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    Big Eyes
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    Anatole C
    Anatole C

    24 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2015
    Très bon film, Burton nous montre qu'il est expert dans tous les domaines et ce biopic sur l'art le montre bien. L'histoire est réelle et donc poignante, on découvre une dégradation des personnages au fil du temps entre remords et désirs d'en vouloir toujours plus et leur couple se déchirer. Le personnage de Waltz est une belle ordure joué à la perfection.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 mars 2015
    J'ai eu la désagréable impression de regarder un téléfilm très médiocre pendant un Dimanche après midi pluvieux. Pour commencer, l'histoire est d'une banalité déconcertante. A moins d'être un fervent admirateur du peintre, ce film semblera totalement dépourvu d’intérêt pour les autres.Encéphalogramme plat du début à la fin : On ne rit pas, on ne pleur pas, on ne se passionne pas. Bref, on ne ressent rien à part un ennuie profond. Très déçus également par la prestation de Christoph Waltz qui surjoue tellement son personnage qu'il fini par devenir caricatural. En ce qui concerne Amy Adams, elle semble faire ce qu'elle peut pour garder la tête hors de l'eau, mais ne réussi pas à nous attendrir sur le sort de ce peintre spolié de son art qui nous laisse, en fin de compte, très indifférent.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    693 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2023
    Il y a bien longtemps que Tim Burton n'a pas signé un film personnel et puissant. Il y a bien longtemps que Burton n'a pas retrouvé le talent de "Edward aux mains d'argent" ou l'imagination du très poétique "Big fish". Apres de nombreuses superproductions aux effets spéciaux décadents et quelques ratés artistiques, Tim Burton est de retour avec un film plus simple, au budget moindre, aux images de synthèses absentes. Avec Big Eyes il revient au style de ses débuts, aux films qui lui ont apporté son actuelle popularité dans un format plus modeste sans pour autan, malheureusement, à parvenir à influer complètement son univers atypique et personnel. Big Eyes est un film aseptisé de Burton mais parvient à rehausser la qualité décroissante de sa carrière.

    La critique complète ci dessous :
    https://www.justfocus.fr/cinema/critique-du-nouveau-tim-burton-big-eyes.html
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 août 2015
    L'histoire est terrible et le jeu des acteurs permet de la rendre encore plus profonde. Cependant je n'ai pas vraiment retrouvé la trace de Tim Burton, a l'exception d'une scène (que vous voyez probablement si vous avez vu le film) mais le film reste très bien et poignant !
    Plume231
    Plume231

    3 891 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 août 2015
    Tim Burton est mort en 1999, l'artiste talentueux bien sûr, pas l'homme... 1999 est l'année de sortie de "Sleepy Hollow", le dernier grand Tim Burton. Son film suivant sera "La Planète des singes". Ce sera la première fois qu'il vendra son âme à Hollywood mais malheureusement pas la dernière fois... Dans les quinze ans qui suivront, au mieux il réalisera des films corrects, au pire des films mauvais. Mais jusqu'ici, il n'avait jamais été dans le très mauvais, jusqu'à "Big Eyes" du moins...
    On ne peut pas mettre ce très mauvais sur le fait que Burton ne soit pas à l'aise avec le biopic. Car ce serait oublié qu'en 1994, il a réalisé ce qui est tout simplement un des plus grands biopics de tous les temps, "Ed Wood". Cette oeuvre, qui raconte la vie du "plus mauvais réalisateur de tous les temps", est une merveille qui réussit autant à être légère et sarcastique que profonde et émouvante, et qui s'appuie en plus sur une brillante galerie d'acteurs.
    Là qu'est-ce qu'on a avec "Big Eyes" ??? Un film lisse, sans la moindre complexité, Margaret Keane est la très gentille de l'histoire, son mari Walter Keane est le très méchant, voilà... Christoph Waltz, acteur que j'admire habituellement, qui en fait des tonnes à chaque occasion et donne l'impression qu'il joue à côté de sa partenaire Amy Adams et non pas avec. Les deux acteurs ne sont pas du tout en phase. Des seconds rôles qui sont totalement négligés alors qu'il y avait de la matière. Une réflexion sur l'Art et bien sûr en particulier sur l'Art de Margaret Keane qui est elle aussi totalement négligée alors qu'il y avait de la matière aussi.
    Tim Burton essaye bien de temps en temps de montrer que c'est bien lui qui est dernière la caméra. Notamment lors de la scène d'hallucination dans le supermarché, mais étant donné que du point de vue scénaristique cette dernière n'a aucune raison d'être, c'est juste de la gratuité... Autrement c'est impersonnel, c'est plat, c'est académique, c'est sans saveur, alors qu'avec un tel sujet que celui de la vie de Margaret Keane il y avait vraiment de la matière.
    Il n'y a pas le moindre doute, Tim Burton l'artiste est mort en 1999. Et là, il est encore plus mort qu'avant...
    Joe D.
    Joe D.

