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    Agora
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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 avril 2018
    Ce très bon péplum nous fait part d'une histoire méconnue, celle d'une femme qui a inspiré bon nombre de scientifiques et de philosophes...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 octobre 2012
    « C’est un beau roman, c’est une belle… » … Euh je crois m’être trompé ici. Ce n’est pas la bonne citation pour le coup ! Il serait plus adapté de dire « Un film ? Où ? Ah les amourettes là bas ! ». Pour un film qui se veut retracer une partie de l’Histoire Romaine, je trouve ce dernier bien pauvre, bien fade, bien douloureux pour la personne qui passe deux heures de son temps assis / allongé / debout (rayez la mention inutile) pour voir toutes ces inepties !

    Passons l’histoire « tragicomique » entre un serviteur amoureux de sa maîtresse, entre un élève de son professeur, et une philosophe n’aimant que les astres. Voilà un triangle amoureux fort peu banale, et tout aussi inintéressant à suivre malgré la simplicité enfantine de tout cela. Bien entendu, je passe sous silence ici le bouleversement de situation qui s’opère en quelques années et qui voit l’avènement des deux principaux disciples ennemis de la belle Hypatie en frère intime occupant les plus hauts postes de la région.

    Que dire aussi sur la mise en scène amenant la fameuse Hypatie à découvrir comment le système solaire fonctionne. Doit on qualifier cela avec un terme, ou appréhendez vous le fond de ma pensée par ces mots ? A côté de ça, ne parlons ni des décors qui sont … lamentables, minimalistes ou grotesques au choix, et du jeu des acteurs qui laisse pantois tant j’ai trouvé cela médiocre.

    Pour finir mon appréciation ô combien positive du film que je vous recommande (de l’ironie ? noooon), parlons aussi du parti que la réalisateur a opté dans son œuvre : Le Chrétien est le grand méchant. Son « amour » pour les Chrétiens transparait tellement qu’il en transpire de tous les côtés ! En quoi peut on vouloir faire un film « historique » en adoptant une telle démarche contradictoire pour tenter de rabaisser une religion. A voir et à revoir… ou pas !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 31 octobre 2012
    J'ai trouvé ce film moyen. Il m'a divertit parce que j'aime les péplums en général. En revanche, je doute de son succès au sein du grand public.
    Lucien O.
    Lucien O.

    7 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 septembre 2012
    J'ignorais que l'on avait eu un(e) Kepler aussi précocement dans notre histoire, cela prouve que le christianisme, au-delà de sa philosophie, ne nous a guère plus apporté qu'obscurantisme et fixité...
    adicte
    adicte

    58 abonnés 700 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 septembre 2012
    Bon, je l'ai pas vu en entier et m'y suis reprise à 10 fois... J'ai jeté l'éponge au bout de 20 minutes. On a la désagréable impression que le film a commencé sans nous: les personnages débarquent de tous les côtés, avec leur passif, et sans transition. Ils ont tous l'air bousculés par les événements, mais quoi au fond? Le film ne nous invite à aucun moment à rentrer dans cette histoire, qui, certes paraît alléchante, mais un peu trop distante et brouillon dès le début... Dommage, jusqu'à maintenant, j'avais regardé tous les films d'Amenabar avec avidité...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 septembre 2012
    Une bonne surprise! une Rachel Weisz parfaite comme d'habitude, des décors magnifiques, un film surprenant et poignant qui nous tient en haleine du début à la fin. A voir!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 13 juillet 2012
    Film qui se laissait regarder, jusqu'à la fin, où l'on comprend que l'initiative principale au final, c'est la diabolisation de la Chrétienté (ou plutôt, des représentants de la Chrétienté). Appréciation toute personnelle donc, en tant que Chrétienne Orthodoxe, la morale de ce film me révolte. Autrement, bien mené, bien réalisé, avec des musiques prenantes et une photographie soignée. Rachel Weisz magistrale, comme à son habitude.
    Sujet intéressant...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 juillet 2012
    Agora c'est une plongée vertigineuse dans l'antiquité, dans une cité d'Alexandrie en pleine transition rongée par les rixes de religion. Amenabar regarde cette cité avec des yeux neutres, représentant à merveille la grandeur et l'importance de la Bibliothèque, des places où prennent parole les divers leaders, des salles intérieures où les décisions sont prises, des couloirs étroits où l'intimité est souvent cruelle, et de toute la vie qui accompagne la cité dans son implosion brutale. Car si les bâtiments sont magnifiques, le temps clair, l'apparence radieuse, ce n'est que pour nous surprendre lorsque tout bascule, lorsque les affrontements deviennent plus que verbaux.

