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Votre avis sur W. - L'improbable Président ?
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Film très surprenant!!! Il m'a permis d'en savoir plus sur le parcours de Bush, et j'avais du mal à croire que tout cela s'est réellement passé!!! Comment un mec pareil a t il pu devenir président??? Ce film apporte quelques réponses!!! Cependant je trouve que le père de W. est un peu trop idolatré...
Si on n'est pas Americain, le vie de W. on en a rien a f***. Mais le film nous en apprend un peu plus sur sa relation difficile avec son "papou".
Un film terne, sans grand intérêt.
Après l'échec de World Trade Center, Oliver Stone tente de nouveau de filmer un sujet sensible aux USA et manque une nouvelle fois son pari.
Le film est plat du début à la fin, et rien de la vie de Bush n'est révélé.
Ici, Stone semble en panne d'imagination et d'ingéniosité en nous servant un film bâclé qui, tel Alexandre, n'a rien d'extraordinaire et endort le spectateur plus qu'il n'éveille son intérêt et sa curiosité.
Avec W., Oliver Stone gâche une nouvelle fois de la bobine pour le plus grand regret de ses fans.
A réserver à ceux ayant la carte UGC et ne payant pas le cinéma; autrement passez vite votre chemin.
Après l'échec de World Trade Center, Oliver Stone tente de nouveau de filmer un sujet sensible aux USA et manque une nouvelle fois son pari.
Le film est plat du début à la fin, et rien de la vie de Bush n'est révélé.
Ici, Stone semble en panne d'imagination et d'ingéniosité en nous servant un film bâclé qui, tel Alexandre, n'a rien d'extraordinaire et endort le spectateur plus qu'il n'éveille son intérêt et sa curiosité.
Avec W., Oliver Stone gâche une nouvelle fois de la bobine pour le plus grand regret de ses fans.
A réserver à ceux ayant la carte UGC et ne payant pas le cinéma; autrement passez vite votre chemin.
Excellent biopic, une comédie réaliste et politique. Façon de filmer très séduisante, il a un côté Frères Coen dans ce film, d'ailleurs Josh Brolin avait joué dans "No Country for Old Men". Il joue excellemment. Mais aussi James Cromwell, Jeffrey Wright, Thandie Newton ou Goettfried John. Petite apparition, uniquement vocale -dommage !- de Jacques Chirac, un acteur fait sa voix par téléphone. Le film a une construction non-linéaire, comme un Tarantino. Il inspirera très probablement "La Conquête", film français sorti tout récemment. Le film ne prend pas spécialement parti et dresse un portrait honnête du personnage. Le film est d'avantage centré sur sa personne que sur ses controverses et ses actes, c'était peut-être ce qu'Oliver Stone voulait.... mais cela reste excellent. Quelques répliques cultes. Un Amérique à la fois glamour et badass. Excellent film.
Moi je voulais voir Being W. de Karl Zero alors forcément...
Ce n'est pas un mauvais film cependant je ne sais pas vraiment quelle attitude adopter quand à la véracité des faits relatés dedans. Autrement on passe un bon moment même si c'est un peu long à certains moments.
Oliver Stone signe un film passionnant sur les années Busch.On découvre le parcours d'un homme presque comme les autres qui n'aurait jamais du se retrouver à la Maison Blanche.Stone réussit sans caricature à faire frémir quand lors d'une réunion un conflit majeur va être déclaré.Brolin est tout à fait étonnant comme tous les autres acteurs remarquables.Une vraie réussite.
Finalement assez neutre et peu virulent, Oliver Stone dresse un portrait à moitié réussi de l'ancien président des États-Unis. La succession d'anecdotes mélangeant vie privé et professionnelle faisant plutôt ressortir le côté humain du personnage devient parfois ennuyeux par manque de relief. Toutefois, la réalisation est bonne et Josh Brolin est impeccable.
"You're a Bush. Act like one."
Regarder W. juste après avoir vu Vice (Adam McKay, 2018) présente un risque de comparativité élevé : les deux hommes, George W. Bush et Dick Cheney, connaissant un parcours parallèle malgré des sphères d'origine différentes. Ainsi, les deux film commencent à peu près de la même façon : on est en 2001/2002, la deuxième guerre du Golfe se prépare, et on bascule sur le début de l'âge adulte... en prison. En outre, et c'est somme toute logique, les même personnages (dont même de l'exécutif) sont présents à l'écran tout au long du film puisque les deux hommes ont été respectivement président et vice-président. Je relèverai néanmoins cette énorme différence : là où l'accent avait été mis sur la ressemblance avec les personnages réels dans Vice, elle est moins probante ici, Josh Brolin, par ailleurs exceptionnel, collant assez peu à l'image physique qui nous est resté de l'improbable président.
Puisque j'aborde la distribution, je relèverai également la performance de Richard Dreyfuss, au phrasé lent et énigmatique, les autres interprètes étant au mieux passables, au pire insupportables, à l'image de Thandie Newton, incarnant une Condoleezza Rice sous valium. Il est inutile de conseiller de voir ce film en VO tant ça tombe sous le sens : les élocutions et les accents d'origine des différents personnages font partie intégrante de l'Histoire.
