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Gardienne de la Galaxie 1975
24 abonnés
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3,0
Publiée le 8 janvier 2012
Encore une prestation remarquée pour Carey Mulligan qui inspire dans ce drame. Comme Satirycon , mon expérience personnelle . A 20 ans je vivais avec un homme de 38 ans et il m'a fait découvrir la vie et celui ci officiait carrément dans le grand banditisme ce qui ne veut pas dire que je n'ai pas joué le jeu, quand on est jeune on est si adaptable et en soif de connaissances, d'expériences. En cela j'ai reçu une éducation spirituelle et sexuelle sans égal. Et j'ai vécu des moments uniques, comme dans les films. Je ne suis donc pas vraiment adepte de cette conclusion, car si ce prétendant trop "vieux" avait été réellement amoureux d'elle, la situation aurait méritée d'être plus compliquée. Mais c'est superbement interprété encore une fois. 3/5
Un film qui se coince entre la fresque documentaire sur une société qui change à l’image des débuts de cette révolution pop qui va transformer l’Angleterre, et en même une vraie histoire où la jeune Carey Mulligan émerveille son spectateur par sa justesse et son charme.
Un très bon film avec de bons acteurs et une histoire qui se suit sans ennui jusqu'à la fin. Très belle prestation de Carey Mullingan et très bonne leçon de vie a voir.
Au milieu du casting quatre étoiles qu’ont réunis la réalisatrice danoise Lone Scherfig et les producteurs américains et britannique, le choix de la jeune Carey Mulligan, encore inconnue mais depuis devenue une figure incontournable du cinéma américain, est finalement la seule grande idée de ce mélodrame qui se caractérise par son académisme aussi bien dans son écriture que dans sa forme. La question de la différence d’âge entre deux amoureux et la thématique des changements sociétaux dans les années 60 ont déjà été tellement traités que ce scénario sans épaisseur n’a rien à apporter. La beauté de la lumière saturée se laisse admirer mais le manque de rythme avec lequel est racontée l’émancipation de cette jeune fille rattrape vite le spectateur qui, dans l’attente d’un happy-end terriblement mielleux, n’a plus qu’à s’ennuyer.
Les histoires de couples (hétéro ou pas) du siècle dernier sont à la mode.
L'année dernière Sam Mendes nous donnait de tristes Noces rebelles datées fifties, et au début des années 2000 Todd Haynes offrait un aperçu gay (contrarié) de la même époque, dans Loin du paradis. Cette année, ce sont les sixties qui mènent la danse à travers toute une gamme de Men : la série Mad Men, dont je parlerai bientôt sur Christoblog, A serious man des Coen (1967) et A single man de Tom Ford (1962).
Une éducation débute en 1961, de l'autre côté de l'Atlantique, en Angleterre. Une jeune fille de 16 ans, belle, intelligente, cultivée, tombe amoureuse d'un homme de plus de 30 ans, brillant, riche, qui lui fait découvrir la vie dont elle rêve (le jazz, Paris, etc).
Va t'elle abandonner ses études et une perspective de promotion sociale pour se marier avec lui : that is the question !
Le film vaut dans sa première partie par le jeu particulièrement réussi de lui (un Peter Sarsgaard aux airs de Jack Bauer assagi) et de elle (superbe et rayonnante Carey Mulligan). Le scénario du grand Nick Hornby tient la route et nous maintient dans un état de malaise latent particulièrement réussi. Malheureusement la fin est un peu moins bonne, et la toute fin, que je ne révélerai pas, me laisse un goût d'inachevé et de "je ne sais pas comment finir".
Mais bon, il y a de la qualité anglaise là-dedans, BBC films oblige, et donc c'est pas mal du tout. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/
An education est un film qui parle de beaucoup de choses de façons justes et subtil. C'est une œuvre intelligente sur le passage à la vie adulte. Face à la naïveté de Jenny on retrouve parfois toute la cruauté d'un monde pour lequel elle ne semble pas elle même préparé, corrompu et malhonnête.
C'est également une jolie réflexion sur les choix limités qu'une fille comme elle pouvait avoir à son époque. Les parents, jamais réellement condamnés par le spectateur, semblent en effet bien plus intéressés par le fait que leur fille n'ait pas de soucis financier que par son réel bonheur. Jenny s'interroge même sur la possibilité qui lui ait réservé. Pour elle, la vie qu'elle rêve c'est Paris, les concerts et le luxe. Pas celui de l'ennui de l'école. Mais dans cette recherche
Mais an education ce n'est pas que ça. C'est aussi un film déroutant où tout du long le spectateur s'interroge sur les réelles intentions de certains personnages. Les notes d'humour répétées dans le film permettent de donner un côté frais à l'œuvre de Lone Scherfig.
Si on pourra regretter la fin, complètement ratée à mon sens, on retiendra tout de même un film élégant, charmant et assez subtil.
Ecrit par Nick Hornby, un récit initiatique agréable et attachant grâce notamment à la fraîcheur de Carrey Mulligan mais qui s'avère au final bien gentillet.
Très beau film sur les moeurs des années 60 et l'émancipation progressive d'une jeune femme à travers l'amour qu'elle porte à un homme bien plus âgé qu'elle. Cette liaison un brin tumultueuse l'obligera à faire des choix qui auront un impact direct sur son avenir... à ses risques et périls.
Un film, sur l'apprentissage de la vie, qui nous révéle une jeune actrice britannique très prometteuse Carey Mulligan. Un film intelligent, qui nous rappelle à tous, tous ce que nos parents nous enseignaient enfant (ne pas parler aux inconnus, etc...). Un film sans grande surprise, qui a peut-être quelque petits défauts dans l'écriture du scénario, mais ce qui m'a le plus marqué... il y a comme un léger antisémitisme, dans ce film, qui devrait assez déplaire à certains !...
Un petit bijou du cinéma comme on en voit rarement de nos jours. Les acteurs principaux jouent nous offrent un très beau jeu, très juste et qui fait plaisir. Carey Mulligan est pétillante, et très attachante. Les dialogues sont impeccables, et nous surprennent parfois, cette epoque que finalement nous ne connaissons pas ou peu pour des jeunes personnes nous est dévoilée, le passé qu'elle traine derrière elle, les efforts à faire pour avancer pas à pas dans un monde nouveau, et surtout les envies et l'ambition d'une jeune fille qui voudraient sortir du latin et des fourneau qui représentent les années 50. Peter Saarsgard est charmant et nous séduit de la même façon qu'il séduit Jinny. Même les second rôles sont juste et donnent du corps au film. Bref une réussite!
Sympathique comédie qui mérite d'être vue. Une morale un peu pesante toutefois. L'actrice principale est excellente, et les autres au diapason. Bonne réalisation.
Carey Mulligan, un nom à vraiment surveiller pour ma part, parce qu'en plus d'être très très belle (le style sixties lui seyant à ravir !!!), en plein dans le type d'actrice que j'adore, s'avère (dans l'idée que m'avait déjà donné un film que j'ai pas aimé "Never Let Me Go" !!!) extrêmement brillante. Elle aurait pleinement mérité l'Oscar pour lequel elle avait été nommé. L'histoire est aussi en plein dans ce qui m'attire sur un ton que j'apprécie c'est à dire que la relation entre les deux personnages n'est pas présentée comme allant à l'encontre de l'ordre social mais comme une sorte de libération même si on sent hélas, contrairement à la principale concernée, qu'elle va avoir très vite des limites... La mise en scène reste classique mais elle est néanmoins efficace. Des films comme cela avec une actrice comme celle-là, j'aimerais bien en consommer plus souvent.