Avis : Le Flingueur - Page 6

Jason Statham est le flingueur, soit un tueur à gages maquillant ses crimes en accidents. Après avoir tué son mentor, il se retrouve à former le fils de ce dernier. Le seul intérêt du film est de voir la relation entre les deux avant et après la révélation, mais il faut bien admettre que le combat final a de quoi décevoir. Le flingueur n'est qu'une pâle série B qui ne tire pas pleinement parti du potentiel de son script, à voir pour les fans du genre.

C’est un remake du même titre de 1972 avec Charles Bronson et réalisé par Michael Winner. Il reprend même le nom du flingueur (Arthur Bishop). Son traitement est différent, là où Bronson imposait sa personnalité dans l’initiation de son poulain, ici Statham semble juste faire le job, sans état d’âme et avec son efficacité habituelle, notamment dans les scènes d’action. Sans surprise mais efficace, Simon West c’est « Les Ailes de l'enfer » et « Tomb raider » et surtout le magnifique « Le Déshonneur d'Elisabeth Campbell ».

Ce film est l'archétype du parfait film policier d'action d'aujourd'hui. Une histoire et des acteurs crédibles, une mise en scène au couteau, un rythme soutenu. Qui dit mieux ?

J'en ai vu des films mauvais, mais celui ci.... Même pas eu le courage de le voir entier

Une histoire pas aussi banale que ça grâce n otamment au face à face très réussit entre le maitre et l'élève. Les scènes d'action évitent l'écueil du surdosage et restent assez sobres (dans le genre évidemment) et efficaces. Le scénario est sans surprises mais affiche un suspense pas si bidon même si au final la fin peu décevoir par sa non prise de risque. Un film d'action qui offre son lot d'action donc et de belle manière à défaut d'être une perle rare.

Ben oui pardon...Je suis allé voir ça. Je ne peux pas m'empêcher d'aller voir tous les films de Jason Statham (Mymp j'ai trouvé mes films honteux...). Quand, en plus, c'est réalisé par Simon West...Ce remake du Flingueur de 1972 avec Charles Bronson est bien tel que je l'attendais. De la testosterone et de la virilité à tous les étages, boum boum tac tac...Bien sûr la femme est réduite à l'état de pute que le héros paie de temps en temps, mais on sent bien que...Jason Statham est égal à lui même, deux rictus à la palette d'émotion et de l'action jusqu'au tournis, ça commence à sentir le roussis, dommage il avait fait quelques bons films quand même. On retrouve aussi Ben Foster (pas mal) et Donald Sutherland qui est venu cachetonner. Bref, vu et revu, inutile et sans intéret. Au moins il y a un peu d'action et on s'ennuie pas complètement...

Dynamique, sans pitié et avec des relents de Hitman, Jason Statham nous donne un max de plaisir ici et on en redemande, comme toujours avec lui!!! Un excellent film d'action qui ne révolutionnera pas le genre mais qui a tout de même de bonnes idées et qui nous offre un vrai bon divertissement de qualité.

Statham fait du Statham. Cette maxime est certes facile mais on dirait que tous les films dans lesquels il tourne sont taillés pour lui. Pas de surprise donc. Qu'il joue un tueur ou un flic, on le retrouve dans les mêmes rôles et les mêmes films... avec plus ou moins de succès. Au programme: action, action et action. Le manque d'originalité est légèrement contrebalancé par une efficacité certaine. Un film d'action mineur. Petite remarque négative: J'ai jamais autant vu de perches dans le champ réunis en un seul long métrage.

Eh hop trio B movie de sortie.

Qui de Faster, The mechanic et de Drive Angry s’en sort le mieux ces derniers temps ? Difficile d’établir un quelconque avis objectif.

Nicolas Cage poursuit férocement dans les dessous de table, qui auraient place en Direct To Video, d’une violence gratuite et visuellement très laide le film s’inscrit au panthéon des films les plus ridicules et inutiles des 10 années écoulées. Non sens graphique, stupidité des chorégraphies des scènes d’actions toutes plus vides les unes que les autres, on ne retrouve même pas un dernier degré qui permettrait de sortir le film de ses abîmes affligeantes et donc d’en rire. Long, vide et 3D ridicule. Cage persiste et resigne. Est-ce utile de préciser qu’il ny’a pas de scénario ? Allez, 3ème, suivant !!!

Faster en comparaison trouve son seul intérêt dans une sorte d’esthétique clippée, imputée à la réalisation de l’ouvrage. Le scénario est digne d’une série B correcte avec un twist (voir deux) relativement assez mauvais pour que le film prenne sa pleine lettre de noblesse, B. On aimera voir le déroulement de la pseudo histoire plus que le jeu mono (litique et neuronal) de D.Johnson quant à B.B. Thorton il est clairement ici du à une mauvaise sortie de route. Tout juste regardable et surtout inintéressant au possible. 2ème suivant !!

