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    Big Eyes
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    Michel C.
    Michel C.

    272 abonnés 1 461 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 mars 2015
    Magifique Tim !!!!! Encore un film merveilleux... il est vrai avec deux acteurs Amy Adams (Margaret Keane) et Chrstoph Waltz (Walter Keane) éblouissants... j'ose..Amy tellement belle et mise en valeur dans ces décors et tenues des années 50, et Christoph montrant son incomparable talent (avocat, peintre, séducteur, prêcheur, truand....) et même si son rôle est celui du méchant, pas beau, il s'en tire bien, il est attachant et donne une si bonne réplique à la vraie artiste de ces poupées aux yeux ébahis un peu tristes ou plutôt surpris....Margaret avec son talent formidable - rappelez vous Francisque Poulbot et ses propres oeuvres si reproduites notamment vers le sacré coeur - connus de tous les touristes visitant Paris - avait pris sur elle pour sa fille, s'effaçant ainsi quelques années durant. Heureusement elle gagna son procès et refit sa vie et ses tableaux....signés MDH et simplement Margaret. Un grand Tim Burton !! **
    opuhi
    opuhi

    5 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mars 2015
    Il est certain que l'on ne reconnaît pas la patte tim burton cela dit le film divertit et les acteurs captent bien l'écran et sont attachants
    Maeva G.
    Maeva G.

    20 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 mars 2015
    Arrivée dans la salle de cinéma, pleine d'espoirs et d'attentes pour ce film qu'on m'avait conseillé.
    Dès le début nous sommes plongés dans le bouleversement de la vie de Margaret et cela nous rend plus proche de son personnage.
    Big eyes nous permet principalement de comprendre le dur métier d'un artiste, car certes ,la perception de l'art est subjectif mais elle est surtout influencée, elle dépend plus que l'œuvre en elle même.
    L'art dépasse la simple notion d'argent, nous le voyons dans le tourment que subit madame Keane, partagée entre la joie de pouvoir vivre de sa passion mais la peine de ne pouvoir crier au monde que ces tableaux lui appartiennent.
    Tim Burton arrive a nous transmettre l'idée qu'une création est personnelle,elle exprime nos émotions, notre histoire.
    Un artiste vie à travers ses œuvres.
    La question que je me suis posée en sortant du film est la suivante: quel est le prix de la réussite ?
    traversay1
    traversay1

    3 568 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mars 2015
    Big Eyes aurait été signé par tout autre cinéaste que Tim Burton, le cinéphile lambda se serait fendu d'un : "pas mal. Une bonne histoire moyennement exploitée mais le réalisateur a un certain style." Oui, mais voilà : il s'agit d'un film de l'homme de Mars Attacks et de Beetlejuice et sera donc jugé à l'aune de son oeuvre passée. Verdict : Big Eyes, d'une sagesse et d'un classicisme étonnants, ne sort jamais de ses sentiers balisés et, plus grave, peine à adopter un point de vue. Fallait-il il traiter par le biais de la comédie ce qui fut le drame d'une vie pour une artiste spoliée de la reconnaissance par son propre mari mythomane doublé d'un imposteur ? Pourquoi pas mais avec plus d'audace et de créativité. Burton semble partagé entre sa sympathie pour la femme (excellente Amy Adams) et une admiration pour l'homme (cabotin Christoph Waltz, qui en rajoute). Bon, ce dernier était un fou excentrique comme les aime le réalisateur mais son réalisme commercial et la manipulation subie par son épouse en font un être assez détestable. Tim n'a pas franchement choisi son camp et sa quasi neutralité donne un film aux belles images mais un peu vain ce qui, vu l'authenticité de l'histoire et le caractère symbolique qu'on y trouve quant à la place de la femme dans l'art, est forcément synonyme de semi-échec.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 mars 2015
    Fin des années 1950. Margaret Ulbrich (incarnée par Amy Adams, extraordinaire !) fuit précipitamment un mariage malheureux, avec quelques valises et sa fille à l’arrière de la voiture.

    Arrivée à San Francisco où son amie l’accueille, Margaret cherche immédiatement à survivre en proposant la seule compétence qu’elle possède : le dessin. Et quel talent ! Ses étranges toiles représentent des enfants aux grands yeux tristes. Des yeux démesurément et profondément tristes, des « enfants-poupées » dont on se demande de quelle planète ils peuvent bien provenir.

