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    Agora
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    606 critiques spectateurs

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    Kloden
    Kloden

    124 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 janvier 2016
    Film particulier que cet Agora, qui tire à mes yeux paradoxalement son défaut principal de la marque de fabrique singulière qui lui donne un certain intérêt : une prise de recul étonnante avec son matériau. Jamais manichéiste, puisque tout le monde tape indifféremment sur tout ce qui n'est pas soi dans les limites requises par le pragmatisme, Agora se borne à dérouler une vision contrite de l'histoire d'une philosophe qui se heurte au fanatisme des foules et à la marche forcée de l'Histoire. La distanciation opérée par cette image aux couleurs froides, cette mise en scène discrète (qui sert parfois plus de tampon que de procédé d'emphase) et l'absence d'une figure héroïque nette évite au propos de devenir lourd. Cette figure, beaucoup la verront dans Hypatie, mais c'est justement en refusant de faire de son personnage principal une martyre qu'Agora se sort de l'ornière qui s'offrait à lui. Hypatie est une victime, certes, mais ne s'en plaint que peu, aussi vrai qu'elle ne lutte pas pour des raisons sociales ou doctrinales mais reste plutôt à l'écart, dans une bulle anachronique grignotée petit à petit par la montée en puissance du christianisme. Sans jamais brandir l'étendard du "bien" ou de la "vérité" et de pleurer lourdement ce qu'ils sont bafoués, Agora donne plutôt l'impression d'écrire une sorte de complainte inaudible destinée à tous ceux qui sont restés en marge, balayés aveuglément par le mouvement de l'Histoire. Voir les regrets émis par le récit passer de faits précis non seulement au fanatisme (ce qui l'aurait limité à un lieu commun agaçant) mais à quelque chose de plus vaste lui donne une saveur particulière, en décalage avec la conviction qu'on met d'ordinaire à lire l'Histoire autant qu'à l'écrire. Parfois, cette volonté de transcender les limites ordinaires de la relecture historique dans une forme de conscience plus étoffée n'évite pas d'énormes maladresses, comme la multitude de plans en plongée surplombant une Alexandrie devenue fourmilière humaine, le numérique enlevant de lui-même aux corps en déplacement leur humanité dans une symbolique qui manque de finesse. Mais quand même, cette marque de fabrique se justifie, et demandait à être creusée. Le problème qu'elle me pose, c'est la distance qu'elle nécessite : pour ne jamais prendre l'allure d'un pamphlet, Agora se maintient dans une retenue qui évite globalement la grandiloquence. Cela enlève aux personnages toute dimension tragique, et les replace à échelle humaine. Pourquoi pas, après tout, si on désire de ce récit qu'il touche par sa singularité, comme cela parait également être le cas ? Parce que en l'état, cette retenue ramène les personnages à trop de réalisme, non pas à un réalisme absolu (qui serait celui d'atteindre la réalité telle que les gens la vivaient à l'époque) mais un réalisme de façade qui perçoit la vie de l'époque à l'aune de celle que nous vivons aujourd'hui. Les personnages paraissent alors aimer, sentir, et vivre comme nous, les costumes et le contexte en plus. Hors, cela ma procure la même sensation de gêne que celle que je ressens devant tout film historique qui ne s'assume pas comme une vision forte, artistique, qui utilise l'Histoire comme un moyen d'apporter un éclairage sur le présent, puisqu'on ne peut réellement la prendre comme fin, détachée à jamais qu'elle est de nous par des siècles de modifications culturelles et humaines dont nous saisissons sans doute mal l'ampleur. Je veux dire par là qu'on peut mentir sur l'Histoire sans le faire, à condition d'en avoir conscience et de l'admettre sans broncher. Je n'ai pas le sentiment qu'Agora sait le faire pleinement, et cela le condamne à un anachronisme qui tue dans l’œuf son ébauche de propos. Oscar Isaac est tout de même très bon, comme toujours.
    kibruk
    kibruk

