Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Toujours fantasque, Burton signe une véritable déclaration d'amour à l'art.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Film magnifique, enthousiasmant et révélateur d’une histoire mal connue de ce côté de l’Atlantique, "Big Eyes" vaut vraiment le coup d’être vu, les yeux grands ouverts.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Metro
par Marilyne Letertre
Le réalisateur opte pour une approche très classique (mais toujours soignée) dans sa mise en scène. Résultat : en ne jouant plus la surenchère visuelle, voire le mauvais goût assumé, il gagne en puissance dramatique. "Big Eyes", élégant, maîtrisé et féministe, est une de ses plus grandes réussites.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Jean-Philippe Domecq
"Big Eyes" est une oeuvre intime et surprenante. (...) Sa franche ambivalence condense toute la charge de réflexion que contient "Big Eyes" sous ses dehors de comédie brillante et enlevée.
TF1 News
par Yves Grosjean
Un formidable portrait d'artiste qui méritait d'être brossé par un cinéaste aussi passionnant que Tim Burton.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
il y a la caméra de Tim Burton, toujours inspirée. En apparence plus sage qu’à l’accoutumée, sa mise en scène reste pourtant originale, (...) Si la reconstitution des ambiances fifties et sixties est superbe, le travail sur les éclairages retient aussi l’attention.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
CNews
par La rédaction
Sans doute l’un des meilleurs longs métrages de Tim Burton depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par La Rédaction
Un bon Tim Burton.
Elle
par Anne Diatkine
"Big Eyes" est passionnant par la somme des questions qu’il soulève, sans pour autant être un flm à thèse.
La critique complète est disponible sur le site Elle
GQ
par Marie Aimée
Stylisé, mais de facture étonnamment classique, "Big Eyes" est une sorte de "Mad Men" arty dans lequel il est également question d’usurpation d’identité et de la place de l’homme et de la femme dans la société.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Gala
par Marie Haynes
Tim Burton nous plonge dans un biopic au coup de pinceau fin et subtil, dans lequel il révèle l’une des plus grandes impostures de l’histoire de l’art.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
L’histoire, authentique, d’une escroquerie, et aussi celle, complexe et passionnante, d’un couple.
Première
par Gérard Delorme
Pour son meilleur film depuis longtemps, Burton (...) illustre la trajectoire dramatique, touchante et parfois comique d'une femme à la fois naïve et déterminée, idéalement incarnée par Amy Adams.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Manier
(...) s'il n'y a pas de princesse gothique, ni de cavalier sans tête, ce biopic recèle ses thèmes chéris (...). Et, comme toujours chez Burton, le comique, porté par le jeu excessif de Christoph Waltz, côtoie la tristesse de l'âme, incarnée par la frémissante Amy Adams.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une de ces œuvres mineures de Tim Burton, dont le titre comporte souvent l’adjectif « big » : ("Pee-Wee’s Big Adventure", "Big Fish"). Quand on dit « mineures », cela s’applique plutôt à la taille de la production qu’à la qualité de l’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigaud
Ses réalisations récentes n'ayant pas été à la hauteur du talent singulier de Tim Burton, "Big Eyes" apparaît comme un retour bienvenu du cinéaste à une manière de faire qui n'appartient qu'à lui.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le cinéaste dessine à travers Keane le portrait tragique d'un mythomane qui se rêvait en grand peintre. (...) Le cinéaste réaffirme une fois de plus sa tendresse pour ceux qui se sentent otages d'une création empêchée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Sous le bérêt de l’artiste raté, Christoph Waltz s’en donne à cœur joie, dans une palette évoquant les grandes heures de Jack Nicholson. Face à ce cabot de première, Amy Adams peut tout à loisir s’épanouir dans la frustration et la mélancolie. En leur compagnie (...) le temps semble souvent s’arrêter.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
En s'emparant de cette histoire, il (Tim Burton) signe avec "Big Eyes" son film le plus classique. Il construit un univers un peu kitsch aux couleurs pastel, qui rappelle celui d'"Edward aux mains d'argent" (1990), sublimé par le directeur de la photographie de Jean-Pierre Jeunet, Bruno Delbonnel.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le résultat est un film qui bouillonne d’une vitalité retrouvée, quitte à dépenser en pure perte une partie de cette énergie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Sans l'aspect gothique, macabre et décalé qu'adore Tom Burton, cette incroyable histoire d'imposture se laisse regarder avec plaisir. Le couple formé par Christoph Waltz (...) et Amy Adams y est pour beaucoup.
Le Point
par Phalène de la Valette
"Big Eyes" semble respecter à la lettre les canons du biopic classique, loin de l'expérience subversive d'un "Ed Wood". Les images sont superbes, les acteurs très bons (Christoph Waltz et Amy Adams), la musique agréable, mais tout cela est bien trop sage, sans éclat.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C’est bel et bien ce qui fait la réussite de "Big Eyes" : sa tendresse pour ses personnages, tous ses personnages. Son refus de juger leur comportement, sa générosité à la fois pour les spectateurs et pour les êtres humains.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
Il suffit d'imaginer que "Big Eyes" n'est pas un film de Tim Burton pour en goûter le charme kitsch et vintage, pour plonger avec plaisir dans l'enfer un peu trop climatisé d'un conjungo pervers, pour apprécier à sa juste valeur de distraction bénigne la cruauté émoussée d'une histoire "inspirée de faits réels".
