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    Nuit de chien
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    peter W.
    peter W.

    42 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 avril 2018
    J'ai bien aimé, principalement par que ça m' a rappelé l' ambiance fin de règne de Bunker palace hotel. On retrouve aussi beaucoup de bons acteurs et des scènes intéressantes. Mais c'est curieux chez les réalisateurs intellos se besoin de rajouter des scènes débiles ou des personnages qui font n'importe quoi en arrière plan. Le final reste aussi assez moyen.
    AMCHI
    AMCHI

    5 804 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 mai 2012
    Difficile de se passionner pour ce film bien que Nuit de chien avait de bonnes idées et même une histoire intéressante avec ce futur proche et cette ville sous contrôle militaire mais la mise en scène est vraiment trop intellectuelle pour ce type de film, avec quelques instants frôlant le ridicule (le bar au début). Le metteur en scène délaisse l'action au profit souvent de dialogues sans grand intérêt, pas de réelle atmosphère non plus et un final avec une fusillade assez ridicule.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 30 juin 2011
    Et allez ! encore une fois un scénario et une belle qualité d'image polluée par une mise en scène outrée, du style de la comédie française, histoire de cacher la misère des idées.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    238 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 février 2009
    Dans une ville abstraite sortie de l’imaginaire du romancier Juan Carlos Onetti qu’adapte Werner Schroeter dans «Nuit de chien» (France/Portugal, 2008), un homme, Ossorio, sort d’un train et pénètre les rues d’une ville en décrépitude, déchirée par une guerre civile qui oppose une armée autonome à un régime fasciste. Sous ses apparences de Sodome, Santamaria constitue le microcosme d’un pays régi par une institution totalitaire. Pour traiter cette intrigue schématique qui tend à dresser la structure d’une guerre civile en milieu totalitaire, Schroeter emprunte à Rainer Werner Fassbinder le style de son OEuvre. Grand ami du cinéaste allemand, Schroeter partage avec lui un goût pour le baroque et le non-naturalisme. Ce refus du naturalisme, hérité de l’Anti-Theater, n’aboutit pas à de l’artifice. La façon, parfois dérangeante, que partagent les acteurs pour ne pas jouer ou parler de façon vraisemblable renvoie à la volonté d’expliciter davantage une organisation plus que de constituer une œuvre d’art. Schroeter, traitant de crimes totalitaires en deçà de son œuvre, a la sagesse de ne pas tendre à l’Art ou même de vouer au Beau son film. La laideur de certaines lumières, le prosaïsme avec lequel le corps des acteurs sert de réceptacle à la violence, la frontalité aux apparences amateurs de certaines séquences n’ont pour volonté que de délivrer une interprétation crue et désaffectée du récit d’Onetti et du fonctionnement d’un régime totalitaire. Dans la perspective de l’histoire du cinéma, «Nuit de chien» ne fait que réitérer ce que Schroeter avait déjà accompli dans les années 70, de même que tous les membres du jeune cinéma allemand comme Schlöndorff ou Wenders : déconstruire la machine du pouvoir absolu et de la lutte des intérêts pour en déceler la perversion. La grande imagerie avec laquelle Schroeter conçoit son film rappelle les opéras épiques de Brecht et renvoie à la folie baroques des hommes, encore en éveil aujourd’hui.
    jfharo
    jfharo

    55 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 janvier 2009
    Redoutable et d'un abyssale ennui ,mal joué en plus ,je ne sais pas comment j'ai fait pour resté jusqu'a la fin ???.
    Julien D
    Julien D

    1 198 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 octobre 2010
    J'ai voulu donner ma chance à ce film après avoir lu que sa mise en scène était baroque. Malgré son synopsis incongru prometteur plein de personnages atypiques, un si mauvais jeu des acteurs et un scénario trop abstrait pour être crédible qui ne mène à rien ne m’a guère motivé pas à rester devant cette piètre réalisation faite d’images fantasmatiques qui malheureusement s’avèrent risibles et d’un fond misogyne détestable.
    cristal
    cristal

    177 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 janvier 2009
    La nuit, une ville, on ne sait où, est assiégée par les milices armées, à feu et à sang. Le peuple fuit le choléra, invention du gouvernement pour dépeupler les 'pourritures' du pays. Ossorio arrive en gare, visite une boîte de nuit fréquentée par un tapin travesti, un homosexuel, une anorexique d'environ trente kilos, et Irène (Amira Casar), qui perd grâcieusement sa robe au fur et à mesure que le film avance, dévoilant avec tendresse son sein. Sauf que malheureusement, dans ce film fantastique et fantasmé, fait de bruits irréels et d'une imagerie poétique de pacotille, fascinant parce qu'audacieux mais ennuyeux parce qu'incontrôlé dans ses excès fantasques réduits aux artifices les plus grotesques, l'érotisme n'est pas un élixir de séduction, beau parce que profondément humain ; ici la femme n'est qu'une pute, une ordure repoussante. On la fouette, lui explose la tête, elle est filmée nue, en sang, démaquillée par la violence, jeune ou vieille, pute ou héritière, adulte ou enfant, jouet sexuel ou fantasme d'un corps pré-pubère. "Nuit de chien" s'égare alors dans des fossés glauques sans retour ; Schroeter y filme une enfant qui découvre le corps d'un garçon de son âge laissant présager ses futures fonctions de prostitué, sous une douche, toujours la nuit, pendant qu'Ossorio, sorte de héros sorti des entrailles de la nuit, fait le tour de la ville pour rétablir l'ordre. Ce n'est pas le Spirit, et pourtant, lui aussi agit la nuit, entouré de femmes. Il n'a pas la cravate rouge, mais il a son charme discret ; le film, lui, s'il a beau être remarquable dans son profond désir de jouer d'un cinéma unique et hypnotique, comme tout droit sorti du fond des âges, se fait l'empire de ce que tout le cinéma peut transpirer de mal-être et de dangereux. D'ailleurs son attitude originale et inédite ne lui suffira pas à conquir le public, désespérément perdu dans les méandres métaphysiques d'une oeuvre qui ne veut strictement rien dire. Un film contemporain et abusif, horriblement
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