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    My Soul To Take
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    1,9
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    98 critiques spectateurs

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    Ciné2909
    Ciné2909

    72 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 août 2012
    Il ne faut pas se le cacher, si My soul to take n’est pas sorti directement en vidéo ce n’est que parce que son réalisateur s’appelle Wes Craven. Difficile de deviner que le papa de Freddy et de Scream se cache derrière ce film d’épouvante qui ne réussira à nous effrayer que par sa terrible médiocrité. Le fameux serial-killer censé nous terroriser vous fera autant sursauter qu’un bon épisode de Scooby-doo tandis que ses victimes auraient bien mérité de passer à trépas bien plus tôt ! Quant au personnage de Bug, il est celui qui aurait du apporter un peu d’âme à ce film mais il est à mettre dans le même panier que les autres. Non, mais sans déconner Wes tu nous as refourgué un des films de ta jeunesse ?
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 14 août 2012
    http://ombreserrantes.com/

    Je suis donc allé voir la dernière création cravenienne, qui, en voulant ajouter une autre dimension à l’identification primaire du spectateur -où comment le regard du public épouse la perception générée par la caméra, se posant en sujet privilégié et transcendantal( cf. les analyses de Baudry et de Metz)- par l’ajout du relief, en retranche une autre pour ce qui est de l’identification secondaire( circulation de l’émotion entre le plan spectatoriel et le plan fictif, transfert de l’objet du désir sur la fable cinématographique, etc…) en édulcorant la nature même du sous-genre où il était passé maître: le film de slasher avec un twist audacieux et imprévisible basé une alternance entre des effets de distanciation( bouillonnement intertextuel avec reprise parodique des grands classiques de l’horreur ou hommage à ces derniers par une inflation de citations qui émaillent ses films) et une grande intensité dans cette plongée cruelle dans les profondeurs de la psyché, véritable cinéma de la cruauté qui met au jour la sadisation de l’homme par l’homme qui se dissimule sous l’épaisseur des conventions sociales et culturelles de cette Amérique ripolinée et ultra-conventionnelle, où chaque personnage se réduit à sa fonction narrative au début du film avant de révéler sa part de ténèbres. Peu de différence , à mon sens, entre le radical, hyperéaliste- et souvent à la limite du supportable que constituait Le Last House on the Left et la série des Scream, qui, par-delà la différence manifeste de leur facture, s’interroge sur le même clivage entre la persona et le désir refoulé.
    Voici pour cette petit mise en perspective pour remettre dans le contexte le dernier Craven, visible seulement dans une salle parisienne( le Publicis, pour ne pas le nommer, qui semble s’être fait une spécialité, avec l’UGC Orient Express, d’accueillir, comme l’institution des enfants trouvés, les films d’horreur qui semblent déjà bien handicapés à la naissance, mais ne faisons pas là de mauvais esprit). Comme dans un nombre incalculable de films de slashers, on retrouve la même trame dont Craven propose une nième relecture: un évènement fondateur et traumatique( ici un homme schizophrène, sous l’emprise-ou non- d’une entité démoniaque, qui tue sa femme enceinte sous les yeux de sa petite fille quelque peu perplexe face aux agissements de son paternel), suivi d’une ellipse narrative ( l’éternel « 15 ans après » censé créer l’illusion de l’épaisseur de la durée du refoulement et du « sommeil de la raison qui engendre des monstres », non-dit occulte du secret et hors-champ innommable de la fermentation de le l’horreur) puis nous nous trouvons dans l’univers que Craven affectionne et qui, à tort, le fait passer pour le spécialiste de teen-movies. Nous sommes dans une petite ville de banlieue, archétype interchangeable d’une American way of life de la middle class yankee, présentée à grands renforts de clichés. Derrière l’image publicitaire, ce ne sont qu’humiliations, jeux cruels et rapports d’asservissement: on y voit deux ados( dont l’un va devenir le protagoniste principal du film), innocents et fragiles, maltraités par le jock décérébré de service, autoproclamé séducteur irrésistible et dont le passe-temps favori sont les coups qu’il aime servir aux plus faibles que lui. Son alter-ego féminin, sorte de Kruella gothique dont la névrose ressort par tous les pores de la peau, et, accessoirement, soeur du héros du film, qui s’entoure d’une cour de midinettes qu’elle terrorise et soumet à ses ordres. En arrière-plan, la fascination qu’opère sur ce groupe d’ados le serial-killer qui est apparu au début du film, et dont la légende prétend qu’il reviendra tuer, avec force outils tranchants, les enfants nés la nuit où il a été tué par la police( enfin on ne sait pas, car son corps n’a jamais été retrouvé), qui sont précisément les personnages de lycéens dont nous parlons. Je passe sous silence la suite du film, le glissement imperceptible( enfin, pour tout dire, complètement prévisible) vers l’angoisse, la menace oppressante du retour de l’horrible monstre à visage humain, mais il s’agit, pour parler vite, d’une resucée peu convaincante de l’univers de Scream, filmée à la va-comme-je -te-pousse, malgré quelques scènes interessantes, surtout la peinture du personnage principal, dont les zones d’ombre sont effleurées avec une certaine subtilité. Mais le final semble bâclé de toutes parts, quant au dénouement, attendu, à peine au niveau du train fantôme de la Foire du Trône, il m’a plongé dans un abîme de désolation consternée. Reste à parler de l’utilisation du relief, qui semble être ici un artifice qui n’est pas absolument pas intégré au drame filmique mais un simple gadget sans doute pour s’adapter à la vogue actuelle qui consiste à en mettre dans les films, comme une sorte de « valeur ajoutée ».
    Bref un Craven plus que mineur, acceptable sans doute lors d’une soirée arrosée entre amis peu regardants( et surtout peu cinéphiles) mais qui mérite d’être enseveli dans l’oubli le plus absolu.