Télérama
par Louis Guichard
Bien sûr, "Big Eyes" est techniquement plus réussi, plus soigné, que la majorité des films qui sortent. L'habileté est toujours là, mais la nécessité manque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le biopic est charmant, divertissant, sûrement fréquentable mais également bancal.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Pour Burton, le constat est donc amer. Car si le vilain petit canard d’Hollywood séduit toujours, il semble de moins en moins en mesure d’effrayer — et d’émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ecran Large
par Simon Riaux
On en vient à se demander si Burton ne fait pas là l'aveu inconscient de la médiocrité à laquelle il s'abandonne depuis trop longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Libération
par Clémentine Gallot
A 56 ans, Burton renoue avec des obsessions moulinées par une imagination fertile et un sens du macabre pop et pourtant, cet indolore "Big Eyes" à l’inventivité visuelle revue à la baisse manque singulièrement de relief.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Public
par Florence Roman
Burton reste d'un classicisme désespérant. Certes, le film est plaisant et la reconstitution parfaite, tout comme le jeu des acteurs, l'ensemble est ponctué d'humour, mais ceux qui voulaient voir du Tim Burton seront déçus.
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Sud Ouest
par Sophie Avon
Burton tire son récit vers les images d'Épinal, quitte à les dévoyer et à en sourire gentiment. Il force les couleurs et réalise un film kitch en diable, tiède et naïf, plongeant dans le cœur de Margaret (Amy Adams), qui va de déception sentimentale en défaite amoureuse (...).
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
À l’image des toiles aux gros yeux, le film vient de nulle part pour y retourner. L’échec confondant de "Big Eyes" semble surtout dire la résignation de Tim Burton à rejouer ses meilleurs titres, maintenant sans entrain.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Burton se laisse guider par les grimaces épuisantes de Christoph Waltz, qui, sans la direction rigoureuse de Tarantino ou de Polanski, montre ici toutes ses limites et constitue même une force contre-productive du récit, puisqu'il empêche la magie (...) d'opérer.
Critikat.com
par Fabien Reyre
S’il faut reconnaître au cinéaste une volonté évidente et réellement intéressante de faire évoluer son univers dans un cadre plus réaliste que ses dernières superproductions, aussi boursouflées qu’asphyxiantes, force est de constater que la greffe ne prend jamais.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
Toujours fantasque, Burton signe une véritable déclaration d'amour à l'art.
Franceinfo Culture
Film magnifique, enthousiasmant et révélateur d’une histoire mal connue de ce côté de l’Atlantique, "Big Eyes" vaut vraiment le coup d’être vu, les yeux grands ouverts.
Metro
Le réalisateur opte pour une approche très classique (mais toujours soignée) dans sa mise en scène. Résultat : en ne jouant plus la surenchère visuelle, voire le mauvais goût assumé, il gagne en puissance dramatique. "Big Eyes", élégant, maîtrisé et féministe, est une de ses plus grandes réussites.
Positif
"Big Eyes" est une oeuvre intime et surprenante. (...) Sa franche ambivalence condense toute la charge de réflexion que contient "Big Eyes" sous ses dehors de comédie brillante et enlevée.
TF1 News
Un formidable portrait d'artiste qui méritait d'être brossé par un cinéaste aussi passionnant que Tim Burton.
Télé 2 semaines
il y a la caméra de Tim Burton, toujours inspirée. En apparence plus sage qu’à l’accoutumée, sa mise en scène reste pourtant originale, (...) Si la reconstitution des ambiances fifties et sixties est superbe, le travail sur les éclairages retient aussi l’attention.
CNews
Sans doute l’un des meilleurs longs métrages de Tim Burton depuis longtemps.
Closer
Un bon Tim Burton.
Elle
"Big Eyes" est passionnant par la somme des questions qu’il soulève, sans pour autant être un flm à thèse.
GQ
Stylisé, mais de facture étonnamment classique, "Big Eyes" est une sorte de "Mad Men" arty dans lequel il est également question d’usurpation d’identité et de la place de l’homme et de la femme dans la société.
Gala
Tim Burton nous plonge dans un biopic au coup de pinceau fin et subtil, dans lequel il révèle l’une des plus grandes impostures de l’histoire de l’art.
Le Dauphiné Libéré
L’histoire, authentique, d’une escroquerie, et aussi celle, complexe et passionnante, d’un couple.
Première
Pour son meilleur film depuis longtemps, Burton (...) illustre la trajectoire dramatique, touchante et parfois comique d'une femme à la fois naïve et déterminée, idéalement incarnée par Amy Adams.
Télé 7 Jours
(...) s'il n'y a pas de princesse gothique, ni de cavalier sans tête, ce biopic recèle ses thèmes chéris (...). Et, comme toujours chez Burton, le comique, porté par le jeu excessif de Christoph Waltz, côtoie la tristesse de l'âme, incarnée par la frémissante Amy Adams.
