Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Machriasi
11 abonnés
629 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 10 septembre 2011
Tres bon film qui repose sur les repliques et la qualité d'interpretation des acteurs en particulier larry king hilarant car le scenario est lui improbable et decevant a la fin
J'ai passé un excellent moment avec Whatever Works. Les répliques sont hilarantes, les acteurs sont très convaincants et les péripéties de leurs personnages sont pour le moins surprenantes ! Mais ce qui m'a le plus intéressé, c'est l'idée que semble soutenir Woody Allen : l'épanouissement ne passe dans Whatever Works que par l'abandon total au Destin et le rejet de tout carcan. Tout au long du film, Boris est le catalyseur qui permet à chaque autre personnage de percevoir ces points d'inflexion qu'ils préféraient ignorer (trop enfermés qu'ils étaient dans leurs carcans sociaux ou dans leurs refoulements). Ce n'est certainement pas un hasard si sa discipline de prédilection est la physique quantique (discontinuité, indétermination, attirance des contraires...)
C'est assez pétillant. Le pouvoir de Woody Allen est de créer une identité a chaque film par rapport a chaque ville. Le personnage de Larry David créer réellement une bonne complicité avec le spectateur et il nous fait vraiment penser a woody allen comme dans scoop. Le personnage de rachel ewan wood est incertain et pas déffini on hésite a lui définir un statut. L'histoire est prenante malgré tous par les personnages même si les situations changent de manière brusque, elle reste drôle et fidèle a l'univers de Allen. Les dialogues fusent ce qui donnent un bon rythme du également au duo qui marche bien la fin assez plu après réflexions. Un woody sympa rafraichissant.
Toujours dans les histoires atypiques, peut être, Allen aurait-il dû suivre ce fil. Ici, le scénario plus que classique du ''vieil homme trop intelligent pour supporter les nouvelles générations'' face au stéréotype de la blonde écervelée qui encaisse les pics sans broncher aurait pu être lassant mais dès les premières minutes, j'ai été happé par ces deux personnages, si prévisibles mais attachants. Mais le dénouement du ''ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants'' est finalement zappé pour une chute qui surprend de la part du réalisateur fantasque et qui suit une ligne trop rationnelle échappant à la fantaisie. Mon bilan est donc mitigé avec d'une part un scénario classique et une fin trop plate, et d'autre part, des personnages à la personnalité poussée à l'extrême qui change finalement pour nous donner une charmante leçon de vie.
Tout juste excellent. Des dialogues qui fusent et qui font mouche. Un humour sarcastique, presque noir, mais surtout une ode à la vie et au temps qui passe. Je ne suis pas un habitué des films de Woody Allen, mais je dois dire que celui-ci m'a plus que plu !
D'habitude, les films de Woody Allen m'attirent particulièrement, tant par leur univers unique que par le message qu'il dégage. Ici, on retrouve toutes les caractéristiques du film Allenien : la musique, la physionomie des acteurs et l'ambiance conviviale qui se dégage de la réalisation. On remarque un très bon Larry David, génial en misanthrope pessimiste hypocondriaque "Joyeux Anniversaire Boris", ayant les mimiques de son propre réalisateur. Il faut dire que le personnage est également un être plutôt complexe (Il n'y a qu'à entendre sa tirade en début de film qui invite immédiatement le spectateur à s'attendre à du lourd). Effectivement, lourd est le terme qui convient le mieux. Car passée la surprise des premières minutes, le film n'est qu'une succession de scènes ennuyeuses et longues, avec des dialogues beaucoup trop longs et trop rapides, qui plus est sorti de la bouche d'une très mauvaise doubleuse à la voix enfantine si agaçante, qu'on n'arrive pas à tenir jusqu'au bout et qu'on se sauve, les mains plaquées sur les oreilles. Le personnage de Mélody est de toutes manières, fatigant au possible. L'histoire non plus ne contient aucun suspens, et devient vite prévisible. J'ai rarement vu un film aussi ennuyeux.
