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    Agora
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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 avril 2013
    Alejandro Amenábar, connu notamment pour l’excellent "The Others", livre ici un peplum sans combat à perte de vue, comme ont pu le faire ses prédécesseurs. Ici c'est un peplum plutôt intellectuel sur fond de religion. Un sujet un peu bancal, on l'on a du mal à trouver le style exact du film. Rachel Weisz, en mathématicienne et philosophe tient bonne figure tout comme le reste des acteurs, malheureusement aucun ne sort du lot, sans être véritablement convainquant. Peu être par choix d'avoir choisi trop jeunes? Nul ne le saura, mais la mayonnaise ne prend pas.
    De superbes décors entourent cette histoire et une ambiance IVème siècle excellemment représentée. A coté de ça? Un scénario un peu trop tiré par les cheveux, sur fond de religion qui pourrait choquer certains.
    Des plans aériens qui ne servent pas à grand chose, et un manque cruel de profondeur sur les personnages. Le rôle donné à Rachel Weisz, assez superficielle en somme, donne l'impression qu'elle joue dans un autre film, mais pas celui-ci.
    Au final, c'est beau, certes, mais pas suffisamment abouti.
    fabrice69
    fabrice69

    30 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2013
    Le debut du film est un peu deconcertant avec n melange de tranche de vie, d'epopee et de romance. Mais au fil du deroulement, tout s'enchaine bien et l'ensemble est ok. Le sujet et la periode sont violent mais sont tires d'une histoire de cette epoque trouble de l'histoire. A voir donc
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 avril 2013
    Péplum intelligent, Agora est l'histoire d'une astronome de l'Antiquité qui sacrifiera sa vie personnelle au profit de la science, sous fond de questions de religions, et de genre (homme/femme)... Magnifique, esthétique, une fin bouleversante !
    Rachel Weisz est juste sublimissime !!!
    Nathan Snidaro
    Nathan Snidaro

    68 abonnés 462 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2013
    Ambitieux projet que de traiter des premières hostilités entre païens et chrétiens. Très ambitieux projet et extrêmement courageux d'ailleurs, car les débats historiques sur cette période sont très loin d’être terminés. D'autant que Alejandro Amenabar est loin d’être objectif ( mais qui le serait sur un tel sujet ? ). Ici, ce sont les chrétiens qui déclenchent les premières atrocités et qui sont les plus intolérants ( bon cela dit l'histoire nous prouve qu'ils n'étaient pas spécialement tolérants tandis que les romains acceptaient toute les religions ). Cependant au début du film la religion chrétienne n'est évidemment pas bien vue non plus de la part des païens qui n'hésitent pas à punir ceux qui en font parti. Mais donc outre ce débat interminable et surtout inutile, le film se trouve tout de même très réussi. Le film s'en sort à merveille, notamment par une mise en scène extrêmement soignée, aux costumes et aux décors superbes. La reconstitution historiques est juste extraordinaire, on s'y croirait. L'interprétation non plus n'est pas en reste, à commencer par Rachel Weisz, impériale en la célèbre mathématicienne Hypathie, et Max Minghella, excellent dans celui du jeune chrétien dépassé par les événements. Si la réalisation reste assez plate et la musique vite oubliable, le film garde un grand intérêt pour son aspect historique. Car, même si traité d'un point de vue subjectif, il met en scène un grand nombre de personnages historiques, comme le premier pape ou le préfet Oreste. On en ressort donc plus cultivé, avec un regard un peu plus clair sur cette période brumeuse. L'intrigue quand à elle est très bien menée et permet que l'on ne s'ennuie pas. C'est certain qu'il ne faut pas s'attendre à de l'action, mais la sympathie que l'on a pour Hypathie suffit à faire en sorte que l'on s’inquiète pour elle, et qu'ainsi l'on accroche au film. On est donc embarquer malgré nous dans les événements, étant aussi inquiets que le personnage principal. Bref, malgré une réalisation assez mauvaise, l'intrigue, l'aspect culturel et surtout le talent de Rachel Weisz suffisent à nous faire accrocher tout le long du film.