    Au cours d’une foire artistique elle rencontre un homme pétillant, d’une grande drôlerie et… plus qu’à l’aise en société. Walter Keane (Christoph Waltz, truculent !) un peintre d’un bien piètre talent qui deviendra trop vite son mari. Alors que l’un et l’autre ont de véritables difficultés à vivre de leur art et que les soucis de trésorerie s’accumulent, Walter décide de devenir le « commercial » du couple. Et d’outrepasser son rôle en s’attribuant volontiers la paternité des œuvres de sa femme. Margaret, tout d’abord choquée par la supercherie, finit par y prendre part… et laisse son mari prendre toute la lumière, pour s’effacer totalement et peindre en silence.

    Pourquoi se laisse-t-elle entraîner sur le chemin de cette énorme arnaque ? Est-ce pour ne pas perdre ce train de vie confortable dans lequel elle pense se sentir à l’abri ? Par peur de perdre l’amour de son mari ? Par peur de prendre enfin toute sa dimension et de se trouver dans la lumière qui lui revient ? Difficile de répondre à cette question tant le film joue sur l’ensemble de ces questionnements.

    On aime surtout l’esprit décalé de ce film, véritable signature de ce grand Tim Burton, les couleurs « bonbon » et les décors façon carton-pâte à l’occasion, l’atmosphère effervescente d’une époque où tout semble possible. Certaines scènes sont franchement hilarantes, comme celle de la plaidoirie de Walter au tribunal ou encore réellement bouleversantes quand Margaret, si fragile, trouve enfin la force d’affronter le gros mensonge de sa vie…

    Il semble que, pour le moment, ce Big Eyes ne rencontre pas un franc succès, ce qui est bien dommage pour un film si vivifiant. Le seul charisme de deux acteurs principaux, impressionnants par leur maîtrise parfaite de toute la palette des émotions, mérite largement le déplacement !
    Jack R.
    Jack R.

    15 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 mars 2015
    Tim Burton nous plonge dans une péripétie passionnante et nous entraîne dans le monde de l'art américain des années 60. On ne s'ennuie pas car le film est bien rythmé. Les comédiens sont convaincants. Le désir de gagner beaucoup d'argent amène les deux époux dans une situation scabreuse. Cette histoire nous montrera que les gens ne se rendent compte des conséquences de leurs actions que bien plus tard lorsque les circonstances de la vie deviennent insupportables et quand il est difficile de faire marche arrière. Ainsi, Burton nous captive grâce à ce film bien fait mais nous fait également réfléchir sur notre rapport à l’argent. Parallèlement, Burton met en avant les relations de couple et la domination d'un des deux partenaires sur l'autre. On peut ainsi voir les forces et faiblesses du dominant et du dominé. Celui-ci ayant parfois une part de responsabilité dans son asservissement. Un film intéressant teinté avec beaucoup d'humour.
    floramon
    floramon

    80 abonnés 1 423 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2015
    J'ai adoré , je connaissais pas du tout l'histoire de Magaret Keane et son histoire m'a subjugué. Cela faisait longtemps que je n'avais pas aimé à ce point un film de Tim Burton. Mais tout est bien fait, les mises en scènes, le décors, les acteurs sont également très bons. A voir !
    bouddha5962
    bouddha5962

    61 abonnés 735 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mars 2015
    Voici l'histoire vraie de Margaret qui a peint des fameux tableaux dont les personnages avaient des yeux ronds volumineux.

    Dans les années 50 les femmes artistes n'étaient pas "reconnues"...

    Dans le feu de l'action son second mari se fait passer pour le peintre qu'il n'est pas ou semblerait être.

    Ces peintures font faire le tour du monde, mais un journaliste du New York Times bombarde de mauvaises critiques le talent de cet artiste.

    Ce n'est pas le meilleur film de Tim Burton mais celui ci se laisse regarder même si parfois on aurait tendance à s'ennuyer.

    Néanmoins c'est un bon moment de voir ces peintures qui rappellent ces années où les dessins étaient naïfs.
    Estonius
    Estonius

    3 335 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2015
    Du Tim Burton assagi mais beaucoup de bonnes choses, une très bonne réalisation, les deux acteurs principaux au top, Christoph Waltz à la limite du cabotinage mais ça passe bien et Amy Adams dont l'étrange beauté crève l'écran. L'histoire est intéressante surtout dans sa première partie, après ça s'essouffle un peu, le film devenant prévisible et sans grand enjeu. Au-delà de l'histoire et même si ce n'est pas le sujet traité, on peut y déceler un regard très critique sur le fonctionnement du marché de l'art. La scène de procès (les américains ne peuvent pas s'empêcher d'en fourrer partout) malgré l'absence d'enjeu est plutôt réussie. C'est un biopic et il faut bien respecter l'histoire mais on peut cependant reprocher aux scénaristes de présenter la secte de Jehovah sous un jour trop bienveillant. Très belle B.O.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 22 mars 2015
    Un bon moment avec un super Christopher Waltz. Tim Burton nous offre un film plus coloré qu'à son habitude.
    Anne M.
    Anne M.