    Mon blog ciné: http://ombreserrantes.com/
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 octobre 2012
    Un film vu au cinéma il y a quelques jours et... en 3D ! Bon, on va pas se leurrer, il n'y a pas frand chose à dire sur cette chose et sur la qualité EVIDENTE et le plus qu'apporte la troisième dimension.. Une bande d'adolescent surnommés "les sept", victimes tour à tour d'un fou furieux qu'ils nomment "le tueur". Vous l'avez compris, un film bourré de clichés. Des acteurs moyens, des effets spéciaux quasi inéxistants ou très mauvais, des costumes assez ridicules. Des paysages et des lieux choisis assez caractéristiques néanmoins (la forêt pour le déroulement principal, LA maison pour la fin... ) Mais je pourrais reprocher à ce film de s'être contenté de raconter une histoire un peu trop banale, un peu trop tirée par les cheveux. Alors oui, le réalisateur de "Scream" n'aurait peut être pas du se lancer dans ce tournage. Film qui reste néanmoins regardable.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 août 2012
    Un espèce de scream hallowen pour pré-ado loin d'être exécrable mais qui ne vaut pas le détour, c'est du réchauffé surtout pour Wes Craven qui parodie son propre film.
    tifdel13
    tifdel13

    90 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 août 2012
    Wes Craven n’avait pas réalisé un de ses scénarios depuis Freddy sort de la nuit en 1994. Sorti avant Scream 4 aux Etats-Unis*, My Soul to Take laissait présager le pire quant au quatrième épisode de la célèbre saga à venir. Heureusement Kevin Williamson était de nouveau en charge de l’intrigue, Craven ne semblant pas avoir les mêmes dons que son collègue pour livrer une intrigue propre et bien sentie.
    Dans My Soul to Take, Abel Plenkov, schizophrène doté de 7 personnalités, dont celle d'un serial killer, meurt abattu par la police pendant que 7 enfants naissent non loin de là. 16 ans plus tard, le tueur en série revient se venger.
    Pas la peine de chercher à expliquer les mauvais chiffres du film**, My Soul to Take n’est qu’un Teen Slasher sans intérêt qui lorgne du côté de Scream sans en adopter les qualités une seconde. Quand Ghostface se révèle imprévisible et plutôt stylé (enfin pour un tueur en série), Abel Plenkov ne restera pas dans les annales de l’histoire du cinéma avec son look mixant...