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 406 abonnés 4 440 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mars 2013
    Un film exceptionnel, qui m’a très, mais alors très agréablement surpris. Quant je lis certaines critiques presses je me dis, mais changez de métier messieurs, surtout en proposant des jeux de mots foireux sur le titre à l’image du Figaroscope. Là il y a de l’argumentaire, c’est clair ! Je commence par le casting, parce que j’ai l’habitude de commencer par là et car ce fut ma première grande surprise. Je voudrai faire ici l’éloge de Rachel Weisz, d’une perfection exeptionnelle. J’ai l’impression de voir le pendant masculin du Christoph Waltz d’Inglorious Basterds tant elle illumine et monopolise l’écran à chacune de ses apparitions. Les seconds rôles sont non moins convaincants, et quoique tous ne soient pas interprétés par des acteurs très connus, il n’y a pas de fausses notes. Il faut dire que l’écriture de chaque personnage est excellente, et, en dehors d’Hypathie, je donne une mention particulière à Davus et Oreste. Le scénario est très ambitieux, traite d’un sujet pour le moins brulant (au travers du prisme antique, ce qui est un très bon choix), et même si avec une matière aussi riche il est évident que le film se doit de faire des impasses et des sacrifices, ceux-ci sont parfaitement choisis et ne déchargent en rien Agora de sa force. A noter qu’il n’y a pas de manichéisme mal venu dans le film, un écueil qui aurait vraiment pu le couler. Au passage les dialogues sont riches mais pas bavards, et surtout pas ennuyeux du tout. Autre point fort, les images. Le film est de toute beauté, les décors atteignent une perfection formelle, et malgré les nombreux effets spéciaux numériques, le film ne perd absolument pas de sa poésie. Il y a des séquences tragiques, mélancoliques, épiques, lyriques, voir même comiques et toutes ces émotions ne sont pas du tout affadies par les images de synthèse. La photographie est sublime, offre des éclairages magiques, et la mise en scène d’Amenabar est comme d’habitude d’une précision d’horloger. Le tout baigné par une musique qui va droit au cœur, vous remue les tripes, bref vous pousse à aller la réécouter là où vous le pouvez.
    Considéré comme un « péplum philosophique », certains pourraient avoir peur d’un film lourd, pontifiant, ennuyeux à mourir pour tous ceux qui n’ont pas l’agrégation ou un doctorat dans la discipline, et bien non. Le film passe très bien, bénéficie d’un rythme solide malgré une durée conséquente, et propose même de belles séquences d’action (l’attaque de la bibliothèque notamment).
    Un film à voir absolument (au moins pour se faire son idée car dans son genre il est unique). Après son visionnage on ressort avec l’impression d’une part d’avoir passé un moment ultra divertissant et d’autre part d’être moins bête (au moins parce que l’on connait le personnage d’Hypathie, lequel n’est pas une invention). Je décerne avant de terminer cette chronique une médaille à la fin d’Agora, émotionnellement très forte et qui pour moi, de tout les films que j’ai pu voir et il y en a un sacré paquet, reste la plus belle fin du cinéma. Si je le pouvais, je la découperai et l’encadrerai au plafond de ma chambre pour la revivre chaque soir.
    loulou451
    loulou451