The mechanic plus fort par son postulat de remake sort un plus fort de ce trio par une histoire convenable et surtout (presque uniquement aussi) par le plaisir de retrouver Ben Foster, excellent comme à son habitude. Le reste est conventionnel, relativement proche de l’original, plus moderne et démonstratif. Sur ces deux derniers points le film gagne et perd. Gagne en plaisir (l’original avait mal vieillit), et perd, dans l’originalité des « contrats ». On reste donc sur notre fin, forcément différente, star système oblige et on ne sera pas surpris du dernier tour de passe-passe ridicule. Le film fini un peu au-dessus des autres mais encore en-dessous de la moyenne, du notamment à un montage AFFREUX, illogique et dénué de tout sens technique et visuel, à en devenir ridicule. 1er mais de justesse. Tout ceci formant un trio ne méritant pas le déplacement en salle. Trois sorties, trois regrets, en même temps nous n’attendions pas des chefs d’œuvres.

Y a de la sueur, du sang, des larmes. C'est viril. Le Flingueur est du pur cinéma de bourrin. Les bastons décoiffent. En même temps, on était là pour ça. Mais l'organisation des meurtres (il faut qu'à chaque fois ça ait l'air d'un accident) est un peu laborieuse. D'autant que Statham n'est pas un grand acteur. Incapable de laisser un sentiment envahir son visage. La joie, la tristesse, la peur, la honte, il ne connaît pas. Il fait la tronche. Il tue, c'est tout. Comme une machine. Comme d'autres vont travailler à l'usine. Quant aux femmes, elles ne sont là que pour montrer leurs jambes interminables et être prises sauvagement dans une ruelle. Ça ne va pas chercher plus loin. Des fusillades, toujours des fusillades, encore des fusillades.

De toute la filmographie du réalisateur Simon West, il n’y a franchement qu’un seul film à retenir. Son premier : Les Ailes de l’Enfer (avec Nicolas Cage et John Malkovich). Après, à aucun moment le cinéaste ne retrouvera le panache ni le succès de ce film d’action. Surtout pas avec un thriller militaire tel que Le Déshonneur d’Elisabeth Campbell. Ni avec la 1ère adaptation de Tomb Raider (on se souvient juste de la plastique d’Angelina Jolie). Et sans doute pas un film avec pour titre Terreur sur la ligne ! Il faudra juste attendre un certain Expendables 2 pour que West renoue avec le succès (et encore, cette suite est plus apparentée à Stallone qu’au réalisateur). Mais avant cela, West s’était occupé d’un remake. Celui du Flingueur, datant de 1972. Pour cette version 2011, Jason Statham remplace Charles Bronson. Résultat ? N’ayant pas vu le remake, je vais juste vous contenter de ce film.

Mais que ce soit avec Bronson ou bien Statham, dans un film intitulé Le Flingueur, faut pas chercher bien loin pour trouver le postulat du long-métrage ! Prenez une star, mettez-lui une arme dans la main, laissez-le tirer sur tout ce qui bouge et vous obtenez le film ! Bon, j’exagère un peu, je l’avoue. Mais en y repensant, Le Flingueur est comme toutes les séries B d’action : sans scénario plausible ! Et avec Statham dans le rôle principal, on se doute bien que ce dernier possède un statut d’espion, de flic, de mercenaire ou bien d’ancien militaire. J’en ai oublié un ? Ah oui, il manque tueur à gages ! C’est d’ailleurs ce job auquel s’adonne Statham dans ce film. Un nettoyeur qui, un jour, est contraint d’exécuter son ami et mentor. Une action qui prodiguera bien des ennuis avec ses employeurs (une histoire de trahison, comme d’habitude). Et qui le rapprochera (en bien ? en mal ?) du fils de sa victime, qui voudrait suivre les pas de son père question assassinat sur contrat.

En y réfléchissant bien, Le Flingueur pourrait se montrer comme une nouvelle adaptation de Hitman (avec un acteur chauve, qui plus est !), qui jouerait pour ce film les baby-sitters et profs au maniement des armes. Et avec un fils ivre de vengeance (de découvrir l’assassin de son père alors qu’il le côtoie tous les jours sans le savoir), le mentor en question va avoir bien du souci à se faire ! Comme si Hitman allait flirter avec les sentiments. Ou plutôt comme si Hitman abandonnait l’action au profit des sentiments. Nuance ! Or, pour un divertissement qui aurait bien pu être une production Besson, c’est fort peu encourageant ! C’est d’ailleurs pour cela que Le Flingueur ne fonctionne : le film est bien trop mou pour être intéressant à suivre.