    Venez lire la suite de ma critique sur mon blog CHRONIQUES D'UNE CINEPHILE : http://chroniquescinephile.blogspot.fr/2012/08/la-critique-de-my-soul-to-take-en-avant.html
    senedev
    senedev

    3 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 août 2012
    franchement très prévisible, la trame des "souvient toi" ou des "scream" en plus fade
    mais surtout très mal doublé : les dialogues en sortent plats sans intonations, dictés en studios
    et les acteurs sont pas terribles

    bref, à éviter sauf cause d'ennui mortel
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 8 août 2012
    Certes ce n'est vraiment pas le meilleur Wes Craven, mais bon, après tous les films qu'il nous a "pondu" du type slasher, il nous est difficile de ne pas connaître les tics de ce genre d'histoire. Le film se regarde, pas de sursaut à l'horizon, mais quelques idées. Par contre, la 3D ne sert à rien.
    sunshine1
    sunshine1

    103 abonnés 443 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 août 2012
    Côté scénario (signé Craven lui-même !), c’est carrément la catastrophe ...et pour être tout à fait honnête, on s’en fiche un peu, tant le scénario déroule péniblement tous les artifices les plus attendus du cinéma d’horreur. Coincé par son studio qui a visiblement choisi de vendre son film aux moins de seize ans, Craven ne peut même pas se laisser aller aux délires les plus gore : à l’heure où même des séries télévisées visibles par tous s’autorisent des décapitions en tout genre, on se demande bien qui pourrait frémir devant un film aussi benêt, quand n’importe quel ado américain connaît l’intégrale des Destination finale sur le bout des doigts. My Soul To Take ne peut pas vraiment revendiquer un quelconque signe distinctif. Pire, non seulement il n’invente strictement rien et se contente de suivre une trame de slasher déjà vu un million de fois, mais en plus, il se paye le luxe d’être d’une rare lenteur et donc d’un ennui catastrophique. Avec son casting de teens inconnus, sa mise en scène plate et son histoire vraiment old school, prévisible et jamais effrayante, ce faux dernier Wes Craven n’est ni plus ni moins qu’un nanar de seconde zone qui n’aurait pas dû dépasser le stade du direct-to-dvd, et devient au passage le plus mauvais film du réalisateur…
    il n est pas beau de vieillir de nos jours ...mmddrrr
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 août 2012
    Honnêtement c'est pas un mauvais film, sans être le grand film d'horreur de l'année, il est plutôt agréable même si on en revient toujours à ce canevas des étudiants lycéens stéréotypés avec la brute la séduisante, la gothique etc, tous les codes du film pour adolescents, mais même si l'histoire et les personnages ne brillent pas par leur originalité, la mise en scène est correcte.
    En bref aucune originalité mais l'ambiance est là et la feuille de route est très soigneusement suivie, avec un coté horrifique juste présent comme il faut. Ce n'est pas transcendant mais ce n'est vraiment pas une daube. My soul to Take n'est vraiment pas un nanard sans allure après lequel on se demande si on n'a pas perdu son temps, il est même agréable et distrayant.
    Contrairement à ce film c'est tellement facile de faire des nanards de mauvais goût dans le film d'horreur, mais là on est bien loin de ces travers.
    Au final c'est un film d'horreur pour ados sur un groupe d'ados de 16 ans avec un scénario qui n'a rien de fantastique mais dont l'ensemble est soigné et distrayant.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 août 2012
    Un début très prometteur mais le film perd son sens au fur et à mesure. La fin est trop bâclée. Dommage car il y avait les possibilité de réussir un bon film.
    BeatJunky
    BeatJunky

    154 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 août 2012
    moais.... un peu déçu par ce Wes Craven que nous avons connu plus inspiré! c'est un peu léger, un peu tiré par les cheveux et on nous offre aucune réelle explication sur le pourquoi du truc.... Du coup, on reste un peu sur sa faim. Cependant, j'ai bien apprécié la mise en scène assez originale qui fait en sorte de nous balancer entre la schizo du héros et le réel, il joue avec ce doute que l'on a à son propos et ça augmente le suspens mais le final un peu bâclé gâche tout..... Dommage! Pourquoi pas, pour passer le temps....
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 août 2012
    Ce film est moyen... Pour du Wes Craven je m'attendais à quelque chose de spécial et pourtant cela reste un slasher trés basique, avec quelques pop corn cela peut faire l'affaire. Mais c'est trés loin d'un scream 4! Heureusement ce film a été tourné avant scream 4 donc c'est juste un petit raté. Mais ne vous en faite pas il y a bien pire dans le genre!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 août 2012
    Peut-être pas le meilleur Wes Craven, mais bien loin d'être le pire. Je dois dire que je suis étonné de la virulence de certaines critiques. Où est passé Wes Craven? Et bien il continue à faire de bons petits film d'horreur, merci pour lui.

