AlloCiné
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Votre avis sur Whatever Works ?
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Rien à redire, c'est fin, c'est léger, c'est drôle, c'est intelligent et la musique... géniale.
C'est un film parfait. Presque.
C'est un film parfait. Presque.
Film hilarant, décalé.. Ce film est attacchant avec énormément de rentournements de situations. Voilà c'était mon premier Woody Allen et c'est bon.. J'adore !
Après une bone première heure ponctuée d'excellentes répliques qui m'ont bien fait marrer, la dernière partie m'a beaucoup moins plue. Ceci dit, je m'attendais à pire pour mon baptême "allenien".
L'histoire d'un vieux physicien looser, misogyne et hypocondriaque (ça me rappelle un réalisateur juif !) qui va tomber sur une fille un peu bête qui va révolutionner sa vie.
On était forcément un peu inquiet du retour de Woody à NY vue la précédente prestation un peu catastrophique.
Trop vieux ou trop fatigué pour passer devant la caméra, il a trouvé un alter ego plus narcissique et vieux beau. Encore qu'on puisse trouver une ressemblance au niveau des yeux. A la place de Ricci, on récupère une nymphette du cinéma indé, et l'on peut démarrer la bobine. Mais on comprend très vite que la virtuosité du script n'a d'égal que le plaisir et l'intelligence, données presque gratuitement au vu du prix du ticket.
Toute une philosophie heureuse se fait jour pour ne pas prendre la vie trop au sérieux et supporter les différences loin de tout dogme idiot ou millénaire. Woody va bien et nous le fait partager, sans oublier de nous prouver qu'il ne faut jamais perdre espoir !
Une énorme surprise par rapport à ses réalisations européennes. Vive la sénilité à la Woody allen. En espérant que ce ne soit pas un message d'adieu. Et voilà, je viens de faire injure à ce petit bijou d'humour... Mème si c'est le dernier, on aura le dvd et la vie entière à savourer. « Tout va bien du moment que ça fonctionne ».
Chapeau bas M. le New Yorkais.
On était forcément un peu inquiet du retour de Woody à NY vue la précédente prestation un peu catastrophique.
Trop vieux ou trop fatigué pour passer devant la caméra, il a trouvé un alter ego plus narcissique et vieux beau. Encore qu'on puisse trouver une ressemblance au niveau des yeux. A la place de Ricci, on récupère une nymphette du cinéma indé, et l'on peut démarrer la bobine. Mais on comprend très vite que la virtuosité du script n'a d'égal que le plaisir et l'intelligence, données presque gratuitement au vu du prix du ticket.
Toute une philosophie heureuse se fait jour pour ne pas prendre la vie trop au sérieux et supporter les différences loin de tout dogme idiot ou millénaire. Woody va bien et nous le fait partager, sans oublier de nous prouver qu'il ne faut jamais perdre espoir !
Une énorme surprise par rapport à ses réalisations européennes. Vive la sénilité à la Woody allen. En espérant que ce ne soit pas un message d'adieu. Et voilà, je viens de faire injure à ce petit bijou d'humour... Mème si c'est le dernier, on aura le dvd et la vie entière à savourer. « Tout va bien du moment que ça fonctionne ».
Chapeau bas M. le New Yorkais.
Les films de Woody Allen, toujours des chef-d'oeuvre ! Le film est intéressant, il y a un réel paradoxe entre les deux personnages principaux et c'est exactement ce qui fait le charme du film. Boris est un "génie" qui ne croit qu'en ce qu'il voit, et encore, alors que Melody arrive, pleine d'espoirs, assez bête, et devient subitement pleine de connaissances à la rencontre du vieil homme. Elle ne comprend pas toujours ce qu'elle dit ; mais Boris lui apporte quelque chose. Il est une sorte de passerelle entre son adolescence et sa vie d'adulte. A voir !
