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    Big Eyes
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    3,7
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    433 critiques spectateurs

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    moket
    moket

    524 abonnés 4 329 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2016
    Les "Big eyes" sont très proches graphiquement de l'univers de Tim Burton, mais le film s'écarte un peu du style habituel du réalisateur. Pas de féérie gothique donc, mais l'exploration de l'âme humaine avec ce drame et cette histoire édifiante qui fait la part belle à un Christoph Waltz plus cabot que jamais. L'acteur s'éclate, le spectateur également.
    Karim A.
    Karim A.

    45 abonnés 615 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 janvier 2016
    Une histoire vraie,
    spoiler: Amy Adams campe très bien son personnage celui qui est moins bon je trouve est son mari, j'ai pas accroché sa prestation il ne montre pas assez sa cupidité, son avidité et sa megalomanie.. Sinon la peintre Keane est excellente.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 janvier 2016
    C'est avec une grande surprise que j'ai regardé ce film. Le réalisateur nous laisse matière à réflexion, comportant de nombreuses références : les situations (parfois) contraignantes des femmes mariées dans les années 60-70, un approfondissement de la Peinture sur Toile, en plus d'une intrigue construire, cohérente et touchante de notre chère artiste. Un Christoph Wallz ainsi qu'une Amy Adams à couper le souffle, laissant libre à cours à foule de sentiments. Un très agréable film qui surprend de part la réalisation, la trame scénaristique, que part les jeux d'acteurs, réellement excellent.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 janvier 2016
    L'intrigue de Big Eyes a deux moments forts : le début où l'on découvre comment cette femme a pu se laisser manipuler par cet homme, et la fin annoncée où le vilain est conspué et la brave dame célébrée. Entre les deux... Pas grand chose, si ce n'est le charme des interprètes et la classique réalisation. Au bout d'une 1/2h, j'ai commencé à guetter la fin parce que la situation n'évolue plus. Il est un menteur, elle est sous emprise et c'est tout, jusqu'au dernier 1/4 d'heure.
    Je mets la moyenne parce que malgré tout, je ne me suis pas vraiment ennuyé.
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    59 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2016
    Deuxième biopic de Tim Burton vingt ans après l'étrange Ed Wood, Big Eyes se concentre sur l’une des plus grandes impostures de l’histoire de l’art avec le peintre Walter Keane, qui a connu un immense succès et révolutionné le commerce de l’art à la fin des années 1950 et au début des années 1960 grâce à ses énigmatiques tableaux représentant des enfants malheureux aux yeux immenses. On suit l'éveil artistique de Margaret Keane, interprétée par Amy Adams (Il était une fois, The Master, Man of steel), peignant sa jeune fille avec toujours le même regard et exposant ses tableaux sur les marchés en restant très discrète. Elle y fait vite la connaissance de Walter (magnifiquement interprété par le très talentueux Christoph Waltz), qui va user de sa grandiloquence pour faire vendre ses tableaux en les exposant dans un club de jazz, avant de se marier avec elle et de partir en lune de miel à Hawaï.

    Très caractéristique de l'art abstrait de Tim Burton, Big Eyes est surprenant et intrigant de bous en bout. Sous ses faux airs de Nadine Morano, Amy Adams joue une artiste tellement discrète qu’elle se fait manger son oeuvre et vit dans l'ombre de son mari afin de lui concocter de nombreux tableaux afin qu'ils puissent en vivre grâce à ses talents de vendeur, spoiler: allant jusqu'à faire vendre des affiches et des cartes postales copiées de ces mêmes affiches.
    Si l'on peut d'abord penser que son mensonge a de bonnes intentions en rapportant de l'argent pour Margaret et sa fille, Walter devient de plus en plus suspicieux avec spoiler: l'interdiction à Jane de rentrer dans l'atelier
    , son culot face à sa femme qui n'ose dire que les tableaux sont d'elle, ses quelques coups de colère et sa folie commerciale (le passage au centre commercial étant un bon exemple) allant jusqu'à les faire vivre dans une très grande maison à Hawaï.

