On passe un super moment, de l humoud, ca rappelle la jeunesse, les conneries, engueulades avec les parents, premiers amours, premieres soirees. Tres sympa.
Considéré par certains comme "La boum 3", ce film pourrait effectivement être le successeur de ses deux illustres prédécesseurs dans lequel Vic serait devenue maman. En tout cas, il est le portrait de son époque, celle des années 2000 avec le début des téléphones portables et des réseaux sociaux, narrant les pérégrinations d'adolescents encore lycéens, toujours insouciants mais avec chacun leurs problèmes en tous genres. Drôle, touchant et bien interprété, pas aussi culte que ses aînés, LOL constitue toutefois un très bon divertissement.
Une version de La Boum tendance année 2000. C'est clairement le pitch et le ton que veut prendre ce film. C'est parfois bien sentie notamment sur la description de cette génération d'ados. Mais on est trop dans le cocon de la bourgeoiserie parisienne avec une Sophie Marceau qui comme d'habitude joue avec ses pieds...
J'ai regardé ce film avec mon cours de francais. On s'est bien amusé et on a parlé des sujets différents concernant la vie des jeunes. Le film "Lol" parle avec beaucoup d'humour d'une relation mère-fille qui me laisse penser à mon propre adolescence. Les protagonistes jouent leurs rôles de facon crédible. Naturellement, le langage qu'on a utilisé dans les textos il y a dix ans n'est plus actuel, mais il y a quand même des séquences qui reflètent la vie des jeunes de nos jours. À mon avis, c'est un film à voir.
Un teen movie (ou comédie pour ados) feel good qui fait plaisir.
L'intrigue n'a rien d'exceptionnel mais les thématiques propres aux adolescents sont traitées intelligemment et l'humour fonctionne, d'autant que le jeu est bon aussi.
Face à toutes ces critiques négatives, et en tant qu'ancien ado des années 2006 - 2010, je me dois de nuancer certains propos. A l'époque où le film est sorti, je vivais au quotidien ce qu'il dépeint de façon certes un peu caricaturale. À ceci près que je vivais en banlieue (et pas dans des appartement parisiens de plusieurs étages ...). A tous ceux qui disent que c'est caricatural : Vous n'avez pas été dans des lycées parisiens dans les années 2006 - 2008. J'ai découvert les soirées, l'alcool, mes premières relations, le cannabis, j'ai fait le mur la nuit, j'ai été invité à participer à des concerts Emergenza par le beau gosse ténébreux de la classe (en tant que pote biensur, car il fallait soutenir ...). J'ai appris mes premiers accords de guitare. J'ai fait des voyages scolaires dans lesquelles on se redécouvrait. Dans lesquelles des relations se sont crées. Des premières fois sont advenues. Je pensais que le film serait nul au moment où il est sorti. Et si il n'est pas très intéressant, il faut admettre que depuis 2021, il m'a donné tant de nostalgie dans sa façon de décrire ce que très peu d'autres films ont su capturer : Mon adolescence insouciante adorée. Cela devait etre dit, et je me suis inscrit juste pour le dire. Maintenant, le film en lui meme n'est certes pas transcendant. Mais il a au moins ce mérite.
LOL (Laughing Out Loud)® est un concentré de vulgarité qui, sous le prétexte de rassembler les adolescents et leurs parents sous des thématiques communes, partageant les mêmes déboires sentimentaux, la même mauvaise foi et le même appétit sexuel, célèbre la médiocrité intellectuelle et morale comme ce juste milieu complètement artificiel qui mobilise des valeurs à la mode pour mieux légitimer son propre embourgeoisement. Le film se veut « branché », « cool » et confond alors la dédiabolisation de sujets intimes avec une crudité grossière qui non seulement condamne la pudeur, le secret, l’intimité de façon générale, mais dénature surtout le rapport de l’adolescent à son corps et sa relation avec les autres. Rarement les lycéens auront été à ce point caricaturaux et faux que derrière la caméra de Lisa Azuelos : chacune de leurs interactions, chacune de leurs crises, chacune de leurs réconciliations sonnent mal et échouent à recouvrer la langue et la spontanéité de la population étudiée. Quelques répliques bien senties restent en mémoire, écrasées sous le poids des conventions et d’une obsession du remplissage qui contraint la réalisatrice à accumuler les scènes dans l’espoir d’en tirer une quelconque vitalité. Nous passons donc de La Boum (Claude Pinoteau, 1980) au Badaboum sans autre forme de procès. Une comédie peu drôle dont la vulgarité congénitale et la notoriété publique déconcertent.
