, Danny Fisher, doit terminer un marathon de 12 rounds afin de spoiler: sauver sa petite amie, sécuriser la ville et neutraliser l'esprit criminel, qui est un ex-détenu qu'il a arrêté un an auparavant, mais qui s'est évadé de prison et est revenu se venger
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Malgré les références à “Speed” (1994) et “Die Hard: With a Vengeance” (1995), ce film est suffisamment créatif pour avoir sa propre ambiance et saveur, ce qui le rend charmant, haletant et agréable à regarder.
3.3/5
le film est naïf, sans surprise, un mauvais mélange de "die hard" et de 24h chrono...
Une belle surprise...un bon scénario, du rythme, de l'action...beau cocktail
Si je n'avais noté que la prestation des acteurs, je n'aurais pas été loin du 0 étoile. Et il faut ajouté à ça les nombreuses incohérences trouvées dans le film... Mais bon, le scénario est prenant si l'on occulte le fait que cela ressemble un peu à Die Hard 3. Et puis le tout permet de passer un agréable moment tout en étant pas transcendant.... Allez, soyons indulgents, ce sera 2 étoiles !
Vu et revu. Aucune nouveauté ! L'histoire est prévisible et banale. Quelques scènes regardable, j'ai aimé aussi la prestation du grand méchant, il est charismatique !
film d'action à gros budget qui essaie de rivaliser avec piège de cristal voir même speed...
Le scénario est vraiment trop loufoque, le superflic qui a toujours du bol, arrive toujours à s'en sortir à la dernière seconde tout en aidant son prochain, c'est pathétique.
Le scénario est vraiment trop loufoque, le superflic qui a toujours du bol, arrive toujours à s'en sortir à la dernière seconde tout en aidant son prochain, c'est pathétique.
Tout d'abord, il convient de dire qu'il ne s'agit en rien d'un véritable film de cinéma. En effet, ce "Shoot & Run" reste dans la lignée de "The Marine". Néanmoins et contrairement à "The Marine", nous pouvons signaler quelques améliorations dans la qualité du contenu cinématographique.
Commençons par la performance du personnage principal du film, John CENA. Celle-ci demeure manifestement bien meilleure que celle que nous avons pu voir dans "The Marine". Dans son premier film, John CENA ressemblait plus à une machine de guerre qu'à un homme. Ici, il est beaucoup plus humain et très souvent en proie au doute mais aussi à la peur. Il n'en reste pas moins un sacré bolide capable d'effectuer des prouesses physiques hors du commun. Le réalisme reste entier puisque nous connaissons ses performances exceptionnelles en tant que catcheur de la WWE. Ainsi, nous pouvons aisément l'imaginer capable de reproduire dans la réalité ce que nous pouvons voir dans le film. L'essentiel réside dans le fait que même si le scénario s'avère quasi inexistant, le film dans son ensemble demeure prenant et donc assez divertissant. Nous pouvons peut-être regretter la fin un peu bâclée mais il est difficile d'en demander plus à un film de ce calibre là.
Commençons par la performance du personnage principal du film, John CENA. Celle-ci demeure manifestement bien meilleure que celle que nous avons pu voir dans "The Marine". Dans son premier film, John CENA ressemblait plus à une machine de guerre qu'à un homme. Ici, il est beaucoup plus humain et très souvent en proie au doute mais aussi à la peur. Il n'en reste pas moins un sacré bolide capable d'effectuer des prouesses physiques hors du commun. Le réalisme reste entier puisque nous connaissons ses performances exceptionnelles en tant que catcheur de la WWE. Ainsi, nous pouvons aisément l'imaginer capable de reproduire dans la réalité ce que nous pouvons voir dans le film. L'essentiel réside dans le fait que même si le scénario s'avère quasi inexistant, le film dans son ensemble demeure prenant et donc assez divertissant. Nous pouvons peut-être regretter la fin un peu bâclée mais il est difficile d'en demander plus à un film de ce calibre là.
12 Rounds remplit parfaitement sa mossion: nous filer de l'action. On ne demande plus la petite touche qui faisait ce que sont les productions des années 90. L'acteur pourtant, aurait probablement cette capacité. Le film donc, est un concentré d'énergie voire de stress, tant l'action ininterrompue sollicite à chaque minute le spectateur presque désireux d'en finir, puisque... l'on connaît la fin. Entre le début du stimuli et la fin de l'épreuve, in aurait aimé plus de surprise. Mais ça ce n'était pas dans le contrat...
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