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    Big Eyes
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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 mars 2015
    Big Eyes est l'histoire vraie de Margaret Keane, peintre spoliée par son mari, qui s'est arrogé la paternité de l'oeuvre. Tim Burton en tire un film étonnamment sage mais très efficace. Son sens du cadrage et de la photo s'expriment à plein, le tout étant servi par deux acteurs formidables, Amy Adams et Christoph Waltz. On sait, dès les premières minutes du film, qu'on va assister à quelque chose de très bon. L'impression perdure jusqu'au bout. Du très bon Burton.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 mars 2015
    Alors oui ce ne sera pas un film marquant dans la filmographie de Tim Burton et oui Christoph Waltz est insupportable (sur jeu que je ne supporte plus) mais que ça fait du bien cette pause dans son cinéma Burtonien devenu avec le temps une caricature de lui même.

    Il était grand temps que Burton laisse J.Deep de côté (un changement de maquillage et hop ça donnait une variante du film précédent) et qu'il se réinvente.
    Il réussit avec Big Eyes un film humble, souvent beau (cadre et lumière) et donne une belle occasion à Amy Adams de briller (elle est très juste et même émouvante).

    Bref, Big Eyes n'est pas incontournable (loin derrière les excellents Sleepy Hollow, Ed Wood, Mars Attacks...) mais nettement moins chi... que ses derniers Dark Shadow, Alice au Pays des Merveilles ou encore Sweeney Todd.
    Chatterer
    Chatterer

    84 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mars 2015
    « C’est toujours quand on s’y attend le moins…. ». C’est ce qu’a dit Cros nounours en sortant de la séance. Je trouve que c’est représentatif de ce que j’ai ressenti avec « Big Eyes ».
    En effet, je n’avais pas d’attente derrière ce film qui semble, de prime abord, dénoter dans la filmographie de Tim Burton. Faut dire que j’ai lu beaucoup de critiques avant de voir le film. J’ai ainsi pu lire des tas d’immondices du genre : Tim Burton a réalisé un mauvais film…ou alors un film plaisant tout au plus. Un film sans surprise et mal monté. J’ai aussi lu que Big Eyes n’a de Burtonnien que le label. Christoph Waltz surjoue, nous avons perdu Burton etc etc…

    J’avoue que j’avais une certaine appréhension. La peur d’être déçu et que ce qu’on pouvait en dire soit la vérité. Je crois en Burton, j’en suis fan et j’ai toujours eu l’impression de comprendre ses messages, son univers. Pouvait-il me décevoir ?

    Après avoir vu le film, je me demande si c’est une blague ?!? Car Big Eyes est non seulement un TRES bon film mais en plus je trouve qu’il n’est pas si éloigné de sa filmographie.
    Alors oui, il n’y a pas de Johnny Depp, d’Helena Bonham Carter, ni de monstres, de fantastique, d’effets spéciaux…Mais j’ai bel et bien retrouvé la patte du maître. Au moins dans les thématiques abordées. Ça fait pas mal de temps qu’on râle parce qu’il « tourne en rond », parce qu’il ne travaille qu’avec les mêmes personnes, qu’il ne sait pas se réinventer…Et maintenant qu’il prend le risque de raconter un conte ancré dans la réalité, qui s’éloigne des sentiers battus et qu’il fait quelque chose de nouveau…On dit qu’il est un imposteur ! Faut savoir quand même. Non mais oh !
    Tim Burton décide de répondre à ces reproches de manière la plus convaincante qu’il soit avec un film de qualité et sincère.

    J’ai été transporté par ce conte incroyable beaucoup moins léger qu’il n’y parait. Le film est fascinant sur bien des points. J’ai adoré ce couple haut en couleur, ces outsiders chers à notre Tim Burton.
    D’un côté, la fragile Margaret Keane, interprétée par une somptueuse Amy Adams, qui se laisse dominer par l’escroc machiste, manipulateur, ringard, sans scrupule Walter Keane. Celui-ci, joué par le très en forme Christoph Waltz qui en fait trop en effet…Et tant mieux !!!! On est dans un film de Burton, ne l’oublions pas. J’ai adoré détester ce loser pathétique qui m’a bien fait rire autant qu’il m’a glacé d’effroi ou même agacé.

    Un film que j’ai aimé découvrir, regarder qui m’a vraiment plu (j’insiste). Je trouve cette histoire incroyable et je comprends que Tim Burton ai eu envi de nous la raconter. Après tout, dans Sleepy Hollow, Charlie et la chocolaterie, Alice au pays des merveilles on y voit des Big eyes. On peut donc imaginer que ces tableaux l’ont influencé dans son travail. Fasciné par l’art depuis toujours, c’est quand même un bel hommage à la manière Burton qu’il fait là.

