Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Typi35
50 abonnés
483 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 16 mai 2013
'tendez là, j'ai une question. Drew Barrymore, c'est quoi l'intérêt de faire ce film ? Vraiment ça m'échappe : comment en vient-on à vouloir faire un film aussi cliché, qui n'apporte rien, qui ne sert à rien, qu'on a déjà vu, qui reprend des trames existantes,... ? Vraiment, il n'y a RIEN dans un film de ce type, rien digne d'intérêt, si ce n'est de divertir (c'est à dire regarder ce film plutôt que de regarder le mur). Comment en vient-on a faire un film qu'on sait inutile, niaiseux et déjà vu ?... Film dont le talent de sa réalisatrice brille par son absence. Un film du jeudi après-midi durant lequel on hésite avec Derrick et un reportage sur les oursin. Franchement, ne faites pas mon erreur et regardez le reportage sur les oursins.
Je ne retiendrais pas grand chose de cette soi-disant comédie, à part que ça fait légèrement rire mais sans plus ça ne va pas me marquer. C'est un peu cucul par moment, je n'ai pas réussi à rentrer dedans.
Non pas que ce film soit malhonnête mais il est quand même atrocement dépourvu de talent. Bien que Drew Barrymore, derrière la caméra, s’efforce de donner à son film des allures de film « indé » qui explore l’adolescence, il s’avère très rapidement n’être qu’une sorte de teenage movie sauce "Elle est trop bien" où la petite Ellen Page (toute complexée parce qu’elle porte des lunettes et ne sait pas se coiffer ni sourire) devient du jour au lendemain une super-nana à mèche et sans lunette, totalement épanoui grâce à son stéréotype de rocker boyfriend, mais aussi parce qu’elle su trouver sa voie : le Roller Derby (???)… Certes, ce n’est pas méchant, c’est sûrement fait avec le cœur, mais cela reste tout de même affligeant de stéréotypes et de vacuité. On ne peut s’empêcher de voir dans cette "Bliss" une "Juno" reprise à la mode Barrymore… Eh bien le moins que l’on puisse dire c’est que cette mode ne lui rend clairement pas honneur...
On ne peut pas dire que le premier film de Drew Barrymore m'ait scotchée au plafond. Même si on salue le théme original de ce sport, essentiellement féminin en plus, rien ne suit. Ellen Page colle parfaitement à son image de jeune ado boutonneuse, cheveux gras et super COOL mais on ne peut pas dire que sa prestation soit inoubliable, à l'image de ses coéquipiéres. L'histoire est quant à elle bourrée de clichés relatifs aux teens-movies : L'amoureux musicien adorable au début mais qui au final est un vrai salo, la meilleure amie compréhensive, la mère égoïste, la soeur qui joue les léches culs et le père fan de baseball qui s'en fiche etc... Pendant presque deux heures interminables, on accumule les clichés par paquet de 15. Bref, comme l'a si bien dit Pagnol87 : Si vous avez aimé Juno & Little Miss Sunshine, ce film est pour vous. Pour tout ceux qui aiment le suspens, les rebondissements, l'émotion et l'original par contre... Bonne chance !
Film positif pour ados se découvrant une passion (d'ailleurs un des intérêts principaux, documentaire, de cette première réalisation de Drew Barrymore : nous faire découvrir un sport original), qui ont un peu de mal avec une mère gentille mais envahissante et savent surmonter tout cela avec panache. Morale convenue pour oeuvrette ne décollant jamais du gentillet. Ellen Page ("Bliss" - béatitude - rebaptisée "Ruthless Barb" - Barbie l'impitoyable) est beaucoup moins convaincante que dans "Hard Candy" ou "Juno", et ce sont les performances dans les rôles secondaires que l'on remarque - Juliette Lewis, Marcia Gay Harden et Alia Shawkat spécialement.
