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    Plus tard tu comprendras (TV)
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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 janvier 2009
    Sans intérêt. Il y a une seule belle scène dans ce film : lorsque Jeanne Moreau est à la synagogue avec ses petits enfants. Le reste est lent, le scénario faible, la réalisation plate, les acteurs sans consistance. Heureusement pour les producteurs que le film est passé sur France 2 avant sa sortie en salle, sinon il serait passé complètement inaperçu !
    traversay1
    traversay1

    3 550 abonnés 4 835 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 janvier 2009
    Plus tard tu comprendras est un film trouble et troublant ? Quel en est le thème ? Le devoir de mémoire ? La transmission mère/fils ? L'interpénétration des époques ? Un peu tout cela à la fois, dans un récit avare en explications, dont la mise en scène, neutre et tout en retenue, dessert parfois le propos. Amos Gitaï est-il vraiment à l'aise dans une langue qui n'est pas la sienne et dans un sujet qui ne lui est pas si familier ? On a l'impression que non, et ce sont ses interprètes, tous magnifiques, à commencer par Hyppolyte Girardot et Jeanne Moreau, qui font tenir debout ce film aux fondations fragiles dont le(s) message(s) est (sont) pourtant essentiel(s).
    dujean2
    dujean2

    2 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 janvier 2009
    Un film c'est d'abord une histoire. Malheureusement dans celui-ci, on ne sait pas trop de quelle histoire il s'agit (celle du fils? de la mère? des grands-parents?) De toute façon on n'aboutit à rien. Les "dialogues" sont affligeants, on se demande même si les acteurs avaient un texte: Ils donnent plus l'impression de parler pour meubler. Quant au jeu des acteurs, il est à la hauteur des dialogues ! Le passage le plus catastrophique est la narration de l'arrestation des grands-parents par le maire du village....On finirait presque par rire de sa manière d'ânonner le récit. Le plus "cocasse" est que, après avoir été racontée (mal), cette arrestation est re-racontée en images (mal). Bref, ce film, très court semble interminable. Ce n'est même pas un téléfilm. Je ne parlerai pas de la tenue de caméra, dans la même veine, sans aucun professionnalisme. Navrant
    CALDE88
    CALDE88

    6 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 janvier 2009
    2 étoiles pour le sujet et l'émotion que toujours il nous donne. mais plutôt déçu par la mise en scène de'Amos Gitaï, assez mal filmé , lent et comment dire très " téléfilm " ( il y en a des bons ) malgré Y. Girardot ,E Devos et Jeanne moreau , les autres acteurs jouent mal et récitent , le petit fils est sans aucune expression.
    dommage pour une histoire douloureuse qui méritait beaucoup mieux.
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 janvier 2009
    Amos Gitaï nous avait passionné en racontant l’histoire d’Israël, avec des images sans complaisance qui lui ont valu d’être détesté par les bigots. Gitaï continue à montrer des choses très dérangeantes mais en même temps, devient un cinéaste international, veut jouer au petit intello germanopratin, et ça a donné l’épouvantable nanar qu’est "Désengagement". "Plus tard tu comprendras" est globalement réussi, sauf que Gitaï l’international re-donne dans le chichiteux, use et abuse des travellings arrière, ce n’est pas que ce soit mal –mais l’histoire qu’on nous narre est tellement forte qu’on se passerait bien de ces enjoliveurs. Au moment de la fin de vie de sa mère, Victor /Jérome Clément (Hippolyte Girardot) se demande comment sa mère a pu vivre sa vie de bourgeoise épanouie et élégante, épouse d’un catholique, mère de deux petits baptisés, dans l’appartement même de ses parents, juifs russes arrêtés en zone libre et morts en déportation. Sa confusion s’accroît au moment des obsèques ; on lui demande de dire le Kaddish, à lui, catholique ; sa sœur –c.a.d Catherine Clément (Dominique Blanc) le ferait sans doute plus facilement mais c’est une femme : cela ne lui appartient donc. Pourtant, peu de temps avant, l’héroïne a emmené ses petits-enfants, les enfants de Victor donc, à la synagogue, et leur a révélé cette histoire de famille. Jeanne Moreau est merveilleuse. Par contre, le personnage de Victor est un peu excessivement théâtralisé. Car nous autres, spectateurs, nous comprenons assez bien ce silence des survivants ; vivre une vie anesthésiée –empoisonnée par le souvenir du passé, cela veut dire que les autres ont gagné. Ce silence on le retrouve dans bien des circonstances, chez les anciens combattants d’Algérie par exemple : le pire mal qu’on puisse faire aux méchants, c’est de les oublier. Au-delà du problème juif, ce film jette un regard passionnant sur toutes les familles muticonfessionnelles. Oui, on espère qu’il sera largement regardé.
    vinae
    vinae