    La partie d'introduction, nous préparant aux catastrophes à venir, nous montre avec brio quelques personnages appartenant aux diverses religions, partagés entre convictions personnelles et devoir, amitié et amour. C'est de manière très juste que les troubles de ces personnages deviennent de plus en plus incertains. Davus, esclave de la philosophe Hypathie incarnée par Rose Byrne (son meilleur rôle au cinéma, sans aucun doute), est probablement celui qui doute le plus. Entre l'admiration qu'il voue pour sa maîtresse, son amour insatisfait et ses désillusions, son avenir il ne le tient qu'à moitié entre ses mains, incapable de savoir ce qu'il doit faire, incapable de trouver la vérité.

    C'est tout le film qui devient une recherche de vérité, symbolisée par cette bibliothèque qui est une source de savoir et de destruction, entre convictions religieuses qui s'éclaboussent les unes contre les autres et thèses scientifiques sur le fonctionnement de l'univers. Finalement dans ce retour en arrière on retrouve des questions qui sont encore d'actualités et qui le seront toujours : savoir le but de l'univers, sa cause et ses conséquences ; et notre place dans ce schéma immense. À mesure que l'histoire progresse les personnages se développent et les traits esquissés en début de film sont alors noircis, forcés, grattant le papier avec une justesse étonnante. Amenabar use et abuse de plans somptueux, qui mettent en valeur les côtés tragiques du film, et qui en font une force émotionnelle qui nous marque durablement. Entre ces tableaux exquis de la cité et ce regard venu du ciel, non pas d'un Dieu, mais du réalisateur, qui se place non pas en juge mais en conteur, pour regarder les hommes courir, se battre, se trahir, se détruire, comme on regarderait des fourmis s'agglutiner sur le sol.

    Les deux parties du film, donnant un ensemble d'un peu plus de deux heures, nous font vivre une histoire qui nous montre la faiblesse des hommes, et les conséquences de cette faiblesse ; et nous la vivons pleinement, admirant le travail visuel qui a été effectué et la direction des acteurs, toujours plus efficace. Une passion naît d'elle-même pour le personnage d'Hypathie, cette femme isolée dans une cité de plus en plus sombre, où chacun veut sa perte. L'abandon des personnages, leurs destins, leurs forces, leurs faiblesses, tout est sublimé grâce au travail du réalisateur pour créer ce film colossal qui est bien plus qu'un film mais une véritable expérience ; une réflexion de tous les instants décuplée par une beauté sans précédent.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 juin 2012
    C'est le deuxiéme film d'Amenebar que je vois (aprés 'Les Autres'), et j'en ressort encore deçu. Rachel Weisz nous livre une très bonne préstation, très insérée dans son personnage. Mais, à part sa, rien! Il ne se passe vraiment pas grand chose dans le film, et on s'ennui assez vite! De plus, il y a beaucoup trop de répetitions (entre les decouvertes d'Hypatie et les batailles),et on sent que le film tourne en rond. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 juin 2012
    Dire que j'ai failli passer à côté de ce film à cause des critiques mitigées...
    Amenabar met ici en lumière une sulfureuse et méconnue période durant laquelle, en position de force après avoir été persécutés, les Chrétiens devinrent bourreaux à leur tour. Agora nous rappelle que toutes les religions peuvent être utilisées comme des armes et que l'Histoire est écrite par les vainqueurs au détriment de la vérité crue. A tour de rôle, Chrétiens et Païens tuent puis sont tués, suscitent l'empathie puis le mépris... Anéantissant au passage des merveilles de Savoir à jamais perdues. Et les martyrs idéalisés dans les livres se révèlent être des monstres assoiffés de pouvoir, réfugiés lâchement derrière leur foi. La seule véritable victime de l'histoire est une femme de science, obsédée par la trajectoire orbitale de la Terre qui, à l'époque, était placée au centre du système solaire. Hypathie était astronome, philosophe mais surtout humaniste ; tentant de concilier chacun dans l'humilité.
    En surface, une histoire d'amour complexe lie le tout. Et l'interprétation est excellente. Rachel Weisz est sans doute dans son meilleur rôle ! Chacune de ses émotions m'a submergée...
    Seule l'énigme autour de laquelle on gravite et qui plombe un peu le film : ce qui sonne pour nous comme une évidence désormais était encore une science obscure durant l'Antiquité. Aussi ai-je eu par moment envie de secouer Hypathie dans tous les sens en lui gueulant "Mais c'est l'ELLIPSE, bon sang !!"...
    Cécile HARISTOY
    Cécile HARISTOY