    52 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2015
    Rappelez vous le phénomène des "Poublots", ces illustrations kitchissimes (à en devenir dingo) de gamins parisiens, SIGNÉES Michel Thomas, qui décoraient les boîtes de chocolats, fleurissaient sur les murs des chambres d’enfants dans les années 70 et 80, et ont transformés toute une génération d’enfants innocents en psychopathes fans de films d’horreurs histoire d’oublier cette orgie de mièvrerie dégoulinante. Et ben, aux USA ils avaient exactement le même genre de peintures naïves et mièvres! Mais comme on est aux USA, cette histoire-là (100% authentique) relève de l’imposture délirante et du capitalisme le plus spectaculaire. Ces peintures sont celles de Margaret Keane, dont Tim Burton à travers ce biopic nous retrcera l'imposture de son mari (Christoph Waltz) comme étant l'artiste ayant peint ces tableaux.
    Le contexte social de Big Eyes est plus présent que dans les précédents films du cinéaste où règne le merveilleux. Margaret Keane (incarnée par Amy Adams) quitte son premier mari à une époque où ça n’était pas convenable, et passera le film à se heurter à une société patriarcale où les femmes sont tenues en laisse autant par leur époux masculiniste que par l’église elle-même. L’effacement des femmes-artistes dans l’histoire de l’art n’est pas une fantaisie, et lorsque Walter Keane (Christoph Waltz) affirme dans les 60s que "les artistes femmes ne peuvent pas être prises au sérieux", on pense aisément à la façon dont sont considérées les femmes réalisatrices aujourd’hui. Le sujet de Big Eyes est parfois suffisamment fort pour porter le film lui-même : le héros de Ed Wood (qui partage les mêmes scénaristes que Big Eyes) était nul mais s’imaginait être un génie). Mais Keane est devenu une star, dès les années 1950. Publicité, marketing, merchandising, Keane a tout compris avant tout le monde. Jeff Koons n'a rien inventé. Le script décortique les rouages du marché de l'art à l'ère de la télévision avec un sens de la satire réjouissant. Journaliste complaisant, industriel collectionneur (l'Italien Olivetti), chacun joue son rôle. Au delà de cette dénonciation du mercantilisme au détriment de la dénaturalisation de l'art en elle même comme un reflet singulier d'une personnalité, Tim Burton se sert de ce biopic pour nous transmettre une œuvre-reflet, tel les yeux invoqués comme miroir de l'âme, Tim Burton y posant joyeusement ses problématiques personnelles à travers les yeux d'une artiste troublée dans un maelström de mensonges publiques, d'usurpation, de copies de copies. Cette quête d'identité artistique sucrée s'achève sur un procès climatique et atypique, où le réalisateur nous regarde alors droit dans les pupilles : Big Eyes, modeste chronique de déceptions et de décisions, est l'ultime témoignage d'un Tim Burton qui peint sa conscience, déclare son âme et signe son contrôle sur le cinéma de masse qui pense le contrôler, déclin chuchoté dont il se sait définitivement libéré. Cela peut aussi être perçu comme une volonté à travers ce biopic de revenir, avec sa patte de fabrique à du cinéma plus intimiste, loin de toutes les pressions que les Majors Disney lui imposaient, qui certes ont contribué à son succès, mais à force d'outrance et de non renouvellement avait fini par lasser son public.
    La suite sur mon blog.
    marineSR
    marineSR

    19 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 avril 2015
    On retrouve avec joie l'héroïne burtonesque qui s'émancipe et son antagoniste, le héros à l'esprit dérangé qui se voudrait artiste. Mais la patte du réalisateur manque, le film est bien plat pour un Burton, et manque cruellement d'émotion, alors que c'est bien de cela dont il s'agit.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 069 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2015
    Bon si ce n'était pas Tim Burton je n'aurais sans doute pas prêté attention à ce film qui n'est pas parfait... Alors si Frankenweenie avait permis à Burton de se racheter une crédibilité artistique il continue sur la bonne voie avec un film sans Depp, sans truc exubérant flirtant avec l'autocaricature. Alors je pense que c'est un film assez personnel puisqu'il parle d'art, mais finalement un peu édulcoré, passe-partout et qui ne marquera pas le paysage cinématographique. On est loin de la folie douce d'un Ed Wood (seul autre biopic du réalisateur si je ne me trompe pas).

