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Un slasher movie tout juste honorable pour le maître Craven, capable du meilleur (fut un temps) comme du pire. Il y a ici un étalage de meurtres gratuits mis en scène avec une certaine complaisance malsaine. Une vision originale de la schizophrénie nous est cependant offerte !
Dire que j'avais râler parce qu'il n'était pas sorti au cinéma près de chez moi... Aucun regret finalement ! J'ai trouvé ça presque mauvais, rien que le début m'a donné envie de couper le film immédiatement et le film traîne en longueur, les meurtres sont quasiment hors champ, l'histoire n'est pas intense ou prenante. Franchement je ne vous le conseille pas, sauf si vous avez vraiment envie de voir le dernier film de Wes Craven (hors saga "Scream" parce que ce film a été tourné avant le quatrième "Scream"), mais sinon passez votre chemin !
Ce film ne fait pas assez peur mais j'aime bien le suspense qu'on nous pose pour savoir qui est le tueur parmi tous les personnages, cela nous fait participer au film d'une certaine manière car on se pose des questions, et on essai de savoir. Cela dit , c'est un film soft, sans grande surprise, assez mou.
Vraiment super mauvais pour du Wes Craven .... 2/5
je suis assez etonnée de la note et des critiques spéctateurs pour ce film. Moi j'ai apprécié, les acteurs étaient plutot bons et le scenario plutot accrocheur. l'aspect psychologique aurai du cependant etre plus développé.
Plutôt déçu par ce slasher pas tellement horrifique qui reste juste distrayant comme un teen movie.
Ce film tente d'aborder des thèmes qu'il exploite assez mal, pour finalement nous livrer un résultat fourre-tout sans réelle identité et mettant en scène un tueur insipide dont personne ne se souviendra. Le film n'est pas tellement convaincant et dure assez longtemps, c'est pourquoi il vaut mieux ne pas perdre son temps à le regarder, à moins de n'avoir vraiment rien de mieux à faire...
Ce film tente d'aborder des thèmes qu'il exploite assez mal, pour finalement nous livrer un résultat fourre-tout sans réelle identité et mettant en scène un tueur insipide dont personne ne se souviendra. Le film n'est pas tellement convaincant et dure assez longtemps, c'est pourquoi il vaut mieux ne pas perdre son temps à le regarder, à moins de n'avoir vraiment rien de mieux à faire...
2/20: D'une nullité affligeante. Wes Craven qui officie ici en tant que réalisateur et scénariste nous inflige du même coup la double peine. Sur un scénario incompréhensible (mélange de slasher, film de possession et chronique sur l'adolescence), des personnages (tous plus caricaturaux les uns que les autres) évoluent dans des scènes qui n'ont aucun rapport entre elles. Les incohérences s'accumulent jusqu'au twist final qui enfonce encore plus cette œuvre dans les profondeurs du nanard! Wes Craven enterre t-il le genre qu'il avait réinventé ?
FaRem
Ça démarre fort puis on assiste malheureusement à un genre de slasher classique sans rebondissement et avec un scénario au final peu intéressant.
Voila un Wes Craven...et pas le plus mauvais, ceux qui diront qu'il est nul ou j'ai cru lire un "Scream au rabais", je crois qu'il faut vraiment que vous soyez plus ouvert et surtout soyez plus curieux si ce film est nul, que doit-on dire des film comme "Siren", "Le Beau-père".... Des acteurs qui sont assez encourageant et qui montrent un réelle potentiel. Les clins d'oeil à Scream et la saga Freddy sont à eux seuls un régale et l'histoire reste réellement intéressante. La réalisation est toujours bonne, Wes Craven sachant nous perdre et nous faire croire à l'identité du tueur en soupçonnant tous les membres du casting. Une atmosphère de satyre du cinéma pour résulter sur un slasher qui est dynamique et interrogateur.
Clémentine K.
Très décevant après une telle attente. Ca ne tourne parfois pas rond et le film manque de réalité. Les effets spéciaux ne sont pas terribles.
Un slasher distrayant lorgnant sur le fantastique qui nous rappelle que W.Craven en a encore sous la pédale. L'intro commence de folle belle manière du gore du suspense et de l'action, le film se calme un peu et revient en force vers la fin. Le scénario est efficace et l'identité du tueur n'est pas si simple à découvrir.