    143 abonnés 2 533 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 juin 2012
    Il n'est pas dans mon habitude de faire référence à des critiques de professionnels de la critique, mais je ne peux m'empêcher de relever le grotesque de celle des Cahiers du cinéma : "teinté à l'occasion d'érotisme Obao". C'est quand même fort d'écrire cela sachant que de tout le film on ne devine la nudité de l'héroïne qu'à la toute fin... et que cela n'a franchement rien d'érotique. Enfin passons, et voyons qu'"Agora" est un objet rare qui allie l'histoire antique (sans les divagations d'un "Gladiator"), l'aventure scientifique, la philosophie, le romantisme, le tout baigné d’un souffle épique fait de fureur et de massacres. La reconstitution historique est visuellement de qualité et certaines scènes impressionnent, comme l'attaque de la bibliothèque. On y croit. Tout au plus pourrait-on reprocher à Amenàbar d'en faire un peu trop, mais ce rythme proche du film d'action à gros budget n'altère jamais la clarté et la profondeur de l'histoire, ces plans vertigineux donnent l'impression d'être à la place d'un dieu qui observerait de tristes créatures qui s'affrontent telles de misérables fourmis. Et c'est bien là toute la réussite d'"Agora" : mettre en opposition la grandeur de l'âme de l'héroïne qui s'élève pour comprendre les merveilles des mécanismes de l'univers, et la petitesse des esprits des fanatiques de tous bords qui se massacrent au nom d'un créateur d'un univers qu'ils ne cherchent même pas à comprendre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 avril 2018
    Ce très bon péplum nous fait part d'une histoire méconnue, celle d'une femme qui a inspiré bon nombre de scientifiques et de philosophes...
    Zoumir
    Zoumir

    66 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 février 2012
    Agora retrace sur fond de fanatisme religieux une grande partie de la vie d'Hypathie d'Alexandrie, philosophe et mathématicienne grecque. Les talents de réalisateur d'Amenabar sont indéniables mais ce n'est pas ce qui nous frappe ici. Entre ces conflits religieux que l'on ne peut s'empêcher de transposer à notre époque et cette histoire de triangle amoureux entre Hypathie, son élève Oreste et son esclave Davus, le film vaut surtout par son personnage central, parfois délaissé par le récit mais très bien interprété par Rachel Weisz. Une interprétation et un sujet qui donnent envie de s'intéresser à cette femme tout en nous permettant de passer un agréable moment de cinéma. On pardonnera une certaine liberté historique prise par Amenabar et Gil car certaines zones d'ombres planent sur cette femme et sans cela, malgré quelques très beaux plans et les recherches astronomiques passionnantes de notre héroïne au milieu de ses tensions politiques et religieuses, le film donne un peu l'impression de s'étirer en longueur. Loin d'être une leçon de cinéma maitrisée, Agora reste une tentative intéressante qui permet de changer du péplum habituel, bien souvent limité par les histoires de pouvoir et de maîtres/esclaves caractéristiques des plus grands films de ce genre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 janvier 2010
    super film il et éxcéllent j'ai adoré le scénario et génial les acteurs sont éxcéllent.le film et prenant du début a la fin du film,en plus rachel weits et superbe dans ce film et j'adore la facon d'on et fait le film.bref ce film et éxcéllent aller le voir
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 juillet 2010
    Bonne période, bonne réflexion, bonne suggestion. Un bon film qui manque cependant du petit quelque chose qui en fait les grands.
    jmulans
    jmulans

    53 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juillet 2010
    Alejandro Amenabar nous emmène en Égypte dans des temps fort fort lointain dans Agora, son dernier film.


    Hypatie (Rachel Weisz) est une philosophe agnostique spécialisée dans l'astronomie, elle est également professeur. Elle se refuse d'être l'épouse d'un homme, préférant se consacrer à ses études. A Alexandrie, où les païens étaient solidement installés, sont admis depuis peu les chrétiens, avec l'autorisation de l'empereur Romain. Il en faut peu pour qu'éclatent une bataille entre les 2 peuples. Oreste (Oscar Isaac), un élève païen d'Hypatie, prend part au combat. De l'autre côté, Davus (Max Minghella), esclave d'Hypatie, s'est convertit au christianisme sous l'influence d'Ammonius (Ashraf Barhom).

    Les guerres de religions prises à leurs origines. Voilà ce que nous propose Amenabar. Il nous montre la bêtise de l'Homme, capable de tuer n'importe qui pour une différence de croyance. Nous voyons les personnes qui, pour le pouvoir, se sont proclamés porteur de la parole de Dieu, et ainsi commis les pires crimes de l'Humanité. Ils ont détournés ce qui était au départ de bonnes paroles ("Aimez-vous les uns les autres", tout ça...) pour ordonner de tuer tout ceux qui refusaient de se soumettre, et au passage asservir la femme. Nous payons encore aujourd'hui les idées immondes de ces grand champions de la tolérance. Voilà tout ce que nous montre Amenabar : les dérives de l'intolérance et du fanatisme. Des sujets toujours brûlants près de 1600 ans après.