Un film plutôt mauvais. Des acteurs pas terribles, des personnages avec aucuns charisme, trop de personnages qui ne sont donc pas développés, on ne s'attache donc pas à eux et on ne s'identifie pas. Pas de proposition de réalisation particulière, des dialogues ridicules avec des tentatives de faire jeune un peu raté et des insultes toutes les deux secondes, qui n'ont pas vraiment de sens. La mise en scène n'est pas remarquable.
Si Claude Pinoteau est parvenu à comprendre et à ressentir ce qu est « avoir 13 ans » dans la boum ( c est d ailleurs ce qui explique l’ immense succès du film et son caractère transgenerationnel ) Lisa Azuelos, quant à elle piétine et nous laisse aux portes de l adolescence. On reste spectateur et sur une impression de déjà-vu... un film qui n entrera pas dans les annales du cinéma français vous vous en doutez.
Portrait d'une mère de 40 ans face au portrait d'une ado de 16 ans. Les deux cherchent leur chemin de vie. Et leurs chemins se croisent, se séparent pour mieux se retrouver toujours rattrapées par cet amour inconditionnel. Ce film a l'ambition de marquer les années 2000 et d'offrir une vision réaliste de la génération de cette époque. L'objectif aurait pu être atteint si les dialogues étaient plus riches et profonds. Mais après tout ce n'est qu'une comédie...
LOL est un film qui sur le papier paraît ridiculement cliché. Pourtant à l'écran c'est autre chose. La relation mère/fille est joliment menée par Sophie Marceau. C'est très frais et ça parle à tous les adolescents. Sans prendre comme exemple des ados extraordinaires, Lisa Azuelos nous met face à des ado normaux, que ce soit Lola ou Maël, l'identification se fait rapidement. L'histoire d'amour un peu naïve de l'âge est rafraîchissante également. C'est un des seuls films français sur les jeunes qui colle aussi bien à la réalité.
Cette comédie reflète la génération des adolescents fin décennie 2000, très connectée, volant des fois bruler des étapes. Il pose quelques questions de société comme la difficulté d'assumer les relations amoureuses en étant une jeune fille ou d'une autres génération. Les problèmes existentiels à la hauteur de l'adolescente Lola rythment sa vie entre sa vie familiale et au lycée. Sinon je trouve que le fond est assez vide, c'est juste un énième film traitant les tracas des relations entre amis, amoureuses et familiales. Je trouve dommage que le milieu social dépeint se situe dans les quartiers ou des familles plutôt aisées, j'aurai préféré que le groupe d'amis soient plus diversifiés.
Après de nombreuses critiques négatives envers le film que j'ai trouvé peu construite, je tiens alors à prendre la parole.
Certes, ce film est loin d'être un chef d'oeuvre, et bien évidemment ce n'est pas le meilleur film dans ce domaine, mais je refuse d'entendre que celui-ci n'a rien de réaliste.
Etant un jeune adolescent parisien de 18 ans, faisant quasi partie de cette génération, je peux vous jurer que la majorité des jeunes se comportent de telle façon et que leur vie ressemble à ça aujourd'hui. Qui pourra me dire le contraire. Des gens âgés de 40 ans ayant passé leur jeunesse à la campagne.
Certes, cela est déroutant de voir ce que deviens les jeunes d'aujourd'hui à travers ce film, mais tout cela est tristement réel, et illustre très bien la perdition des adolescents dans cet environnement avec des contraintes propres à notre époque (réseaux sociaux, envie de rébellion, banalisation du sexe etc..).
Néanmoins, je dois reconnaître que ce film n'arrive pas à toucher la totalité du public potentiel, et ne raconte pas vraiment une vraie histoire, c'est pour cela que je ne lui attribuerai que 3 étoiles, mais mesdames, messieurs nos predecesseurs, sachez que ce film ne ment en rien, bien malheureusement