« L’illusion d’avoir un sens apaise la panique »
Tourmenté par l’ulcère, transcendé par la misanthropie et le mécontentement permanent Boris Yellnikoff chauve, boiteux, divorcé, suicidé raté, professeur d’échecs intolérant, irascible Physicien distant, prétentieux déchu et cloitré voit toute cette panoplie négative s’effriter suite à la rencontre la plus improbable qui soit.
Une nunuche jeune, belle et naturelle apparue soudainement dans l’existence d’un pestiféré entretient dans un premier temps les constats réactionnaires d’un vieux ronchon lui permettant de conserver sa différence pour enfin obtenir la restauration d’un état oublié, un savoir vivre en groupe respectueux et tolérant.
Un QI monstrueux solitaire et dépressif en guerre contre le monde entier, réfugié dans un mépris considérant ses contemporains comme des vers de terre est rapatrié dans le monde des vivants par une simple d’esprit désirant être la femme d’un génie.
« Whatever Works » outre son aspect décelant un manque antinomique commun et son unification par le mariage entre deux composants d’une génération différente est une comédie douce amère révélatrice de l’échec d’un monde uniquement basé sur l’entretien dans le temps des institutions politiques, morales et religieuses dont les têtes pensantes sont périodiquement remplacées.
Cet état de soumission perpétuel envers un régime pédagogique ou nos comportements sont préformatés par des procédures d’éthiques crée la révolte de certains individus décelant en interne une personnalité propre et créative exclues d’un parcours imposé par l’obligation de plaire et surtout d’entretenir une machinerie collective bien pensante et dominatrice
« Il n’y a personne là-haut » semble être une des conclusions de cet opus initiatique incitant les êtres à se découvrir et s’assumer par eux-mêmes dans un univers dominé par la chance ou ils peuvent malgré tout étaler leurs véritables personnalités tout en participant au monde.
A voir absolument
Tourmenté par l’ulcère, transcendé par la misanthropie et le mécontentement permanent Boris Yellnikoff chauve, boiteux, divorcé, suicidé raté, professeur d’échecs intolérant, irascible Physicien distant, prétentieux déchu et cloitré voit toute cette panoplie négative s’effriter suite à la rencontre la plus improbable qui soit.
Une nunuche jeune, belle et naturelle apparue soudainement dans l’existence d’un pestiféré entretient dans un premier temps les constats réactionnaires d’un vieux ronchon lui permettant de conserver sa différence pour enfin obtenir la restauration d’un état oublié, un savoir vivre en groupe respectueux et tolérant.
Un QI monstrueux solitaire et dépressif en guerre contre le monde entier, réfugié dans un mépris considérant ses contemporains comme des vers de terre est rapatrié dans le monde des vivants par une simple d’esprit désirant être la femme d’un génie.
« Whatever Works » outre son aspect décelant un manque antinomique commun et son unification par le mariage entre deux composants d’une génération différente est une comédie douce amère révélatrice de l’échec d’un monde uniquement basé sur l’entretien dans le temps des institutions politiques, morales et religieuses dont les têtes pensantes sont périodiquement remplacées.
Cet état de soumission perpétuel envers un régime pédagogique ou nos comportements sont préformatés par des procédures d’éthiques crée la révolte de certains individus décelant en interne une personnalité propre et créative exclues d’un parcours imposé par l’obligation de plaire et surtout d’entretenir une machinerie collective bien pensante et dominatrice
« Il n’y a personne là-haut » semble être une des conclusions de cet opus initiatique incitant les êtres à se découvrir et s’assumer par eux-mêmes dans un univers dominé par la chance ou ils peuvent malgré tout étaler leurs véritables personnalités tout en participant au monde.
A voir absolument
Un film agréable, avec des personnages très particulier et des dialogues parfaitement écrit. L'univers de Woody Allen est bien là, mais on a tout de même connu le réalisateur bien meilleur que dans "Wathever Works".