    Esthétiquement, nous avons droit à des décors somptueux d'une Alexandrie au sommet de sa splendeur, ainsi que de vertigineux effet de zoom de la Terre dans l'espace jusqu'au détail des rues de la cité. En dehors de ça, l'action est plutôt répétitive. Des gens se battent, d'autres fuient, et caetera... Les hommes autour d'Hypatie (Davus, Oreste), soit disant ses prétendants, se font discrets vis-à-vis d'elle. On note plutôt du respect de leur part envers elle, que de l'amour.

    Rachel Weisz joue Hypatie de toute sa classe, et nous offre un personnage droit et hautement respectable. la prestation de Ashraf Barhom dans le rôle d'Ammonius est à noter, il s'est totalement imprégné du personnage de fanatique qu'il interprète; il réussit à se rendre vraiment détestable.


    Agora traite de sujet durs et d'actualité, et est porté par une bonne distribution. Malgré tout on peut parfois s'ennuyer, le film traîne un peu en longueur. Les passages ou Hypatie étudie l'astronomie, par exemple, sont intéressants mais arrivent un peu comme des cheveux sur la soupe. Ils n'ont pas grand rapport avec le reste. Mais l'ambiance est bien là, l'univers est crédible et on se laisse emmener. On ne sort pas de ce film joyeux. On en ressort choqué ou indigné par tant de bêtise. On demande à un film de nous faire ressentir des choses, c'est fait.

    Ci-dessous une très belle bande-annonce sans paroles mais qui dit ce qu'elle a à dire. Un mot sur l'affiche, je préfère nettement celle que j'ai postée, plutôt que l'officielle assez moche.

    Je finirais sur des paroles pleines de sens : "Les sirènes du port d'Alexandrie chantent encore la même mélodie..."
    jeremie747
    jeremie747

    44 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2010
    Dans "Agora", Amenabar a l'ambition de traiter trois intrigues différentes autour du destin relativement méconnu d'Hypatie, philosophe d'Alexandrie éprise d'astronomie et de liberté qui aurait eu, des siècles avant Kepler, l'intuition du mouvement des planètes autour du Soleil. La première intrigue suit avec érudition les recherches d'Hypathie et les débats entre les thèses astronomiques d'Aristarque et de Ptolémée. La deuxième, sans doute la plus poussée, montre les premiers chrétiens sous un jour original et intéressant. Habituellement présentés comme des martyrs, ils sont ici des fanatiques violents et intolérants, utilisant la force et l'éloquence pour assouvir leur soif de pouvoir. La troisième est le triangle amoureux formé par Hypathie, Oreste - un de ses brillants élèves, et Davus - son esclave. Chaque intrigue représente un excellent sujet et le film fourmille d'idées relatives à toutes les disciplines : politique, religion, science, philosophie, amour... Malheureusement, le réalisateur semble superposer les scènes sans s'inquiéter du lien entre elles et ne fait qu'effleurer chaque histoire (notamment l'histoire d'amour, bâclée) ; "Agora" manque donc assez vite d'un indispensable souffle romanesque. Enfin, malgré une jolie reconstitution d'Alexandrie et la belle performance de Rachel Weisz, le film souffre d'une réalisation assez quelconque (à laquelle Amenabar ne nous avait pas habitués) et d'une bande-son aussi pénible qu'omniprésente. Un film ambitieux mais malhabile...
    darkfish
    darkfish

    40 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 avril 2012
    J'aime :
    * la splendide Rachel Weisz qui incarne magnifiquement la femme moderne, libre, intelligente et touchante
    * la 1ère partie du film
    * les excellents plans et cadrages
    * les non-dits qui disent tout