    72 abonnés 641 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2015
    Très belle reconstitution des années 60 en Californie et à Hawaï, colorée et pimpante.

    C’est une histoire incroyable que je ne connaissais pas et bien racontée.

    Ce biopic est peut-être aussi l’occasion de mettre à jour la condition des femmes dans les années 60 aux USA, de railler le milieu de l’art et de ses critiques, comme les techniques de marketing lesquelles finalement enrobent du mensonge.

    La seule personne que semble épargner Tim Burton est l’artiste, incarnée par la fine et excellente Amy Adams. Ceci dit elle se laisse finalement enrôler par une secte, mais retrouve sa dignité.

    Tim Burton ne juge jamais son oeuvre. Il laisse juste une citation d’Andy Wahrol : « I think what Keane has done is terrific! If it were bad, so many people wouldn’t like it. »
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 mars 2015
    Voici “Big Eyes”, nouveau film de Tim Burton adapté d’un fait divers des années 50/60. Sous ces airs d’univers acidulé sous un soleil de plombs californien, avec des couleurs plus ou moins criardes qui font croire à un paradis dont les portes de l’enfer ne sont pas très loin – sans doute à raison - j’ai eu un peu de mal à réaliser que ce film était du Tim Burton. Pas d’emportement particulier, ou ce petit truc qui me fait frémir et m’émerveille à la fois. J’ai eu un sentiment d’insatisfaction, le sentiment qu’on me laissait un peu sur ma faim et que le film n’était pas à la hauteur de ce que Tim Burton avait déjà fait. Même la bande originale composée ... (suite à lire sur le blog...)
    Sylvain V
    Sylvain V

    14 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 mars 2015
    Tim Burton revient avec un biopic plutôt bien réalisé dans la forme, dont les 20 premières minutes ainsi que les 20 dernière minutes sont plutôt pas mal, le reste du film est bien plat, christopher Walts est agaçant dans ce film .. Bref rendez nous Tim Burton
    Zoé B.
    Zoé B.

    461 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mars 2015
    Aussi réjouissant qu’il ait pu être, "Dark Shadows" m’avait surtout donné l’impression d’un Tim Burton à court d’inspiration, contraint désormais de se répéter, voire de s’autoparodier. "Edward aux mains d’argent", "Sleepy Hollow" ou même "Charlie et la chocolaterie"… tout ça semblait si loin. Je me disais qu’il n’y avait plus grand chose à espérer du réalisateur, à part réciter encore et toujours son bréviaire gothique. Et puis, voilà que débarque sur nos écrans "Big eyes", film low-profile et low-budget (du moins pour Burton, quelque chose comme 10 fois moins que se dernières productions), où l’ex-génie se montre tel qu’on ne l’attendait pas : un modeste artisan dévoué à l’histoire qu’il raconte ! Burton retouve pour l‘occasion Scott Alexander et Larry Karaszewski, ses scénaristes de Ed Wood (20 ans déjà). Au départ, en fait, ce film devait être le leur, leur 2ème après "Screwed", et Burton se contentait d’en être le producteur. Mais le projet est resté longtemps indécis, les acteurs ont défilé (Kate Hudson puis Reese Witherspoon ont même été annoncées dans le rôle de Margaret Keane, Ryan Reynolds dans celui de Walter) avant que finalement Amy Adams et Christopher Waltz donnent leur accord. Ce dernier y a juste mis une condition : que ce soit Burton qui réalise. D’où ce drôle de film qui ne manquera pas de surprendre les fans de l’artiste. Un film mineur certes, mais de quand date sa dernière œuvre majeure ? Burton s'amuse, se régalant toujours autant avec les détails de la reconstitution, les accords de couleurs, mais se montre étonnamment plus simple dans ses cadres, délaissant les afféteries, les flamboyances, pour rester au plus près de ses acteurs. Ses acteurs justement : Amy Adams, sublime une fois de plus, et disparaissant comme d’hab derrière son personnage (récompensée par un Golden Globe, la dame), et Christopher Waltz à l’opposé, dans le total surjeu ("- ben quoi, on est chez Burton !" a-t-il l’air de dire), un peu lassant avec ses grimaces de clown tragique, avant d’emporter le morceau dans la scène du tribunal, un numéro d’anthologie. Bref, "Big Eyes" est un chouette film. Pas forcément le film du renouveau pour Burton, en tout cas un break providentiel dans une filmographie qui commençait à s’enkyster sérieux.
    Chris58640
    Chris58640