    Tim Burton montre une fois de plus qu’il a du talent et dans tous les styles cinématographiques. Et j’espère que Big eyes sera mieux accueilli qu’aux Etats-Unis et qu’on reconnaisse le talent du réalisateur à sa juste valeur, tout comme on puisse reconnaitre son univers à travers cette œuvre. Ou pas…car qui sait ?!? Peut être qu’il s’est approprié le film d’un autre réalisateur à la manière de Walter Keane ?!? A méditer…
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 mars 2015
    Si peu coutumier que c’est pas négligeable de le souligner, la dernière Burtonnerie en date n’a de barré que la toile de fond (littérale) de son personnage : celui d’enfants aux grands et tristes yeux disproportionnés. Un regard pas si loin des fantaisies qu’il a toujours dépeint au cours de sa carrière et qui ont rapidement forgés sa marque de fabrique si magnétique. Temps mort pour les résurrections et les nuances de gris, tonton Tim plus vivant que jamais, laisse son filtre gothico-morbide au placard pour se payer un folichon spectre de couleurs. Et bon sang, ça faisait longtemps qu’on n’avait pas vu un Burton aussi beau.

    Poncifs visuels, couleurs qui pètent de tous les côtés, typo criarde… Tim Burton donne le ton dès le générique : son film sera délicieusement...
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    108 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mars 2015
    Christoph Waltz déroule son numéro de bonimenteur à la fois débonnaire et inquiétant, tel qu'on pouvait l'imaginer, tandis qu'Amy Adams force encore une fois l'admiration par la subtilité de son jeu. (...) Walter Keane, avant même Andy Warhol, avait tout compris du merchandising. Plutôt que de réserver "ses" œuvres à quelques happy few (qui, de toute façon, le méprisent), il produit des milliers de copies et d'objets dérivés qui inondent les supermarchés. Tim Burton s'amuse avec cette question autour du kitsch et de la frontière avec le bon goût, comme s'il s'agissait d'une réflexion sur son propre cinéma. La mise en scène est particulièrement académique et, en dépit de quelques fulgurances (le procès hilarant), le film ne raconte pas grand-chose de plus que ce qu'il donne à voir. Un film sympathique mais qui ne rattrape pas (encore) le lourd passif accumulé par le cinéaste ces dernières années.

    LA SUITE :
    MaxLaMenace89
    MaxLaMenace89

    61 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mars 2015
    Peignant un délicieux portrait de femme tiraillée dans les affres de la vie et de l'art, Tim Burton, flegmatique et allégé, fait de Big Eyes un de ses films les plus personnels. Le cinéaste abandonne pourtant totalement sa pâte expressionniste et mélancolique, embrassant la réalité kitch et colorée de la banlieue de Edward Scissorhands, du réel émancipé de Big Fish, étreignant une grisante naïveté alors que l'humour caresse une effroyable emprise. Burton s'abandonne dans une certaine blancheur candide, pour alors affirmer à travers le récit véritable de Margaret Keane un constat doux-amer de sa propre carrière. Derrière la comédie dramatique à la narration et à la plastique limpides émerge un sous-texte fascinant, celui d'un artiste en proie au système, et plus subjectivement d'un cinéaste dans la toile des grands studios. La folie douce de Burton s'invite subtilement lorsque la conscience du protagoniste reprend le dessus, dans les rayons artificiels d'un supermarché où son art s'affiche en pure produit de consommation, lorsque une petite fenêtre de liberté la reflète au sein d'un huis-clos étouffant. Ce film est une œuvre-reflet, tel les yeux invoqués comme miroir de l'âme, Tim Burton y posant joyeusement ses problématiques personnelles à travers les yeux d'une artiste troublée dans un maelström de mensonges publiques, d'usurpation, de copies de copies. Cette quête d'identité artistique sucrée s'achève sur un procès climatique et atypique, où le réalisateur nous regarde alors droit dans les pupilles : Big Eyes, modeste chronique de déceptions et de décisions, est l'ultime témoignage d'un Tim Burton qui peint sa conscience, déclare son âme et signe son contrôle sur le cinéma de masse qui pense le contrôler, déclin chuchoté dont il se sait définitivement libéré.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 mars 2015
    En effet le film le plus "classique" de Burton, mais les fans reconnaîtront sa patte dans certaines scènes (rues de banlieue aux tons pastel qui rappellent Edward aux mains d'argent et donc Burbank). Et il est toujours aussi agréable de voir à l'écran l'incroyable Christoph Waltz!
    Spe64
    Spe64

    26 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2015
    Big Eyes raconte l'histoire vraie de Margaret Keane, une artiste américaine connu pour ces personnages au grand yeux.