    Le personnage sombre réellement dans la folie spoiler: alors qu'on apprend qu'il n'avait en fait jamais peint, s'étant approprié les paysages de rue d'un autre artiste.
    La scène qui suit rappelle fortement Jack Nicholson dans Shining spoiler: alors qu'il poursuit Margaret et sa fille puis fait passer des allumettes enflammées à travers le trou de la serrure de la pièce où elles se sont enfermées
    (l’œil vert à travers la serrure faisant partie des plans les plus significatifs). Le film vire alors à la comédie dramatique, sous la musique très artistique de Danny Elfman et alors que Margaret dévoile enfin tout au grand jour spoiler: et piège son désormais ex-mari lors d'un procès.
    La qualité de la narration et la talent d'orateur de Christoph Waltz font de ce film une très bonne référence !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 janvier 2016
    Biopic sur une histoire méconnue qui éloigne Burton de son univers habituel, hormis le fait d'y retrouver des oeuvres représentant des petites filles aux grands yeux qu'on aurait pu retrouver dans certains de ses films. Le sujet est intéressant mais manque de profondeur et d'un traitement plus appuyé de ses deux personnages pour en faire vraiment un film à retenir. Un petit Burton qui aurait pu être mis en scène par quelqu'un d'autre que Burton.
    dougray
    dougray

