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Parkko
160 abonnés
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3,0
Publiée le 13 février 2012
Attention, ma critique contient des spoilers. Je vous déconseille de la lire si vous n'avez pas vu le film. Je continue mon intropesctive dans le cinéma de Linklater (qui est un cinéaste moderne que j'apprécie - il faut dire que le dyptique Before Sunrise / Before Sunset est absolument magnifique) avec Me And Orson Welles. Film qui surprend. On le sent innofensif à son départ, on a l'impression de voir juste une relecture du film "mise en scène 'un spectacle" et puis tout d'un coup il se montre plus corrosif, plus dur, et c'est ça qui est bien, c'est qu'il n y a pas d'émerveillement ni d'idéalisation là dedans, sans dramatiser non plus. C'est juste la vie et sur les quatre films que j'ai vu de lui Linklater est vraiment un mec qui parvient à capter ça. C'est dommage que ses films souffrent de plusieurs défauts (là c'est finalement assez irrégulier, la dernière demi-heure est la meilleure je trouve) parce qu'il a cette faculté à capter le réel, sans l'enjoliver, sans le noircir.
Assez bon film ! Il y a rien d'extraordinaire car c'est un peu trop ordinaire, mais il faut avouer que c'est bien joué (mention spéciale à Zac Efron qui étonne encore une fois, et à Claire Danes qui est sublime dans ce rôle)... Dans l'ensemble, on passe un bon petit moment devant 'Me And Orson Welles' ! A voir une fois pour se faire son propre avis.
Le style de la réalisation, classique et soignée donne au film une certaine assise. L' histoire recoupe des éléments déjà apparus dans d'autres films concernant le caractère parfois exécrable de Welles mais on n'y retrouve pas vraiment la puissance créatrice du personnage même si Christian Mckay assure une bonne couverture du personnage. Le scénario n' a rien d' exceptionnel, le film se regarde gentiment sans plus. D'ailleurs je ne suis pas sûr que Zac Efron aurait pu aller beaucoup plus loin dans son jeu.
Sans être jamais passionnant, "Me and Orson Welles" permet tout de même de passer un agréable moment. Adaptation d'un roman, ce film ne vous procurera malheureusement pas l'occasion d'en savoir un peu plus sur Orson Welles. Il s'agit au mieux d'une photographie du New-York de la fin des années 1930. D'ailleurs, si on remplaçait le nom "d'Orson Welles" par celui de "Jean Machin-chose" ce reviendrait un peu au même, tant le côté génial du type n'apparaît pas. Coups de colère aussi répétitifs que lassants, énorme appétit sexuel, mauvaise foi évidente, despotisme... finalement rien d'exceptionnel pour un homme habitué à diriger d'autres hommes. Bref, à condition de ne pas être trop exigeant, vous apprécierez ce film.
Je pensais qu'il y aurait plus de poésie. Là, ça me parait être un simple drame comme n'importe quel autre, sans grande émotion. Je m'attendais à mieux honnêtement.
Ce film est la vérité pure du monde du théâtre d'hier mais qui est pareil à celui d'aujourd'hui. Je suis vraiment déçut que ce film n'est pas sortie en DVD ou au cinéma. Pour ceux qui admire le théâtre ou qui la pratique, d'urgence regarder ce film. L'histoire est réelle, la preuve j'ai vécu la même mais dans le chant lyrique au collège, aujourd'hui j'ai 19 ans donc il n'y a pas très longtemps, j'étais l'acteur que Zac Efron faisait, sauf que je ne couchais pas avec des filles, mais j'étais le même personnage et l'histoire était identique avec le directeur qui pour moi était aussi un directeur. "Pour certain personne, le chant lyrique c'est du théâtre (opéra) mais avec la voix chanté." Il devrais mettre "d'après une histoire vrai".