Derniers Avis : Bunraku - Page 4

Film sans intêret, les acteurs sont enervants, l'histoire est idiote, les decors ainsi que la mise en scène sont indigestes, il n'y a rien a sauver dans ce film mediocre.

Une catastrophe à la limite du regardable.Un mélange visuel de Sin City et Dick Tracy, sans doute à la genèse de ce somnifère, et qui en oubli les fondamentaux : le scénario et la direction d'acteurs entre autres.

Le totalement inconnu Guy Moshe s'équipe de 25 millions, d'un joli casting de has-been et confectionne un film d'action intemporel oscillant entre Sin City, Kill Bill et Scott Pilgrim. Intégralement tourné en fonds verts, le produit nommé Bunraku (définition du théâtre de marionnettes japonais) suit le parcours mouvementé de deux héros sans noms qui vont se rencontrer inexorablement dans une petite ville contrôlée par un dangereux gang. Leur rencontre n'étant nullement fortuite, c'est de par le destin qu'ils vont s'unir pour affronter ledit gang mené par leur chef invisible nommé Nicola... Dès le départ, Bunraku avait toutes les cartes en main pour délivrer un film d'action intéressant bien que peu original, mixant le chambara (le film de sabres japonais), le western de Leone et l'univers visuel de Frank Miller. Le cocktail avait tout pour conquérir le spectateur le moins difficile mais hélas, le réalisateur Guy Moshe prend un poil trop au sérieux son film et, au lieu d'une péripétie décomplexée, livre un long-métrage longuet, inégal et finalement peu intéressant, le scénario avançant de plus en plus lentement à travers de nombreux combats mous du genou et des dialogues répétitifs. Pourtant, le film commençait bien, avec ce prélude magnifiquement animé, son univers aussi coloré que décalé et ses personnages anonymes et atypiques à savoir un cow-boy ivre de vengeance (Josh Hartnett, oublié), un samouraï vivant pour l'honneur (le chanteur japonais Gackt Camui), un barman philosophe attachant (Woody Harrelson, comme d'habitude excellent) ou encore un charismatique chef de troupe ennemie nommé N°2 (Kevin McKidd, véritable sosie de James Woods). Seuls l'habitué aux séries B Ron Perlman, la pauvre Demi Moore et le pourtant monstrueux Shun Sugata semblent effacés et inintéressés. Ainsi, Bunraku est un joli plantage qui bénéficie d'une histoire sobre et classique mais pourtant sympathique. Son metteur en scène ayant les yeux plus gros que le ventre (et le talent en moins), on ne se retrouve que devant un film inégal, n'excitant qu'à moitié notre enthousiasme, principalement grâce à l'univers proposé, les différentes transitions animées et toutes les apparitions de Woody Harrelson, véritable pilier du film au final. Dommage donc.

Attention : film ultra-soporifique ! Histoire molle, personnages sans charismes. Pas étonnant qu'il ne soit sorti qu'en DVD. Ne perdez pas votre temps !

Le trailer donnait envie, puis j'ai commencé à le regarder, au bout de 20 minutes j'ai passé certaines scenes puis j'ai mis la fin.
Et je suis décu, je m'attendas à un film décalé dans la veine de scott pilgrim avec l'atmosphere de sin city et un bon casting.
En définitif, on se retrouve avec des acteurs dans les pires roles de leurs vies (le japonais devrait changer de métier), les cenes de combat sont merdiques, le seul qui doit avoir de vrais notions et le japonais mais les chorégraphies sont hyper horchestrées, c'est encore plus téléphoné qu'une démo lors d'un festival d'arts martiaux, pour finir l'histoire est basique et sans profondeur.
Vraiement déçu.

Dommage. Film raté. Pour plein de raisons. Déjà la prochaine fois qu'ils embauchent un vrai chorégraphe avec des vrais bonhommes qui savent se battre parce que là les bagarres ont dirait celle que je fais dans mon salon avec mon gosse de 7 ans, et les bonhommes sont aussi souples que la canne de ma grand-mère... Ca m'a saoulé. Je vais regarder 30 minute de Conan et me coucher.

Une horreur... Une réalisation catastrophique... histoire interminable... vraiment soporifique...