    Dans ce magnifique univers des années 50/60 pop, flashy et coloré, on y suit cette intrigante histoire où Walter Keane se servira de la fragilité de sa femme et de son sens commercial.. pour se faire passer pour l'auteur des tableaux.
    Le duo d'acteur fonctionne très bien avec d'un coté une Amy Adams perdu, fragile et soumise et de l'autre un Christoph Waltz manipulateur, avide de pouvoir et fou à lier.

    Un Tim Burton "nouveau" sans Johnny Depp ni Helena Bonham Carter qui fonctionne très bien.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 mars 2015
    Cela change du Burton que l'on connaît. Et alors ? Ce biopic reste néanmoins bien fait et représentatif de ce qui c'est passé entre les Keane. Reste tout de meme pour quelques mystères que j'aurais aimé percer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 mars 2015
    Un très bon biopic a la Tim Burton enfin :), on est très vite dans le film et on ne vois pas le temps passer
    ffred
    ffred

    1 702 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 mars 2015
    Après quelques films en demi-teinte (depuis Les noces funèbres en fait), Tim Burton avait eu un petit sursaut avec le très drôle Dark Shadows. Malheureusement sans lendemain. Ses Big Eyes sont assez décevants. Voilà aussi sans doute son film le plus « normal ». Pas de fantastique ou autre délire macabre mais l'adaptation d'une histoire vraie qui a secoué le monde de l'art. Visuellement on reste dans l'univers du réalisateur, les couleurs sont vives et chaudes, les tableaux de Margaret un peu effrayants, mais l’histoire reste assez banale. La mise en scène est assez plate et le scénario n'a rien de bien excitant. Tout cela est très classique et, même si cela se laisse regarder, on est jamais loin de l'ennui. L'interprétation est tout de même de qualité. Amy Adams (Golden Globe 2015 de la meilleure actrice de comédie) et Christoph Waltz forment un couple convaincant et ils s'en sortent très bien. On retrouve aussi Danny Huston, Jason Schwartzman et Terence Stamp dans des seconds rôles pas vraiment développés. Bref, tout cela donc reste finalement assez quelconque et très dispensable. Un des films les plus mineurs de la filmographie de Tim Burton.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 mars 2015
    Burton revient avec un film en forme de prise de risque, un biopic assez éloigné de ce que ses fans peuvent attendre de lui. Du moins, à première vue, car en grattant un peu on retrouve des sujets chers au réalisateur, comme le rapport à l'étrange. On regrette que certains thèmes soient survolés, mais il règne dans ce film un ton résolument frais. La renaissance d'un auteur qui fut en chute libre ?
    Mephiless s.
    Mephiless s.

    62 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2015
    Malheureusement Burton a laissé toute sa créativité et son imagination... Il réalise un film certes très intéressant avec de bons acteurs, des plans intéressants et une bonne photographie mais ça reste extrêmement consensuel et académique... C'est dommage car il aurait pu faire quelque chose d'intéressant tout en signant un biopic passionnant, il l'est tout de même, on ne s'ennuie pas mais il fait énième copie hollywoodienne
    bibtar
    bibtar