    238 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 décembre 2015
    Réalisateur nostalgique des ambiances gothiques (façon Universal des années 30 ou Hammer) et, plus généralement, de cinéma horrifo-fantastique, on imaginait mal Tim Burton mettre un jour en scène un film "normal". C’est, désormais, chose faite avec "Big Eyes" où on ne trouve ni super-héros à oreilles pointues, ni cavalier sans tête, ni martien, ni mort-vivant… ni même son casting habituel (exit Johnny Depp, Helena Bonham Carter ou encore Christopher Lee) ! L’histoire est celle de Margaret Keane (Amy Adams, impeccable comme toujours), une artiste qui va être dépossédée de son œuvre par son mari, avant de la revendiquer en justice… soit une histoire méconnue (et intéressante) à mille lieux des thèmes de prédilections de Tim Burton. C’est, donc, en toute logique que "Big Eyes" ressemble à tout… sauf à un film de Tim Burton. Et ça aurait pu être une idée intéressante… si l’abandon du style formel avait fait place à une mise en scène moins conventionnelle et ne s’était pas accompagné d’une écriture aussi légère ! Et il parait invraisemblable qu’un metteur en scène de l’acabit de Tim Burton, à qui l’on doit quelques merveilles du 7e art, se soit cantonné à une réalisation aussi basique qui refuse toute idée de suspense pour se livrer à une simple retranscription de l’histoire du couple Keane, sans audace ni saveur ! On a, d’ailleurs, davantage l’impression de lire la page Wikipédia de Margaret Keane que de voir le film d’un grand réalisateur. Autre problème, le film ne fait qu’effleurer certaines questions, pourtant essentiels et surtout, scénaristiquement intéressantes (à commencer par la question centrale : Margaret aurait-elle connu la même réussite sans le nom de son mari ?) et se montre assez peu subtils dans l’évolution du personnage de Walter Keane (Christoph Waltz, très bien mais peu surprenant au vu de son statut de grand méchant en titre à Hollywood), qui passe du statut de sauveur providentiel spoiler: (permettant à Margaret d’obtenir la garde de sa fille et un certain confort de vie)
    à celui de salaud intégral spoiler: (allant jusqu’à la menacer de mort)
    sans que l’ombre d’une explication ne soit évoquée, spoiler: si ce n’est la peur d’un artiste raté d’être découvert
    . Sans doute aurait-il été plus judicieux de creuser davantage ce personnage (et ses motivations) que celui de Margaret, ce qui aurait permis, non seulement, de mieux comprendre le personnage mais surtout, d’apporter une vraie densité à un récit qui en manque cruellement. Ce n’est, d’ailleurs, pas tant que l’histoire ne soit pas intéressante, ce portrait de couple ayant tout pour être heureux mais qui va péricliter à cause de spoiler: la mythomanie du mari méritant franchement d’être racontée
    . C’est seulement qu’avec une telle histoire et un tel réalisateur aux manettes, on était en droit d’attendre un film s’autorisant un vrai parti-pris de mise en scène ou, à tout le moins, qui se permettent de vrais moments de grâce (ce que même les moins bons Spielberg ont). spoiler: Or, ici, même la scène du tribunal où Walter Keane sera démasqué en simulant une douleur pour refuser de reproduire sa prétendue œuvre manque de souffle
    . A croire que Tim Burton n’est définitivement pas à l’aise lorsqu’il n’a pas un monstre ou deux à se mettre sous la dent… "Big Eyes" se regarde, donc, plus comme un documentaire sur une artiste méconnu (mais dont les tableaux sont connus du grand public) que comme un film de Tim Burton et ne devrait, en tout état de cause, pas marquer la filmographie du maître.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 7 décembre 2015
    Il va sans dire qu’un nouveau Tim Burton ne peut passer inaperçu. Le réalisateur jouit d’une place stable et confortable au sein de la pop culture occidentale, explicable par la singularité d’un univers visuel marqué et auquel beaucoup sont attachés. Le cinéaste signe donc son retour, 2 ans après « Dark Shadows » et « Frankenweenie » (2012), avec cette adaptation d’un scandale qui secoua le monde de l’art au cours des années 60, l’imposture de Walter Keane, qui fit passer les travaux de sa femme, Margaret Keane pour les siens, s’attirant ainsi une gloire absolument imméritée.
    Evidemment, les fans absolus de l’œuvre de Tim Burton précipiteront leurs regards devant ces grands yeux (finalement assez inquiétants) mais seront probablement assez surpris de ne retrouver aucune marque saillante de l’identité Burtonienne. Les plus curieux et aventureux, verront cette surprise comme une volonté positive de renouvellement, tandis que d’autres l’interprèteront comme un inacceptable dévoiement. A chacun de se situer par rapport à l’œuvre d’un auteur, qui parvient à maintenir une continuité dans la maison de son imagination, dont il nous fait découvrir à chaque film, une nouvelle pièce, parfois plus grande, plus petite, plus ou moins intéressante, que la précédente.
    Christoph Waltz livre une interprétation délicieusement odieuse de Walter Keane, et utilise parfaitement le maxi-sourire comme symbole de la plus abjecte hypocrisie et mauvaise foi. Car le personnage de Walter Keane tel qu’il est dépeint, est un summum d’immondice morale dans l’histoire du cinéma. Walter Keane est calculateur, fourbe, vicieux, hypocrite, lâche, intéressé, vénal, de mauvaise foi, méchant, violent, menteur, pyromane, mythomane pathologique. En bref, un cauchemar dans la vraie vie, mais une crispation jouissive à l’écran.
    Il est d’ailleurs la seule chose qui vaille à peu près la peine d’être remarqué dans ce film, qui pêche par un terrible manque d’originalité dans la forme et dans le traitement d’une histoire, qui, relativement méconnue, aurait pu être « introduite » avec plus de maestria. Le film à l’allure soporifique d’une banale comédie (un poil dramatique) hollywoodienne, qui déroule un fil narratif dont on distingue clairement la ligne d’arrivée. Un peu comme visiter la même exposition deux fois la même journée.
    Amy Adams, touchante, est victime de sa fadeur (mais c’est aussi surement ce qu’exige le rôle d’une femme effacée qui peine à prendre son destin en main) et tombe dans le délit de niaiserie aggravée (là encore, sûrement l’écriture du personnage à mettre en cause). De là, les clichés pullulent, la jeune fille de Margaret, compréhensive et un peu moins naïve que sa mère, dont elle est très proche. Les galeristes snobinards qui ne peuvent parler d’art sans adopter un ton péremptoire et d’abstruses formulations philosophiques. Et il y a aussi les critiques, qui évidemment, sont des artistes ratés, trop contents de ruiner les carrières de ceux qu’ils auraient en réalité, aimé être. Burton aurait peut-être dû voir « Birdman » pour traiter la question de la critique artistique de manière un peu moins caricaturale.
    « Big Eyes », étant le nouveau Tim Burton, il est un rendez-vous, mais raté. Le film n’est qu’un petit jus de banalités, un divertissement facile, très hollywoodien, sans réelle saveur, dont on peut estimer la durée de vie dans une mémoire à 6 mois, et qui constitue une déception quant à ce qu’aurait pu être une histoire presque faite pour le cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 décembre 2015
    Voilà un bon film traitant d'un univers original, il me laissera un très bon souvenir, d'autant qu'inspiré d'une histoire vraie, au demeurant légère. Un film référence si on s'en tient à l'histoire et au sujet en tous points originaux et inhabituels. Très bonne interprétation. On en voudrait plus des comme ça.
    remy d.
    remy d.