Lorsque la filleule de Steven Spielberg se met à la réalisation d'un teen-movie, voilà le résultat... un film tristement conventionnel et mâtiné de mièvreries. On comprend qu'il s'agit d'un nanar dès premières minutes : Ellen Page fringuée comme un sac à patates et portant des lunettes en cul-de-bouteille, prise au piège des concours de beauté (tout lien avec un récent succès cinématographique américain serait bien sûr fortuit), se hisse à la force des poignets au sommet d'un sport féminin et devient un canon. Le rêve américain version ado donc. Comme tout bon (ou plutôt mauvais) scénar de teen-movie, on commence par une ascension, puis une chute, pour repartir de plus belle vers les sommets de la réussite. Pfffff... De l'humour ? Trop timoré pour être convainquant. Le seul intérêt que je vois au film réside dans les scènes d'action. Ces dernières sont franchement intéressantes à regarder, d'autant plus que les filles ne sont pas vilaines à regarder.
Le premier long-métrage de Drew Barrymore derrière la caméra laisse un goût plutôt amer et décevant. En effet, si "Bliss" (encore une super transcription du titre en français au passage) s'ouvre de manière alléchante, pleine de promesse, l'illusion retombe rapidement. S'écrasant en plein milieu du film teen basique, rempli de clichés, prévisible à souhait, "Bliss" n'apporte finalement pas grand chose d’intéressant, dommage, le potentiel était pourtant là. Visuellement, on est dans le classique par excellence, strictement aucune originalité dans les plans, un peu facile tout de même. Seul point positif, la fraicheur d'Ellen Page, qui fait encore une fois preuve de justesse et de naturel. Drew Barrymore aurait mieux fait de rester devant la caméra, où peut-être même loin de celle-ci.
C'est Ellen Page après son excellente prestation dans Inception qui m'a donné envie de jeter un coup d'oeil à Bliss mais énorme déception. Plat du début à la fin, mal ficelé et l'on ne comprend rien : tout simplement car il n'y a rien à faire passer. Dommage pour le 1er film de Drew Barrymore mais elle est bien meilleure en actrice de second rôle...
Drew Barrymore nous offre ici son premier film en tant que réalisatrice. Et, force est de constater qu'elle est meilleure actrice ! "Bliss" est typiquement le film pour "adolescentes boutonneuses"... En effet, tous les ingrédients sont réunis pour captiver les ados : une amourette, une mère envahissante, la meilleure amie, les copines, le sentiment de liberté, etc. De plus, le scénario est prévisible et franchement fébrile. Hormis quelques idées intéressantes avec notamment l'astucieuse mise en avant du "Roller Derby", l'ensemble est relativement plat et sans intérêt. Les personnages sont des figures classiques et banals de ce genre de films. Quant à Ellen Page, elle nous livre une prestation correcte mais n'arrive pas à sortir de la torpeur ambiante. Bref, ce film passionne inévitablement les adolescents, mais pas (ou plus) les adultes...
Pour son premier film en tant que réalisatrice, Drew Barrymore a décidé de signer une suite au "Juno" de Jason Reitman avec "Bliss", une comédie sur une jeune adolescente qui tente de s'émanciper à travers des compétitions de roller. A l'histoire la plus balisée du siècle, Barrymore ajoute des personnages caricaturaux au possible et tente assez pitoyablement de casser certains clichés afin de donner du crédit aux stéréotypes habituels, ce qui non seulement ne marche pas, mais en plus fait perdre toute la sincérité du projet. Pour sa première réalisation, Drew Barrymore tombe juste à côté de tout ce qu'elle a entrepris, un coup d'épée dans l'eau, dont le plus étonnant est d'avoir rendu la craquante Ellen Page carrément insupportable. Franchement pas conseillé!!
Vous avez aimé little miss sunshine et juno, vous avez plus de 17 ans ? Alors n'allez pas voir ce film. Scénario plat, réalisation sans relief. Rien ne passe à travers cette histoire banale et déjà vue.
Ça mange pas de pain, c'est vu, revu et rerevu. On peut proposer ça à des préadolescents avec les petis champions pour finir. Pour Ellen Page, j'en reste à Juno même si sa prestation n'est pas mauvaise.