    Mais ça se regarde malgré le côté très classique parce que justement le film raconte malgré tout par le truchement du personnage d'Amy Adams des choses sur la création artistique, le côté très personnel... Mais également sur comment le monde de l'art fonctionne, comment fonctionne la critique. D'ailleurs je suis surpris que ça ne soit pas Lee qui joue le rôle de Stamp (bien que j'adore Stamp aussi). Je me pose la question sur un éventuel second degré sur la citation de Warhol qui ouvre le film (il dit que si ça marche, c'est que ça doit être bien), parce que je pense quasiment l'inverse, si ça marche, c'est que ça doit bien nul, je rejoindrais plutôt Stamp en pensée puisqu'il dit que ce n'est pas parce que les gens aiment que c'est de l'art. C'est peut-être une façon pour Burton de répondre à ses détracteurs. Peut-être aussi une façon de dire qu'il s'est autocaricaturé puisqu'il était forcé, c'était ce qu'on attendait de lui... Ou peut-être que c'est juste une surinterprétation, mais je ne pense pas que traiter un film ayant ce sujet soit anodin à ce stade de sa carrière.

    Après comme je l'ai dit, le film n'est pas réellement marquant, je ne me suis pas ennuyé, je n'ai pas trouvé ça déplaisant, mais je vais tellement vite l'oublier. C'est un peu décevant ! Surtout que même les pires Burton qu'il a pu sortir, genre Alice, sont marquants par leur nullité. Il s'est assagi. Cependant il vaut mieux ça que de se compromettre dans des projets douteux.

    J'ai l'impression que c'est un Burton "de fond", comparé aux autres qui étaient des films plus formels, plus dans la référence, le genre... Après tout ce qui est dit est intéressant (même si je ne suis pas d'accord) et ça a un aspect touchant.

    Faut noter néanmoins que les acteurs ne tombent pas dans la copie des personnages qu'ils jouent, on retrouve le Waltz délirant que l'on connaît bien maintenant. Il ne sont pas dans la petite performance bien sage à oscar.
    Marvelll
    Marvelll

    87 abonnés 295 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 février 2015
    « Encore un biopic », diront certains. Sauf que cette fois-ci, c’est au tour de Tim Burton de s’y mettre pour raconter la fascinante histoire d’un couple atypique : les Keane. Le film est à la fois une comédie et un drame, mais n’arrive pas à concilier les deux. Si Amy Adams joue son personnage de façon dramatique, Christoph Waltz le joue comme un bouffon et la confrontation des deux pénalise le premier au point de le rendre fade. Au final, Big Eyes est un film intéressant, mais mal maîtrisé.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 mars 2015
    Après s'être fait très discret durant deux ans, Tim Burton est enfin de retour et livre un biopic ambitieux basé sur une scandaleuse mais vraie imposture qui bouleversa l'histoire de l'art entre les années 50 et 60 : celle du peintre Walter Keane et de sa femme, Margaret. "Big Eyes" surprend, étant donné que Burton adopte un ton différent de ses précédentes productions. La mise en scène et les décors sont parfaitement soignés, à l'image de l'époque, et le scénario audacieux séduit en adoptant le comique et l'émotion sans excès. Mais ce qui restera le plus admirable dans ce drame, ce sont les excellentes et inoubliables prestations de Christoph Waltz et Amy Adams. Waltz campe le rôle de Walter Keane avec une énergie tellement débordante et une crédibilité tellement convaincante qu'il en est insolent, égoïste, arrogant, détestable, mais absolument idyllique. Amy Adams est tout aussi épatante, un peu niaise mais obligée de l'être car soumise. Une histoire qui fit scandale en son temps et qui, par les habiles procédés de Burton, arrive à énerver et à rendre le spectateur stupéfait. Malgré quelques petites longueurs et un début un peu long, "Big Eyes" surprend, affole, éblouit, et il ne serait pas étonnant que Tim Burton doit faire face à un nouveau triomphe, car ce biopic est une bonne réussite.
    kermalec
    kermalec

    8 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2015
    Un joli film.
    Ce n'est pas pour moi la plus grande oeuvre de Tim Burton, loin s'en faut, mais il m'a malgré tout tenu en haleine jusqu'au bout : la mise en scène est juste et belle, il flotte une ambiance de paraître, changée en malaise menaçant lors des scènes de ménage, le casting est parfait, les rôles brillamment interprétés par Amy Adams et Christoph Waltz.
    Un très bon moment donc, qui a le mérite de nous faire découvrir la vie et l'oeuvre de cette artiste américaine des années 1960, Margaret Waltz, et par la même occasion de nous révéler (à moi en tous les cas) le talent de son interprète Amy Adams.
    Der Metzgermeister
    Der Metzgermeister