Guy Moshe, après son pas terrible Holly, nous revient après avoir fait une étude de marché très poussée. Pour cartonner il faut du neo-noir façon Sin City, des katanas façon Sucker Punch, et imposer une esthétique particulière pour tenter d’avoir l’air neuf comme l’était le film de Rodriguez ou le 300 de Snyder. Manque de bol il a enrôlé Ron Perlman, signe distinctif du nanar (même si on l’aime), ainsi que Josh Hartnett, qui plaisait aux filles, mais y’a 10 ans, et son esthétique est tout, sauf esthétique. On dit que les goûts et couleurs, tout ça, mais on se croirait devant un spectacle créé pour provoquer des crises d’épilepsie, même chez les gens n’y étant pas sensibles. On a toutes les couleurs possibles affichées en même temps, de façon à faire graphic-novel, oui mais QUELLE graphic-novel ? Si on voyait ça sur le papier on serait tenté de penser qu’un mec a gerbé dessus. Enfin bon, passons cette faute de goût, car la nullité ne s’arrête pas là, le montage est quant à lui mou, et les scènes de conversations servies par un Woody Harrelson neurasthénique sont aussi chiantes que les combats qu’enchaînent Hartnett et son acolyte Gackt. Le film était vu pour être un bunraku (théâtre de marionnettes) mais il est bien plus proche du kamishibai géant (théâtre de papier Japonais), et si l’effet fonctionne par moment (durant l’intro et quelques passages transitoires), il se montre très vite rébarbatif. Le kamishibai ne dure pas deux heures, or ici c’est le cas, et qui plus est l’histoire (allègrement pompée sur Le garde du corps d’Akira Kurosawa) n’offre que des scènes de parlotes tentant de singer du Tarantino et des scènes d’action molles comme un plug anal.


Bref, Bunraku est un foirade totale, une insulte au cinéma et à la culture traditionnelle nippone, et ce sur tous les points. Moshe se masturbe avec son effet marionnettes/cocottes et quand il tente d’imposer une idée, elle est encore empruntée à autre chose (la scène de combat en side-scroll façon Viewtiful Joe rappelle celle d’Old Boy, à la seule différence que des effets sonores façon Atari 2600 ont été rajoutés par dessus, histoire de bouffer au râtelier Scott Pilgrim). Peut-être que le film se voulait être un exercice de style visant à démontrer que le mélange de styles ne donne rien de bon; manque de bol Snyder l’avait déjà fait avec Sucker Punch, mais en revanche Sngmoo Lee avait prouvé le contraire avec The Warrior’s Way. Le mélange de styles est donc possible, il suffit simplement d’avoir un peu de talent et savoir comment organiser la chose de façon à ce que ça ne ressemble pas à un sandwich au caca.
On aurait préféré être torturé plutôt que de revoir The Spirit, mais après cette production on aurait préféré le revoir que se taper cette daube.
Les acteurs, la plupart has-been (ou habitués au productions de secondes zones) ont visiblement eu l’air de se rendre compte du non-sens de l’oeuvre, et ont servi des interprétations plates (Perlman est tellement dépité qu’il bouffe sa soupe avec ses dreads qui trempent dedans, et le reste du temps il cause avec sur la tronche un chapeau en forme de chips à la pomme).
La morale de l’histoire sera qu’un bon film typé graphic-novel n’offre à Josh Hartnett qu’un maigre temps à l’écran, alors qu’à l’inverse une merde le met en tête d’affiche (ce qui n’augure rien de bon pour le reste de sa « carrière »).
Pour conclure, si vous aimez les films ressemblants à une boîte de nuit façon Tech Noir vous plaisent, foncez. Ceux qui espéraient de ce vomi visuel un nanar distrayant comme Batman et Robin déchanteront très vite, ça parle (beaucoup), ça se prend au sérieux, et ça se croit intelligent, mais c’est juste con.
Mention spéciale pour le temps extrêmement court qu’il y aura fallu pour que le métrage soit distribué par chez nous. Et dire qu’il y a des bons films qui mettent des années à sortir, ça fait mal aux burnes…

Excellent film, un mélange de Sin City et de Kill Bill !

Un ovni, mais loupé...dialogues chiants, histoire molle, chorégraphies bidons...rien que la voix narrative est horripilante au bout de 5 minutes !

Vu les genres annoncés pour ce film j'avoue que je ne misais pas grand chose sur celui-ci; Western, art martiaux... tout ce que j'aime pas. Pourtant j'y suis allé à reculons car le casting m'intriguait, je voyais mal Josh Hartnett, Woody Harrelson, Kevin McKidd et Demi Moore jouer dans le film que je m'imaginais ( et dont je suis certain que vous n'aimeriez pas voir non plus lol ), il devait y avoir autre chose...
Et effectivement, dès les premières minutes, on est transporté dans un univers bien personnel où western, arts martiaux, drame... sont bien présents mais passés par le filtre Bunraku. Dans une certaine mesure, ce film me rappel l'excellent "Sin citY" dans l'approche, le rapport à l'esthétique ( entre B.D, jeux vidéo... ). Je trouve qu'il a un bon rythme, je ne me suis pas ennuyé; mais c'est pas pour autant que ce film est ultra bourrin, il y a des séquences de combats certes mais l'histoire ( bien que simple dans le fond ) n'en est pas pour autant délaissée; je trouve que c'est surtout dans la forme qu'elle dévoile de façon très fluide.
Tout ça pour dire que ce film mérite le coup d'oeil avant d' être jugé car il fait parti de ses rares films qui ont un caractère fort et qui leur est propre et dont les critiques ne pourront pas être assez objectives pour le catégoriser.

Complètement décalé, vraiment mal fait, le fantastique est vraiment pas fait pour les asiatiques.

Il sort quand? J'ai hâte, rien que pour voir Gackt ♥

j ai hate de voir se film quand va t il sortir au cinéma ou en dvd merci