    J'aime pas :
    * le brouhaha et le manque d'envergure de la 2ème partie
    * la bêtise humaine
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 juillet 2010
    Une déception !! Après avoir lu le synopsis je m'attendais à mieux...autrement dit je pensais voir un film bien plus+ intéressant qu'il ne l'est réellement ! Le film est bien réalisé et les acteurs sont assez bons dans l'ensemble mais personnellement je trouve que le scénario ne suscite très peu d'intérêt, il est beaucoup moins attrayant qu'il aurait pu l'être. “Agora” est surtout basé sur la religion, beaucoup plus que je ne le pensais...et j'ai franchement pas accroché, en plus de ça j'ai trouvé la fin tout particulièrement assez décevante !! Je mets 2 étoiles uniquement pour la réalisation et le jeu des acteurs. Il est éventuellement intéressant pour tous ceux qui aiment la religion, les autres passez votre chemin…mieux vaut aller revoir AVATAR une fois de plus que de voir ce film là !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 septembre 2012
    Une bonne surprise! une Rachel Weisz parfaite comme d'habitude, des décors magnifiques, un film surprenant et poignant qui nous tient en haleine du début à la fin. A voir!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 janvier 2010
    Et non, ce n'est ni un Troie, ni un Gladiator, comme j'ai pu le lire chez les spectateurs déçu. il faut se renseigner avant d'aller voir un film !
    Magnifique ! La réalisation d'Amenabar est superbe et originale. Rachel Weisz... aah Rachel Weisz. Comme à son habitude, elle est là et bien présente, elle iradie d'intelligence, sagesse, beauté et grâce. Mention spéciale également à l'acteur interprétant Davus, totalement torturé à l'extrême.
    Le thème est plus que passionel : la religion versus la science et la liberté de pensée. Bien sûr il y a la liberté de réalisation d'Alejandro Amenabar, mais il est intéressant de voir ce type de critique : la religion, la "parole de Dieu" et ce qu'en font les Hommes, enfin même plutôt les hommes avec un petit H.
    Encore une fois, la restitution de la vie d'Hipatie n'est sans doute pas fidèle à 100%, mais on a là une femme d'exception (interprétée par une actrice exceptionnelle) qui ose penser, remettre en question et s'exprimer, ce qui chagrine fort les autorités religieuses de l'époque bien sûr.
    Sa mentalité est admirable et devrait servir d'exemple.
    Jonathan C
    Jonathan C

    27 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 janvier 2010
    J'ai aimé ce film !
    Si vous y allé pour voir un film d'action avec des combats, des batailles en ordre rangés, ce film n'est pas pour vous.
    Par contre si vous voulez voir une histoire sur l'époque de l'Empire Romain 350 après JC et plus particulièrement sur les conflits humains-religieux de l'époque vous serez heureux.
    Je ne sais pas si le film est fidèle à la réalité des faits de l'époque, mais l'adaptation m'a emballé.
    Des acteurs particulièrement bons, une histoire qui tient la route, et étrangement les conflits religieux de l'époque nous ramène très vite aux notres : comme quoi l'homme et ses idées religieuses n'ont pas évolué depuis 1700 ans ... ça fait réfléchir.
    Si l'on prend du recul, on n'est pas bien content de voir que la France il y a un siècle maintenant a eu la bonne idée de séparer l'église de l'Etat, ouf !
    Par contre la solution n'a pas été encore trouvé pour que les peuples puissent vivre en paix avec leur propre religion à leur époque comme à la notre. Chacune d'entre elle prône la paix, mais au final tous s'entretuent au nom de Dieu, à se demander si ce n'est pas son opposé qui gagne quand on voit le résultat ...
    Ce film comme vous pouvez le voir, entraine chez moi pas mal de réflexions, et je pense que c'est le but qu'a cherché le réalisateur, merci à lui !
    tony_pam
    tony_pam

    36 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juillet 2010
    Un film compliqué mais très intelligentE qui bénéficie du talent de Rachel Weisz et du trop sérieux Alejandro Amenabar qui, à force de vouloir maîtriser chacun de ses plans, aseptise quelque peu son oeuvre.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    33 abonnés 2 265 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 décembre 2023
    Au 4ème siècle après JC, la cité d'Alexandrie sous domination romaine se déchire sous l'effet de l'intolérance religieuse et des communautarismes. Finie la cohabitation entre païens, juifs et chrétiens: ces derniers, au fil des années et d'affrontements meurtriers, bataillent pour installer définitivement leur hégémonie.
    Cette guerre de religions circonscrite à Alexandrie dans de jolis décors numériques ou en carton-pâte donne lieu à un péplum assez évident sur le sectarisme et le fanatisme. A l'écart des débats, mais pas sûre d'y échapper, la jolie philosophe et astronome Hypatie poursuit ses travaux; elle incarne contre les obscurantismes de tous bords la science en marche, modeste et rigoureuse.
    Le film de Alejandro Amenabar n'est pas intéressant. Sa dramaturgie et sa théatralité, sinon son emphase, reposent sur une thématique, des idées ou des symboles plutôt communs et n'offrent pas de perspectives ou points de vue riches sur un plan dramatique. Les personnages, et par ricochet les comédiens, sont désespérément lisses. C'est du cinéma américain "grand public", fade et impersonnel, sans singularité ni subtilité.
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