    31 abonnés 598 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2016
    Voilà que le grand maître T.Burton se frotte à un tout nouveau genre, celui du biopic bien loin des contes sombres et autres comédies loufoques auxquels le réalisateur est bien plus habitué, pourtant ce film est indéniablement fidèle à son style, puisque l'on y retrouve tout ce que l'un aime dans l'univers Burtonien, des couleurs vives lors de certaines scènes, un monde qui semble enchanté, un univers très stylisé, une narration orchestrée dans ses moindres détails pour faire ressortir la patte du réalisateur et surtout une vision toujours très personnelle dans la mise en scène, mais quand on aime ça, il y a de quoi être stupéfait par sa capacité à s'adapter au genre traité tout en y apportant l'essence même de son art tout du long. Car cette histoire vraie à beau avoir déjà un intérêt par la teneur de ce qu'elle raconte puisque la curiosité est piquée immédiatement car ce fait historique assez incroyable dans le monde de l'art, il est clair que la façon dont Burton raconte cela donne encore plus de profondeur à tout ce qui est raconté, sachant choisir ses acteurs à la perfection, et faisant une entorse à ses favoris pour donner les rôles principaux à deux grands acteurs qui s'en sorte à merveille, de A. Adams qui excelle dans son réalisme et donne tout son sens à ce que cette femme a fait dans sa vie d'artiste, lui offrant une naïveté et une impuissance malgré elle par son interprétation mais aussi dans la manière dont tout cela est mis en scène à l'image de ce passage dans le supermarché où elle y découvre ses œuvres, qui illustre à merveille à la fois le personnage et le style de Burton que l'on aime tant, quant à C. Waltz qui est déjà sans aucun doute un gage de qualité, et l'on est pas déçu car bien d'être loin son meilleur personnage, il lui donne pourtant toute cette folie nécessaire pour rendre compte de la philanthropie hors norme de ce personnage ainsi que son esprit manipulateur qui mène à cette histoire incroyable, sa méchanceté et son cynisme parvenant quand même à le rendre appréciable à l'écran et le charisme de cet acteur permet de donner toute sa puissance à ce personnage, et une fois le couple réunit pour rendre compte de ce pacte surprenant, cela donne lieu à des scènes très réussies, offrant confrontations ou humour, le but étant de mettre en évidence le cynisme de la situation comme le réalisateur en a le secret et une fois de plus tout cela passe impeccablement. Alors côté scénario on peut regretter que le genre soit si éloigné de ce l'on adore des films de T. Burton, mettant en scène des personnages toujours très loufoques, des ambiances uniques ou des histoires très noires, car c'est aussi dans les costumes et ses décors que l'on retrouve tout l'univers de ce maître du cinéma, pourtant là il s'agit plus d'un travail historique à ce niveau la, tout cela dans l'idée de rendre compte au mieux de la société et ses mentalités des années 50 et 60 à travers une histoire bien ancrée dans son époque ce qui est sans aucuns doutes bien rendu à travers tout le film, puis il faut dire que le sujet choisi à quelque chose de très Burtonien en tant que tel par le cynisme de la situation et les conséquences assez tristes humainement qui en découlent, donc la curiosité est tout de même piquée et quand on voit comment le réalisateur illustre tout cela, il n'y a plus de doute cette histoire était faite pour lui, et il la raconte en y mettant tout son art que l'on adore donc de ce côté là on est comblé, la seule chose un peu moins positif c'est que tout ce qui est raconté a l'air de quelque chose d'abracadabrante en tant que tel, mais il faut dire que tout ce qui est montré n'a rien de vraiment surprenant en soi puisque vu le déroulement des événements, il est facile de deviner rapidement ce qui va se passer, et il est difficile d'être réellement bluffé sauf peut être concernant les motivations et le passé du personnage de Waltz qui laissent tout de même un peu de surprise, surtout quand on sait que tout cela est vrai. Dans le fond ce que l'on apprécie vraiment, c'est que ce fait incroyable soit raconté à la manière T. Burton puisque cela donne lieu à quelques passages un peu loufoques, un humour noir toujours sur mesure ou encore une musique inimitable pour mettre du relief à tout cela, alors forme et fond se défendent très bien, sans parler dans ce que cela raconte, mais l'on sent davantage le plaisir personnel du réalisateur de mettre en scène une histoire qui lui tient à cœur que son univers à proprement parler, faisant de ce film une bonne œuvre mais pas forcément la plus incroyable de T. Burton, puis finalement après tout son attachement à ce fait historique dans le monde de l'art se ressent dans la mise en scène et la réalisation, donnant irrésistiblement l'envie de le suivre, sans oublier que le travaille de cette artiste rappelle sensiblement le sien, du moins en tout cas concernant l'importance des yeux disproportionnés de ses personnages dans tout ses films, puis il faut reconnaître que ce fait est totalement méconnu du grand public alors que ses œuvres sont non seulement connu à travers le monde, ce que le réalisateur raconte de manière très habile pour expliquer que l'on connaisse inconsciemment ses peintures à travers un tout autre type d'exposition que les musées, mais en plus ces dernières sont plutôt très réussies et intrigante à souhait, un peu comme l'univers unique de T. Burton et c'est au moins ce qu'il fallait pour raconter une histoire aussi hors norme, la conclusion de tout cela étant tellement théâtrale que l'on reste quand même assez stupéfait par les tenants de ce que à quoi on assiste au fur et à mesure.
    Léa Vantours
    Léa Vantours

    37 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 mars 2015
    Bien, mais sans plus.
    Tim Burton, on l'aime (ou pas) pour le style et l'univers si particulier qu'il a créé depuis ses débuts, depuis Vincent. Ici, on est face à une histoire lisse, sympa mais sans grand intérêt. L'histoire gentillette ne se voit donc pas sublimé par ce qui fait la force du travail de Burton, ce qui relègue le film dans la catégorie de ceux qu'on regarde un dimanche soir quand on veut faire la larve dans son lit.
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