    120 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2013
    Passé quasiment inaperçu lors de sa sortie, Agora reste cependant à ce jour le meilleur film d'Alejandro Amenábar, le plus abouti en tout cas. En collant au plus près au personnage de cette philosophe grecque, Amenabar permet au film d'alimenter son propos : la place de la religion et de la politique, sujette à toutes les luttes d'influence vaut-elle la place de la raison et de la réflexion. La liberté ne se trouve-t-elle pas dans l’intelligence et le raisonnement ? A en croire Alejandro Amenábar, cela ne fait aucun doute. Certes, le réalisateur ne fait pas preuve d'une grande audace cinématographique, mais s'appuie sur un scénario en tout point magistral, des effets spéciaux assez réussis et une brochette d'acteurs convaincus par cette histoire si riche en enseignements. Un film magnifique.
    Truman.
    Truman.

    230 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2013
    Agora est un bon film , une excellente réalisation , de bons acteurs mais trop porté sur la propagande religieuse , des longueurs par moments . Bref un bon film historique a voir au moins une fois pour les amateurs du genre .
    Vutib
    Vutib

    136 abonnés 701 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 février 2013
    Le cinéma Espagnol distribué internationalement est tout bonnement très bon. Ils excellent notamment dans le monde du fantastique. Je pense à « l’Orphelinat » ou aux « yeux de Julia ». C’est avec appétit que je me suis donc jeté sur « Agora », Biopic historico-dramatique d’Alejandro Amenabar. Et franchement, ça claque ! Ce film est une réussite totale, à la fois profond et prenant, subtil et audacieux. Classique mais pas trop, cette production interroge de manière très sensible la question des conflits religieux (entre chrétiens et juifs, 400 ans après J.C, à Alexandrie). L’enjeu de la religion constitue l’ossature de cette œuvre historique. Mais ce qui est réellement novateur, c’est que sur cette base historique se construit le personnage d’Hypatie (superbe Rachel Weisz) et de ses recherches en matière d’astronomie (elle tente d’affirmer le fait que la terre est ronde). Cette double vision procure une réelle épaisseur au scénario du film, très enrichissant mais aussi extrêmement captivant et poignant. Techniquement, c’est grandiose : les mouvements de caméra sont superbes, le montage vidéo/sonore très convaincant et la reconstitution historique magistrale. Les effets visuels numériques sont eux aussi de très bonne facture. L’intrigue est parfaitement bien distillée, dosant à merveille les passages épiques avec les instants de dialogues, plus posés. Le film véhicule des émotions très fortes. Amitié, amour, haine, jalousie s’y entremêlent délicieusement. La symbiose d’autant d’éléments scénaristiques est telle que l’on est littéralement emporté par ce récit, riche mais cohérent, sans scènes futiles. Dépaysement et émotions garantis ! L’éventail de comédiens est là encore superbe. Tous les acteurs sont crédibles et leurs personnages respectifs sont sculptés avec justesse et son tous, à des degrés différents, attachants. Oscar Isaac, Max Minghella ou encore Michael Lonsdale font preuve d’un professionnalisme certain. Mais c’est évidemment Rachel Weisz qui crève l’écran. D’un charme incommensurable, d’une finesse totale, elle fait honneur à son personnage, déterminé et passionné. Sans aucun doute son meilleur rôle à ce jour. Après un final magistral, l’écran noir apparaît. C’est certain, « Agora » est un grand film, une fresque historique d’une excellente méticulosité et fidélité. Envoutant, enrichissant, bouleversant.
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    75 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2013
    Film à grand spectacle fait pour le grand public.
    Au 4è siècle avant JC, à Alexandrie, la double histoire d'une femme savante qui découvre le mouvement elliptique de la terre autour du soleil, et des luttes religieuses entre païens, chrétiens et Juifs. La bibliothèque d'Alexandrie sera détruite. Et la femme savante assassinée.
    C'est du grand spectacle, il y a beaucoup de dialogues souvent simplistes. C'est souvent mélodramatiques (musique langoureuse), beaucoup de clichés (les bons et les méchants, le traître), les caractères des personnages sont succincts. Néanmoins, les décors et les costumes sont réussis (grâce au numérique?).
    Il manque au réalisateur un savoir faire narratif pour rendre moins ennuyeuse cette histoire malgré tout assez convenue entre groupes religieux pour prendre le pouvoir. Certes c'est un film contre le fanatisme, et ici les chrétiens sont les méchants. Vérité historique ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 octobre 2013
    Film grandiose
    d abord superbement réalisé , la photo superbe , les costumes magnifiques
    ensuite le fond = l histoire de l extremisme religieux , de la folie des hommes, de leur arrogance quand ils se substituent à Dieu , qui s attaque à la Raison incarnée par Ipathie Rachel Weisz , pour qui on ressent énormément d empathie , dont le tort est d etre érudite mais surtout femme
    Une histoire vraie , superbement raconté par alejandro amenabar qui se fait décidément trop rare dans le cinéma !!
    Gros regret que Nicole Kidman n ait pas accepté ce role par peur ( vraiment il n y avait aucun raison le réalisateur dénonce l extremisme en général ) d autant qu elle avait déjà fait unduo gagnant avec alejandro amenabar dans le film " Les autres "
    Rachel Weisz et très bien , mais une Nicole Kidman aurait vraiment transcendé le role
    BREF superbe film un 5/5
    Estonius
    Estonius

    3 369 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2013
    Ce film à grand spectacle d'Alejandro Amenabar  (qui nous avait donné le très brillant "Les autres" avec Nicole Kidman en 2001) a un rapport direct avec l'astronomie. (non, ce n'est pas un péplum !) Deux histoires sont mêlées, la critique du fanatisme religieux (les chrétiens de l'époque n'ayant rien à envier aux talibans d'aujourd'hui) et les travaux d'Hypathie d'Alexandrie, mathématicienne, astronome et philosophe grecque (~370–415) qui aurait à l'époque supposé que les orbites des planètes autour du soleil étaient des ellipses (alors qu'à l'époque c'est le modèle de Ptolémée qui dominait.)
    Il ne reste rien des écrits d'Hypathie détruit dans l'incendie de la bibliothèque d'Alexandrie... et Hypathie a été l'atroce victime à 45 ans du fanatisme sus-cité.
    Un très beau film, une réalisation nerveuse, une très belle interprétation de Rachel Weisz, et une "morale" désespérante et désabusée tendant à dire qu'il n'y a pas grand chose à espérer de l'espèce humaine.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 février 2013
    Alejandro Amenabar signe ici un drame historique d'une grande qualité, avec une Rachel Weisz magnifique et bouleversante. Certains reprocheront le côté théâtral du film, pour ma part je trouve que c'est ce qui donne son charme et son originalité. De plus, les décors sont somptueux, et l'on apprend pas mal de choses en le visionnant. A voir donc, visuellement réussi, divertissant et intelligent.
    alexdelaforest
    alexdelaforest