Un film moyen malgré de très bonnes répliques. J'ai beaucoup aimé le personnage de Evan Rachel Wood, drôle et attachante. Mais le couple paraît très improbable, et donc l'histoire semble bizarre.
"Whatever Works" est une comédie tout à fait réjouissante. N'étant pas un grand spécialiste de Woody que je découvre peu à peu, j'apprécie son style facilement reconnaissable. C'est surtout celui d'un véritable cinéaste, qui met en scène et qui scénarise. "Whatever Works" est un bijou d'écriture, plein de malice et surtout de subtilité. Le film est porté à merveille par Larry David en tête, mais aussi de tout son entourage. Evan Rachel Wood est parfaite et tout le casting aussi d'ailleurs. C'est une très jolie fable, enthousiasmante et pleine de vie, sur fond de thème existentiel par le biais de la mentalité ambigüe de Boris. Cette histoire est vite narrée (les films de Allen ne durent rarement plus de 1 heure et demie), mais narrée avec brio. Les dialogues poignants et souvent hilarants font toute la qualité du film, qui se compose d'une succession de délicieux petits sketchs. D'une certaine façon, "Whatever Works" fait fantasmer, car ces histoires d'amours libertines ne sont pas très courantes mais font visiblement le bonheur. Pour réagir comme Boris, l'humain cherche l'amour, qui représente la vie chez Allen. Cette recherche de savoir-être est remarquable. La dernière demi-heure du film s'essouffle un peu et est plus légère, mais l'ensemble est d'une certaine poésie en soi. Un très bon film de Woody Allen.
Un superbe film, du grand Woody ! Un personnage principal attachant, marrant, névrosé et cynique ! Une "histoire" sympathique. Film à voir si vous voulez passez un bon moment !
Magistral ! Woody Allen nous livre un véritable petit bijou, étincelant de beauté, d'humour et de justesse. Très beau film, brûlant de vérités et de réalisme.
Ça fait maintenant un long moment que je n'ai pas été enthousiasmé par un film du réalisateur New Yorkais et malgré son retour au "bercail" encore une fois je ressort assez déçu de la salle.Le peu connu Larry David se révèle très juste dans le rôle titre de ce vieil intellectuel misogyne asocial et hypocondriaque ,rappelant par de nombreux aspect un certain ....Woody Allen himself ,lui opposé la naïveté et la fraîcheur de la jolie Evan Rachel Wood aurait pu ,aurait du produire un contraste propice a une succession de situations incongrues et drôles mais l'on affronte surtout des tirades interminables sur le soi disant hasard qui gouverne nos vies affectives.Heureusement que l'excellente Clarkson vient un peu dynamiser tout ça avec son personnage (certes caricatural) de mère trompé se transformant en artiste baba cool hyper sexué.A l'image du long métrage tout entier,le final se révèle gentillement inoffensif. Superbe BOF jazzy comme d'habitude.
une vraie bouché d'oxygène, et une originalité même pour un Woody Allen. On s'attend a un rebondissement de dernière minute à la match Point, et on obtient une douce et belle fin. Adorable, amusant a souhait, ce film nous fait réfléchir sur les points importants de la vie et même le style peut rendre le film un petit peu long, ce qui est sur c'est qu' avec Woody Allen "Whaterver works" !
Je suis tres agréablement surpris, n'étant franchement pas un grand fan de Woody Allen (ou en tout cas de ce que j'en ai vu) j'avais énormément d’appréhension quand au réel succès de Whatever Works... Ce n'est certes pas le film de l'année mais il est, très honnètement, super sympa a regardé. Parmi ses nombreux points forts, qui lui permette d'atteindre à mon gout le 3.5/5 on notera la mise en scène intéressant et novatrice dans le genre qui rajoute un petit coup de pousse et vous fait plonger dès les premières minutes dans cette univers un peu déjanté. Une panoplie acteurs peu connus et qui pourtant interprètent tous leur personnage à merveille. Enfin un scènario et un univers enthousiasmants, et malgré la complexité de certaines tirades ou de certaines situations, plutôt clairs et bien délimités. On ne s’ennuie pas...