    7 abonnés 146 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 janvier 2009
    ce film aurait t-il été aussi émouvant si le choix des acteurs avait été différent?l'histoire de cet homme (hippolyte girardot)qui au moment du procès barbie révèle la déportation jusque là cachée de ses parents est à la fois très sobrement interprétée et jeanne moreau qui joue le rôle de la mère à la veille de sa mort est toujours aussi formidable.le rythme est lent comme dans tous les films d'amos gitai et les flash-back n'encombrent pas l'écran,un seul suffit,ouf!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 janvier 2009
    Pour moi, Amos Gitaï représentera toujours "Free Zone".
    Chaque fois que je vais voir un des ses films, j'espère toujours retrouver l'émotion que ce film a suscité chez moi.
    Une fois de plus, pour cette fois, c'est râté.
    Malgré de très belles interprétations (Hippolyte Girardot, Jeanne Moreau, Emanuelle Devos), Le film manque de virtuosité, de charisme, dommâge!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 janvier 2009
    C'est nul. Mal filmé. On a droit à des plans trop longs et sans intérêt, la caméra passe d'une chambre à l'autre en nous faisant "traverser les murs" nous infligeant des écrans noirs pendant de longues secondes... Le jeu des acteurs est affligeant, notamment quand la police vient arrêter les juifs; il secouent les habitants de l'immeuble sans aucune "conviction"...lamentable. Evidemment le sujet est lourd et trés douloureux, alors c'est facile de trouver ça émouvant.... et pourtant, ce film ne parvient même pas à nous émouvoir. Jeanne Moreau, elle, ben...c'est Jeanne Moreau qui joue bien, sans plus.... Echec complet même si, évidemment, la presse trouve ça bien; eh oui, on parle des Juifs alors faut trouver ça bien. Moi, je trouve qu'ils méritaient mieux.
    alain-92
    alain-92

    318 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 janvier 2009
    Vu à la tél hier au soir ... Décevant !
    velocio
    velocio

    1 297 abonnés 3 131 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 janvier 2009
    Ce film est passé sur France 2 la veille de sa sortie en salles. Le scénario est tiré du livre autobiographique de Jérôme Clément, le président d'Arte. L'action (!) se déroule en 1987, au début du procès de Klaus Barbie. Victor, la bonne quarantaine, renoue avec ses origines juives et s'efforce de partager avec sa mère, dont il sent la fin proche, l'histoire d'une famille qu'il ignore en grande partie. Beau sujet. Malheureusement, la réalisation d'Amos Gitaï ne fait pas grand chose pour entretenir l'intérêt et la curiosité du spectateur. Doit on se faire à l'idée que Gitaï aura été l'homme d'un seul film, "Kadosh" ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 janvier 2009
    On est en 1987, au moment où débute en France le procès Barbie : un homme, à qui sa mère a caché la mort de ses parents en déportation, se penche sur son passé,renouant, à plus de quarante ans,avec ses origines juives .
    Amos Gitaï a adapté le roman autobiographique de Jérôme Clément, en jouant sur la lenteur et les temps morts,ce qui permet aux comédiens, tous formidables de vérité,à commencer par Hippolyte Girardot et Jeanne Moreau, d'habiter littéralement leurs personnages. Il n'y aura qu'un flash-back sur la Seconde Guerre mondiale, mais il atteint ses sommets d'émotion, et l'on retiendra la superbe scène à la synagogue, où Jeanne Moreau, garante du secret familial, confiera enfin cette histoire à ses petits-enfants, les faisant à jamais gardiens du souvenir : une adaptation très émouvante...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 janvier 2009
    Ceux qui détestent Amos Gitaï ne seront pas déçu. Ce film est aussi désagréable que les précédents, long, lent, froid, ennuyeux, poussiéreux et sombre, à tous les sens du mot, car on dirait qu'il a été tourné sans lumière, dans des pièces obscures de vieux appartements fanés, des scènes interminables, sans la moindre émotion, où il ne se passe absolument rien, entrecoupées de façon répétitive par des longs plans entièrement noirs.
    le sujet du film porte sur les derniers jours de la vie d'une vieille dame juive, dont le seul intérêt dans la vie semble être d'accumuler des vieux objets hétéroclites achetés dans les ventes aux enchères.
    Puis le film se termine par la mort et la veillée funèbre de la vieille dame.
    Le pauvre Amos Gitaï doit être un individu profondément dépressif pour avoir une vision aussi sinistre de la vie.
    De plus le film comporte quelques âneries remarquables sur la religion juive, par exemple, lorsque la vieille dame explique à son petit fils que le jour de Yom Kipour est le jour consacré à la mémoire des morts dans les camps de concentration. C'est vraiment n'importe quoi...
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