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    Le Bon, la brute et le cinglé
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Le Bon, la brute et le cinglé" et de son tournage !

    Pour une poignée de wons

    Avec un budget avoisinant les 17 millions de dollars, Le Bon, la brute et le cinglé est le film le plus cher de l'histoire du cinéma sud-coréen. Un budget qui ne l'a pas empêché d'être rapidement rentabilisé puisque plus de 7 millions de spectateurs ont vu le film en Corée du Sud.

    La star, la star et la star

    Jung Woo-Sung (le bon), Byung-hun Lee (la brute) et Song Kang-Ho (le cinglé) figurent parmi les plus grandes stars du cinéma coréen. C'est leur présence au casting qui a permis de rassembler suffisamment de fonds pour tourner le film.

    Duo de choc

    Le réalisateur Kim Jee-Woon et l'acteur Byung-hun Lee se connaissent bien puisqu'ils avaient tourné ensemble A bittersweet lifeByung-hun Lee tenait le rôle principal.

    Western Coréen ?

    Kim Jee-Woon évoque son attachement aux Westerns : "Ce sont toujours des moments de cinéma qui me donnent l'idée du film que je veux réaliser. Dans les westerns, c'est le vent du Nord qui souffle dans le désert, l'homme au fusil qui marche seul, la détonation soudaine d'une arme... Ces clichés récurrents me séduisent à chaque fois. Pour transposer ce genre en Asie, il a décidé de situer l'action du film en Mandchourie : "Après "A bittersweet life", j'ai voyagé et découvert les étendues et le ciel infini de la Mandchourie. Lors de l'occupation japonaise dans les années trente, la Mandchourie était sûrement un espace à exploiter, pour ceux qui n'avaient d'autre choix que de quitter leur pays d'origine. Ce film raconte l'histoire de trois hommes qui portent dans leur coeur leur pays natal, mais dont l'instinct les pousse à aller jusqu'au bout du désert."

    Qui est qui ?

    Pour le réalisateur, les héros peuvent très bien être bons, brutes ou cinglés, comme l'explique également Song Kang-Ho, qui interprète le cinglé : "On dit que Te-goo est le Cinglé mais à la lecture du scénario, ce n'était pas évident. Les trois héros sont tous des brutes et ce sont des cinglés capables de bonté. Mon personnage est comme une mauvaise herbe qui parvient toujours à survivre dans cette plaine aride, dans cette époque chaotique. Il y a de l'humanité en lui, mais il est obligé de passer outre et de courir sans cesse pour survivre. Il a l'air comique mais des trois, c'est lui qui est le plus en détresse."

    Croisette

    Le Bon, la brute et le cinglé a été projeté Hors Compétition au 61e Festival de Cannes en mai 2008. Le réalisateur, Kim Jee-Woon, est un habitué de la croisette puisqu'il avait déjà présenté son précédent film, A bittersweet life dans la section Un Certain Regard.

    Tournage

    Le Bon, la brute et le cinglé a demandé près de neuf mois de tournage durant lesquels l'équipe s'est rendue en Chine et en Corée. Les conditions de tournages étaient particulièrement difficiles avec des températures pouvant varier de -10 à +40 degrés.

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