    Dans celui qui nous intéresse, le maître se montre aussi intéressé par le mal-être adolescent que par le mal ancestral qui rôde. Il prend le temps de poser les personnages, leurs relations, leurs conflits, avant bien sûr de les zigouiller un par un. C'est agréablement relevé d'une pincée de fantastique (ou bien de folie?). L'aspect gore est plus suggéré que montré, mais ça reste efficace. Il y a bien sûr le quota de sursauts et de frissons, pour peu qu'on se laisse prendre par l'ambiance. L'humour n'est pas oublié non plus, même si c'est un "slasher" bien plus sérieux que Scream. Je vous laisse découvrir la stratégie de défense du condor de Californie...

    Niveau relief, c'est agréable à voir, bien immersif. Il n'y a pas d'effet tape-à-l'oeil. Certes on peut le regretter car un film d'horreur s'y prête bien, mais d'un autre côté je pense que c'est voulu car ça ne cadrerait pas avec l'ambiance oppressante plutôt que Grand-Guignol.

    En tout, j'ai passé un bon moment, et je regrette que ce film sorte dans aussi peu de salles en plein coeur de l'été (au passage, un grand merci au cinéma Publicis à Paris pour la qualité de sa programmation!). Les amateurs de films d'horreur risquent fort de passer à côté et ce serait dommage.
    Requiemovies
    Requiemovies

    210 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 août 2012
    Il y a eu le Wes Craven des années 70, débutant, prometteur, extrême et culotté. Celui des années 80, précurseur, maître du genre, s’appropriant à juste titre la dénomination de réalisateur culte. Les années 90 elles, laissaient l’empreinte d’un metteur en scène, touchant pour les plus nostalgiques qui pardonnaient quelques égarements, quant à la fin de cette même décennie, le « maître » relançait le genre avec manière et intelligence grâce à Scream. Malheureusement le troisième volet de cette trilogie ouvrait également une décennie de films où le pardon n’avait plus lieu d’être, les excuses devenaient insuffisantes ne laissant aux spectateurs, addicts de la première heure, que peu de séquences à conserver et à se mettre sous la dent (Cursed, Red Eye proches de purges indignes du genre). My soul to take clos cette nouvelle « trilogie » ( ? ) infâme et sans saveur. On recherche ne serait-ce que l’empreinte d’un réalisateur qui a perdu toute sa verve et son talent. En résulte un film indigeste, sans intérêt quand il n’est pas ridicule. De la mise en scène aux effets souhaités gores et ringards le naufrage est total. C’est au moment où on pensait atteindre le fond qu’on se surprend à avoir omis de regarder les personnes créditées au scénario ; un seul coupable mais double peine puisque le réalisateur en est également l’auteur. My soul to take ? peut-être, à vendre, probablement, perdue, forcément.
    http://requiemovies.over-blog.com/
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 août 2012
    My Soul to take : 0/20 : J’ai essayé d'appréhender « My Soul to take » comme s'il s'agissait d'une parodie involontaire. Mais même en suivant cette démarche je me suis terriblement ennuyé durant toute la durée du film. C'est tellement aberrant que l'on se demande comment Wes Craven a-il pu s’attarder dessus, réfléchir à l’histoire, bref sortir ce film ! Oubliant de développer ses personnages dont le QI rivalise avec celui d'une moule, on se retrouve à suivre une bande de petits cons (et de connes) qui n’ont pas suivi la moindre formation en comédie et qui pour certains essaient de jouer la schizophrénie, ce qui est totalement insupportable. Les futurs victimes sont dotées de QI équivalents à celui d'une flaque d'eau, et sont tous bien sûr très stéréotypés ; On retrouve donc la brune rebelle, le jeune héros, le pote « souffre douleur » au look quasi gothique, la pétasse blonde qui est vu comme « la plus belle fille du lycée » alors que cette dernière est commune et bouffie, l'athlète abruti, etc. Sans oublier le look risible « homme des cavernes/Métalleux aux long cheveux » du fameux tueur. Un slasher d'une nullité déconcertante, où les jeunes acteurs peinent clairement à nous convaincre, les dialogues et les situations sonnent fausses, aucune once de tension, ni même de suspens ne sont à signaler. « My Soul To Take » est juste mauvais, médiocre, soporifique bref, vraiment raté.
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