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Un visiteur
3,0
Publiée le 23 octobre 2014
Une aventure qui ouvre les portes du voyage. Le voyage sur toutes ces formes. Malgré certaines longueurs, quelques facilités de réalisation, quelques lacunes dans la profondeur des personnages, on se laisse porter par cette jooie aventure. Nous aimerons tous que nos parents, frères&soeurs, proches baignent dans une étape au combien importante et particulière de notre vie...3 étoiles
Emilio Estevez présent aussi bien à l’écran que derrière la caméra a choisi un drôle de sujet pour son film à savoir le pèlerinage vers Saint-Jacques de Compostelle qui est une tradition ancestrale. L’histoire de Martin Sheen accomplissant cette quête spirituelle en hommage à son fils est dont plutôt touchante mais on n’aurait pas été contre de le voir prendre quelques raccourcis. Si la bande qu’il se constitue en chemin est plutôt sympathique, les différents personnages n’enrichissent pas vraiment l’histoire. The way, la route ensemble c'est un petit retour à la nature plutôt agréable en dépit de ses longueurs et qui donnerait presque envie de préparer son sac à dos, Buen camino !
Ce projet cinématographique est emprunt d’humanité pour ce voyage initiatique au travers de soi-même sur les routes qui mènent à Compostelle. L'ensemble est loin d'être désagréable, toutefois, c'est très plat et englué par les bons sentiments.
Écrit et réalisé, par Emilio Estevez, c'est un drame émouvant et réconfortant (avec une bonne dose de légèreté) qui raconte la quête d'un homme pour trouver un sens à la vie.
Estevez dirige son père Martin Sheen comme un ophtalmologue grincheux et colérique nommé Tom qui a atteint un tournant dans sa vie. Il est veuf, et un peu en dasaccord avec son fils Daniel. Après que Daniel se soit tué dans les Pyrénées, Tom se rend en France . Daniel avait en projet de marcher le chemin de compostel, alias le chemin de Saint-James, une route de pèlerinage religieux historique s'étendant de la France le long de la côte de l'Espagne à l'océan Atlantique.
Sentant une contrainte étrange, plutôt que de retourner à la maison, Tom a Daniel reste et incinére son fils, en dépit de son inexpérience, dans une quête pour finir le trek que son fils a commencé comme une façon d'honorer sa mémoire et essayer de secouer sa propre vie .
Sur le chemin, Tom se retrouve involontairement a se faire les 800 km (ou presque) avec une bande hétéroclite de personnages colorés de partout dans le monde, chacun, comme Tom, avec leurs propres problèmes personnels et diverses raisons pour la randonnée "La Voie" .
Ce film est tellement sincère, bien intentionné, et sincèrement que vous vous sentez vraiment mal en disant quelque chose de négatif à ce sujet. Oui, il ya beaucoup de clichés, et la plupart des personnages ne sont que modérément étoffé , mais il ya les performances, en particulier celle de Sheen, qui tiennent vraiment le film ensemble et qu'il vaille la peine. Eh bien, le film a été tourné entièrement sur le chein de compostel, avec tous les randonneurs et les figurants étant de réels pèlerins faisant le voyage
J'ai vraiment adoré cet aspect de la production, parce que les lieux et cinématographie sont absolument magnifiques, le niveau d'authenticité est vraiment élevé, et vous obtenez un vrai sens de la sincérité et véritable travail d'amour .
Le film serpente à certains moments, et le rythme est assez lent, presque comme si ils essaient de forcer le spectateur à faire le voyage eux-mêmes, et quelques-uns des indices de musique sont plutôt banal et sur le nez. Cependant, le score réel est vraiment sympa, et il m'a surpris car il a été réalisé par Tyler Bates, plus connu pour faire de la musique pour de nombreux films de Zack Snyder et Rob Zombie. Il fonctionne effectivement très bien cependant, et c'était une agréable surprise.