Moins ouvertement militant que Vice, W. se veut une description plus en phase avec les biopics traditionnels et, magré quelques dialogues vraisemblablement fictifs et parfois simplistes, voire carrément grotesques (la scène avec Tony Blair ou celle au téléphone avec Jacques Chirac), le souci d'Oliver Stone est de raconter l'histoire d'un homme que rien ne prédestinait à devenir président, si ce n'est son réseau familial et partisan. La narration est ainsi toute entière centrée sur le personnage et ses rapports tumultueux avec son père, ainsi que l'évolution de sa religiosité, et nous livre un George W. Bush plus humain, parfois même touchant, que ce qu'on en a retenu et évite la fresque historique et l'interrogation politique, si ce n'est pour souligner le constant paradoxe de la logique guerrière des Etats-Unis.
Visuellement de facture classique, ce film est enfin un rien trop long, la dernière partie s'engluant dans le scandale des armes de destruction massive avec une lourdeur assez ridicule.
A voir princpalement pour la prestation de Josh Brolin.
Regarder W. juste après avoir vu Vice (Adam McKay, 2018) présente un risque de comparativité élevé : les deux hommes, George W. Bush et Dick Cheney, connaissant un parcours parallèle malgré des sphères d'origine différentes. Ainsi, les deux film commencent à peu près de la même façon : on est en 2001/2002, la deuxième guerre du Golfe se prépare, et on bascule sur le début de l'âge adulte... en prison. En outre, et c'est somme toute logique, les même personnages (dont même de l'exécutif) sont présents à l'écran tout au long du film puisque les deux hommes ont été respectivement président et vice-président. Je relèverai néanmoins cette énorme différence : là où l'accent avait été mis sur la ressemblance avec les personnages réels dans Vice, elle est moins probante ici, Josh Brolin, par ailleurs exceptionnel, collant assez peu à l'image physique qui nous est resté de l'improbable président.
Puisque j'aborde la distribution, je relèverai également la performance de Richard Dreyfuss, au phrasé lent et énigmatique, les autres interprètes étant au mieux passables, au pire insupportables, à l'image de Thandie Newton, incarnant une Condoleezza Rice sous valium. Il est inutile de conseiller de voir ce film en VO tant ça tombe sous le sens : les élocutions et les accents d'origine des différents personnages font partie intégrante de l'Histoire.
Moins ouvertement militant que Vice, W. se veut une description plus en phase avec les biopics traditionnels et, magré quelques dialogues vraisemblablement fictifs et parfois simplistes, voire carrément grotesques (la scène avec Tony Blair ou celle au téléphone avec Jacques Chirac), le souci d'Oliver Stone est de raconter l'histoire d'un homme que rien ne prédestinait à devenir président, si ce n'est son réseau familial et partisan. La narration est ainsi toute entière centrée sur le personnage et ses rapports tumultueux avec son père, ainsi que l'évolution de sa religiosité, et nous livre un George W. Bush plus humain, parfois même touchant, que ce qu'on en a retenu et évite la fresque historique et l'interrogation politique, si ce n'est pour souligner le constant paradoxe de la logique guerrière des Etats-Unis.
Visuellement de facture classique, ce film est enfin un rien trop long, la dernière partie s'engluant dans le scandale des armes de destruction massive avec une lourdeur assez ridicule.
A voir princpalement pour la prestation de Josh Brolin.
Un film faisant l'éloge de Bush fils plus qu'autre chose, ne le montrant à aucun moment face à la crise du 11 septembre et le montrant plus comme un homme qui n'est pas responsable de ses actes qu'autre chose. C'est du gros n'importe quoi !
Un film totalement maitrisé sur un homme qui sort vraiment de l'ordinaire.On retrouve avec plaisir le savoir faire de l'immense réalisateur Oliver Stone.L'acteur principal quant à lui tire son épingle du jeu et nous offre une prestation bluffante.Une grande réussite car pour ma part,je ne me suis pas ennuyé une seule seconde.
Oliver Stone s'attaque une fois de plus au président des Etats-Unis (après Nixon et JFK) et c'est pour notre plus grand plaisir, même si le film effraie par l'histoire qu'il raconte. Comment W. a t-il pu devenir président de la plus grande puissance mondiale? La réponse est dans ce film et elle est effrayante.
W est un film d'acteurs et cela se voit tout de suite, Oliver Stone délaiss la mise en scène pour le jeu d'acteurs. Il faut dire qu'il a un casting de choix que l'on sent impliqué dans ce film et sur ce qu'il aborde. Tout d'abord Josh Brolin qui incarne complètement le président des Etats-Unis, il est brillant dans ce rôle, dans les attitudes et surtout la voix où j'ai été totalement bluffé. Les scènes les plus réussies concernent la vie de Bush en tant que président où l'on comprend les enjeux et les conséquences sur la géopolitique actuelle. Alors qu'on pouvait s'attendre à un pamphlet sur l'homme, c'est la politique mais surtout l'entourage de Georges Junior Bush qui est selon Stone quelqu'un qui n'aurait pas dû arriver là et qui avait des convictions vertueuses. On a décidé à sa place et sa faiblesse l'a amené à conduire la pire politique des Etats-Unis.
Très bon film d'O.Stone,c'est détaillé,précis et sans concession.L'exceptionnel prestation de J.Brolin qui,littéralement,habite le personnage et les anecdotes qui fourmillent rendrait presque G.W.Bush sympathique(j'ai dit presque...faut pas déconner non plus :).
Un très bon film, le meilleur se trouve à la scène d'une réunion où sont dénoncés clairement les raisons de cette guerre. Ainsi, on se rend compte que Bush n'est qu'un pantin autour d'une administration corrompu. Dommage que le chapitre de la société Skull and Bones soit éclipsé.
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