    14 abonnés 495 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2017
    Un très bon film. Celui-ci met du temps à se mettre en place mais Tim Burton arrive à mettre du suspens dans cette histoire incroyable. Christopher Waltz prend énormément de place avec son personnage au allure de dessins animés et on aime le détester.
    Pierre Chambon
    Pierre Chambon

    1 abonné 196 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2015
    bonne surprise ce film, que je n'aurais pas vu si ma fille ne me l'avait pas conseillé - c'est le début de la marchandisation de l'art, une facette que je ne connaissais pas - le sujet est très bien traité, très bien joué, Christoph Waltz est machiavélique à souhait, Amy Adams est délicieusement réservée, avant de se rebeller - du Tim Burton différent du Tim Burton habituel, c'est bien de sortir des sentiers battus
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 novembre 2015
    Il était un réalisateur de renommée ayant son propre univers. Aujourd’hui, Tim Burton n’est plus qu’une sorte de yes man attitré des studios Disney (si vous pensiez qu’Alice aux Pays des Merveilles et Frankenweenie seraient les derniers, le bonhomme a tout de même signé pour Dumbo) qui, entre temps, ne cesse de se recycler sans jamais parvenir à retrouver son talent d’antan. Une traversée du désert qu’il tente de clôturer en revenant à un genre cinématographique qu’il n’avait pas traité depuis Ed Wood, à savoir le biopic. D’autant plus qu’il retrouve les scénaristes de ce dernier, Scott Alexander et Larry Karaszewski. Rien qu’avec ça, Big Eyes pouvait sonner comme un (petit) retour du célèbre réalisateur. Ce qu’il ne sera pas, n’ayant pas fait fureur au box-office mondial (20 millions de dollars). Mais est-ce justifié pour autant ?

    Il faut bien le dire, depuis ses derniers films, Tim Burton n’arrive plus à convaincre le public, qui commence à bouder ses films (Frankenweenie n’avait même pas passé la barre des 70 millions de dollars de recettes). Alors, le fait de prendre un biopic n’était finalement pas la meilleure des solutions pour revenir. Surtout que sur le papier, il y a un gouffre entre Ed Wood et Big Eyes. Pour rappel, le premier parlait d’un réalisateur (considéré comme le pire que le cinéma ait connu) enfermé dans sa passion et son monde qu’il voulait absolument partager, tout comme Burton. Avec le second, spoiler: racontant la scandaleuse histoire du couple Keane qui a été l’auteur de l’une des plus grandes impostures de l’art
    , n’a a priori aucune affinité avec le cinéaste. Et en voyant le film, cela se ressent.