    210 abonnés 757 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mars 2015
    Et bien, pour un Tim Burton, çà ne ressemble pas vraiment à un Tim Burton ! Pas d’histoire flamboyante ni d’effets spéciaux démesurés, pas de costumes extravagants ni de décors improbables, ce Tim Burton est bien sage, bien sobre, bien « figuratif » en somme. Mais çà ne l’empêche pas de bien réussir son coup. En partant d’une histoire vraie, une des plus belles escroqueries de l’histoire de l’art de la fin du XXème siècle, il propose un film très intéressant, au scénario bien maîtrisé, dans lequel on rentre immédiatement et dont on ne décroche pas avant le générique de fin. L’histoire un peu édifiante de cette femme qui peint dans l’ombre des portraits d’enfants aux yeux immenses (honnêtement, je ne mettrais pas cela dans mon salon, je les trouve bien trop angoissants, mais c’est une question de gout !) et de son mari qui, piètre artiste mais redoutable commercial, vends son travail et s’en attribuant les mérites, n’avait pas besoin d’être vraie pour être crédible. Quand il explique à sa gentille épouse que les toiles ne se vendront pas si elles sont officiellement l’œuvre d’une femme, dans l’Amérique des années 60, je le crois bien volontiers. La condition de la femme à cette époque, c’était d’être « l’épouse de… » et pas grand-chose d’autre (j’ai vu 7 saison de « Mad men », j’ai bien compris cela…). Plus le film avance et plus, honnêtement on devine comment cela va se terminer pour Margaret, même quand on ne sait rien, comme moi, de la vraie histoire de cette femme. N’empêche, les dernières scènes dans le tribunal Hawaïen sont surréalistes (et drôles) et elles sont le point d’orgue de « Big Eyes », son bouquet final. Le film doit beaucoup à son couple d’acteur, la délicieuse (délicieusement naïve) Amy Adams mais surtout l’incroyable Christoph Waltz qui, et c’est ironique, a tendance à éclipser sa partenaire à l’écran comme Walter éclipse Margaret dans le monde la peinture. C’est peut-être, c’est surement, volontaire et Tim Burton à laissé Waltz (son sourire carnassier sur-joué fiche presque la trouille !) en roue libre pour en faire la maximum. J’adore cet acteur que j’ai découvert dans « Inglorious Bastards », j’ai déjà eu l’occasion de la dire plusieurs fois. Dans « Big Eyes », il est flamboyant et pathétique à la fois. Flamboyant quand il entreprend de faire fortune et vendant les toiles de son épouse sous son nom, en baratinant sur son « inspiration », ses « influences », ses « esquisses de jeunesses » (quel culot !), pathétique quand il se laisse emporter par la gloriole, quand il s’accoquine avec la jet set, se laisse griser par les millions et se laisse tenter par… la postérité, carrément ! Même mis en difficulté par tel critique, par tel marchant d’art, il s’en sort avec une mauvaise fois qui laisse pantois le spectateur ! Même acculé par l’évidence, lors de la dernière scène du film, il tente encore de s’en sortir par une pirouette tellement improbable que je ne serais pas surprise qu’elle soit véridique, au point où il en est ! On pourra regretter que Tim Burton ait fait de cette histoire un film très sobre, si peu à l’image de son cinéma habituel. A part le personnage de Walter, les autres sont si « normaux » que, franchement, si on regarde « Big Eyes » sans savoir que c’est le dernier Tim Burton, et bien on ne peut pas le deviner. Même sa « Planète des Singes », son film le plus commercial et grand public (que moi j’aime bien malgré tout) avait sa touche Burton, sa petite patte. Ici, a part les peintures de Margaret Keane, et quelques trop rares scènes où elle voit des gros yeux partout, rien de purement Burtonien. Les plus cyniques ajoureront « Et en plus y’a pas Johnny Depp dedans, c’est pas vraiment un Tim Burton !». Si on met de côté cette petite déception de fan, « Big Eyes » reste un très bon film, bien mené, bien maîtrisé, bien interprété, bien scénarisé, bref, du bon cinéma.
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