Des séquences d’action, vous ne pouvez compter que sur le final. Une sorte d’attaque de convoi qui ne dure à peine 5 petites minutes. Et ce en plus des quelques fusillades et explosions qui, du coup, ne représentent que des détails du décor. Le Flingueur ne s’intéressant qu’à son duo. Pour certains films, c’est une excellente chose (L’Arme Fatale). Encore faut-il que la sauce prenne entre les deux comédiens. Avec un Jason Statham qui nous sort le même jeu qu’à son habitude (impassible, même face au danger) et un Ben Foster qui veut jouer les durs, l’étincelles n’apparaît pas vraiment. Les deux acteurs ne sont pas mauvais, attention ! On a vu bien pire dans d’autres navets du genre (à commencer par les Steven Seagal). Juste que le duo aurait pu avoir d’autres interprètes que ces deux-là, qui ne semblent pas s’entendre.

Et surtout, pour se permettre d’être faible niveau action, il fallait se montrer efficace avec les sentiments. Ce que Le Flingueur ne réussit pas à faire, étant trop basique. Pour cause, le coup de l’expert qui prend sous son aile un jeunot pour l’initier à son art, c’est du déjà-vu dans le cinéma d’action. Même dans d’autres genres ! De ce fait, on n’est pas surpris par les répliques, par les relations un peu tendues entre les deux hommes. Surtout avec cette intro où la voix-off du personnage principale nous raconte sa vie de tueur à gages. Nous servant sur un plateau mille situations déjà traitées (ne jamais révéler sa présence ou toutes les mêmes bêtises de ce style !). Une histoire d’amour, pour parachever ce classicisme ? Étonnamment, non. Mais franchement, ça aurait été mieux de cette image que fait le film de la femme : aucune actrice principale, des secondaires qui ne sont présentes que pour servir de chair à coucherie auprès des têtes d’affiches. Si ce n’est pas macho, ça !

Même Simon West semble avoir manqué d’efficacité pour intéresser le spectateur. Car si la mollesse du film n’est pas entièrement due à la paresse du scénario, elle le doit aussi à celle de la mise en scène. Avec des filtres clairvoyants (tout est jaune et orangé, comme si le soleil n’était que le seul jeu de lumière) à la manière de Michael Bay, donnant par moments des airs de clips (surtout avec ces morceaux de musique moderne) sans le montage hystérique qui va avec, les scènes se révèlent tape-à-l’œil, sans jamais décoller. Une mise en scène bien trop plan-plan, une caméra qui reste fixe… Pas de quoi stimuler l’adrénaline ! Qui ne se réveille que bien trop tard (lors de l’attaque du convoi, véritable séquence d’action du film).

Le Flingueur se laisse suivre, ce n’est pas ça le problème. Il vaut largement mieux que d’autres films. Non, l’ennui, c’est qu’avec un tel titre et Statham en tête d’affiche, on s’attendait forcément à une énième variation du Transporteur qui aurait au mieux amusé le temps d’une soirée. Et que du coup, avec ce résultat-là (mou du genou pour rien), on ne peut que passer son chemin. Autant se remettre Les Ailes de l’Enfer et savourer pleinement un véritable film d’action !

Un Statham moyen. Il faut dire que passer derrière Charles Bronson, dont ce film est le remake, était un pari burné mais le pari est raté tant Statham n'atteint jamais ce niveau de coolitude. En revanche Ben Foster est brillant dans son rôle ce qui compense. Néanmoins le film, malgré une mise en scène réussie de Simon West, qui peine à retrouver le niveau des "Ailes de l'Enfer", enchaîne une succession de scènes d'action, certes efficaces, mais sans grands enjeux et déjà vu et mieux ailleurs. 2,5/5

Pas de soucis, dans le genre c'est nickel !!! Très bonne action, scenar basique mais dans le bon sens.

Jason Statham s'improvise formateur de " Flingueur pour Ben Foster, fils de Donald Sutherland dans le film, tué et ordonné par Tony Goldwyn. Sous la houlette de Simon West déjà responsable de Expandable 2 et des Armes Fatales en tant que scénariste, je pressentait un bon montage et des scènes plutôt spectaculaire et violentes. Un film d'action rondement mené même si le scénario n'est pas examples de clichés mais c'est assez exaltant. Un très bon remake du film de 1972 avec Charles Bronson !

Ne merite meme pas d'exister.

Acteurs nuls et sans aucun charisme pour Ben Foster, dialogues insipides quand il y en a, scenar nuls et previsibles, scenes d'actions vues revues et survues.

Realisation tout ce qu'il y a de plus normal.

Bref, ca a beau etre un film d'action on se fait grave chier.