    38 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2013
    Tout n'est pas à jeter dans ce film qui dépeint les premiers temps de la chrétienté. On saisit bien les questions d'intolérance, d'obscurantisme et de pouvoir. Mais on n'échappe pas au péplum et au carton pâte.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 novembre 2012
    Mon blog ciné : livraisondefilms.fr

    Agora est une magnifique démonstration de la lutte entre l’obscurantisme religieux et la société ouverte (en reprenant la définition du philosophe Karl Popper selon lequel une société ouverte est une société sans dogmes imposées par des autorités supérieures, voir La société ouverte et ses ennemis). Le film montre comment une secte intolérante et violente- celle des chrétiens- parvient à prendre le pouvoir. Victorieuse des religions concurrentes (le culte civique romain et le judaïsme), les chrétiens cherchent à faire plier le pouvoir politique pour l’obliger à supprimer toute liberté d’expression et à l’ériger en unique religion d’Etat.

    Les juifs sont les premières victimes, massacrés et forcés à l’exil. Puis vient le tour d’Hypatie, philosophe, mathématicienne et astronome de renom. Elle est doublement coupable à leurs yeux : d’être une femme influente et d’enseigner les sciences et le doute. Après avoir détruit la connaissance en dévastant la bibliothèque d’Alexandrie, les chrétiens ne peuvent tolérer l’existence de cette femme qui use de sa faculté de raisonner au lieu de se plier devant la révélation chrétienne. Au grand prêtre qui lui demande pourquoi elle refuse de se convertir, Hypatie a une magnifique réponse, qui incarne la lutte séculaire entre le doute et le dogme : « Synesius, tu ne doutes pas de ce que tu crois. Tu ne peux pas. Moi, je le dois. » (« Synesius, you don’t question what you believe. You cannot. I must ».). Face aux chrétiens, le pouvoir politique agit naïvement. En répondant à leurs exigences, ils pensent les amadouer en conservant leur loyauté. Mais alors qu’Oreste croit encore les contrôler, Hypatie lui fait comprendre qu’ils ont déjà gagné, à travers ses concessions successives.

    C’est l’histoire d’une défaite que raconte Agora. C’est l’histoire de la défaite, ou d’une régression pour les plus optimistes, à la fin de l’Antiquité, de l’ouverture d’esprit, de la raison, des sciences, de la liberté, de la tolérance et de manière générale, de la société ouverte. Derrière la critique de l’imposition forcée du christianisme, on ne peut s’empêcher de saisir l’avertissement lancé aux générations actuelles. A une époque où le fondamentalisme islamiste ne cesse de gagner du terrain dans le monde, par son règne de la terreur, pourchassant les individus qui, comme Hypatie en son temps, défendait le doute et la raison, ce film rappelle la nécessité de défendre la société ouverte.

    Enfin, sur le plan de la réalisation, le film est une réussite. Les plans d’Alexandrie sont très bien reconstitués. Les questionnements d’Hypatie sur l’univers sont très bien montrés et font non seulement réfléchir le spectateur, mais lui donnent également envie de se replonger dans l’astronomie, les mathématiques. Bref, de comprendre le monde qui l’entoure. On prend énormément de plaisir à suivre le questionnement d’Hypatie et à assister à l’éclosion de ses idées. Rares sont les films qui donnent une image aussi enthousiasmante et vivante du savoir et des sciences. Le film nous rappelle également la spécificité du rapport entretenu par les savants et les philosophes de l’Antiquité avec la science, un rapport direct. Ils s’interrogeaient sur les phénomènes qu’ils observaient eux-mêmes. Rares également sont les films à susciter autant d’indignation et de colère face à la destruction de la connaissance (notamment lors de la scène du saccage de la bibliothèque d’Alexandrie) et donc à la valoriser autant. Un chef-d’œuvre intelligent et divertissant.


    Mon blog ciné : livraisondefilms.fr
    Christian B.
    Christian B.

    17 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 octobre 2012
    Bon péplum , c est clair je ne sais pas si l'histoire est réelle mais m'en fout , ce qui m'importe c'est de voir une belle fresque avec de beaux décors, les scènes de combats sont bien montées , et on voit déjà que n'importe quelle religion quand elle touche les extrémes rien n'en ressort de bon , en tout les cas je regrette pas de l'avoir vu
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