    40 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2015
    Big Eyes n'est certainement pas le long métrage le plus audacieux de Tim Burton, mais il reste toutefois agréable à regarder, ne serait ce que pour le jeu d'acteurs irréprochable. Grâce aux talents de Christoph Waltz et d'Amy Adams ( que je découvre ici sous un nouveau jour ), j'ai su ne pas m'ennuyer pendant cette heure quarante cinq de chamaillerie et d'humour. Même si la bande annonce laissait entrevoir une comédie légère, l'atmosphère se fait plutôt chagrinante. En effet combien de fois a t-on droit au visage d'Adams, les yeux embuées de larmes, qui peine à résister à la fourberie de son exécrable mari ? La cupidité est un thème ici traité de belle manière, et comme Birdman, Burton remet en question nos critères d'évaluation en ce qui concerne le regard que nous pouvons porter sur l’œuvre d'autrui. Et ça j'aime. Que dire d'autre ? Big Eyes ne pêche nulle part( si ce n'est que sa réalisation demeure standard, et que l'on ne reconnait plus trop le style burtonniesque auquel le père d'Edward Scissorshand nous avait habitué ), c'est seulement que le projet manque un peu d’ardeur. Mais je n'ai pas boudé mon plaisir. Un bon film, pas déplaisant pour un sou.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 16 février 2015
    Tim Burton se saisit d'une histoire troublante, potentiellement formidable et n'en fait absolument rien. Tout le film devrait reposer sur la capacité de Keane à dominer son épouse et à la contraindre à accepter de renoncer à se faire reconnaître comme l'auteur des toiles et sur les mécanismes qui poussent celle-ci à accepter cette situation. Malgré quelques notations initiales sur l'infériorisation des femmes à cette époque, conduisant Margaret à intérioriser son incapacité à s'assumer en tant que personne publique, le film ne montre rien de tout cela.
    L'absence totale de finesse psychologique, l'absence d'intensité dramatique ou de menace des rapports entre les deux époux, le jeu outrancier de l'acteur principal, qui reste en permanence dans le registre de la comédie, empêchent de croire à cette histoire vraie. Ou plutôt, on reste à l'extérieur de l'histoire.
    Le style tape-à-l'oeil de la réalisation, le ridicule de la scène du procès, digne de Disney, achèvent le film, dans tous les sens du terme.
    Une terrible déception, parce que le film ne fonctionne pas et parce qu'il révèle crûment les limites d'un auteur ayant tenté vainement de sortir de son registre habituel.
    7eme critique
    7eme critique

    533 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 février 2015
    Inutile de préciser que l’artiste-peintre Margaret Keane a fortement inspiré le cinéaste Tim Burton ! On découvre l'origine de ces gros yeux que l’on retrouvera dans nombreux de ses films. Après "Ed Wood", le metteur en scène Tim Burton décide de revenir aux histoires vraies avec un sujet qui, sans aucun doute, lui tenait à cœur. Un scénario de qualité, de jolis décors laissant place à de belles photographies, un aspect vintage parfaitement retranscrit, de bonnes scènes (ex : celle du supermarché), d'autres plus mauvaises (ex : celle de l'incendie), et certaines inachevées ( spoiler: on regrettera que le passage à la radio ne soit pas plus percutant
    ), sans oublier la présence de quelques facilités, "Big eyes" ne sera pas le Burton par excellence, mais relèvera, et ce n'était pas bien compliqué, le niveau du précédent "Dark shadows". La première partie du film reste la plus intéressante, entraînante, et travaillée visuellement, ensuite le film glissera sur les rails d’un simple "drame-thriller" sans prouesses particulières et au dénouement connu d’avance (que l’on connaisse ou non cette histoire au préalable). L'univers propre au cinéaste est inexistant (pas de chance pour les fans), mais Christoph Waltz récupère toute l'attention du spectateur grâce à son faciès et son jeu jubilatoire. Un Burton qui ne restera pas longtemps en mémoire...dommage le sujet était pourtant prometteur.
    Javi Fu
    Javi Fu

    20 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2015
    C'est Tim Burton le réalisateur !? Ah bon...
    Sincèrement le film est bien, il n'est pas mauvais... Mais il est où Burton là !!?? Sérieusement, on y croit pas une seul seconde qu'il est fait ce film.. Surtout qu'il y a quand m^me marquer sur l'affiche "du visionnaire réalisateur Tim Burton"... Ah ouais ?
    Le film est vraiment pas mauvais, c'est intéressant ce qu'il raconte, avec un design de l'époque excellente (ces couleurs, ces vêtements, ces maisons…) et un bon rythme, mais tout cela est à des années lumière de l'univers burtonien..
    Sinon le reste est bien, mise en scène, musique, décors et surtout, Amy Adams qui est magnifique, une des meilleures actrice du moment.
    C'est vraiment dommage, ce film aurait put et aurait dut être bien meilleur avec le vrai style Burton..
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