7eme critique
Wes Craven a cédé sa place de maître de l'horreur. Un film ennuyeux avec un scénario stupide, le tout regorgé de scènes et dialogues incohérents au manque de crédibilité flagrant. Wes Craven repart sur le sujet de la schizophrénie, qui ne sera jamais aussi mal exploité dans un film d'horreur, qui soit dit en passant, n'a rien d'un film d'horreur (aucun suspens, aucune tension, tout est une fois de plus connu à l'avance). Un échec avec un "tueur" négligé et cliché comme on en voyait en 1970/80. Question : comment peut-on sortir un film d'un tel niveau en 2010 ? On comprend pourquoi il a mis le temps pour s'installer dans nos salles...la réflexion n'était pas assez approfondie apparemment, on aurait préféré ne pas le voir débarquer. L'impression que Wes Craven s'auto-parodie en proposant au public cette réalisation, au scénario fainéant et déjà porté à l'écran à de multiples reprises.
Une bande d'étudiants, décimés un par un au couteau... On connaît la chanson, et ce qui surprend le plus dans « My soul to take », c'est qu'il pourrait finalement être un de ces films que Craven parodie dans la saga « Scream ».
La première séquence du film ne prend pourtant pas le chemin du slasher classique, mais plutôt du thriller horrifique schizo : si elle prend le spectateur à rebrousse-poil et rappelle immédiatement une bonne douzaine de films du même genre, elle n'en demeure pas moins assez efficace bien que brouillonne. Le film commence vraiment 16 ans plus tard et prend l'allure d'un teen-movie étonnamment sérieux, voire mélancolique, de la part de Craven. L'humour se fait assez discret, ou plutôt se cache t-il derrière un sentiment d'inquiétude (la scène de l'exposé, ou bien encore celle que l'on appellera de « mimétisme »). Mais plus encore, c'est de cynisme dont est souvent dépourvu « My soul to take » : on sent chez Craven une certaine empathie pour ses personnages (ce qui s'explique peut-être par le fait que c'est lui, pour la première fois depuis 20 ans, qui a écrit le scénario), qui demeurent tous étrangement crédibles au-delà des stéréotypes (le timide, le bon copain, la garce, le caïd...), ce qui est en partie redevable aux acteurs, tous brillants. C'est finalement cet attachement à la jeunesse et l'étude de son rapport à l'innocence et à la culpabilité qui rend « My soul to take » plutôt réussi.
Le film n'est pourtant pas sans défaut : son utilisation téléphonée des « jump scares » finit par être un peu agaçante, la fin est à peu près aussi bordélique que le début, et la 3D est littéralement inexistante. Malgré cela, « My soul to take » prend la forme d'une variation intéressante dans la continuité de l'oeuvre de Craven. Loin d'être aussi mauvais que ce qu'on a pu en dire, donc.
La première séquence du film ne prend pourtant pas le chemin du slasher classique, mais plutôt du thriller horrifique schizo : si elle prend le spectateur à rebrousse-poil et rappelle immédiatement une bonne douzaine de films du même genre, elle n'en demeure pas moins assez efficace bien que brouillonne. Le film commence vraiment 16 ans plus tard et prend l'allure d'un teen-movie étonnamment sérieux, voire mélancolique, de la part de Craven. L'humour se fait assez discret, ou plutôt se cache t-il derrière un sentiment d'inquiétude (la scène de l'exposé, ou bien encore celle que l'on appellera de « mimétisme »). Mais plus encore, c'est de cynisme dont est souvent dépourvu « My soul to take » : on sent chez Craven une certaine empathie pour ses personnages (ce qui s'explique peut-être par le fait que c'est lui, pour la première fois depuis 20 ans, qui a écrit le scénario), qui demeurent tous étrangement crédibles au-delà des stéréotypes (le timide, le bon copain, la garce, le caïd...), ce qui est en partie redevable aux acteurs, tous brillants. C'est finalement cet attachement à la jeunesse et l'étude de son rapport à l'innocence et à la culpabilité qui rend « My soul to take » plutôt réussi.
Le film n'est pourtant pas sans défaut : son utilisation téléphonée des « jump scares » finit par être un peu agaçante, la fin est à peu près aussi bordélique que le début, et la 3D est littéralement inexistante. Malgré cela, « My soul to take » prend la forme d'une variation intéressante dans la continuité de l'oeuvre de Craven. Loin d'être aussi mauvais que ce qu'on a pu en dire, donc.
il faut au moins 50 caractères pour un film qui n'en a pas! la bonne blague
Un Wes Craven en petite forme pour un film qui hésite entre slasher et fantastique. Le film est une série B honorable qui multiplie suffisamment les rebondissements pour que l'on ne s'ennuie pas. Cependant, à aucun moment le réalisateur ne parvient à faire ressentir de l'effroi ni même un léger stress...
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