L'Humanité
Une de ces œuvres mineures de Tim Burton, dont le titre comporte souvent l’adjectif « big » : ("Pee-Wee’s Big Adventure", "Big Fish"). Quand on dit « mineures », cela s’applique plutôt à la taille de la production qu’à la qualité de l’œuvre.
L'Obs
Ses réalisations récentes n'ayant pas été à la hauteur du talent singulier de Tim Burton, "Big Eyes" apparaît comme un retour bienvenu du cinéaste à une manière de faire qui n'appartient qu'à lui.
La Croix
Le cinéaste dessine à travers Keane le portrait tragique d'un mythomane qui se rêvait en grand peintre. (...) Le cinéaste réaffirme une fois de plus sa tendresse pour ceux qui se sentent otages d'une création empêchée.
La Voix du Nord
Sous le bérêt de l’artiste raté, Christoph Waltz s’en donne à cœur joie, dans une palette évoquant les grandes heures de Jack Nicholson. Face à ce cabot de première, Amy Adams peut tout à loisir s’épanouir dans la frustration et la mélancolie. En leur compagnie (...) le temps semble souvent s’arrêter.
Le Journal du Dimanche
En s'emparant de cette histoire, il (Tim Burton) signe avec "Big Eyes" son film le plus classique. Il construit un univers un peu kitsch aux couleurs pastel, qui rappelle celui d'"Edward aux mains d'argent" (1990), sublimé par le directeur de la photographie de Jean-Pierre Jeunet, Bruno Delbonnel.
Le Monde
Le résultat est un film qui bouillonne d’une vitalité retrouvée, quitte à dépenser en pure perte une partie de cette énergie.
Le Parisien
Sans l'aspect gothique, macabre et décalé qu'adore Tom Burton, cette incroyable histoire d'imposture se laisse regarder avec plaisir. Le couple formé par Christoph Waltz (...) et Amy Adams y est pour beaucoup.
Le Point
"Big Eyes" semble respecter à la lettre les canons du biopic classique, loin de l'expérience subversive d'un "Ed Wood". Les images sont superbes, les acteurs très bons (Christoph Waltz et Amy Adams), la musique agréable, mais tout cela est bien trop sage, sans éclat.
Les Inrockuptibles
C’est bel et bien ce qui fait la réussite de "Big Eyes" : sa tendresse pour ses personnages, tous ses personnages. Son refus de juger leur comportement, sa générosité à la fois pour les spectateurs et pour les êtres humains.
Marianne
Il suffit d'imaginer que "Big Eyes" n'est pas un film de Tim Burton pour en goûter le charme kitsch et vintage, pour plonger avec plaisir dans l'enfer un peu trop climatisé d'un conjungo pervers, pour apprécier à sa juste valeur de distraction bénigne la cruauté émoussée d'une histoire "inspirée de faits réels".
Télérama
Bien sûr, "Big Eyes" est techniquement plus réussi, plus soigné, que la majorité des films qui sortent. L'habileté est toujours là, mais la nécessité manque.
aVoir-aLire.com
Le biopic est charmant, divertissant, sûrement fréquentable mais également bancal.
Chronic'art.com
Pour Burton, le constat est donc amer. Car si le vilain petit canard d’Hollywood séduit toujours, il semble de moins en moins en mesure d’effrayer — et d’émouvoir.
Ecran Large
On en vient à se demander si Burton ne fait pas là l'aveu inconscient de la médiocrité à laquelle il s'abandonne depuis trop longtemps.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Libération
A 56 ans, Burton renoue avec des obsessions moulinées par une imagination fertile et un sens du macabre pop et pourtant, cet indolore "Big Eyes" à l’inventivité visuelle revue à la baisse manque singulièrement de relief.
Public
Burton reste d'un classicisme désespérant. Certes, le film est plaisant et la reconstitution parfaite, tout comme le jeu des acteurs, l'ensemble est ponctué d'humour, mais ceux qui voulaient voir du Tim Burton seront déçus.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
Burton tire son récit vers les images d'Épinal, quitte à les dévoyer et à en sourire gentiment. Il force les couleurs et réalise un film kitch en diable, tiède et naïf, plongeant dans le cœur de Margaret (Amy Adams), qui va de déception sentimentale en défaite amoureuse (...).
Cahiers du Cinéma
À l’image des toiles aux gros yeux, le film vient de nulle part pour y retourner. L’échec confondant de "Big Eyes" semble surtout dire la résignation de Tim Burton à rejouer ses meilleurs titres, maintenant sans entrain.
Charlie Hebdo
Burton se laisse guider par les grimaces épuisantes de Christoph Waltz, qui, sans la direction rigoureuse de Tarantino ou de Polanski, montre ici toutes ses limites et constitue même une force contre-productive du récit, puisqu'il empêche la magie (...) d'opérer.
Critikat.com
S’il faut reconnaître au cinéaste une volonté évidente et réellement intéressante de faire évoluer son univers dans un cadre plus réaliste que ses dernières superproductions, aussi boursouflées qu’asphyxiantes, force est de constater que la greffe ne prend jamais.