J’ai découvert les derniers films de Woody Allen (depuis Match Point et excepté Le rêve de Cassandre) il y a quelques mois maintenant. Beaucoup de gens m’avaient parlé de lui et j’ai finis par me lancer. De tous, celui que j’étais le plus impatient de voir, sans vraiment savoir pourquoi, était Whatever Works. Ce film est tout simplement un bijou. La rencontre improbable entre Boris, vieux génie aigri qui à tout raté (mariage, prix Nobel, suicide !) et Melody, jeune ingénue interprétée à merveille par Evan Rachel Wood, qui s’est enfuit de chez elle et que Boris accueil. Cette rencontre improbable va générer un comique ravageur, montrant que Woody Allen n’a rien perdu de sa faculté d’écriture nous proposant des discussions endiablées entre les deux sur toutes sortes de thèmes (tu veux être brûlé ou incinéré ? Moi incinéré comme ça pas de vers !) avec finalement un message optimiste sur le bonheur qui parcourt le film. Une vraie réussite et espérons que Woody continuera à nous proposer des films de cette qualité car après tout, tant que ça marche…
Avec "Whatever Works", Woody Allen retrouve sa verve et la pleine puissance de ses rèflexions satirico-existentielles, pour une comèdie de moeurs dont seule sa ville (New York of corse) a le secret! Pour interprèter le rôle qui, il y a quelques annèes encore lui serait revenu de droit, Allen a trouvè plus chauve, et encore plus bavard que lui: l'excellent et inèpuisable Larry David qui va faire craquer une Melodie St Ann Celestine (ça ne s'invente pas) alias Evan Rachel Wood pleine de grâce et de beautè! Mais le couple survivra t-il à l'arrivèe en ville des parents bigots de la jeune femme ? Une mère (ètonnante Carolyn McCormick) bien dècidèe à se dèbarrasser de cet incorrigible misanthrope et gendre cynique! Un joli cru et une improbable rencontre qui rèserve de jolis moments de rire et de joie de vivre...
ce vieux est infernal ! j adore comment il prend les autres comme pour de la merde... et cette blonde, ahh cette blonde, quand j ai dis ca et bien j ai tout dis lol ! nan mais je me suis super bien marré du debut a la fin, alors que demande de plus. surtout avec un si petit budget ca donne un effet d une histoire encore plus realiste, moi je dis juste chapeaux !
Un film énorme, encore une fois de la part du grand Woody Allen ! Une comédie mené de main de maitre par le lauréat de 4 Oscars qui chaque année fait un carton lorsqu'une de ses oeuvres sort sur grand écran. Celle-ci ne déroge pas à la règle. "Whatever Works" (2009) nous raconte l'histoire d'un vieillard vivant à New York, qui se prend pour un génie et qui a des théories sur absolument tout, qui rencontre une jeune fille sans abris venant de Philadelphie.
spoiler:
Tout au long du film va petit à petit en découler une romance improbable avec de nombreux rebondissements auxquels on ne s'attend pas vraiment (arrivée de la mère, du père...).
On reconnait tout à fait dans ce film la patte indéniable de Woody Allen qui nous enchante une nouvelle fois par une histoire et un scénario absolument divin, mélangeant sans cesse les pistes tel qu'il sait le faire, on est souvent surpris et c'est bien ça le plus génial, jusqu'à un final maginifique. A noter la performance hallucinante de Larry David avec une répartie et des dialogues géniaux, à mourir de rire, ainsi que l'excellente performance de la jeune Evan Rachel Wood.
On reconnait tout à fait dans ce film la patte indéniable de Woody Allen qui nous enchante une nouvelle fois par une histoire et un scénario absolument divin, mélangeant sans cesse les pistes tel qu'il sait le faire, on est souvent surpris et c'est bien ça le plus génial, jusqu'à un final maginifique. A noter la performance hallucinante de Larry David avec une répartie et des dialogues géniaux, à mourir de rire, ainsi que l'excellente performance de la jeune Evan Rachel Wood.
apres une escale européene, Woody Allen nous vais revenir dans son new york natal pour y formé un couple improbable dont il a le secret, unissant le vieilissant Lary David a la toute jeune Evan Rachel Wood.
lui incarne un homme vieillissant, génie et phylosophe tandis qu'elle, fuyant ces parent est une femme paumé, un peu simplette d'esprit mais rempli de charme, malgré leur difference, tout semble allé pour le mieux jusqu'a ce que ces parent, l'un apres l'autre la retrouve et face la conaissance de Boris, le mari de Melody ...