    Le problème avec Big Eyes vient du fait qu’au niveau de son allure finale, le long-métrage n’a rien d’une œuvre de Tim Burton. Et c’est cela qui lui a été fatal lors de sa sortie ! En effet, à aucun moment nous ne retrouvons la folie créatrice du réalisateur, que ce soit au niveau du scénario (en même temps, vu le sujet, il ne fallait pas trop en attendre à ce niveau-là), de la mise en scène ou bien de l’ambiance. Big Eyes aurait très bien pu être dirigé par un autre cinéaste lambda que cela ne choquerait personne tant il se présente comme un film diablement impersonnel (comme pour La Planète des Singes version 2001). De Tim Burton, vous n’aurait qu’un délire visuel de quelques secondes ( spoiler: la séquence de la supérette
    ) et une introduction spoiler: démarrant dans une banlieue pavillonnaire
    (la couleur flashy des maisons rappelant Edward aux mains d’argent). Mais c’est tout ! Rien de plus qu’un long-métrage mettant en scène sans réel génie son scénario.

    Faut-il pour autant conspuer Big Eyes ? Bien sûr que non ! Certes, l’histoire a tout d’un biopic hautement classique (déroulant les faits sans vraiment s’intéresser aux personnages secondaires) et on cherche encore la patte de Tim Burton à l’heure actuelle, mais contrairement à la plupart des œuvres de son espèce, ce long-métrage n’est nullement ennuyeux. Cela, nous le devons au fait que le film arbore un ton comique (pour ne pas dire un chouïa fantaisiste) tout au long de sa durée. Bien entendu, il y a quelques passages dramatiques, mais dans l’ensemble, Big Eyes amuse au lieu de se plonger dans une pédagogie assommante. Un constat que nous devons principalement à l’ambiance qui s’en dégage, mis en valeur par une reconstitution des années 50-60 soignée et un peu délurée (ces décors colorés en sont la preuve), une bande son pétillante (la musique de Danny Elfman, bien qu’il ne soit pas à son meilleur), un montage énergique et surtout un casting fort sympathique (Amy Adams et Christoph Waltz en tête). Il suffit de voir la scène finale ( spoiler: celle du tribunal
    ) pour comprendre à quel point Big Eyes se présente à nous comme une comédie dramatique bon enfant parvenant à faire sourire sans mal. Et franchement, cela fait du bien !

    Alors oui, c’est décevant de voir Tim Burton nous offrir un film où il ne semble pas vraiment impliqué dans sa conception. Oui, Big Eyes n’apporte rien au cinéma, n’étant qu’un biopic comme n’importe quel autre. Mais au final, le film s’en sort très bien. Même mieux que certains projets hollywoodiens, pompeux et lourdingues, en parvenant à nous distraire de bout en bout avec bonne humeur. Et après quelques films avec lesquels il s’est outrageusement recyclé, Tim Burton apporte une petite note de fraîcheur à sa filmographie via ce long-métrage bienvenu. Le lyncher comme certains l’ont fait n’est donc pas excusable pour un sou !
    Diane T
    Diane T

    2 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 octobre 2015
    Voilà un film classique pour du Burton.
    Si ce n'était pas su, ce n'est pas à lui qu'on attribuerait ce long métrage. Cependant, je trouve que le simple lui réussit bien. C'est une reconstitution de cette folle histoire. C'est bien fait, bien joué, bien mis en scène et ça se regarde avec plaisirs mais il ne marquera pas les esprits avec ça.
    Pauline M
    Pauline M

    25 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 octobre 2015
    Ce film est très réaliste par rapport à la biographie originale, et change un peu des histoires habituelles.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 octobre 2015
    En fait c'est très bien réalisé, joué et les images sont superbes. Le problème c'est que malgré un sujet intéressant, j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire. Peut être que j'aurai apprécié plus si le personnage joué par Christoph Waltz possédait un peu plus de folie (d'un autre côté ça m'aurait également embêté car il ne faudrait pas le cantonné qu'à ce genre de rôle !) ou alors plus de fantaisie de la part de Burton. C'est peut être ça finalement, mais sur la fin j'ai trouvé ça un peu longuet.
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