    21 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2012
    Très académique dans son traitement, plutôt long (2 h 06), ample, dense, ce péplum peut rebuter le spectateur à la recherche d'un divertissement sans prise de tête et pas trop didactique. De fait, on ne peut s'empêcher, en le regardant, de penser qu'il conviendrait parfaitement comme support vidéo à un cours d'histoire sur la Grèce antique pour collégiens ou lycéens. Ca donne envie... ou pas... La première heure, surtout, frappe par son sérieux et l'austérité de ses dialogues scientifico-philosophiques. Il convient cependant de persévérer car si l'on ne décroche pas en cours de route, on a la bonne surprise de rentrer dans l'histoire alors qu'on n'y croyait plus trop et de s'attacher aux personnages, unis jusqu'à la mort par le tumulte de leurs passions et de leurs convictions jusqu'auboutistes, aussi bien amoureuses que religieuses. L'action se passe au IVe siècle après JC. Belle, indépendante d'esprit, agnostique, Hypatie enseigne l'astronomie à l'école platonicienne de la Grande Bibliothèque d'Alexandrie. Assis sur les bancs sans distinction entre chrétiens, juifs et musulmans, ses élèves sont exclusivement masculins, de jeunes adultes dans la force de l'âge. Tous suivent avec ferveur les cours de cette femme charismatique, en avance sur son temps, dont la curiosité, la liberté de pensée et la tolérance se seraient parfaitement inscrites dans la science éclairée de l'esprit des Lumières. Pour son malheur, elle est née 14 siècles trop tôt... Entièrement vouée à comprendre la place de la Terre dans l'Univers et à apporter la preuve de la théorie héliocentrique, encore considérée par les autorités religieuses de l'époque comme hérétique, Hypatie se perd dans l'observation du ciel et de savants mobiles reproduisant l'organisation cosmologique, elle étudie sans relâche les rouleaux de parchemins qui compilent les connaissances astronomiques, l'intelligence toujours en éveil, sans préoccupation de plaire et de paraître. Et pendant ce temps, l'intégrisme monte... Ambitieux dans sa réalisation, avec un évident parti pris d'esthétisme rigoureux, Alejandro Amenabar a traité son sujet en intégrant l'histoire humaine à l'histoire universelle, comme un grand tout, faisant la passerelle de l'une à l'autre par des vues de nuit étoilée. Alors que là-haut l'Univers poursuit sa course imperturbable, en bas, la Terre, circonscrite à une Alexandrie reconstituée dans des tons beige-écru, est secouée par les troubles religieux. L'affranchissement des esclaves annonce les exactions des chrétiens envers les juifs. Les cartes redistribuées, il faut choisir son camp. C'est la bascule des plus forts en plus faibles et des opprimés en oppresseurs. Parmi la population grouillante d'Alexandrie, "Agora" s'attache au destin de 3 personnages en particulier : Hypatie, mentionnée plus haut, Davus et Oreste (Rachel Weisz, Max Minghella et Oscar Isaac, chacun excellent dans son rôle), tenaillés sans grande marge de manoeuvre entre leur devoir, leur raison et leur coeur. Tous les ingrédients d'un drame... Beau, mais quelque peu ardu.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 mai 2012
    C'est un très bon péplum. Cela retrace au final une période de l'histoire d'Alexandrie.
    Le film nous montre au final le gâchis dans l'avancement de l'humanité à cause des fanatiques... mais ce n'était pas le "bon moment" pour que la terre tourne autour du soleil et qui plus est pas avec un rond parfait !
    Au delà du côté intellectuel du film, on notera un jeu d'acteur parfait, comme toujours avec Rachel Weisz mais aussi des autres qui ne sont pas en reste. Les décors sont très bien fait et on ne s'ennuie pas un instant !
    Verdict : à voir pour tous ceux qui aiment le genre "gladiator du côté des intellectuels"
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 mai 2012
    Chouette ! Un péplum qui n'a pas pour protagoniste principal la force guerrière d'un Russel Crowe, non plus la hargne niaise d'un Sam Worthington, et encore moins les abdos virtuels d'un Gerard Butler. Un péplum, donc, qui a préféré se tourner vers une Rachel Weisz élégante et convaincante dans le rôle d'Hypatie, philosophe, mathématicienne, astronome, et figure forte de l'Histoire. Allons à l'essentiel, ce film est grand et porte très mal l'étiquette que lui promettait un budget de 73 millions de dollars et l'image lourde d'un blockbuster. En plus de ça, il parait que ce film a su rester fidèle à la réalité historique des faits relatés. Mais bon ça je sais pas j'étais pas né.
    darkfish
    darkfish

    41 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 avril 2012
    J'aime :
    * la splendide Rachel Weisz qui incarne magnifiquement la femme moderne, libre, intelligente et touchante
    * la 1ère partie du film
    * les excellents plans et cadrages
    * les non-dits qui disent tout

    J'aime pas :
    * le brouhaha et le manque d'envergure de la 2ème partie
    * la bêtise humaine
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 19 avril 2012
    Déçue ! L'idée de départ n'est pas mal mais mal exploitée, les questionnements et réflexions de la philosophes ne sont pas suffisamment bien ficelés. Quelques imperfections qui font que j'ai aimé que très moyennement ce film. C'est décevant de la part d'Alménabar
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