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Un visiteur
4,0
Publiée le 7 février 2018
Le sujet du film est assez rare dans la rubrique des films américains pour être remarqué. Enfin un film implanté socialement, enfin un film sur la migration, ici en l'occurrence mexicaine. J'ai apprécié le flottement, les allés-retours, qui correspondent bien aux questionnements moraux que se pose notre héroïne. Voilà comment se réunissent de part et d'autre de la frontière, la pauvreté, l'exclusion sociale. Une jolie fin chaleureuse qui rapproche les êtres humains, le peuple, merci!
Oh la la que c'est plat! C'est tellement mal écrit et mal réalisé que ça frise le ridicule. Heureusement Abbey Cornish sauve un peu les meubles mais dans ce film ne résonne qu'un écho tant le tout est plein de vide... La gamine est à claquer, elle joue mal, elle n'a aucune grâce ni crédibilité, les séquences sont hachées, pleines de maladresse. Non, vraiment un mauvais film stoppé avant la fin car j'avais honte pour eux...
Un film tour à tour sous-écrit et mélodramatique, capable de longues périodes d'ennui et des taches de pathos authentiques unidimensionnels. Ashley est une jeune mère célibataire dont l'enfant, Georgie, a été ôtée par les services de protection de l'enfance, sans doute à cause d'un problème d'alcool. Mais le film prend une tournure inattendue quand le père, Tommy Ashely (Will Patton) se présente et propose Ashley une escapade rapide au Texas. suit un scenario de passage de frontire avec des clandestins mexicains .
Cette partie se révèle un peu dur à avaler à certains moments. Le tout semble servir à prendre ce personnage étourdi et la forcer à grandir en tant que mère, et puis, comme nous y arrivons,ce film, laisse yne sensation d' inachevé et d incoherence (comment elle sort si facilement la mexicaine de l orphelinat). En fin de compte, l'intégralité de la réussite de "the gir"l repose sur combien nous sommes entraînés dans le développement intérieur de la personnalité de Cornish. The Girl n'est pas réussie, mais ce n'est pas un échec, malgré les sautes d'humeur du script entre didactisme et minimalisme