Une autre chose à propos de ce film qui marque vraiment des points , c'est aussi le type de road movie où le voyage est plus important que la destination
Dans l'ensemble, le film est un peu typique, mais il est assez bien fait,
Qui sait, peut-être que cela va inciter les gens à s'engager réellement sur "The Way" pour eux-mêmes.3/5
Pour son premier film en tant que réalisateur, on ne pensait pas que Emilio Estevez allait choisir comme sujet le pèlerinage vers St. Jacques de Compostelle, et pourtant c'est bien ce qu'il a choisi. Pour moi "The Way" n'a rien d'un film extraordinaire, c'est un film peu original, peu drôle, peu intéressant même si l'histoire est quand même relativement émouvante. Le film doit beaucoup à ses acteurs, ils jouent tous très bien en particulier Martin Sheen jouant un père qui a décidé de déposé les cendres de son fils dans l'océan atlantique et de faire le pèlerinage pour lui rendre hommage: c'est une belle histoire. Dommage qu'il ne se passe pas beaucoup de choses durant le film, c'est plat tout le long, il n'y a que des rencontres avec des personnes puis des amitiés et ils racontent leurs histoires, voilà ce qu'il se passe durant 2h de quoi bien se faire chier. "the way" n'a pas vraiment d'intérêt cinématographique, c'est rempli de bonnes intentions et de passages peu mouvementés. A la place d'incité les gens à faire cet énorme pèlerinage, le film donne envie de rester chez soi bien au chaud dans son lit à regarder des petits films. Bref "the way" ne m'a pas vraiment marqué mais m'a quand même touché, pour un premier film, c'est plutôt pas mal mais je ne suis pas sur qu'il va faire un gros carton dans les cinémas!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Un pèlerinage fait de rencontres humaines avec de beaux personnages et avant tout avec soi même. Une quête de spiritualité à travers de beaux paysages. Une très belle aventure centrée sur l'humain dans un monde nauséabond pervertit par la quête de l'argent et du pouvoir. Un pèlerinage cinématographique en somme. Une belle réalisation et bande son en harmonie avec le thème. très juste et très simple
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2,0
Publiée le 8 novembre 2020
The Way, La route ensemble est tellement plein de clichés et de sentimentalité qu'il enlève à ce qui aurait pu être un film merveilleux. Je suppose qu'une partie de l'objectif qui entre en jeu à travers différentes scènes était de rendre ces personnages impolis et ennuyeux. Le problème que j'ai c'est qu'en réalité le personnage de Sheen se serait éloigné de toutes les personnes impliquées. Les personnages eux-mêmes sont profondément non originaux. Le Néerlandais fumant de l'herbe, l'écrivain irlandais impétueux. L'ajout de musique chronométrée à l'horloge tout au long du film a été pour moi une bande-son mal choisie et ringarde. Quelques points positifs le paysage est fantastique et il y a des moments touchants. Et Sheen est un acteur fiable...
Très bon film qui montre avec justesse les motivations personnelles que chacun peut mettre dans ce type de quête spirituelle, sur fond de décors historiques grandioses. j'ai cependant préféré le film de Coline Serreau "Saint Jacques la Mecque" pour ses côtés plus légers et plus Français, ce qui n'est qu'un avis parfaitement subjectif. "The way" est à voir sur grand écran, ne serais ce que pour la majesté des monuments et des paysages Espagnols absolument superbes.
Malheureusement, ce film est bourré de clichés (le holandais fumeur, le gitan voleur...) et truffé de bons sentiments. On y suit le chemin de personnages improbables et stéréotypés. Difficile alors de se raccrocher uniquement aux paysages et à la BO qui restent les seuls réussites de se mélo trop américanisé à mon gout.
contre toute attente,j'ai adoré........... film américain,oui..........avec les clichés? oui , et alors???? quand c'est bien traité,bien filmé,bien joué ?????? je serais curieuse de savoir combien de "critiques" ont fait le camino........perso, je n'en suis qu'aux débuts,mais ce film m'a donné envie de partir encore plus vite ! les paysages sont magiques, envoutants......... et,toutes les questions que l'on se pose, que l'on NOUS pose, y sont ..........pas de réelles réponses,et,pour cause..........a t on vraiment la réponse ???????? bref, c'est du CINEMA, mais j'y ai retrouvé certains sentiments ressentis pendant le chemin !!!!!!!!
beau moment de détente. touchant. une quête initiatique à partager . la famille Estevez Sheen nous délivre une belle toile sur fond de pélerinage sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle
Dans le même genre que St Jacques La Mecque, The Way nous emmène sur la route de Saint Jacques de Compostelle. Martin Sheel est ici épatant dans son rôle pourtant pas si évident. Un bon film a voir, tourné dans de superbes décors !
Beau film avec des paysages magnifiques. Martin Sheen est excellent. Les personnages sont touchant. Faire le chemin de Saint-Jacques de Compostelle est une nouvelle idée pou moi.
Martin Sheen incarne très bien cet américain de la classe moyenne-supérieure, qui ne s'est jamais trop posé de questions tant que tout allait bien. La mort accidentelle de son fils va le mettre sur la route du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Force est de reconnaître qu'après le film, on a bien envie de le faire ce périple. Les musiques accompagnent bien ce voyage sans que l'on s'ennuie malgré une durée plutôt ambitieuse pour ce genre de film ; et les trois autres personnages aux histoires plus ou moins ordinaires qui le rejoignent apportent un peu de profondeur. Alors pourquoi pas 5 étoiles ? Tout simplement parce que le film manque de surnaturel. Au fond, le pèlerinage n'est désormais rien de plus qu'une "thérapie vintage", une petite méthode spirituelle à dose homéopathique, et alors que les lieux et l'histoire du Saint pourraient combler la misère spirituelle des quatre héros, il n'en est rien : à peine un prêtre donne-t-il un rosaire à Martin Sheen, sans lui expliquer comment et pourquoi le prier. Au fond, le pèlerinage devient l'action narcissique ultime dans la vie des ces hommes : se retrouver soi, rien que soi et juste avec soi. Dieu en est absent, il n'y a plus que l'homme ; et c'est vraiment tragique car les héros ne peuvent même pas concevoir leur périple autrement... ni beaucoup de spectateurs d'ailleurs. "C'est beau", oui, c'est une belle aventure humaine, mais ça aurait pu et dû être bien plus transcendant...