Woody Allen reviens a ces premier amour, la comedie pur avec la remise en question des couple, la remise en question de la vie et de sa vie avec l'autre, sur ce point cela fonction, il nous remet dans des situation cocasse et c'est presque reussit, les drolerie marche un petit peu, mais bien que faisant beaucoup d'effort dans les mimique et ces intervention, Lary David n'est pas Woody Allen, il est son double mais certainement pas son clone. On y retrouve aussi pas mal de monologue qui est une specialité du cineaste, mais bien que tres charmant, cette petite comedie en reste néanmoins un peu trop legere, n'en reste qu'elle est appreciable et sans etre genial, elle se regarde gentiment et on y passe un agreable moment, et c'est deja ça
lui incarne un homme vieillissant, génie et phylosophe tandis qu'elle, fuyant ces parent est une femme paumé, un peu simplette d'esprit mais rempli de charme, malgré leur difference, tout semble allé pour le mieux jusqu'a ce que ces parent, l'un apres l'autre la retrouve et face la conaissance de Boris, le mari de Melody ...
Woody Allen reviens a ces premier amour, la comedie pur avec la remise en question des couple, la remise en question de la vie et de sa vie avec l'autre, sur ce point cela fonction, il nous remet dans des situation cocasse et c'est presque reussit, les drolerie marche un petit peu, mais bien que faisant beaucoup d'effort dans les mimique et ces intervention, Lary David n'est pas Woody Allen, il est son double mais certainement pas son clone. On y retrouve aussi pas mal de monologue qui est une specialité du cineaste, mais bien que tres charmant, cette petite comedie en reste néanmoins un peu trop legere, n'en reste qu'elle est appreciable et sans etre genial, elle se regarde gentiment et on y passe un agreable moment, et c'est deja ça
Un Woody Allen en petite forme, avec l'impression qu'il a troussé son scénario en un seul après midi, sur le coin d'une nappe d'un petit resto de Manhattan, et son acteur principale manquant cruellement de charisme ne l'aide pas beaucoup à tirer le film vers les chefs d’œuvres du maitre...
Mais même en mode mineur ce génie de Woody arrive toujours à trousser de bons dialogues et de bonnes idées sur notre monde moderne ! Ce qui n'est pas si mal, quand on voit à quel rythme le pépèr livre une nouvelle œuvre tous les ans !!! Chapeau l'artiste...
Mais même en mode mineur ce génie de Woody arrive toujours à trousser de bons dialogues et de bonnes idées sur notre monde moderne ! Ce qui n'est pas si mal, quand on voit à quel rythme le pépèr livre une nouvelle œuvre tous les ans !!! Chapeau l'artiste...
Le film ne tiendrait pas sans l'épaisseur du personnage principal, Boris Yellnikoff... et de la performance de Larry David. Car si les autres personnages sont un peu trop caricaturaux, celui-là est franchement drôle avec ses commentaires cyniques à souhait. "Whatever works" n'a pas la prétention de changer la face du cinéma mais il permet de passer un très bon moment !
Peut être mon Allen préférer, j'ai passé un super moment à regarder ce film dont les dialogues sont drôles, subtiles, pertinents et vrais!
De plus on m'est directement à partis le public en avant avec le héro du film qui s'adresse directement à nous, ça ajoute une touche très originale et surtout ca me plaît.
La vie d'un vieille homme grincheux qui en veut à la terre entière un jour il va receuillir une jeune fille chez lui qui va changer sa vie.
Brillant!
De plus on m'est directement à partis le public en avant avec le héro du film qui s'adresse directement à nous, ça ajoute une touche très originale et surtout ca me plaît.
La vie d'un vieille homme grincheux qui en veut à la terre entière un jour il va receuillir une jeune fille chez lui qui va changer sa vie.
Brillant!
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